Depuis la première diffusion de la vidéo « Alerte Vaccin »
qui dénonce que l’Institut Pasteur a créé le virus COVID19, l’Institut Pasteur n’a jamais répondu directement au Professeur Fourtillan. L’AFP a été
chargé de créer une publication « Fake News » sans aucune démonstration scientifique, puis après plusieurs mois de publication, l’institut a demandé à YouTube la suppression des
vidéo pour « information médicale incorrecte » qui n’est pas le sujet. Ils prétendent avoir porté plainte contre le réalisateur du film mais c’est du bleuf. Comme la demande de
suppression du site COVID19 sans ordonnance pénale sur un site Français.
Le 1er décembre 2020, l’ancien directeur de la recherche en pneumologie de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le pneumologue et ancien directeur du
Département de Santé Publique, le Dr Wolfgang Wodarg, ont déposé
une demande auprès de l’Agence
Européenne des Médicaments – responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’Union Européenne – pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin
Sras-CoV-2, et en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).
Les docteurs Wodarg
et Yeadon demandent que les études – pour protéger la vie et la santé des personnes testées [voire vaccinées, puisque c’est initié dans certains pays dès la semaine prochaine
– NdT] – ne soient pas
poursuivies jusqu’à ce que l’on dispose d’un protocole d’étude adapté pour répondre aux importantes préoccupations en matière d’innocuité, préoccupations exprimées par un nombre croissant
de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du protocole d’étude.
Les pétitionnaires demandent d’une part qu’un séquençage dit de Sanger soit utilisé en raison du manque patent d’études sérieuses quant au test PCR. C’est
la seule façon de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin anti-Covid-19. Sur la base des
nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l’éventuel bénéfice d’un vaccin ne peuvent être déterminés avec une certitude suffisante, et c’est la raison pour
laquelle les tests du vaccin sur des humains sont en soi contraires à l’éthique.
En outre, ils exigent qu’il soit exclu, par exemple au moyen d’expérimentations animales, que des risques déjà connus par des études antérieures – qui
proviennent en partie de la nature des coronavirus – puissent se concrétiser. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants :
La formation
d’anticorps dits « non neutralisants » peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée est confrontée après la vaccination au vrai virus « naturel
». Cette amplification dite aggravation dépendante des anticorps, l’ADE, est depuis longtemps connue grâce à des expériences avec des vaccins anti-coronavirus chez les chats, par
exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus « naturel ».
On s’attend à ce que les vaccins produisent des anticorps contre les protéines Spike du Sras-CoV-2. Cependant, ces
protéines Spike contiennent également des protéines analogues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il faut
absolument exclure qu’un vaccin contre le Sras-CoV-2 puisse déclencher une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une stérilité de durée indéterminée chez
les femmes vaccinées.
Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). Il se trouve que 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance – cela signifie que
de nombreuses personnes peuvent, suite à cette vaccination, développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles.
La durée
beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets sur le long terme. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe
porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et que la possibilité d’observer les effets
sur le long terme de la vaccination ne devait qu’advenir ensuite. Néanmoins, BioNTech/Pfizer a apparemment soumis une demande
d’approbation d’urgence le 1er décembre 2020.
APPEL À L’AIDE
: Wodarg et Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens européens de cosigner leur pétition en envoyant à l’Agence Européenne des Médicaments le
mail préparé ICI.
Considérons la
possibilité que ce « vaccin » anti-Covid – notamment celui de BioNTech/Pfizer, mais ce n’est peut-être pas le seul, les données sont à ce jour trop partielles
– cache une volonté
de dépopulation…
Tout d’abord, après quelques recherches, il s’avère que, selon cette
étude publiée en avril 2014 sur le Journal of Assisted
Reproduction and Genetics, la syncytine-1 est
également présente dans le sperme. Ce ne serait donc pas seulement les femmes qui seraient stérilisées, mais aussi les hommes.
EN PLUS de supprimer toute responsabilité qui pourraient incomber aux fabricants de vaccins, il est fait usage de tests PCR largement considérés comme
inadéquats. En outre, ils exercent une forte pression sur les populations pour les inciter à se faire vacciner.
Pourquoi
?
S’agirait-il – sous couvert de lutter contre un coronavirus – de concrétiser ce qui est gravé sur les Guidestones en Géorgie ?
Il n’existe à ce jour aucune données sur l’efficacité du vaccin chez les enfants et les femmes enceintes. Et pour cause, ces deux catégories n’ont pas participé aux essais. Pas
encore… Le 2 décembre, Selon l’article
de Nature du 3
décembre, Moderna a dévoilé ses plans pour tester son vaccin chez les enfants.
La Grande-Bretagne est le premier pays à avoir autorisé l’usage du vaccin contre le Covid-19 mis au point par Pfizer et BioNtech, et
son gouvernement précise que ce vaccin n’est pas destiné aux femmes enceintes ou aux femmes « qui prévoient de tomber enceintes » :
« Il n’existe pas encore de données sur l’innocuité des vaccins Covid-19 pendant la grossesse, qu’elles
proviennent d’études sur l’homme ou sur l’animal. Étant donné le manque de preuves, la JCVI privilégie une approche de précaution et ne conseille pas actuellement la vaccination
Covid-19 pendant la grossesse.
Il convient de conseiller aux femmes de ne pas se présenter pour la vaccination si elles sont
enceintes ou prévoient de l’être dans les trois mois suivant la première dose.
Des données sont attendues qui alimenteront les discussions sur la vaccination pendant la grossesse. Le JCVI les examinera dès qu’elles seront disponibles
».
