par Dominique Delawarde
L’épidémie de Covid-19 est incontestablement terminée dans une énorme majorité des 229 pays ou territoires qui ont pu être affectés, à un moment ou à un autre.
Elle aura fait, in fine, un nombre infime de victimes: 0,885 décès pour mille habitants en 3 ans et demi, soit 0,25 décès sur 1000 habitants en moyenne annuelle, principalement des personnes âgées atteintes de comorbidités (88%). Elle aura donc été plus politique et médiatique, que réelle et grave.
Des vaccins élaborés à la hâte, vendues pour une efficacité de 95% sur les formes graves, et injectés en priorité aux personnes les plus exposées, auraient dû enrayer très vite (dès 2021) cette pandémie, s’ils avaient eu l’efficacité proclamée par l’industrie pharmaceutique, ses relais politiques et médiatiques, et les autorités de santé les plus corrompues.
Celà n’a pas été le cas. Cette épidémie a encore provoqué près de 200 000 décès au premier semestre 2023, dont 62% dans les 31 pays de l’OTAN, très vaccinés, qui ne représentent pourtant que 12% de la population de la planète ….
3 pays de l’OTAN, les USA, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont cumulé, à eux seuls, près de la moitié des décès Covid déclarés sur la planète au 1er semestre 2023… Ils ont eu manifestement plus de difficultés que d’autres à se remettre de l’épidémie. Les deux premiers d’entre eux (USA et UK) ont, hélas, été pris en référence par de trop nombreux pays qui en ont payé le prix (fort).
S’agissant des vaccins, 4,2 milliards de doses avaient été «sécurisées» pour l’UE par madame von der Leyen pour un montant de 75 milliards d’euros dans des accords secrets, passés avec l’industrie pharmaceutique (10 doses pour chaque citoyen de l’UE).
0,9 milliard de doses auraient été utilisées à ce jour en UE (source : Our World in data) à l’heure où la vaccination se ralentit énormément, voire s’arrête un peu partout en Europe.
Autrement dit, plus des trois quarts des doses commandées pour l’UE devront être détruites. Trois quarts de l’investissement (75 milliards d’euros) auront donc été gaspillés en pure perte. Escroquerie du siècle ou Incompétence abyssale au plus haut niveau de l’UE ? La question se pose, désormais.
Mon dernier bulletin de situation trimestrielle Covid du 1er juillet 2023 0h00 GMT en pièce jointe traite de manière plus détaillée et chiffrée des différents aspects de l’épidémie au niveau planétaire. (sources : Worldometer et Our World in data).
«On peut débattre de tout, sauf des chiffres». Nos chers médias mainstream ne savaient pas que leur slogan favori pouvait se retourner contre eux…
Bonne lecture et à chacun de se forger son opinion, bien sûr.
PS : Ce bulletin est le dernier sur la Covid-19. Il va falloir maintenant mettre en évidence les effets secondaires des injections vaccinales et poursuivre sans relâche, avec ténacité et pugnacité les responsables du désastre sanitaire et humain lié à la gestion de cette crise en occident.
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2ème rapport trimestriel de situation Covid planétaire du samedi 1er Juillet 2023 0h00 GMT
Avant propos : «On peut débattre de tout, sauf des chiffres» (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr). Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre 2021 par la «meute» des médias mainstream français… et abandonnée depuis parce que les chiffres deviennent dérangeants…
Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.
Remarques sur le tableau ci-dessus :
Avec près de 376,5 millions de tests positifs déclarés en 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccin en 2021, on réalise que la contamination n’a jamais été réduite par le vaccin, bien au contraire, puisqu’elle a été 4,5 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin. Qui ne connaît pas parmi ses proches des gens double ou triple vaccinés qui ont attrapé le Covid en 2022 ?
Le slogan «Tous vaccinés, tous protégés» était donc un énorme mensonge répété ad nauseam par les pseudo-scientifiques, les politiques et leurs relais médiatiques, corrompus par Big Pharma. Les populations vaccinées, souvent par la contrainte, s’en sont rendues compte puisqu’elles ont très vite renoncé aux rappels conseillés et prescrits par les autorités gouvernementales et médicales (0,37 milliards de doses de primo-vaccination ou de rappel au 1er semestre 2023 contre 9,2 milliards en 2021).
La grande majorité des contaminations et des décès des années 2022 et 2023 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord (Voir les détails dans les tableaux qui suivront). L’Europe est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis vingt et un mois, sans discontinuer, ce qui est la preuve que la stratégie du tout vaccinal n’y a jamais fonctionné. Elle ne compte que 9,5% de la population mondiale mais déclare encore sur les quinze derniers jours, plus de 30% des décès enregistrés sur la planète. C’est un fait difficilement contestable, même par les «déconneurs» du Monde ou de Libération qui ont réponse à tout.
Où est passé le miracle vaccinal en Europe ? Cherchez l’erreur.
Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létaux, surtout et y compris dans les pays peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas quotidiens déclarés sur la planète (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par près de 250 pour s’établir aujourd’hui à 13 858 tests positifs/jour, (moyenne sur 7 jours.) au 1er juillet 2023 0h00 GMT. Autant dire que la pandémie est quasiment terminée.
Alors que le nombre de décès sur une population pourtant très vaccinée a culminé à 74 000 décès/semaine dans la 2ème semaine de février 2022, il est désormais inférieur à 1000 décès/semaine dans la dernière semaine de juin 2023, soit une division par 74 de la mortalité hebdomadaire. La Covid est donc devenue une maladie respiratoire beaucoup moins létale que la grippe saisonnière.
Malgré une vaccination de masse menée tambours battants depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021. Pour 2022, les chiffres de contamination ont été bien pire (multiplication par 4,5) et la mortalité, à peine meilleure, qu’en 2020, sans vaccin. Pour 2023, les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie se sont sortis beaucoup plus vite de l’épidémie que les pays développés les plus vaccinés. Ce sont des faits.
Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 13,47 milliards d’injections vaccinales pour une population de 8 milliards d’habitants ; injections vaccinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ça n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et le recul a été faible en 2022. En 2023, l’épidémie semble toutefois s’éteindre progressivement et surtout naturellement, moins vite dans les pays les plus vaccinés que dans les autres.
C’est probablement la raison pour laquelle l’immense majorité de la population mondiale a désormais renoncé aux rappels de vaccination, les fameux «boosters», malgré les recommandations persistantes dans certains pays jusqu’au-boutistes, dont la France. À deux injections annuelles recommandées, le nombre de 9,1 milliards d’injections de l’année 2021 aurait dû se maintenir en 2022 et en 2023. Or, il est tombé à 3,9 milliards en 2022 et ne devrait pas dépasser 0,5 milliard en 2023 puisqu’il n’y a eu que 370 millions de doses injectées au 1er semestre 2023 sur la planète et que le rythme d’injection continue de baisser très rapidement. On notera avec intérêt que la mortalité attribuée à la Covid a nettement diminué en 2023, alors même qu’une énorme majorité des populations ont renoncé d’elles-mêmes aux recommandations gouvernementales d’un booster tous les six mois.
Comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie Covid-19 a fini par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :
– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron et de ses derniers sous-variants.
– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement «vidé» par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois.
– Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus.
– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, vaccinée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, a également contribué à la baisse de la létalité. À cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ont joué le rôle de véritables vaccins naturels pour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.
Notons qu’avec la guerre en Ukraine qui impacte la planète entière, les médias ont un nouvel os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ce nouveau sujet. C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à «la guerre de l’information», qui se fonde trop souvent sur le mensonge répété en boucle.
En France, la campagne présidentielle de 2022 a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid 19, surtout si la gestion de cette crise continue d’être aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien, ce qui semble être le cas.
Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en vivant à crédit, en «sanctionnant» toujours plus ceux qui ne partagent pas le narratif dominant, trop souvent mensonger, sans prendre en compte les effets boomerang, ne sont pas des stratégies efficaces et durables, tant pour la crise sanitaire que pour la crise ukrainienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite… et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, dont le nôtre, déjà en cours et bien avancé.
Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 6,9 millions de décès sur trois ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 millions qui, répartis sur trois ans et demi, deviendrait un nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette «pandémie» a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir…
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Alors que les acteurs politiques, médiatiques, sanitaires et Big Pharma comptent sur la faculté d’oubli des populations pour échapper à leurs responsabilités dans la gestion désastreuse de cette épidémie et dans les méthodes utilisées, dignes de gouvernances totalitaires, des collectifs de citoyens persistent à vouloir que la lumière soit faite sur l’inefficacité vaccinale constatée, sur les effets secondaires des vaccins, sur la corruption de la commission européenne et de nombreuses personnalités exécutives ou sanitaires au niveau national et/ou européen. Il est désormais envisageable que les principaux responsables du désastre vaccinal soient identifiés, et sanctionnés lorsque les vents changeant auront jeté hors des palais nationaux les gouvernances qu’on y trouve encore.
Vidéos et documents «alternatifs» et intéressants sur la vaccination et la gestion de la crise sanitaires
1. Sur la désinformation politique et médiatique qui a fortement marqué la gestion de l’épidémie dans le monde et en France
Le scandale dit : «Lockdown Files» révélé par le Daily Telegraph au Royaume-Uni et repris, brièvement hélas, par les médias du monde entier, ont clairement montré que l’incompétence de la classe dirigeante britannique a été à l’origine d’un autoritarisme sanitaire contre-productif.1
Bien sûr, ce constat n’est pas applicable à la France dont les dirigeants, infiniment plus malins que leurs homologues britanniques, ont eu le bon goût et la bonne fortune de ne pas se faire prendre, jusqu’à présent, les doigts dans la confiture. Il est vrai que l’omerta et/ou la discrétion des médias français sur les Lockdown Files, et le «Secret Défense» appliqué aux délibérations des fameux «Conseil de Défense» ont aidé l’exécutif macronien à échapper, pour un temps, à la vindicte populaire.
Autre vidéo intéressante, sourcée et argumentée, de Jean Dominique Michel, anthropologue suisse du 14 juin 2023, censurée pendant 11 jours : «Meurtres de masse en EHPAD : l’État meurtrier»
2. Les effets secondaires des vaccins
Une vidéo publiée à une période de faible écoute sur la chaîne TV ARTE résumée par France Soir.
• «Vaccination anti-Covid : vivre avec les effets indésirables» – Documentaire complet, ARTE
3. Sondage sur le regard des Français sur la réintégration des personnels suspendus non injectés
Si 79% des Français étaient favorables à la réintégration, 53% des sympathisants «Renaissance», 70% des franciliens (bobos manipulés par les médias mainstream ?), 58% des catégories aisées, 68% des personnes âgées (peur de mourir ?) étaient contre. Ces derniers sont pourtant ceux qui déplorent le plus le manque de personnels de santé pour s’occuper d’eux.2
4. Sur le harcèlement anti-Raoult et la corruption de certaines sociétés «savantes» françaises
5. Sur les traitements utilisés lors de la crise sanitaire
Dans une interview à France Soir du 23 mai 2023, le professeur Didier Raoult présente les résultats d’une étude rétrospective confirmant l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
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Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vaccinale de masse ?
source : Our World in Data : https://ourworldindata.org/covid-vaccinations
70,34% de la population mondiale auraient reçu au moins une dose d’un vaccin COVID-19 et 64,65% seulement seraient complètement vaccinés, représentant 5,2 milliards d’h.
13,47 milliards de doses auraient été administrées dans le monde (dont 9,2 milliards en 2021, 3,9 milliards en 2022 et seulement 0,37 milliard au 1er semestre 2023). Cette évolution entre 2021 et 2023 montre clairement que les populations vaccinées refusent désormais massivement les deux «boosters» annuels qui leurs sont proposés pour conserver leur immunité «présumée». 73 000 doses seraient encore injectées chaque jour, sur l’ensemble de la planète, principalement dans certains pays occidentaux qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en accumulant les doses, alors qu’ils ont failli depuis le début dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les erreurs d’appréciation.
32,2% seulement des habitants des pays à faible revenu, donc moins solvables, auraient reçu au moins une dose. Ils ne s’en portent pas plus mal, bien au contraire. Ce simple constat montre, s’il en était besoin, que la vaccination était, avant tout, une affaire de gros sous pour Big Pharma et ses relais corrompus. Les riches populations de la région Nord Atlantique intéressaient bien davantage l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques que les populations les plus pauvres et les moins solvables d’Afrique ou d’Asie.
Extrait d’un point de situation vaccinal planétaire au 1er juillet 2023 0h00 GMT
À l’échelle planétaire, il y aura eu deux fois plus de décès Covid en 2021 avec le vaccin qu’en 2020 sans vaccin, alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été moins létal que ses prédécesseurs.
Toutefois la Covid-19 semble désormais en extinction naturelle un peu partout, sans qu’on puisse attribuer cette amélioration au vaccin puisque les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie a reculé et recule toujours le moins vite (USA, Allemagne, Royaume-Uni, Australie, etc.) et que la mortalité de 2022 avec vaccin aura été supérieure à celle de 2020 sans vaccin dans de nombreux pays très vaccinés (Croatie, Slovaquie, Grèce, Allemagne, Australie, Singapour, Israël, Islande, Norvège, Danemark, Finlande, Lettonie, Estonie, Lituanie, Portugal, Taïwan, Corée du Sud, Japon, etc.).
Il semble bien que le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal ait été, depuis le début de 2022, le vaccin naturel attendu.
On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la pandémie. C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits («On peut débattre de tout sauf des chiffres» nous ont répété inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien re-parlons chiffres !
Observations :
1. Au fil des années, il n’y a aucune corrélation entre le taux de vaccination et le taux de mortalité des différents continents. 2 à 2,5 fois moins vaccinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité plus de 15 fois moindre. Il est vrai que les traitements à la chloroquine ou à l’ivermectine y ont été pratiqués presque partout. C’est un constat observationnel irréfutable, réalisé à posteriori sur la base de chiffres officiels, «dont on ne peut débattre».
2. Alors que les habitants de la planète sont de plus en plus vaccinés, la mortalité déclarée Covid de 2022 est restée forte avec un virus pourtant beaucoup moins létal. Exemples ? L’Océanie, vaccinée à 64%, a déclaré 4 fois plus de décès en 2022 que les nombres cumulés des deux années 2020 et 2021 et compte 18 fois plus de décès Covid en 2022 que durant toute l’année 2020, sans vaccin. Au 1er semestre 2023, l’Océanie déclare déjà 5,6 fois plus de décès que durant toute l’année 2020 sans vaccin.
L’Europe, vaccinée à 70% est restée, en 2022, a un taux de mortalité à peine inférieur (-19%) à celui de l’année 2020 (sans vaccin) avec un variant Omicron beaucoup moins létal. Où est donc passé le miracle vaccinal annoncé à 95% d’efficacité sur les formes graves. Même les plus cons des citoyens du monde commencent à s’apercevoir qu’ils ont été dupés par la propagande politique et médiatique et à réagir en refusant massivement les «boosters» qui ne boostent rien d’autre que les finances de Big Pharma.
3. En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée : 96 000 décès en un seul mois prévus par les «experts» en mars 2020 ? Dans la vraie vie : 24 536 décès en trois ans et demi, bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus âgée et moins vaccinée que la France, a un taux de mortalité de 15% inférieur à la moyenne européenne… Eh ! les médias mainstream… Quelle est la valeur des prédictions scientifiques de monsieur Ferguson ? Pouvez-vous rappeler cela de temps à autre à votre lectorat ou à votre audience ? Et vous excuser ?
4. En Islande, en Israël, au Japon, à Taïwan, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux États-Unis, aux Pays baltes à Singapour, en Australie (etc.) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde par le vaccin (entre 72% et 95%) ou par la guérison de la maladie, la contamination et/ou la mortalité ont été plus élevées, en moyenne en 2022, que dans les années précédentes, y compris parmi les doubles ou triples vaccinés (voire, en Israël, parmi les vaccinés à quatre ou cinq doses). Ainsi, à Singapour (6 millions d’habitants vaccinés à 91%), la mortalité a augmenté très fortement sur les quinze derniers mois montrant la totale inefficacité vaccinale.
