Dans les divagations de Macron, il y a certes du matamore, mais aussi de l’excuse. La France n’a que peu fourni à l’Ukraine, parce qu’elle n’avait rien
à fournir que du matériel désuet, qui devait être benné.
Alors que faire ? Par exemple dire qu’on va envoyer des troupes, et comme personne ne voudra suivre, leur faire porter la responsabilité de la défaite.
On pourra dire «si on m’avait suivi !»
La Roumanie, la Pologne, la Slovaquie accepteront elles de les laisser passer ? Rien de moins sûr ! De même, la république tchèque a beau dire qu’elle
en enverra, elle enverra quoi ??? Des condoléances ???
Au plus, la France pourrait déployer quoi ? 15 000 hommes ? de quoi tenir 30 kilomètres ? Impressionnant ! Et au bout de trois jours, à bout de
munitions, ils se débanderont ? À moins que la pénurie ne viennent encore plus vite : 3 heures ?
C’est la fuite devant le réel.
Bredin Lemaire, lui, veut faire des Zéconomies, pour «réduire le déficit». Toujours est-il que les français verront les dons à l’Ukraine, et la
radinerie à leur égard… De plus, réduire les dépenses de 10 milliards, réduira le PIB de 20 (ou plus), et les recettes de 12… Donc, la «réduction du déficit» engendrera une
«augmentation du déficit», car celui qui ne verra plus arriver l’argent, se vengera immédiatement : il ne le dépensera plus, et il ne circulera plus… Elémentaire mon cher Watson. Mais
BLM lui, se contente d’être encore en maternelle. La seule chose qui serait cohérente, ce serait la taxation des bénéfices des entreprises du Cac 40.
Donc, dans un contexte récessif, que même le FMI reconnait et qui reconnait que la «réduction des déficits», vue la conjoncture, n’est pas indiquée, on
veut quand même réduire les dépenses…
Sur Xerfi, on compte les morts de la conjoncture.
Avec la «réduction des déficits», la conjoncture du bâtiment va encore se dégrader.
Avec les bruits de bottes, l’armée va encore moins recruter. Il n’y a que les branleurs de généraux qui sont en abondance et en coliques verbales
dégoulinantes.
Dernière nouvelle aussi, le fulmicoton, manque et sans lui, plus d’obus. Les abrutis qui nous gouvernent ont laissé filer toute l’industrie du coton en
Chine… Y compris celle du fulmicoton, et, bizarrement, il n’y a plus de livraisons chinoises de fulmicoton en occident…
En cas de guerre, souvent, les constructions s’arrêtent net… Déjà qu’elles ont notablement baissé… En cas d’austérité aussi.
BLM, tu veux savoir comment réduire la dette ? Ne fais rien, laisse l’inflation filer, et indexe les revenus. Merde, son cerveau a coulé par les
oreilles quand il a entendu ça…
Un point rapide sur la
situation de notre pays pourrait donner ceci : l’inflation affame une part de plus en plus importante de la population ; la dette extérieure du pays augmente démesurément sans aucun
contrôle ; dans le secteur économique, des milliards d’euros s’envolent chaque année pour financer l’industrie, l’agriculture, le tourisme de pays étrangers; la filière industrielle est
pratiquement détruite, celle énergétique bien engagée et celle de l’agriculture s’accélère ; le chômage est en hausse continuelle, due en particulier, à la désindustrialisation de notre pays
et à l’importation imperturbable de chômeurs de pays étrangers ; l’éducation est en échec ; notre pays se suicide, au moins économiquement, en Afrique ; la culture qui devrait
assurer la cohésion de la société est rongée de l’intérieur ; l’Etat devient incapable de garantir la paix sociale, la sécurité des personnes et des biens, et même les institutions ;
Mais en plus, notre pays est en guerre affichée contre l’un des pays, militairement les plus puissants de la planète, et seul disposé à lui fournir une énergie à un coût
raisonnable.