Donc, et selon Wodarg et Yeadon, dans le cadre d’une grossesse existante, le vaccin composé de syncytine-1 attaquerait le placenta et provoquerait
rapidement une fausse couche. Des vaccins de l’OMS/Gates ont déjà produit ces effets aux femmes d’Amérique Latine : « Quand
Bill Gates stérilisait des millions de femmes à coups de seringue ».
Pourquoi ne veulent-ils pas – à ce stade – que les femmes enceintes soient vaccinées ? Il peut bien sûr exister tout un tas de bonnes raisons de ne pas le
faire, et d’ailleurs, les femmes enceintes ne font en général pas partie des essais vaccinaux. Toutefois, est-il possible que ce soit parce que les fausses couches
se produiraient tellement rapidement qu’il pourrait devenir par trop évident que le « vaccin » en serait la cause ? Le fait de ne pas vouloir – au début – inclure dans leurs
programmes de vaccination des femmes qui sont enceintes ou veulent tomber enceintes leur permettrait-il d’enterrer la vérité sur les effets réels du vaccin, suffisamment
longtemps pour que la majorité de la population l’accepte?
Beaucoup de questions, mais peu de réponses. À ce stade, on ne peut que conjecturer en prenant en compte notre connaissance des desiderata d’une élite
mondialiste psychopathe.
« Les vaccins ne sont absolument pas nécessaires pour enrayer la pandémie… On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas à risque de contracter une
maladie. On ne planifie pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été testé de manière approfondie sur des sujets humains »
– Dr.
Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires .
« Ce que nous savons du coronavirus grâce à 30 ans d’expérience, c’est qu’un vaccin contre le coronavirus a une particularité unique, à savoir que
toute tentative de fabrication du vaccin a entraîné la création d’une classe d’anticorps qui rendent en fait les personnes vaccinées plus malades lorsqu’elles sont finalement exposées au
virus sauvage » – Robert
F. Kennedy Jr.
Voici ce qui selon moi est en train de se dérouler actuellement dans une grande partie du monde occidental. Une crise de santé publique – qui a été
fabriquée et élaborée avant l’apparition des premiers cas à Wuhan, en Chine – a été utilisée pour court-circuiter les libertés civiles de longue date, renforcer l’autorité des dirigeants
politiques, détruire l’économie, remodeler de façon spectaculaire les relations sociales de base et imposer un contrôle absolu sur le travail, l’école, les rassemblements et les activités
de loisirs. La politique publique est désormais définie par des technocrates non élus qui opèrent sous le couvert d’organisations aux allures nobles entièrement contrôlées par les plus
grandes entreprises et les oligarques les plus riches du monde. Le président Dwight Eisenhower a anticipé ce scénario troublant il y a 70 ans lorsqu’il a déclaré :
« Pourtant, en respectant, comme il se doit, la recherche et la découverte scientifiques, nous devons également être attentifs au danger, tout aussi
important et opposé, que la politique publique devienne elle-même la captive d’une élite scientifico-technologique ».
Bingo. C’est précisément ce qui se passe aux États-Unis aujourd’hui. Tout le pouvoir réel a été concédé à une oligarchie mondialiste qui opère derrière le
rideau de fonctionnaires et d’experts en santé publique corrompus. On peut donc se demander si le battage autour du coronavirus est apparu comme une réaction spontanée et appropriée à une
pandémie mortelle qui se propage rapidement ou si l’hystérie a été grandement exagérée (le taux de mortalité par infection est de 0,26%, soit 1 sur 400) pour mettre en œuvre un programme
politico-social transformationnel qui non seulement éradiquera la démocratie et les droits de l’homme fondamentaux, mais ouvrira également la voie à des vaccins dangereux qui réduiront
considérablement la croissance démographique, un objectif largement partagé par les élites.
Seriez-vous surpris d’apprendre que des vaccins ont été utilisés en Afrique, aux Philippines, au Nicaragua et au Mexique pour rendre stérile ? Seriez-vous
surpris d’apprendre que des mandarins « bien-pensants » – qui veulent sauver le monde de la surpopulation et du réchauffement climatique – ont utilisé des vaccins toxiques sur
des jeunes femmes sans méfiance qui ne se rendaient pas compte qu’elles étaient utilisées comme rats de laboratoire dans une expérience d’eugénisme pernicieux ? Ceci est tiré d’un article
paru dans Global
Research :
« Selon LifeSiteNews,
une publication catholique, l’Association des Médecins Catholiques du Kenya charge l’UNICEF et l’OMS de stériliser des millions de jeunes filles et de femmes sous le couvert d’un
programme de vaccination antitétanique parrainé par le gouvernement kenyan…
… les six échantillons ont été testés positifs à l’antigène HCG. L’antigène HCG est utilisé dans les vaccins anti-fertilité, mais a été trouvé présent dans
les vaccins antitétaniques destinés aux jeunes filles et aux femmes en âge de procréer. Le Dr Ngare, porte-parole de l’Association des Médecins Catholiques du Kenya, a déclaré dans un
bulletin publié le 4 novembre :
« Cela a confirmé nos pires craintes, à savoir que cette campagne de l’OMS ne vise pas à éradiquer le tétanos néonatal, mais à procéder à une
stérilisation de masse bien coordonnée et énergique en utilisant un vaccin qui a fait ses preuves en matière de régulation de la fertilité. Cette preuve a été présentée au Ministère de la
Santé avant le troisième cycle de vaccination, mais elle a été ignorée » – (« Stérilisation
de masse : Des médecins kenyans trouvent un agent anti-fertilité dans le vaccin antitétanique de l’ONU », Global
Research)
Tout cela semble plutôt suspect, n’est-ce pas, d’autant plus qu’il n’y avait pas de crise de tétanos au Kenya au départ. Le Kenya n’était qu’un terrain
d’essai pour des vaccins visant à atteindre des objectifs diaboliques. Par exemple, pourquoi une campagne de lutte contre le tétanos ne viserait-elle que les femmes âgées de 14 à 49 ans ?