D’octobre 2021 à juillet 2023, le nombre des décès des Singapouriens, parmi les plus vaccinés au monde, a été multiplié par onze, comparé aux pertes cumulées des années 2020 et 2021 et par près de 60 comparée aux pertes de l’année 2020 sans vaccin ???Situation de la mortalité Covid à Singapour aujourd’hui vaccinée à 91,6% : «On peut débattre de tout sauf des chiffres» «tous vaccinés, tous protégés» qu’ils disaient sur toutes les télés françaises.
En Israël, la contamination et les décès ont explosé en janvier 2022. Entre le 14 décembre 2021 et le 26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines sur une population déjà très vaccinée.
Contamination :
Entre le 30 décembre 2021 et le 4 février 2022, le nombre de décès en Israël est passé de 1 à 73 décès/j (Moyenne sur 7 j). Le record absolu du nombre de décès/J a été battu dans un pays vacciné à 72% (et bien davantage pour les personnes fragiles) et dans lequel 51,6% des habitants avaient déjà été testés positifs et devaient donc avoir une immunité naturelle…
Israël aura encore des pertes dans les jours à venir. Une forte majorité des rares hospitalisations concerne aujourd’hui des personnes âgées, double, triple, ou quadruple vaccinées.
Curieusement, et c’était une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vaccinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80% selon le narratif officiel…). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse puis ont disparu du narratif médical, politique et médiatique, lorsque la vérité s’est imposée. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays ne semblait apparaître en France et leur nombre, largement sous-évalué, n’est pas clairement porté à la connaissance du grand public par les médias. Il ne faut pas parler des choses qui fâchent.
Observations factuelles :
En 2022, la mortalité Covid planétaire a culminé à 11 049 décès/jour le 9 février 2022. Elle n’était plus qu’à 1500 décès/jour (moyenne sur 7j) au 31 décembre 2022 (0h00 GMT).
L’année 2022 n’aura donc pas été très bonne en terme de mortalité déclarée : 1,24 millions de décès en 2022 après 13,2 milliards de doses de vaccins injectées.(???).
Le premier semestre 2023 a enregistré une baisse très sensible du nombre des décès Covid déclarés : 198 063 seulement sur l’ensemble de la planète.
Les pays les plus pauvres, dont 32,2% seulement de la population seraient vaccinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). «On peut débattre de tout sauf des chiffres»…
Les pays les plus riches, les plus «avancés», les plus vaccinés (de 70% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 2,5 et jusqu’à 5 pour mille). «On peut débattre de tout, sauf des chiffres»…
Après 3 ans et demi d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,885 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout «famines»…). La population terrestre a donc continué d’augmenter, malgré la Covid, de 67 millions d’habitants en 2022 et de 33,4 millions au 1er semestre 2023. «On peut débattre de tout, sauf des chiffres».
En 3 ans et demi d’épidémie, 6,9 millions d’individus, souvent très âgés, fragiles et déjà malades sont décédés «avec la Covid» alors que plus de 230 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes…. On notera que 88% des décès déclarés Covid l’ont été avec comorbidité et que 12% peuvent être attribués à la seule Covid-19. En clair 1,1 million de décès environ, sur trois ans et demi, peuvent être attribués de manière certaine à la Covid-19… (nombre très inférieur à celui de la grippe saisonnière, en temps normal, sur trois ans et demi, au niveau planétaire.)
Principales causes de décès au premier semestre 2023 sur la planète (source : Worldometer)
On notera avec intérêt le comportement paradoxal des gouvernances qui ont accepté, en 2022, de réaliser 42,5 millions d’avortements sur la planète, et qui, «en même temps» et «quoiqu’il en coûte» à l’économie et à la vie sociale, ont pris mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards occidentaux (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,74 milliards de terriens seraient en surpoids et 832 millions d’entre eux seraient classés obèses en 2023 (plus à l’Ouest qu’à l’Est et plus au Nord qu’au Sud…) Source : Worldometer.
Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à «vivre avec» ce genre d’épidémie sans paniquer, et «traiter précocement» pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en cours épidémie, au nom de la «rentabilité», alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs «conseils scientifiques» sponsorisés par «Big Pharma»), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps. La réintégration des personnels soignants qui avaient refusé de servir de cobaye lors de l’expérimentation vaccinale, aurait dû être une priorité immédiate pour sauver ce qui restait de notre système de santé en voie d’effondrement avancé, mais aussi parce que les faits leur ont donné raison. Le vaccin n’a protégé personne de la contamination ou du décès comme le montrent encore les chiffres 2023.
En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, sur la durée, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait aussi être prise en exemple à l’avenir, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissement hospitalier.
Le dernier pic épidémique planétaire ayant été franchi le 9 février 2022, avec 11 049 décès/jour en moyenne sur 7 jours. La situation s’est donc améliorée progressivement depuis cette date avec quelques rebonds de faible ampleur.
Aujourd’hui, le nombre de décès Covid quotidien sur la planète est désormais très bas (100 décès/jours, comparé à celui des accidents de la route sur la planète (3670 décès/jours) ou à celui des décès du SIDA (4560 décès/J).
Cette évolution est à peu près la même dans la quasi-totalité des pays des deux hémisphères. L’épidémie est terminée dans la quasi-totalité des pays d’Afrique (encore peu vaccinée). L’épicentre est resté européen durant les vingt et un derniers mois. La semaine passée, l’Europe compte encore, à elle seule, plus de 30% des décès Covid encore déclarés sur la planète pour 9,5% de la population mondiale.
Présentation des courbes de contamination et de décès Covid planétaires
Courbe de tests positif planétaire au
1er juillet 2023 0h00 GMT
(en bleu, moyenne quotidienne sur 7
jours)
Courbe du nombre de décès planétaire
au 1er Juillet 2023 0h00
(en marron, moyenne quotidienne sur 7
jours)
À noter que l’arrivée de la vaccination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 13,47 milliards de doses de vaccin auraient été injectées, 70,3% des habitants de la planète «auraient» reçu au moins une dose de vaccin. 73 000 doses de vaccin seraient encore injectées chaque jour pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.
Les taux de guérison sont toujours très rassurants, sur 691 millions de personnes testées positives à la Covid (dont certaines plusieurs fois) depuis le début de l’épidémie, 664 millions auraient été déclarées guéries, soit plus de 96%. 20,6 millions seraient encore en cours de soins, dont 37 300 (en baisse) en situation critique, 6,9 millions seraient décédés «avec la Covid» en 3 ans et demi, et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.
Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des populations concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout supérieur à 95% à l’exception des pays les plus affectés du moment.
Depuis le début de l’épidémie, 229 pays ou territoires ont été affectés par la pandémie.
31 pays ont déclaré plus de 35 000 décès en trois ans d’épidémie et comptent 88% des décès avec, dans l’ordre des pertes : (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Royaume-Uni, Pérou, Italie, Allemagne, France, Indonésie, Iran, Colombie, Argentine, Espagne, Pologne, Ukraine, Afrique du Sud, Turquie, Japon, Roumanie, Philippines, Chili, Canada, Hongrie, Vietnam, République tchèque, Bulgarie, Malaisie, Grèce, Équateur).
À l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie reste très faible. Elle oscille désormais entre 100 et 130 décès/jour (moyenne sur 7 j).
À la lecture des deux tableaux qui suivent, on réalise à quel point la mortalité attribuée à la Covid reste infinitésimale en Afrique et en Asie. C’est l’Europe et l’Amérique du Nord qui déclarent toujours la majorité des décès.
La stratégie «atlantiste» (USA-UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire a été prise en défaut.
Les 31 pays de l’OTAN (12% de la population de la planète), parmi les plus vaccinés au monde, cumulent plus de 2755 millions de décès en 3 ans et demi. Ils ont un taux de mortalité de 2,84/1000 h. Le reste de la planète cumule 4140 millions de décès et déclare un taux de mortalité de 0,59/1000 h. (voir tableau détaillé en fin de rapport).