Depuis plusieurs décennies, nous subissons les orientations et directives bruxelloises (certes regardées avec bienveillance par les groupes dits d’opposition), mais
nous devons déduire que c’est sans rapport1 avec le bilan qui précède. Dans les pays de l’ouest européen, la situation est sensiblement la même, calamiteuse. Pour les pays de l’est
européen, les versements de plantureux subsides, venant de l’ouest, réduisent les critiques.
L’UE soutient la guerre militaire contre la Russie ( l’Otan est la structure dédiée sur ce sujet, mais cette dernière ne pourrait pas être activée à ce point, sans
l’ingérence de l’UE dans les pays). Notons à ce sujet ce que sont devenues les « valeurs occidentales » : le fait qu’un pays en
occupe un autre pour protéger une population en Europe, c’est mal, tandis qu’il n’y a rien à dire au fait qu’un occupant massacre la population autochtone d’un pays au Moyen-Orient.
La guerre en Ukraine est accompagnée d’une guerre économique féroce. Sur le plan militaire comme sur le plan économique, l’UE a perdu la partie mais s’entête (on
attend avec impatience, les résultats des audits destinés à éclairer comment ont été utilisés, les sommes astronomiques, et le matériel fournis à l’Ukraine). Création imposée aux peuples
européens, elle devrait souffrir de son bilan, mais on assiste au contraire à la prise en main de plus en plus brutale des pays, par la couche dirigeante de l’UE, facilitée, il faut le répéter,
par l’absence quasi complète de forces attachées aux intérêts nationaux des pays de l’ouest européen2.
Il faut ajouter à ce tableau un élément capital : la russophobie, beaucoup plus important qu’il ne semble à première vue. Une variante consiste à crier haut et
fort que les russes, vont envahir leurs voisins. La construction de différents murs et de bunkers, la fermeture de frontières entre la Russie et la périphérie de l’UE, est destinée à créer un
sentiment d’insécurité face à ce pays. On peut se demander pourquoi, d’un seul coup, la russophobie est sortie de terre et a atteint des sommets, pourquoi la raison ne vient pas à la rescousse.
On pourrait souligner par exemple que la Russie est sous peuplée et qu’elle se développe très bien sur son territoire, grâce en particulier aux sanctions économiques occidentales. On pourrait
relever que la Russie serait bien stupide d’envahir les pays de l’Europe de l’est et de devoir alors les prendre en charge financièrement sans retour intéressant, à la place des pays de l’Europe
de l’ouest. Mais ce serait reconnaître que la Russie est dirigée de manière plus futée que les pays de l’Europe de l’ouest et qu’un pays qui défend ses intérêts s’en sort mieux que celui qui
remet son destin à autrui. Cette attitude xénophobe de l’UE a nécessairement une fonction bien précise, et c’est probablement un calcul de survie.
La russophobie prend place dans une politique délibérée, consistant à créer un ennemi et à entretenir l’affrontement. L’ennemi a vraiment été créé
par le non respect des accords de Minsk, par la décision de faire entrer l’Ukraine dans l’Otan, par l’agression contre la population du Donbass ; et quand la Russie a décidé de
protéger la population du Donbass, elle a été désignée comme agresseur.
Ainsi, pour maintenir cette couche administrative qui apporte la ruine aux pays de l’ouest européen, qui façonne les pays de l’est européen en les achetant, la
solution, classique, consiste en la création d’un ennemi. Nous voyons, et cela devrait se répéter, la diffusion régulière d’« informations » sur les intentions supposées
belliqueuses de la Russie, ce qui a plusieurs fonctions, entre autres : de servir de béquilles à l’UE, de permettre aux pays de l’est de soutirer des sommes complémentaires à leurs collègues
de l’ouest, et aussi de continuer à verser, sans contrôle et hors de toute raison, des sommes à l’Ukraine (par le truchement opportun de qui nous savons).