Pourquoi la campagne a-t-elle exclu les jeunes filles, les garçons et les hommes qui étaient tout aussi sensibles au tétanos ?
Pourquoi ?
Vous savez pourquoi. C’est parce que le véritable objectif n’avait rien à voir avec le tétanos. Le tétanos n’était qu’un prétexte pour dissimuler les
activités des élites mondialistes qui travaillent à leur stratégie de dépeuplement. Selon un communiqué de presse de la Conférence des Évêques Catholiques du Kenya sur la campagne
nationale de vaccination contre le tétanos :
« Nous ne sommes pas convaincus que le gouvernement ait pris la responsabilité adéquate de s’assurer que le vaccin contre le tétanos (TT) associé à la
sous-unité de gonadotrophine chorionique humaine Beta (b-HCG) n’est pas utilisé par les partenaires de développement qui le parrainent. Ce vaccin a déjà été utilisé par les mêmes
partenaires aux Philippines, au Nicaragua et au Mexique pour vacciner les femmes contre les grossesses futures. La sous-unité bêta HCG est une hormone nécessaire à la grossesse.
Lorsqu’elle est injectée comme vaccin à une femme non enceinte, cette sous-unité Beta HCG combinée à l’anatoxine tétanique développe des anticorps contre le
tétanos et l’HCG de sorte que si l’ovule d’une femme est fécondé, son propre HCG naturel sera détruit, la rendant définitivement stérile. Dans cette situation, la vaccination
antitétanique a été utilisée comme méthode de contrôle des naissances » – (« Stérilisation
de masse : Les médecins kenyans trouvent un agent anti-fertilité dans le vaccin antitétanique de l’ONU », Global
Research)
Je sais ce que vous pensez. Vous pensez qu’ils auraient pu mener ces programmes de dépeuplement en Afrique, mais qu’ils ne feraient jamais une chose
pareille aux États-Unis où nos médias toujours vigilants exposeraient ce qu’ils font. N’est-ce pas ?
Malheureusement, les médias sont détenus en bloc par les mêmes personnes qui créent des crises pour faire avancer leurs propres intérêts. Le Covid-19 n’est
probablement pas différent à cet égard. Le fait que l’infection soit modestement mortelle contribue en fait à atteindre l’objectif plus large de remodeler la société, de restructurer
l’économie, d’abandonner le gouvernement représentatif et de réduire la population à des niveaux plus soutenables. Tels sont les véritables objectifs de cette farce politique. Consultez
cet article de Bloomberg (2019)
qui contribue à faire la lumière sur les développements actuels du Covid. L’article est judicieusement intitulé « La
Terre a besoin d’être moins peuplée, disent les scientifiques » :
« Il y a quarante ans, des scientifiques de 50 nations convergeaient vers Genève pour discuter de ce qu’on appelait alors le « problème
CO2-climat »… Aujourd’hui, quatre décennies plus tard, un groupe plus important de scientifiques sonne une autre alarme, bien plus urgente. Plus de 11 000 experts du monde entier
réclament un complément essentiel à la stratégie principale d’abandon des combustibles fossiles au profit des énergies renouvelables : il faut qu’il y ait beaucoup moins d’êtres humains
sur la planète…
« Nous déclarons, avec plus de 11 000 scientifiques signataires du monde entier, clairement et sans équivoque que la planète Terre est confrontée à une
urgence climatique », ont écrit les scientifiques dans un avertissement brutal publié mardi…
Lorsqu’ils sont analysés en séquence, les graphiques montrent une tendance dévastatrice pour la santé de la planète. De la consommation de viande, des
émissions de gaz à effet de serre et de la fonte des glaces à l’élévation du niveau de la mer et aux phénomènes météorologiques extrêmes, elles dressent un sombre portrait de 40 années
d’opportunités gâchées. Les scientifiques lancent des appels spécifiques aux décideurs politiques pour qu’ils mettent rapidement en œuvre un changement systémique des politiques
énergétiques, alimentaires et économiques. Mais ils vont plus loin, dans le domaine politiquement délicat du contrôle de la population. Celle-ci « doit être stabilisée – et,
idéalement, réduite progressivement – dans un cadre qui assure l’intégrité sociale », écrivent-ils. (« La
Terre a besoin de moins de gens, disent les scientifiques », Bloomberg)
« Au-delà du simple fait de tirer la sonnette d’alarme plus fortement que par le passé, la lettre propose également des mesures immédiates à prendre
dans six domaines clés pour ralentir le changement climatique et ses conséquences… Ces mesures représentent une réorganisation assez radicale de la société mondiale et des systèmes qui la
sous-tendent, à commencer par l’élimination progressive des combustibles fossiles, le remplacement du défrichement à grande échelle par des efforts de reboisement, la stabilisation de la
population mondiale et la réduction considérable de la quantité de viande et de produits animaux que nous consommons… » – (« Plus
de 11 000 scientifiques déclarent l’urgence climatique », Forbes)
Enfin, il y a cette déclaration publiée dans la revue BioScience par
des dizaines de scientifiques et approuvée par 11 000 autres de 153 nations. Les scientifiques affirment que les changements urgents nécessaires comprennent la fin de la croissance
démographique, l’abandon des combustibles fossiles, l’arrêt de la destruction des forêts et la réduction de la consommation de viande :
« Les scientifiques ont l’obligation morale d’avertir clairement l’humanité de toute menace catastrophique et de « dire les choses telles qu’elles
sont ». Sur la base de cette obligation et des indicateurs graphiques présentés ci-dessous, nous déclarons, avec plus de 11 000 scientifiques signataires du monde entier, clairement
et sans équivoque que la planète Terre est confrontée à une urgence climatique.