C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vaccinal prônée… par les USA et Big Pharma (via McKinsey). Il y a, en Occident, un véritable problème, lié à la corruption de certaines élites, des organes exécutifs politiques et sanitaires, ainsi que des médias, corruption par des lobbies transnationaux d’obédience néoconservatrice et mondialiste.
Occultés par le Qatargate qui a secoué (légèrement, hélas) en fin 2022, les institutions européennes et qui n’est qu’une petite partie émergée de l’iceberg de la corruption, il y a le Pfizergate et l’Ukrogate sur lesquels il faudra, tôt ou tard, se pencher.
Il semble bien que la gouvernance non élue de l’UE soit repartie, comme avant, dans l’irresponsabilité et la corruption.
Rappel des données du Pfizergate impliquant Madame von der Leyen
Sur 448 millions d’habitants de l’UE, 338 millions auraient été vaccinés et, pour certains, boostés (source : Our world in data). 110 millions n’auraient donc pas été vaccinés et ont peu de chances de l’être, alors que les pays annoncent, les uns après les autres, la fin de l’épidémie.
Un total de 903 millions de doses auraient été utilisées en Union européenne pour vacciner et booster dont 665 millions de doses Pfizer, 149 millions de doses Moderna, 67 millions d’Astrazeneca, 19 millions de Johnson and Johnson, 1,8 millions de Sputnik V et quelques autres.
Or, chacun sait aujourd’hui que Madame von der Leyen a «sécurisé» 4,2 milliards de doses de vaccins pour l’UE (10 doses pour chaque citoyen européens) dont 2,4 milliards chez Pfizer dans des accords secrets. Le tout pour la modique somme de 75 milliards d’euros.3
Le différentiel entre le nombre de vaccins utilisés pour vacciner l’Union européenne (0,9 milliard de doses) et le nombre de doses commandées par Madame von der Leyen (4,2 milliards de doses) est donc de 3,3 milliards de doses.
Il y aura donc plus des trois quarts d’une commande qui aura coûté 75 milliards d’euros aux contribuables européens, qui ne seront jamais utilisés et qui devront être détruits.
Les Africains qui s’en sont très bien sortis sans vaccin n’en veulent évidemment pas d’autant que les effets secondaires de nos merveilleux vaccins expérimentaux commencent à être de plus en plus documentés. Voir absolument les 4 minutes d’explications du député européen Hervé Juvin :
***
Ci après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie de février 2022 au 1er juillet 2023
(en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration)
NB : Depuis plusieurs mois, les chiffres déclarés de la dernière semaine figurant sur ce type de tableau sont systématiquement très minorés (plus de 30%) par les deux pays anglo-saxons (USA et UK) pour lesquels les remontées d’information tardives permettent une correction à la hausse dès la semaine suivante. Il faut donc examiner l’avant dernière semaine pour y voir plus clair et plus juste.
Remarques sur le tableau ci dessus : L’Europe reste encore et toujours l’épicentre de ce qui reste d’épidémie depuis 21 mois. Les nombres de décès affichés en dernière semaine de juin seront revus à la hausse pour le duo anglo-saxon USA-UK, comme chaque semaine, pour prendre en compte les déclarations tardives.
Bilan au 1er juillet 2023 0h00 GMT du
nombre de cas et de décès
par grande région du monde classées
par taux de mortalité sur 3 ans
Remarques sur le tableau ci dessus :
1. L’Amérique du Nord otanienne, pionnière et référence de la vaccination de masse, affiche un taux de mortalité plus de 3,7 fois supérieur à la moyenne mondiale, près de 5,5 fois supérieur à la moyenne du monde non otanien, près de dix huit fois supérieur à celui d’une l’Afrique peu vaccinée. Du jamais vu dans l’histoire des vaccinations de masse. Elle fait pire que l’Amérique latine, ce qui n’est pas glorieux compte tenu des moyens financiers et des infrastructures santé dont elle dispose. Ce sont des faits dont on ne peut débattre.
2. L’Europe devance l’Amérique latine pour le taux de mortalité, et celui ci est plus de 8 fois supérieur à celui de l’Asie et près de 15 fois supérieur à celui de l’Afrique pourtant très peu vaccinée et surveillée de près par une multitude d’ONG.
Les bilans les plus lourds de la dernière semaine ont été, dans l’ordre, ceux de l’Australie, du Brésil et des USA (et probablement du Royaume-Uni qui ne déclare plus ses pertes depuis la mi-mai). Les trois premiers pays pourtant très vaccinés ont déclaré, à eux seuls, 50% des décès de la planète pour 7% de sa population. Cherchez l’erreur… Incompétence abyssale des gouvernances dans la gestion de l’épidémie ? Faillite de la science et des systèmes de santé de ces pays ? Campagnes vaccinales totalement inefficaces ? Ou peut être les trois ? À chacun de se forger une conviction.
L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 26,6% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) qui enchaînent les vaccins et les boosters, enregistrent 73,4% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. Notons que la part de l’Afrique pourtant trois fois moins vaccinée, continue d’être infime.
Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec la grippe espagnole.
Au-delà des nombres évoqués ci-dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie Covid avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et/ou souffrait de multiples comorbidités… ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.
À noter aussi que les statistiques dites «officielles» des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres) où rencontrer des problèmes de remontées d’information. Sur trois années et six mois d’observation attentive, j’ai pu noter ces manipulations de l’information Covid au Royaume-Uni, en Espagne et en France.
Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés
1. L’Europe
Encore et toujours épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, donc depuis vingt et un mois, l’Europe a vu sa situation se détériorer en décembre 2022, et jusqu’au 12 janvier 2023. Elle s’améliore désormais depuis la mi-janvier pour atteindre aujourd’hui la plus faible mortalité depuis 3 ans et demi. Ce sont la Russie, l’Espagne, l’Italie (et probablement le Royaume-Uni qui occulte ses pertes) qui totalisent, à eux seuls, 80% des décès européens de la dernière semaine de juin 2023. À noter que le Royaume-Uni qui avait, de loin, les pertes les plus élevées d’Europe à la mi-mars 2023 a renoncé à les déclarer après l’explosion du scandale des lockdown files. Il ne faut plus parler des choses qui fâchent. La crise ukrainienne, l’inflation, la crise énergétique, la récession et l’effondrement des systèmes de santé ne vont aider l’Union européenne hyper-vaccinée à se sortir de la position peu envieuse et peu glorieuse d’épicentre de ce qui reste de l’épidémie, position qu’elle pourrait bien conserver jusqu’à la fin de l’année 2023, à moins que l’UE décide de passer à autre chose et de ne plus déclarer ses pertes.
Seuls deux pays déclarent encore plus de 100 décès par semaine en Europe : La Russie et le Royaume-Uni (qui ne les déclare plus, mais qui en déclarait encore 804 dans la semaine du 11 au 18 mars 2023 et qui rajoute quelques millier de décès à son total, une fois par mois). Le Premier ministre Sunak préfère désormais cacher à sa population les chiffres les pires d’Europe.
1.1. Le Royaume-Uni entretient donc le flou sur la réalité de ses pertes Covid qu’il ne déclare que très épisodiquement depuis le début de l’année. Il a compris, avant les autres, que le meilleur moyen de faire disparaître l’épidémie était de ne plus en parler.
Le compteur général du nombre des décès britanniques de la Covid présenté sur Worldometer était à 198 937 décès au 31 décembre 2022. Il est aujourd’hui arrêté à 226 270 ce qui représente déjà 27 300 décès depuis le début de l’année 2023. Ce nombre est le plus élevé déclaré dans le monde en 2023 derrière celui des USA (à près de 49 750) et devant l’Allemagne qui a approché les 13 000 décès en 2023. Ces 3 pays ont cumulé 45% des pertes mondiales sur le premier semestre 2023.