Résumé : En Ukraine, la guerre militaire est perdue pour l’Occident, mais elle se poursuivra tant que les Ukrainiens se sacrifieront. Dans l’UE, la guerre
économique est perdue mais elle se poursuivra grâce à la russophobie. Car l’autre solution consisterait à reconnaître ses torts. Supposons que l’information sur ce qui se passe vraiment dans le
monde, soit libérée. Alors les citoyens de l’Europe de l’ouest comprendraient enfin pourquoi leurs pays s’effondrent tandis que d’autres vont très bien. Cette situation résultant des décisions
absurdes3 des instances dirigeantes, et du laxisme des représentations nationales, cela entraînerait des recherches de responsabilité. Le climat de
russophobie devrait donc perdurer puisque la survie de l’UE en dépend.
Néanmoins, comme on ne peut pas empêcher la vérité de s’infiltrer, et de faire s’effondrer les mensonges, malgré le travail de soutien des médias de gouvernement,
la vérité sur le rôle et le travail de la bureaucratie européenne pourrait bien se répandre. Et on peut penser que ses jours sont comptés, mais les populations des pays de l’Europe de l’ouest ont
un rôle à jouer.
René
Lamertume
Notes
Ces quelques lignes n’abordent pas le fait connu que l’UE est un prolongement politique des USA
Quelque chose est peut être en train de se réveiller en Allemagne
La question de la légalité de ces décisions se posera tôt ou tard
Paris assure ne pas avoir de
combattants du côté de Kiev – après tout, le déni plausible, c’est la raison d’être des tueurs à gages.
Il n’y a pas si longtemps c’était un sujet de fierté pour les nations occidentales d’évoquer leurs ressortissants enthousiastes à l’idée de partir
en Ukraine jouer les Rambo à dégommer les Russes. Du moins ne semblaient-elles pas s’empresser de les arrêter. Aujourd’hui, elles ne veulent même pas admettre qu’ils
existent.
Ces patriotes, qui se battent pour rien de moins que la liberté occidentale ! Tout cela faisait bon enfant jusqu’au moment où les missiles ont commencé
à voler et ils ont réalisé (trop tard pour certains) que l’armée russe n’était pas juste une entité non-jouable dans un jeu vidéo.
Pas plus tard que cette semaine, le ministre russe de la Défense a déclaré qu’ils avaient frappé un nid de 60 combattants à Kharkov – français dans leur
majorité, affirme-t-il. Si c’est vrai – bien que le gouvernement français nie que ce le soit – cela soulèverait de nombreuses questions comme, par exemple, pourquoi des citoyens
français combattent-ils contre la Russie en Ukraine ? Qui sont ces gens précisément ? Pourquoi les Gaulois haussent-ils les épaules depuis Paris au sujet de leur présence dans une
zone de conflit armé alors que l’omniprésence des services de renseignement étrangers suggère que la France devrait être parfaitement au courant de ce qui se passe ?
Le gouvernement français a déjà prouvé avoir une idée bien précise de ce que les citoyens français font en Ukraine. L’année dernière, la DGSI a déclaré
que sur 400 combattants français en Ukraine, quelques 30 étaient déjà fichés comme néo-nazis. La Russie a même déclaré qu’elle enquêtait sur des crimes présumés commis par certains
mercenaires français. L’année dernière, le député français Frédéric Mathieu, du parti de gauche «La France insoumise», alertait le ministre français des Affaires intérieures sur la
menace que représentent les citoyens français qui se sont rendus en Ukraine pour traîner avec des combattants ukrainiens s’imaginant que c’est un Disneyland néo-nazi et qui deviennent
des terroristes potentiels à leur retour au pays. Le chef de la DGSI a suggéré la même chose dans la presse française en juillet 2023 citant «l’inspiration
néo-nazie» des mercenaires.
Nostalgiques du IIIe Reich
Le cas spécifique de deux Français d’une vingtaine d’années a été pris pour exemple. Ils seraient descendus de bus à Paris en provenance de Lvov en
avril 2023, trimballant avec eux des chargeurs de fusils d’assaut et des viseurs optiques interdits, et, pris sur le fait, condamnés directement à la prison. Tous deux étaient suivis
par le renseignement français, une preuve de plus que Paris connait parfaitement la vraie nature de ceux qui se battent là-bas pour la
«démocratie» en Ukraine.