Augmentant encore d’environ 80 millions de personnes par an, soit plus de 200 000 par jour, la population mondiale doit être stabilisée – et, idéalement,
réduite progressivement – dans un cadre qui assure l’intégrité sociale. Il existe des politiques éprouvées et efficaces qui renforcent les droits de l’homme tout en faisant baisser les
taux de fécondité et en atténuant les effets de la croissance démographique sur les émissions de GES et la perte de biodiversité. Ces politiques mettent les services de planification
familiale à la disposition de tous, suppriment les obstacles à leur accès et assurent une égalité totale entre les sexes… » – (« Le
monde scientifique avertit d’une urgence climatique », Oxford
Academic)
(Remarquez comment le contrôle de la population est un thème récurrent, un thème qui coïncide avec l’agenda « zéro émission » des élites et des
« philanthropes » autoproclamés).
Le fait est que les dirigeants d’entreprises et les autres élites s’accordent de plus en plus à dire que nous sommes confrontés à une « urgence
climatique » qui nécessitera des changements immédiats et draconiens de nos structures politiques, sociales et économiques. Est-il trop tiré par les cheveux de penser que le Covid-19
a été invoqué pour mettre en œuvre ces changements sans en révéler la véritable raison ? Après tout, le public est assez divisé sur le changement climatique, ce qui signifie que
l’opposition serait probablement organisée, bien financée et féroce. C’est sans doute quelque chose que les oligarques voulaient éviter. Une « pandémie » mondiale fortement
exagérée était un bien meilleur choix. Avec les médias déjà en place, et suffisamment d’experts en santé publique et de gouverneurs démocrates corrompus pour faire le gros du travail, les
perspectives de succès devaient être très prometteuses. Huit mois après le début de l’opération, le drapeau à damier est désormais en vue… Les gouverneurs des États ne s’opposent pas à
l’usurpation de « pouvoirs de crise » spéciaux, Fauci et ses semblables sont toujours très vénérés, les masques sont partout, les fermetures à répétition et les restrictions de
plus en plus strictes restent à l’ordre du jour, et nous ne sommes qu’à quelques semaines de la cerise sur le gâteau, la diminution du troupeau grâce à un « vaccin à base de
nanoparticules contenant un produit chimique synthétique appelé polyéthylène glycol ou PEG ». En d’autres termes, les exercices de stérilisation furtifs qui ont été menés en Afrique
n’étaient qu’une répétition générale de l’événement principal, l’injection sommaire sur des milliards de personnes dans le monde dans le but de réduire considérablement la population
mondiale. En sommes-nous arrivés là ?
Pas encore, mais bientôt.
Les équipes de psychologues qui ont travaillé avec les gouvernements (pour vendre la terreur du Covid) et qui ont compris que la réalité quotidienne doit
être bouleversée – par la distanciation sociale, les masques, les ordres de se mettre à l’abri, la fermeture des écoles, des entreprises, des rassemblements publics et des services
religieux – afin (de créer un environnement désorientant et terrifiant) d’inaugurer un nouveau système autoritaire dans lequel la liberté personnelle ne va pas plus loin que la sélection
des achats en ligne sur Costco ou Amazon. Ces psychologues méritent une grande partie du crédit pour la transformation du monde occidental en un État policier verrouillé dirigé par des
mécréants manipulateurs qui vont maintenant décider de notre avenir à notre place.
LE VACCIN
– Le point culminant de 8 mois de désinformation et d’hystérie incessantes
S’il est clair que les progrès en matière de vaccins ont été délibérément retardés jusqu’après les élections présidentielles (afin de nuire aux chances de
réélection de Trump), très peu de gens comprennent pourquoi les vaccins sont déployés si rapidement. Pour dire les choses simplement, l’épidémie se termine rapidement, ce qui oblige les
fabricants de vaccins à demander une approbation rapide pour que la distribution puisse commencer. Il s’agit d’une question de grande urgence, ce qui signifie que la FDA cédera sans aucun
doute aux pressions politiques et approuvera les vaccins potentiels bien avant que les essais ne prouvent leur innocuité. Mercredi :
« Le Royaume-Uni est devenu le premier pays mercredi à approuver officiellement le vaccin anti-Covid-19 de Pfizer et BioNTech… Les premières
inoculations devraient être lancées la semaine prochaine… Le vaccin a été autorisé bien plus rapidement que tout autre dans l’histoire, son développement fulgurant n’ayant pas nécessité
les 15 à 20 ans qu’il faut habituellement pour mettre au point ce type de traitements ». (« Le
Royaume-Uni devient le premier pays à approuver le vaccin anti-Covid-19 de Pfizer-BioNTech », NBC News)
Naturellement, la sécurité ne joue aucun rôle dans la création d’un vaccin dont le développement prend normalement dix ans, mais qui est rapidement mis au
point et commercialisé en huit mois seulement. Par définition, un tel vaccin n’est pas sûr.