On comprend mieux, dès lors, que le Royaume-Uni ne préfère plus parler d’une gestion de l’épidémie calamiteuse, qui a été depuis 2020 et qui est restée, depuis le début de l’année 2023, l’une des pires du monde. D’autant que le scandale dit des «Lockdown Files» est venu éclairer la population britannique sur l’incompétence abyssale de sa gouvernance dans la gestion de la crise sanitaire.4
1.2. L’Italie : La situation s’est progressivement et sensiblement améliorée depuis début janvier 2023. Le nombre de décès est tombé à moins de 10 décès/jours. Pour autant, l’Italie restera très probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe avec plus de 191 000 décès attribués à la Covid.
1.3. La France : Sans surprise, la situation y est comparable à celle de l’Italie. Depuis début janvier 2023, le nombre des décès quotidien (moyenne sur 7 jours) a été divisé par trente, passant de 120 décès/jours à 4 décès jours en 6 mois.
À ce jour, 80,6% des français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, «auraient» reçu une dose de vaccin, 78,4% auraient un schéma vaccinal complet (en 2 ans et 6 mois de campagne). Il faut réaliser que ce schéma vaccinal complet peut l’être par un simple test positif suivi d’une guérison, qui a valeur de «booster» et que 61,2% des français ayant été testés positifs (dont certains plusieurs fois) seraient, en large part, immunisés naturellement. Ces contaminations Omicron ont fortement contribué à accroître le nombre de schémas vaccinaux complets.
Comme partout ailleurs dans le monde, les résultats attendus de la vaccination expérimentale n’ont pas été au rendez-vous, en France. Une forte majorité des vaccinés admet s’être fait vaccinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vaccinés de vivre et de travailler normalement. Un nombre important d’électeurs ont fait payer au président, lors des législatives, une gestion perçue comme dictatoriale et surtout inefficace de la crise sanitaire. Il a perdu sa majorité parlementaire, tout comme Benyamin Netanyahou en Israël quelques mois avant lui et Joe Biden aux USA, et pour les mêmes raisons de déclin économique largement dû à la gestion de la pandémie.
Mais beaucoup de français renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème doses de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle infernal et sans fin de vaccinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vaccins commencent à être connus et documentés et que les nouveaux variants se jouent des vaccins proposés sur le marché et sont de moins en moins létaux. Certains renoncent même au vaccin contre la grippe… (???)
On a été très loin, en France, du consentement «libre et éclairé» requis dans ce genre d’acte médical «expérimental», surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite.
Les chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises et de leurs relais médiatiques qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie et sur bien d’autres sujets de politique intérieure ou étrangère.
Peut-être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde… Bien sûr, elles rendront toujours les nouveaux variants, plus malins qu’elles, et les non vaccinés responsables de l’échec de leur stratégie, sans jamais se poser la question qui tue : Les vaccins expérimentaux anti-Covid, élaborés à la va-vite, ont-ils eu, ou non, un jour ou quelque part, l’efficacité de 95% que Pfizer, multi-condamné pour tromperie aggravée, leur prête ?
Courbe du nombre de tests positifs en
France au 1er juillet 2023 0h00 GMT
(en bleu, moyenne sur
les 7 derniers jours)
Pour le nombre des décès, la France devrait franchir la barre des 168 000 décès déclarés avant l’automne 2023.
France : courbe des décès quotidiens
(en barre grise)
et moyenne quotidienne sur 7 jours
(en
orange)
Le taux de mortalité Covid français reste, à ce jour, près de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,56 décès pour mille habitants en 3 ans, pour une moyenne mondiale de 0,88/1000h.
Rattrapée par l’Allemagne pour le nombre des décès, la France est passée de la 4ème à la 5ème place européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Allemagne. Elle se place à la 10ème place mondiale sur 219 pays ou territoires touchés. Merci aux autorités de santé et à l’exécutif qui ont interdit aux médecins de prescrire les traitements précoces efficaces, avec le consentement éclairé de leurs patients…, traitement qui ont parfaitement réussi en Afrique et en Asie où ils ont été massivement utilisés.
1.4. La situation de l’Espagne est très bonne. Le nombre des décès plafonne à 10 décès/jour sur les 7 derniers jours.
Courbe du nombre de décès en Espagne
1.5. L’Allemagne : L’épidémie a été déclarée terminée le 5 avril 2023.5
L’Allemagne a continué à déclarer ses tests positifs et ses décès jusqu’à fin mai 2023. Elle aurait vacciné à ce jour, 77,8% de sa population (dont 76,2% avec schéma vaccinal complet) 45,8% ayant été testés positifs et guéris de la maladie seraient immunisés naturellement. À la lecture des courbes ci-après , chacun peut réaliser qu’en 2021 et 2022, la vaccination n’aura servi strictement à rien en Allemagne. L’évolution au 1er trimestre 2022 et au 1er semestre 2023 nous répète que, comme partout ailleurs, c’est l’hiver, l’âge et le surpoids qui tuent. Et il n’existe pas de vaccin contre l’hiver, l’âge et le surpoids.
L’Allemagne fait partie des nombreux pays très vaccinés qui auront déclaré beaucoup plus de décès en 2022 (48 000), avec un variant Covid moins létal, qu’en 2020 sans vaccin avec un virus beaucoup plus létal (34 234). Au premier semestre 2023, l’Allemagne qui ne déclare plus ses décès depuis fin mai, aura tout de même déclaré 13 000 décès de la Covid. Elle se place en deuxième position derrière le Royaume Uni pour le nombre de décès déclarés Covid de 2023, en Europe.
Courbe du nombre de cas déclarés en Allemagne au 1er juillet 2023 0h00 GMT
Allemagne au 1er juillet 2023 0h00 GMT(moyenne sur 7 derniers jours)
1.6. La Belgique : Avec un taux de mortalité de 2,95 décès par millier d’habitants sur 3 ans et demi, la Belgique a amélioré considérablement sa situation depuis 2020 à l’inverse de nombreux pays européens. Elle est désormais devancée par 19 pays européens qui déclarent un taux de mortalité supérieur au sien. Avec seulement 1099 décès déclarés au 1er semestre 2023, la Belgique améliore encore sa situation par rapport aux années précédentes. L’épidémie est quasiment terminée avec 3 décès sur les 7 derniers jours.
1.7. La Russie : En Russie, le nombre des décès a continué de se réduire. Il a été divisé par 70 depuis le 23 novembre 2021. Parce qu’elle continue de déclarer ses pertes alors que d’autres (UK et Allemagne) ont cessé de le faire, elle est désormais en tête de l’Europe pour le nombre de décès hebdomadaire.
2. L’Amérique septentrionale
Le nombre hebdomadaire de cas déclarés et de décès a explosé en Janvier 2022 aux USA, champions du monde de la malbouffe et de l’obésité, et dans le peloton de tête de la gestion calamiteuse du «tout vaccinal».
81,2% des citoyens US auraient reçu une première dose de vaccin, 69,5% auraient eu un schéma vaccinal complet. Si l’on en croit l’évolution de la vaccination sur les 15 derniers mois, 11,75% des Américains ayant reçu une première dose ne se sont pas fait injecter la seconde. Les citoyens US seraient donc plus vaccino-sceptiques que les Français, ou peut-être plus fermes dans leurs convictions. Il est vrai que toute la panoplie des mesures contraignantes appliquées en France n’a pas pu l’être aux USA pour des raisons constitutionnelles, et dans ce pays, la Constitution est respectée. Il est vrai aussi que les effets secondaires sont beaucoup plus documentés aux USA qu’en Europe.
Courbe des tests positifs US déclarés au cours de l’épidémie
Bien que rien dans l’évolution des nombres de contaminations et de décès ne permettait encore de l’affirmer, Joe Biden a déclaré, le 20 septembre 2022, à 5 semaines de l’élection de mi-mandat, que l’épidémie était terminée aux USA.6
Sans doute lui fallait-il déclarer une «fake» victoire contre la Covid pour tenter de limiter les dégâts dans cette élection importante. Un mensonge politique de plus, en application des méthodes néoconservatrices et mondialistes portées à la connaissance du public par Mike Pompéo il y a 3 ans : «Nous avons menti, triché, volé, c’est comme si nous avions suivi des stages de formation pour apprendre à le faire».