L’un des mercenaires français avait auparavant figuré dans un reportage sur les néo-nazis dans l’armée française. Il faisait partie d’une unité des
chasseurs alpins et pouvait sans doute apprendre deux-trois petits trucs aux néo-nazis de «l’État islamique des neiges» qui ont été entraînés et équipés par les alliés de l’OTAN
contre la Russie à l’approche du conflit. Il s’avère même avoir tatoué le serment de fidélité de la SS à Adolf Hitler et aurait écrit sur Facebook en 2018 que les migrants devraient
recevoir une «bonne balle dans
la nuque».
L’année d’avant, la Hongrie a attrapé un autre néo-nazi français déjà accusé du meurtre d’un joueur argentin de rugby qui se disait en route pour
combattre en Ukraine.
Au moins un élu français a fait part l’année dernière de sa préoccupation concernant l’éventuelle prolifération de l’extrémisme au retour de ces
combattants d’Ukraine, et de l’influence sur eux des néo-nazis du bataillon Azov, alors même que ces mêmes «héros» sont invités et félicités en tant qu’intervenants conviés à la
prestigieuse Université de Stanford et généralement glorifiés comme des défenseurs de la démocratie et de la liberté occidentale.
Les politiciens de l’establishment occidental ne semblent pas trop pressés pour évoquer certains détails dérangeants qui ont resurgi au sujet de leurs
protégés néo-nazis. Pas plus qu’ils ne le sont pour expliquer ce que certains de leurs citoyens, notamment d’anciens militaires, faisaient à trainer avec eux en Ukraine. Pas vraiment
le genre de discussion préliminaire commode à tenir quand le gouvernement français s’efforce de balayer l’argument de la «dénazification» avancée par le président russe Vladimir
Poutine pour justifier l’intervention militaire en Ukraine.
L’incident risque également de soulever des questions quant au rôle que les contractuels militaires privés français pourraient jouer en Ukraine. Alors
que certains citoyens français pourraient être attirés par l’Ukraine pour le fun et la camaraderie fasciste, d’autres peuvent être séduits par la rémunération. Une discussion que
Paris veut probablement éviter, étant donné la loi française datant de 2003 interdisant le mercenariat.
Mais même les responsables européens ont regardé Paris de travers en 2012. L’homme politique polonais Tomasz Piotr Poreba avait alors demandé à la
Commission européenne de s’adresser aux entreprises militaires et de sécurité françaises qui «ont leurs sièges
sociaux implantés ou enregistrés dans l’Union européenne – en particulier dans des pays comme la Grande-Bretagne et la France – et dont les services sont sous-traités sur le marché
européen par des organisations publiques ou privées, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Union européenne».
Brouillard de guerre
Quiconque a regardé un des «Mission
Impossible» avec Tom Cruise sait que tout le principe derrière les mercenaires, c’est qu’on peut s’en servir comme d’un missile qu’on oublie sitôt tiré. Le personnage de Cruise,
Ethan Hunt, au début de chaque film est prévenu que si son équipe rate sa mission secrète, elle sera désavouée. De la même manière, l’intérêt de recruter des mercenaires, c’est de
faire régner au maximum le brouillard de la guerre et dissimuler les traces que laisserait un acteur étatique qui n’est pas censé se trouver là. La dernière chose qu’un État
va faire, c’est de les réclamer en cas d’échec. C’est pour cela qu’ils touchent gros : Pour prendre des risques considérables et assumer ensuite si les choses tournent
mal.
Des personnalités dans la presse française ont dénigré la frappe de Moscou sur les mercenaires français ni voyant rien de plus qu’un «retour de flamme
médiatique» contre Emmanuel Macron après que le président français a déclaré plus tôt cette semaine que Paris fournirait 40 missiles longue portée Scalp à Kiev.
«Encore une
manipulation pataude de la Russie», comme l’a qualifiée le ministre français des Affaires étrangères. Il ajoute que «la France n’a de
mercenaires ni en Ukraine ni nulle part ailleurs, contrairement à d’autres». Mais le ministre russe des Affaires étrangères affirmait déjà en juillet 2023 que depuis juin 2022 les sociétés militaires privées françaises «engagent des
bénévoles pour participer aux hostilités du côté de Kiev… Les ressortissants français participant aux hostilités en Ukraine s’y rendent souvent par l’intermédiaire de sociétés
militaires privées étrangères ou la Légion ukrainienne internationale».