Plus d’informations sur NBC :
« Aux États-Unis, Pfizer-BioNTech et Moderna ont tous deux soumis des demandes à la FDA pour une autorisation d’utilisation d’urgence… Le PDG de BioNTech Uğur Şahin a déclaré à
Richard Engel, de NBC News, qu’il
était « convaincu qu’une autorisation aux États-Unis pourrait également être accordée dans les deux prochaines semaines »…
… Pendant ce temps, l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré à Reuters qu’elle
avait reçu des données des entreprises et qu’elle les examinait en vue d’une « éventuelle inscription pour une utilisation d’urgence » – ce qui signifie qu’elle pourrait être
mise en place plus rapidement dans les pays en développement » – (NBC News)
Pourquoi
ces dindes sont-elles précipitées sur le marché ?
Comme nous l’avons déjà indiqué, la distribution des vaccins est précipitée car la pandémie est en train de se résorber, en fait, à toutes fins pratiques,
elle est déjà terminée. Aux États-Unis, les données relatives aux hospitalisations et aux décès sont délibérément gonflées pour perpétuer l’hystérie (nous l’expliquerons plus tard),
tandis qu’au Royaume-Uni, les décès attribuables au Covid (dans la fausse « deuxième vague ») n’ont jamais dépassé la moyenne quinquennale des « décès excédentaires »,
qui est le baromètre permettant de décider s’il y a ou non un pic de mortalité inhabituel. Ce n’est pas le cas. La deuxième vague n’existe pas. C’est de la pure fabrication. Lisez ce
texte du Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et responsable scientifique de la division Allergies et Maladies Respiratoires. Yeadon rejette la théorie de la « deuxième
vague » comme une absurdité non scientifique. Voici ce qu’il dit :
« Les virus ne font pas de vague… J’ai demandé à plusieurs reprises à voir la pléthore d’articles scientifiques utilisés pour prédire une
« deuxième vague » et pour construire un modèle permettant de calculer sa taille probable et son moment. Ils n’ont jamais été publiés. C’est presque comme s’il n’y avait pas de
littérature fondamentale de ce type… Il n’y a eu aucun exemple de vagues multiples depuis et le dernier nouveau coronavirus avec sa propagation réelle a effectué une seule vague dans
chaque région géographique touchée. Je ne sais même pas pourquoi un modèle comportant une « deuxième vague » a été élaboré…
Malgré l’absence de preuve d’une « deuxième vague » – et l’absence de vague pour cette catégorie de virus respiratoires – une campagne multimédia
a été lancée pour ancrer l’idée d’une « deuxième vague » dans les esprits. Cette campagne s’est déroulée en continu pendant de nombreuses semaines. Elle a été couronnée de
succès : un sondage réalisé auprès des médecins généralistes a montré que près de 86% d’entre eux s’attendaient à une « deuxième vague » cet hiver.
Dans le cadre de mes recherches, j’ai cherché à obtenir la première mention d’une « deuxième vague ». Le 30 avril, les professeurs Heneghan et
Jefferson ont noté que l’on nous avait prévenus qu’une « deuxième vague » était prévue et que le premier ministre avait, le 27 avril, prévenu d’une « deuxième vague ».
Les professeurs ont mis en garde tous ceux qui font des prédictions sur une « deuxième » et une « troisième vague » contre le fait que les données historiques ne
permettent pas de le faire.
J’ai cherché les mentions de la BBC concernant
une « deuxième vague »… Les 3 et 6 mars, il est fait mention d’une seule vague de SRAS-CoV-2 dont l’impact a été le plus précoce (95%). Ce qui semble être le document final, le
29 mars, ne fait toujours référence qu’à une seule vague. C’est ce qu’enseigne l’histoire et l’immunologie…
En dépit de cette bizarrerie gênante concernant une « deuxième vague » et presque comme s’il y avait un plan pour une telle vague,
l’infrastructure des tests PCR (réaction en chaîne de la polymérase) au Royaume-Uni a commencé à être remodelée… la haute cour portugaise a déterminé il y a deux semaines que ce test PCR
n’est pas un moyen fiable de déterminer l’état de santé ou l’infectiosité des citoyens… La validité scientifique de ce test étant sérieusement remise en cause, je pense qu’il doit être
immédiatement retiré de la circulation ». (« Le
test PCR faux positif pseudo-épidémique », Lockdown
Skeptics)
Pas de deuxième vague ?
Non, c’est de la foutaise à 100%. Mais « il y avait un plan pour elle », c’est-à-dire un plan pour amplifier la panique afin d’atteindre les
objectifs des élites. C’est clair.
Yeadon explique ensuite comment les tests PCR ont été retirés des laboratoires du NHS (National Health Service) et livrés à des « centres de tests de
masse » privés qui ont remplacé « des scientifiques biomédicaux hautement qualifiés et expérimentés enregistrés auprès du Health and Care Professions Council (HCPC) » par
« principalement du personnel bénévole non enregistré dans des laboratoires non accrédités qui ont été créés en quelques semaines ». Naturellement, cela a remis en question la
fiabilité globale de leurs résultats de tests qui, à leur tour, ont produit un nombre massif de faux positifs qui ne reflétaient en rien l’impact décroissant du virus.
Comme le dit Yeadon : « de tels tests de masse entraînent, lorsqu’on utilise la PCR comme méthode, un risque important de ce que nous appelons une
« pseudo-épidémie de faux positifs par PCR ». Cela ne pourrait jamais se produire si nous n’utilisions pas les tests PCR en masse ». Lorsqu’un test plus fiable a été
utilisé à Liverpool (test à flux latéral ou LFT) montrant qu’un pourcentage plus faible de personnes étaient infectées, le test a été écarté au profit du test PCR.