Biden a toutefois conservé l’État d’Urgence Sanitaire lié à la pandémie jusqu’au 11 avril 2023.7
L’observation des chiffres (dont on ne peut débattre) montre quel’épidémie n’est toujours pas éradiquée aux USA. Bien pire que prévu avec un vaccin qui n’a rien réglé en 2021, et toujours pas en 2022, le nombre des décès a atteint les 1,169 million le 1er juillet 2023 0h00 GMT dont 49 750 au premier semestre 2023 et 87 000 depuis que la fin de l’épidémie a été déclarée aux USA par le président Biden en septembre 2022.
En 2020, année Covid gérée par l’administration Trump, le nombre des décès US avait été de 365 000 pour 20,5 millions de cas déclarés (sans les vaccins). Trump avait été lynché par la meute médiatique occidentale, contrôlée par l’État profond US et ses relais en UE, pour sa gestion jugée calamiteuse de l’épidémie.
En 2021, 2022 et 2023, années Covid gérées par l’administration Biden, le nombre des décès US a très largement dépassé celui de 2020 pour s’établir à 1,169 million de décès le 1er juillet 2023 soit 804 000 pour la gestion Biden en 2021-22-23, avec l’appui du merveilleux vaccin (expérimental).
Le lecteur aurait-il entendu les médias critiquer Biden pour les résultats de sa gestion de l’épidémie tout aussi désastreux, avec le vaccin, que ceux de Trump, sans vaccin ? Aurait-il entendu dire que l’efficacité du vaccin n’est pas du tout celle annoncée par Big Pharma ? Où sont les journalistes d’investigation US, européens ou français ? Pourquoi regardent-ils ailleurs ?
«On peut débattre de tout sauf des chiffres» : de tels résultats d’une campagne de vaccination de masse, avec un vaccin vendu pour une efficacité de plus de 95% sur les formes graves, devrait interroger les responsables politiques du monde entier. Un tel résultat ne s’est jamais vu dans l’histoire des vaccinations.
D’autant que les pays les moins vaccinés d’Asie et d’Afrique sont très loin d’afficher des résultats aussi calamiteux… et que les personnes à risque sont beaucoup plus vaccinées que les autres… ce qui devrait entraîner une baisse rapide des décès, si les vaccins étaient efficaces.
Les USA comme le Royaume-Uni semblent avoir du mal à déclarer les décès les jours de leur survenance. Les déclarations tardives sont reportées avec étalement sur les jours, voire les semaines précédentes ce qui évite d’inquiéter quotidiennement les populations sur des bilans qui ne sont pas bons. Les chiffres indiqués pour la semaine écoulée ne sont donc pas fiables. Il faut donc remonter à l’avant dernière semaine pour approcher les bilans réels.
Au Canada, la situation est quasiment stable. Le taux de mortalité Covid déclaré par les Canadiens (1,38/1000h) reste inférieur de moitié à celui de l’Europe (2,72/1000h) et des deux tiers à celui de son voisin US (3,49/1000 h), mais il est bien supérieur à la moyenne mondiale (0,88/1000h). Le Canada fait partie des nombreux pays développés très vaccinés qui auront déclaré beaucoup plus de décès Covid en 2022 (19 000) qu’en 2021 (14 555) et surtout qu’en 2020 sans vaccin (15 428). Avec 90% de vaccinés, un virus moins létal et encore 4 017 décès déclarés au 1er semestre 2023, les autorités canadiennes devraient constater que le résultat 2023 est loin du bilan espéré, avec un vaccin donné pour une efficacité de 95% sur les formes graves. Les médias canadiens auraient-ils rapporté ces chiffres pour éclairer leur population ? Où est le miracle vaccinal au Canada ?
3. L’Asie
Rapportée à la population, la mortalité (0,32/1000 h en 3 ans et demi) y reste dérisoire et très inférieure à la moyenne mondiale. L’épidémie peut être aujourd’hui considérée comme terminée.
En Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie…) le taux de mortalité déclaré est désormais infinitésimal. La situation s’améliore progressivement.
Le Japon, la Corée du Sud et Taïwan, trois pays très vaccinés, proches des USA et de l’OTAN, ont vu leur mortalité exploser en 2022 et 2023, après une vaccination de masse. Par une étrange coïncidence, ces 3 pays vassalisés par les USA ont tous les trois déclaré beaucoup plus de décès en 2022 et 2023 avec un variant moins létal et l’appui (?) du vaccin, qu’ils n’en ont eu en 2020 sans vaccin ??? Étrange malédiction pour des pays proches des USA et de la «coalition occidentale», et qui agissent à leur imitation.
L’Indonésie enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,58 décès/1000 h (très inférieur à la moyenne mondiale de 0,89). Au Japon, plus on a vacciné, plus la mortalité Covid a augmenté. En 2020, sans vaccin, 3414 décès. En 2021, avec vaccin, 14 979 décès. En 2022, avec une population vaccinée à 82% au 1er janvier 2022, 38 873 décès ??? Au premier semestre 2023, avec une population toujours plus vaccinée, le Japon a encore déclaré 17 428 décès. Le total des décès sur toute l’épidémie aura donc été, à ce jour de 74 694 décès dont seulement 3414 en 2020 sans vaccin. On se demande vraiment à quoi a servi le vaccin au Japon. (???)
En Asie de l’Ouest, la situation s’améliore elle aussi. Le taux de mortalité Covid déclaré par l’Inde (0,378 décès/1000h) reste très au-dessous de la moyenne mondiale (0,885/1000h) ou de celle de l’Europe (2,72/1000h). Ce taux est aujourd’hui très inférieur à celui du Japon, de Taïwan et de la Corée du Sud.
S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques «maximales» de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 4ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,7 décès/mille h), derrière la Géorgie, l’Arménie qui a cumulé la guerre et la Covid et Hong Kong. À noter que les USA cherchent désespérément à susciter et à soutenir un changement de régime en Iran pour avoir accès à son pétrole et à son gaz et, bien sûr, pour emmerder la Russie.
Situation en Israël, pays pionnier de l’expérimentation vaccinale
Après 13 mois de campagne de vaccination à outrance, la contamination a explosé en Janvier 2022 en Israël, l’un des meilleurs élèves de la classe «tous vaccinés-tous protégès». En six semaines, du 14 décembre 2021 (595 cas/jour, moyenne sur 7j) au 23 janvier 2022 (72 913 cas/jour, moyenne sur 7 jours), le nombre de contaminés a été multiplié par 122. Le nombre de décès est passé de 1 décès/jour le 31 décembre 2021 à 73 décès/j moyenne sur 7 jours, le 4 février 2022. Pour le pays phare de l’expérimentation vaccinale, vacciné à 70% à l’époque, le résultat a été tout simplement un immense fiasco, quoi que puissent en dire les médias mainstream payés pour minimiser ou occulter l’échec.
La situation s’est améliorée considérablement depuis le 4 février 2022.
Israël avait déclaré 3325 décès en 2020, sans vaccin. Elle en était à 8243 décès le 31 décembre 2021 soit 8243 – 3325 = 4918 pour l’année 2021 avec le vaccin. L’année 2022 a été moins bonne qu’en 2020 sans vaccin puisque Israël a déclaré 3794 décès en 2022, soit un total de 12 037 décès pour les 3 premières années. Le vaccin et ses «boosters» n’ont donc pas été aussi efficaces qu’annoncé par Big Pharma, puisque la situation ne s’était pas encore vraiment améliorée en 2022, malgré la plus faible létalité des variants Covid et malgré la multiplication des injections vaccinales sur les personnes les plus fragiles… Au premier semestre 2023, Israël n’a déclaré que 527 décès. Ce nombre semble marquer la fin de l’épidémie dans ce pays.
La Palestine dont 34% seulement des habitants ont un schéma vaccinal complet déclare un taux de mortalité Covid de 1,01/1000h, inférieur d’un tiers à celui d’Israël (1,35/1000h) alors même que le taux de vaccination israélien (71,1%) est plus que double de celui des palestiniens et que les israéliens, qui partagent la même terre et le même climat, ne vivent pas dans la même promiscuité que les palestiniens regroupés dans des zones «concentrationnaires» (Gaza). Cherchez l’erreur…
Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde et de l’Iran, reste aujourd’hui très inférieure à celle des continents américain et européen.