Il y a un moyen de trancher le débat une fois pour toutes. Moscou devrait mettre Paris au pied du mur et révéler
leurs identités. Appelons cela une collaboration mondiale open source dans l’intérêt de la transparence.
Maintenant, la question semble avoir été clarifiée grâce à de nouvelles
informations.
L’agence de presse russe TASS a rapporté dans la soirée du 18 janvier que l’expert militaire russe Alexandre Artamonov, que je connais personnellement aussi comme un expert
très compétent et pondéré, avait exprimé le soupçon que les personnes tuées étaient des soldats français.
Il a déclaré à TASS, citant une source au sein des forces armées françaises :
« La présence de mercenaires français
près de Kharkov, qui constituaient
l’épine dorsale de la base militaire
détruite, pourrait avoir été secrètement
approuvée par leur gouvernement. Les forces
armées françaises ont reçu un
ordre de l’armée française. Le ministre de
la Défense a demandé en février aux militaires de se considérer comme étant en conflit avec la Russie. Les
mercenaires tués sont très probablement des
soldats détachés qui ont signé une demande de vacances.»
Artamonov a déclaré que les citoyens français en Ukraine surveillent non
seulement l’utilisation des armes françaises, mais les utilisent également
activement eux-mêmes : « Pour utiliser l’obusier César ou obtenir des
instructions de ciblage précises pour (le char léger àroues AMX-10RC),
vous devez contacter le Satellites de l’OTAN. Cette communication s’effectue
via des codes. Personne ne transmettra ces codes à des soldats étrangers,
c’est-à-dire à desUkrainiens qui ne sont pas membres de l’OTAN.»
…ou des soldats français réguliers ?
Selon Artamanov, les Français sont très probablement des instructeurs, des
équipages supérieurs de l’artillerie française utilisée par l’Ukraine et
éventuellement des commandants de chars AMX-10RC.
Apparemment, Artamanov a eu une bonne intuition, car le 18 janvier au soir, on
a appris que le ministère russe des Affaires étrangères avait convoqué
l’ambassadeur de France.
Les chaînes russes Telegram, habituellement bien informées, proches des correspondants de guerre et des experts locaux, écrivent désormais que les
Français tués et blessés à Kharkov ne seraient pas des mercenaires arrivés individuellement, mais plutôt des membres de la Légion étrangère française.
Cela voudrait dire qu’ils ne sont peut-être pas (uniquement) français, car les volontaires étrangers servent normalement comme soldats temporaires dans
la
Légion étrangère, même si les officiers sont bien sûr français. La Légion
étrangère est une grande unité de l’armée française, c’est-à-dire une partie des
forces armées françaises. Au sens du droit international, les soldats de la Légion étrangère sont des soldats réguliers de l’armée française.
Il n’existe actuellement aucune confirmation officielle selon laquelle les morts
étaient des soldats de la Légion étrangère. Mais si cela devait se confirmer, ce
serait la participation de facto de la France à la guerre au regard du droit
international.
Aujourd’hui, 19 janvier, la Douma discutera
de nouvelles mesures contre la
France.
Remarque personnelle : Que le service des Caesars, s'il en reste, soit assuré par des
artilleurs
français me semble
plausible. En revanche, il me semble bien que les AMX10RC aient été
abandonnés ou détruits car
particulièrement inadaptés au conflit en Ukraine (Trop faiblement
protégé, mécaniqueet électronique trop
fragile...) D'ailleurs, un exemplaire est déjà exposé dans
un musée à Moscou...!
JMR
Déchéance de nationalité pour les soldats franco-israéliens
Si les crimes de guerre commis à Gaza par les soldats franco-israéliens engagés dans Tsahal sont reconnus, la France les déchoira-t-elle de leur
nationalité française ?