« En septembre, la grande majorité des tests PCR étaient effectués par de grands laboratoires privés, dont certains sont appelés Lighthouse
Labs ». C’est alors que le nombre d’infections a commencé à augmenter fortement, ce qui était complètement incompatible avec le comportement des épidémies dans le passé.
Yeadon : « Comment pouvons-nous concilier ces dizaines de milliers de « cas » quotidiens et une « deuxième vague » sans précédent
de décès avec la quantité irréalisable de tests utilisant une technique considérée par les experts comme difficile à appliquer de manière fiable, même à petite échelle ? »
C’est facile. Toute cette mascarade a été truquée pour que les faux positifs par PCR fassent croire à une véritable épidémie. Gardez à l’esprit que ce n’est
pas mon observation non professionnelle, mais celle de l’ancien vice-président de Pfizer et scientifique en chef pour les Allergies et les Maladies Respiratoires.
Et il suffit de voir à quel point cette farce a été maintenue. Voici Yeadon qui explique comment les définitions sont étirées jusqu’au point de rupture pour
exagérer le nombre de décès liés au Covid :
« Un ‘cas’ est un test PCR positif. Il n’y a pas de symptômes. Une « admission COVID-19 » dans un hôpital est une personne dont le test PCR
est positif avant, à l’entrée ou à tout moment pendant un séjour à l’hôpital, quelle que soit la raison de l’admission ou les symptômes que présente le patient. Un « décès COVID-19″
est tout décès survenu dans les 28 jours suivant un test PCR positif ».
Supposons que vous ayez une crise cardiaque massive et que vous mouriez, mais qu’un test PCR montre que vous avez des fragments d’ARN inoffensifs dans votre
sang, alors le décès est qualifié « décès Covid ». Vous avez compris ? Yeadon résume cette entourloupe en une phrase laconique :
« Nous avons des preuves très solides que le test PCR de masse tel qu’il est effectué actuellement est complètement inutile ». (Yeadon et un
groupe d’experts ont depuis soumis un document
en 10 points au comité de rédaction d’Eurosurveillance, contestant la science sur laquelle le test PCR est basé « qui a conduit à un mauvais diagnostic mondial des
infections attribuées au SRAS-CoV-2 et associées à la maladie COVID-19. Nous sommes confrontés à un confinement strict qui a détruit la vie et les moyens de subsistance de nombreuses
personnes, à un accès limité à l’éducation et ces restrictions imposées par les gouvernements du monde entier sont une attaque directe contre les droits fondamentaux des personnes et
leurs libertés individuelles, ce qui entraîne des dommages collatéraux pour des économies entières à l’échelle mondiale »).
Selon Yeadon et son équipe de chercheurs indépendants :
« La pandémie était terminée en juin et l’immunité collective a été la principale force qui a transformé la pandémie et l’a poussée à battre en
retraite. À l’automne, les « cas » revendiqués sont un artefact d’un système de test déréglé… Bien qu’il y ait quelques cas de COVID-19 sur le modèle de « l’ondulation
secondaire » … ils se sont produits principalement dans les régions, villes et districts qui ont été moins touchés au printemps. Le COVID-19 réel est autolimité et a peut-être déjà
atteint son maximum dans certaines villes du Nord. Il ne reviendra pas en force…
C’est tout. Tout le reste est une pseudo-épidémie de faux-positifs par PCR. Le remède, bien sûr, comme cela a été le cas dans le passé lorsque la PCR a
remplacé la pandémie elle-même comme menace dans le pays, est d’arrêter les tests PCR de masse » – (« La
pseudo-épidémie de faux-positifs par PCR », Dr Mike Yeadon, Lockdown
Skeptics)
L’analyse de Yeadon est similaire à celle de Genevieve Briand, directrice adjointe du programme de maîtrise en économie appliquée de l’Université John
Hopkins. Briand voulait voir l’effet du Covid sur la surmortalité en utilisant les propres données des CDC. Ce qu’elle a trouvé était extraordinaire, mais conforme à l’analyse de Yeadon.
Voici un bref résumé de ce qu’elle a découvert :
« De la mi-mars à la mi-septembre, le nombre total de décès aux États-Unis a atteint 1,7 million, dont 200 000, soit 12% du total des décès, sont liés
au COVID-19″…
Après avoir récupéré les données sur le site web des CDC, Briand a compilé un graphique représentant les pourcentages de décès totaux par catégorie d’âge de
début février à début septembre, ce qui inclut la période allant d’avant la détection du COVID-19 aux États-Unis jusqu’à après la montée en flèche des taux d’infection.
Étonnamment, le nombre de décès de personnes âgées est resté le même avant et après le COVID-19. Étant donné que le COVID-19 touche principalement les
personnes âgées, les experts s’attendaient à une augmentation du pourcentage de décès dans les groupes d’âge supérieurs. Cependant, cette augmentation ne ressort pas des données des CDC.
En fait, les pourcentages de décès dans toutes les tranches d’âge restent relativement les mêmes.
« La raison pour laquelle nous avons un nombre plus élevé de décès COVID-19 déclarés chez les personnes âgées que chez les jeunes est simplement que
chaque jour aux États-Unis, les personnes âgées meurent en plus grand nombre que les jeunes », a déclaré Briand.
Briand a également noté que 50 000 à 70 000 décès sont observés à la fois avant et après le COVID-19, ce qui indique que ce nombre de décès était normal
bien avant l’apparition du COVID-19. Par conséquent, selon Briand, non seulement le COVID-19 n’a eu aucun effet sur le pourcentage de décès des personnes âgées, mais il n’a pas non plus
augmenté le nombre total de décès.