Tableau présentant la situation du 1er
juillet 2023 des 21 pays d’Asie
ayant dépassé les 12 000
décès (94% des pertes en
Asie)
4. L’Amérique latine
Avec près de 1,774 millions de décès déclarés, le taux de mortalité de l’Amérique latine est inférieur à celui de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Sous-continent le plus vacciné au monde, l’Amérique latine a vu sa situation se détériorer très fortement en Janvier 2022 (été austral) puis s’améliorer tout aussi vite à partir de la 3ème semaine de février 2022.
En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires déclarées sont en baisse et restent très faibles alors qu’une bonne partie du sous-continent est entrée dans l’hiver austral 2023.
Le bilan brésilien est le plus lourd de la semaine dernière avec près de 76% des très faibles pertes «latinos».
Les décès se concentrent dans huit États qui déclarent près de 94% des décès et plus de 20 000 décès chacun. Les autres pays d’Amérique latine restent toujours relativement épargnés par l’épidémie.
Au Brésil, le cap des 700 000 décès a été franchi, la mortalité Covid diminue progressivement. Le Brésil, vacciné à 88%, a déclaré 40% des pertes latinos de l’épidémie alors qu’il ne compte que 32% de la population de l’Amérique latine…
Tableau présentant la situation au 1er
juillet 2023 des huit pays d’Amérique latine
ayant dépassé les 20 210
décès (93,3% des
pertes)
5. L’Afrique
Continent le moins vacciné, se porte désormais très bien (comparée au reste du monde). L’épidémie y est terminée depuis plusieurs mois.
La mortalité liée au Covid y est toujours restée dérisoire. L’Afrique du Sud, sur le podium de la vaccination africaine, compte, à elle seule, 40% des décès du continent pour 4,3% de sa population ??? Elle a, il est vrai, renoncé à l’emploi de la chloroquine, pour privilégier le «tout vaccinal»… «Tous vaccinés, peu protégés… ???»
Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie et l’Algérie, seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 6500 décès Covid déclarés depuis janvier 2020, elle regroupe 72,5% des décès africains de la Covid.
Tableau des pertes déclarées Covid en Afrique au 1er juillet 2023
Le lecteur notera que, par une très curieuse coïncidence, les deux pays africains qui ont choisi une stratégie «à l’occidentale» de gestion de la crise sanitaire (rejet du traitement précoce à la chloroquine, stratégie du tout vaccinal): L’Afrique du Sud et la Tunisie, totalisent, à eux seuls, 51% des pertes africaines alors qu’ils ne représentent que 5% de la population du continent… (Sans commentaire).
6. L’Océanie
En janvier 2022, la Covid-19 a explosé sur ce continent malgré un taux de vaccination de 64,6%. L’Australie qui ne compte que 62% de la population du continent Océanien, déclare 75% des pertes Coviden dépit des mesures liberticides les plus draconiennes au monde et un taux de vaccination de 85%, très supérieur à celui de ses voisins ??? On y cherche, en vain, le miracle vaccinal (On peut débattre de tout, sauf des chiffres). Encore un État, proche de l’OTAN et des USA, qui a voulu les imiter, sous l’amicale pression des lobbies pharmaceutiques US, et qui devait être doté d’hommes politiques et d’un «conseil scientifique» tout aussi corrompus et/ou incompétents que les nôtres.
Courbe de mortalité de l’Australie
Sur 43,5 millions d’habitants, l’Océanie a déclaré, à ce jour, 14,53 millions de cas, dont 13,1 millions en 2022, alors que la population du continent était vaccinée à 64%. Curieusement, le pays le plus vacciné du continent et qui a été le plus confiné au monde : l’Australie, est celui où l’on meurt le plus, aujourd’hui, en Océanie. 14,38 millions d’habitants auraient déjà été guéris et 29 200 patients seraient décédés, dont 18 850 en 2022 et 5650 au 1er trimestre 2023. Bien étrange cette explosion du nombre de décès de 2022 et 2023 alors même que ce continent, très largement vacciné, devrait être bien protégé des formes graves …??? Le nombre de cas critiques est passé de 172 au 1er Janvier 2022 à… 174 au 1er janvier 2023 et à 86 au 1er juillet 2023.
Le continent océanien a encore déclaré 185 décès la semaine dernière. La situation ne s’y améliore pas vraiment. Son taux de mortalité Covid de 0,66 décès pour mille habitants a dépassé celui de l’Afrique (0,18) et de l’Asie (0,32) fin mars 2023. Il reste toutefois dérisoire (France : 2,56), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.
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Nombre de décès déclarés pour 1000 habitants des 34 pays de la planète qui ont déclaré plus de 30 700 décès. La moyenne mondiale étant de 0,885 décès pour 1000 habitants, 999,115 habitants sur 1000 ont donc survécu à la Covid.
Commentaires sur le tableau ci dessus :
1. Douze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 20 premières places de ce triste classement mondial, alors même qu’ils sont parmi les plus vaccinés au monde. Les autres pays membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin : Grande fragilité des populations âgées et en surpoids ? Faillite des systèmes de santé ? Inefficacité voire contre-productivité des vaccins ? Incompétence et/ou corruption des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN… contre un ou plusieurs adversaires potentiels eurasiatiques (Chine, Russie, Iran)…
Rappelons que les 31 pays de l’OTAN qui ont adopté la stratégie du «tout vaccinal», en parfaite imitation de leur suzerain états-unien, et sur l’amicale pression financière de leurs laboratoires pharmaceutiques, regroupent moins d’un milliard d’habitants, soit 12% de la population mondiale. Ils ont déclaré un total de 2,76 millions de décès soit 40% des pertes totales de la pandémie et un taux de mortalité de 2,84 décès pour 1000 habitants.
Le reste du monde (non otanien), qui compte plus de 7 milliards d’habitants a donc déclaré 4,14 millions de décès pour 88% de la population mondiale, soit un taux de mortalité de 0,59 pour 1000 habitants, 4,8 fois inférieur à celui des pays de l’OTAN.
Dans la «guerre à la Covid-19», la stratégie otanienne et mondialiste du «tout vaccinal» a donc été un échec puisque les pertes ont été «massives», comparées au reste du monde, sans préjuger, d’ailleurs, des pertes collatérales liées aux effets secondaires des vaccins en cours d’inventaire et de suivi. L’avenir proche nous éclairera toujours plus sur les bilans comparés des différentes parties du monde «multipolaire» selon les stratégies appliquées. On peut débattre de tout sauf des chiffres, surtout lorsque le rapport est de 1 à 4,8…
En raison des conséquences de l’affaiblissement économique de l’occident lié aux mauvaises gestions de la crise sanitaire et aux sanctions boomerang contre la Russie et compte tenu des bascules de puissance en cours de réalisation, l’OTAN devra revoir sa politique hégémonique d’ingérence tous azimuts et ses ambitions à la baisse, y compris en Ukraine... Les retraits occidentaux d’Afghanistan et du Mali en 2021 en avaient été les premiers signes tangibles… Il y aura d’autres reculs en 2023 et après.
2. Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN, AUKUS, OMC, CIO), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur «science» à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion «à l’occidentale» de la crise sanitaire, et celle de la crise ukrainienne. Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment… accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.
3. Quant à l’Inde qui a fait l’objet de l’hystérie des médias «covidistes» en juin 2021, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 6 fois inférieur à celui de notre pays. Les États de la fédération indienne sont des États qui ont très majoritairement fait le choix des traitements précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vaccin qui est aujourd’hui en situation d’échec face aux nouveaux variants du virus en Israël, aux USA, au Royaume Uni, en Allemagne, à Singapour, aux Émirats, en Australie, dans les pays baltes,… et ailleurs.