Ces analyses de données suggèrent que, contrairement aux hypothèses de la plupart des gens, le nombre de décès par COVID-19 n’est pas alarmant. En fait, il
n’a relativement pas d’effet sur les décès aux États-Unis.
« Tout cela ne prouve en rien que le COVID-19 a créé un excès de décès. Le nombre total de décès n’est pas supérieur au nombre normal de décès. Nous
n’avons trouvé aucune preuve du contraire », conclut Briand – (« Un
regard plus attentif sur les décès américains dus au COVID-19 », JB Wells
News)
Les recherches de Yeadon et Brand permettent de montrer comment de faux résultats de tests, des données de mortalité manipulées, des tromperies incessantes
et des mandats étatiques désorientants (masques, confinement, etc.) ont alimenté l’hystérie publique, créant ainsi la population docile que nos dirigeants recherchent. Après 8 mois de ce
travail de psychanalyse, les élites sont maintenant prêtes à délivrer le coup de grâce, un vaccin contenant une substance potentiellement toxique qui va changer le cours de
l’histoire.
Est-ce que j’exagère ?
Peut-être, mais il y a de nombreuses raisons de s’inquiéter. N’oubliez pas que les partisans les plus enthousiastes de ces vaccins expérimentaux (les
médias) sont les mêmes personnes :
Qui ont menti pendant 3 ans sans arrêt au sujet de Trump-Russie.
Qui ont censuré agressivement toute information sur l’opération massive de trafic d’influence de Hunter Biden.
Qui ont dissimulé toute information relative à l’élection présidentielle volée le mois dernier.
Les médias sont l’ennemi du peuple, et ils l’ont prouvé à maintes reprises. Mais comment pouvons-nous appliquer cette règle au déploiement des nouveaux
vaccins ?
Nous pouvons supposer que les intérêts des riches courtiers en puissance – qui possèdent les médias et fixent leur programme – primeront sur ceux des
personnes qui sont en passe de se faire vacciner. C’est tout. Leurs intérêts auront la priorité sur votre sécurité. C’est ainsi que cela fonctionne.
Il faut donc se méfier des vaccins qui sont mis sur le marché en un temps record, tout comme il faut se méfier des motivations des personnes qui voient dans
le « scepticisme » ou « l’hésitation » une « menace pour la sécurité nationale ». Il ne faut pas faire confiance à ces personnes. C’est aussi simple que
cela.
Pourquoi, par exemple, le gouvernement britannique ferait-il appel aux « renseignements
militaires pour rechercher et juguler ce que le Times appelle
les « militants anti-vaccins » et le « contenu de propagande » connexe dans le cyberespace » ?
Pourquoi les géants des médias sociaux retireraient-ils les articles qui critiquent les vaccins ?
Pourquoi tous les médias et les experts de la santé publique poussent-ils à la vaccination de masse ?
Pourquoi ?
La réponse est évidente, n’est-ce pas ?
C’est parce que les riches courtiers en puissance qui orchestrent cette opération veulent que Nous, le Peuple, soit vacciné en masse. C’est de cela qu’il
s’agit.
Donc, la question est : pourquoi ? Pourquoi est-ce si important pour eux ? Est-ce parce qu’ils veulent sauver des vies ?
Non, ce n’est pas du tout ça. Il y a manifestement autre chose qui se passe et dont nous ne sommes pas au courant. Peut-être est-ce le changement
climatique, peut-être est-ce la surpopulation, ou peut-être est-ce une détermination collective à transformer la société en une dystopie technocratique. (« La Grande
Réinitialisation). Nous ne savons pas vraiment, mais une chose est sûre, tout ce battage autour du Covid est un faux-fuyant. Il détourne simplement l’attention du véritable programme,
c’est pourquoi nous devons être prudents en ce qui concerne les vaccins. La vaccination de masse pourrait, en fait, être l’objectif ultime. Voici le point de vue de Yeadon sur les vaccins
dans un récent numéro de LifeSite
News :
« Il n’y a absolument pas besoin de vaccins pour enrayer la pandémie… On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas à risque de contracter une
maladie. On ne planifie pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas fait l’objet de tests approfondis sur des sujets humains…
Comme il est démontré « qu’environ 30% de la population avait une immunité antérieure », et si l’on inclut certains jeunes enfants
« résistants », 40%, et tout en considérant que le taux d’infection est « quelque part entre 25 et 30 % », cela signifie qu’environ 65 à 72% de la population a
actuellement une immunité contre le COVID-19.
Et compte tenu de la réalité de l’immunité de groupe, lorsque la susceptibilité à un virus tombe à ce point bas, autour de 28 à 35%, « cette population
ne peut plus entretenir la propagation de la maladie », et donc le virus « s’affaiblit et disparaît… La pandémie est effectivement terminée et peut facilement être gérée par un
NHS (National Health Service) qui fonctionne correctement. En conséquence, le pays devrait être immédiatement autorisé à reprendre une vie normale ». (« Ancien
vice-président de Pfizer : Pas besoin de vaccins,la pandémie est effectivement terminée », LifeSite
News)
A-t-il raison ? Les vaccins représentent-ils un risque inutile qui ne sert aucun objectif terrestre ? Voici d’autres informations de Yeadon sur les effets
négatifs potentiels des nouveaux vaccins à base d’ARNm qui font « fureur ».
« La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée
est confrontée au vrai virus « sauvage » après la vaccination ».
– Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également
des protéines homologues de la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il faut éviter qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 ne
déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine 1, car il pourrait sinon entraîner une stérilité de durée indéterminée chez les femmes vaccinées.