4. La Chine ne figure pas dans ce triste palmarès parce qu’elle n’a déclaré que 5272 décès depuis début 2020, aucun décès en 2021 et 612 décès en 2022 et quelques dizaines en 2023. On me rétorquera, bien sûr, le slogan habituel bien connu : «La Chine ment». Si c’était le cas, la vérité aurait forcément filtré via nos représentations diplomatiques, les nombreux binationaux vivant sur place, les espions occidentaux infiltrés, l’OMS, les ONG, etc.. L’économie chinoise ne tournerait pas à bon régime. (croissance 2022 : + 6,2%). Toute argumentation de mauvais perdant ne tient donc pas la route. Les occidentaux ne devraient-ils pas, pour une fois, faire preuve d’humilité et demander quelques conseils aux chinois ? Eux qui ont vertement critiqué les confinements en Asie après les avoir largement pratiqué dans un passé récent en Europe.
Bilans au 1er juillet 2023 0h00 GMT des 61 pays ayant déclaré plus de 12 000 décès (95% des pertes)
Nota Bene : Le Royaume-Uni ne déclare ses décès que très épisodiquement depuis la fin de l’année 2022.
Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie au 1er juillet 2023 0h00 GMT
Rappel : taux de mortalité Covid mondial en 3 ans et demi 0,88 décès/mille h et européen : 2,72 décès/mille h
Nombre de décès Covid déclarés par
millier d’habitants et depuis février 2020, des 34 pays européens
de plus de 1,5 million d’habitants
affectés par l’épidémie (au 1er juillet 2023 0h00 GMT)
Enfin, pour ceux qui s’intéressent aux résultats de la vaccination pour les pays de l’OTAN, voici un tableau d’évolution de la mortalité entre les années 2020 (sans vaccin) et 2021 – 2022 – 2023 (avec vaccin). Chacun pourra l’interpréter à sa manière… en n’oubliant pas que les personnes à risque ayant été vaccinées en priorité, les résultats sur la baisse de la mortalité auraient dû se percevoir très vite et être spectaculaires au cours de l’année 2021, et encore mieux en 2022 et 2023, si le vaccin avait eu une quelconque efficacité… ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire…
Onze pays de l’OTAN très vaccinés ont déclaré plus de décès en 2022 qu’en 2020 sans vaccin, alors que le variant était reconnu moins létal en 2022 par toute la communauté scientifique, sans exception. La vertueuse Norvège, aujourd’hui vaccinée à 80% (Pfizer et Moderna) a déclaré 7,5 fois PLUS de décès en 2022 (3 252) qu’en 2020 sans vaccin (436). Les autorités de santé françaises et les médecins de plateau TV auront du mal à me convaincre de la qualité des deux produits (Pfizer et Moderna) injectés aux norvégiens, et vendus pour 95% d’efficacité sur les formes graves. On peut débattre de tout sauf des chiffres.
Quatre autres pays de l’OTAN n’ont connu que des améliorations insignifiantes entre 2022 avec vaccin et 2020 sans vaccin.
Les quelques pays de l’OTAN qui ont enregistré vraiment moins de décès en 2021 et en 2022 qu’en 2020 sont souvent les pays qui avaient tellement mal démarré la gestion de la crise en 2020, qu’ils pouvaient difficilement faire pire en 2021 et 2022 (C’est incontestablement le cas du Royaume-Uni, de la France, de la Belgique, de l’Espagne et de l’Italie).
Voir le tableau ci-après : sources Our Word in Data et Worldometer
31 pays de l’OTAN : Résultats de la
«Guerre à la Covid»
par taux de mortalité avec stratégie
du «tout vaccinal»
Commentaires sur le tableau ci-dessus :
1. Comme elles le font en toutes occasions et dans tous les domaines, les gouvernances des pays de l’OTAN ont imité leur chef de meute US qui les tient, rênes courtes, et se sont lancées dans une politique d’expérimentation vaccinale de masse. Prétendant agir «au nom» du principe de précaution, mais sans respecter les principes de précaution élémentaires dans l’élaboration et l’administration d’un vaccin, et refusant d’assumer leurs responsabilités en cas d’échec et d’effets secondaires graves, elles ont utilisé des mesures de coercition et construit des narratifs mensongers, avec la complicité des médias, pour «vendre» leur produit expérimental à des clientèles captives et à des populations trop crédules, afin de «faire de l’argent».
2. Après avoir pris le recul nécessaire pour apprécier les résultats, on ne peut que constater que cette expérimentation est un échec monumental. En effet, elle n’a permis nulle part de contrôler l’épidémie et même de limiter la mortalité des plus âgés et des plus fragiles. Les exemples abondent de pays hyper-vaccinés qui ont vu leur mortalité exploser en début de 2022 et compter plus de décès en 2022, voire en 2023 avec vaccin qu’en 2020 sans vaccin.
3. En 2022, alors que les otaniens ont continué d’essayer de vendre leurs «boosters» à des populations de plus en plus sceptiques et réluctantes à enchaîner les doses, tous les 4 ou 6 mois, jusqu’à la fin des temps, sans aucun résultat probant, les pays de l’OTAN (12% de la population mondiale), plus vaccinés que les autres, ont enregistré, à eux seuls, plus de pertes (632 554 décès) que le reste du monde (88% de la population mondiale) qui en a compté 611 805.
Au 1er semestre 2023, l’excédent de mortalité pour les pays de l’OTAN par rapport au reste du monde est encore pire qu’en 2022. 123 386 décès déclarés par les pays membres de l’OTAN, contre 74 677 déclarés par le reste du monde. Il y aurait vraiment matière à s’interroger sur la gestion de l’épidémie dans ces pays qui ont trop souvent agi, sans réfléchir, à l’imitation de leurs partenaires anglo-saxons USA-UK. Jusqu’à quand s’acharneront-ils à les prendre en références, alors qu’ils se sont montrés parmi les plus mauvais dans la gestion de l’épidémie ? Les déco(nn)eurs du Monde ou de Libération vont nous expliquer que c’est parce que nous sommes plus âgés et plus en surpoids que les autres, que les occidentaux otaniens décèdent 4,8 fois plus de la Covid que le reste du monde. Nous le savions déjà. Mais où est donc le miracle vaccinal annoncé ?
4. Jamais dans l’histoire de la vaccination, l’injection d’un produit expérimental n’a donné des résultats aussi peu probants. Il est stupéfiant de voir certains pays occidentaux, mais pas tous heureusement, persister dans l’erreur et refuser d’admettre qu’ils ont été trop vite en besogne.
La simple observation/comparaison des chiffres devrait éclairer les élites otaniennes. Comme elles nous l’ont répété quotidiennement pendant des mois : On peut débattre de tout, sauf des chiffres.
5. Les effets secondaires des vaccins commencent à être documentés et connus avec précision et exhaustivité : leur nombre et leur gravité. Il en va de même pour les effets collatéraux des mesures prises pour gérer l’épidémie dont certaines se sont avérées contre productives voire désastreuses Cela viendra encore alourdir le bilan des laboratoires pharmaceutiques, des politiques et des autorités de santé qui les ont suivi aveuglément et/ou se sont laissés corrompre.
6. Sur le premier semestre 2023, les 31 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité COVID de 127 décès/million d’h, plus de 12 fois fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période : 10,6 décès/million d’h. Cela veut clairement dire que ces pays se remettent moins vite de l’épisode Covid que le reste de la planète. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par milliers d’habitants bien supérieur à la moyenne du monde non otanien. Cherchez l’erreur…
«On peut débattre de tout, sauf des chiffres».
- https://www.blast-info.fr/2023/lockdown-files-le-scandale-sanitaire-en-mode-british
- https://www.ifop.com/le-regard-des-francais-sur-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines
- https://www.liberation.fr/leurope-a-t-elle-achete-4-milliards-de-doses-de-vaccin-pour-faire-face-aux-nouvelles-vagues/2022/01/08
- https://www.blast-info.fr/2023/lockdown-files-le-scandale-sanitaire-en-mode-british
- https://www.lefigaro.fr/covid-19-la-pandemie-est-terminee-en-allemagne-selon-son-ministre-de-la-sante/2023/04/07
- https://www.google.com/Biden-déclare-la-fin-de-lépidémie
- https://www.ouest-france.fr/etats-unis-joe-biden-enterine-la-fin-de-l-etat-d-urgence-national-liee-au-covid-19