– Les vaccins à ARNm de Pfizer/BioNTech contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance. Cela
signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles, à la vaccination.
– La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets tardifs. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination
contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et la possibilité d’observer les
effets tardifs de la vaccination devrait suivre » – (« Ça
a été rapide », Lockdown
Skeptics)
Résumons :
Les nouveaux vaccins à ARN messager pourraient rendre les receveurs plus susceptibles de contracter une maladie grave ou de mourir.
Les protéines de pointe peuvent « déclencher une réaction immunitaire » qui « entraînera la stérilité ». (Encore une fois, contrôle
de la population)
Les nouveaux vaccins contiennent du polyéthylène glycol (PEG) qui peut être « potentiellement mortel ».
Les essais n’ont pas été suffisamment longs pour déterminer si les vaccins sont sûrs ou non. L’approbation de la FDA ne signifie pas « sûr ».
Bien au contraire. La FDA est « captive » de la même manière que la FAA. (Pensez : Boeing 737 Max)
Le nouveau régime des vaccins anti-Covid-19 est à la fois inutile et risqué. Les lecteurs devraient ignorer le battage médiatique et faire leurs propres
recherches. Prenez la responsabilité de votre propre santé et de votre bien-être. Ne vous attendez pas à ce que les médias ou les responsables de la santé publique disent la vérité. Ils
ne le feront pas. Ils veulent vous utiliser comme cobaye dans leur expérience de laboratoire tordue. Ne coopérez pas, ne vous conformez pas, n’acquiescez pas, ne cédez pas.
Le groupe pharmaceutique américain Pfizer, un des principaux candidats pour le vaccin contre le Covid-19, en partenariat avec la biotech allemande BioNTech,
a une sale histoire. Il y a 13 ans, le Nigéria portait plainte contre Pfizer pour « tests illégaux sur des enfants ». Ci-dessous, la traduction d’un article du Guardian de
l’époque (2007) (le sous-titre dit : « Le gouvernement attaque le plus grand fabricant de médicaments dans le monde pour avoir effectué des essais illégaux de médicaments
anti-méningite et avoir tué ou handicapé des enfants »).
*
Le
Nigeria attaque Pfizer et réclame 7 milliards de dollars pour des tests « illégaux » sur des enfants
par Chris
McGreal pour The
Guardian le mardi 5 juin 2007.
Le gouvernement attaque le plus grand fabricant de médicaments dans le monde pour avoir effectué des essais illégaux de médicaments anti-méningite, et
avoir tué ou handicapé des enfants.
Le Nigéria réclame 7 milliards de dollars de dommages et intérêts à la société américaine pour les familles des enfants qui, selon lui, sont morts ou
ont subi de graves effets secondaires lorsque l’antibiotique Trovan leur a été administré dans l’État de Kano, lors d’une épidémie de méningite en 1996. Le gouvernement de l’État de
Kano a également engagé des poursuites, actuellement en cours, contre Pfizer.
Les autorités nigérianes affirment que 200 enfants ont participé à l’expérience Trovan sans que celle-ci ait reçu l’accord des autorités locales. Elles
affirment qu’au moins 11 d’entre eux sont morts des suites du traitement et que d’autres ont développé des séquelles telles que des lésions cérébrales et des paralysies.
Trovan a été approuvé aux États-Unis en 1997, pour une utilisation sur des adultes mais pas sur des enfants. Deux ans plus tard, la Food and Drug
Administration des États-Unis a averti que le médicament pouvait causer des dommages au foie, et il a été interdit depuis.
Dans les documents judiciaires déposés à Abuja hier, le gouvernement accuse Pfizer d’avoir effectué illégalement des tests sur des enfants.
« Le plaignant soutient que le défendeur n’a jamais obtenu l’approbation des agences de réglementation compétentes … et n’a non plus, à aucun moment,
demandé ou reçu d’approbation pour effectuer des essais cliniques avant d’effectuer ces essais illégaux », a-t-il déclaré.
Un porte-parole de Pfizer à New York, Bryant Haskins, a déclaré dans un communiqué que le médicament avait été administré conformément à la loi
nigériane.
« Ces allégations contre Pfizer, qui ne sont pas nouvelles, sont hautement dangereuses et ne reposent pas sur tous les faits. Nous continuons
d’affirmer, très fermement, que le gouvernement nigérian avait été pleinement informé avant l’essai clinique ; que l’essai a été mené de manière appropriée et éthique, dans le
meilleur intérêt des patients ; et que cela a aidé à sauver des vies », a-t-il déclaré.
Pfizer a précédemment déclaré avoir obtenu « le consentement verbal » des parents des enfants concernés et que les médicaments étaient administrés d’une
manière « valable d’un point de vue médical, scientifique, réglementaire et éthique ».
Il y a deux ans, un tribunal américain a rejeté une plainte intentée par plusieurs familles nigérianes qui affirmaient ne pas avoir été suffisamment
prévenues que leurs enfants pourraient être affectés par l’antibiotique.
Une poursuite civile et pénale du gouvernement de l’État de Kano contre Pfizer a été reportée jusqu’au au mois prochain. Il réclame 2 milliards de
dollars de dommages et intérêts.
Le gouvernement nigérian demande une compensation pour le coût du traitement des victimes du test de dépistage de drogues et pour leurs familles. Il
réclame également 450 millions de dollars pour ce qu’il dit être la suspicion entraînée par cette affaire à l’égard des médicaments occidentaux.
Les autorités sanitaires du pays affirment que la controverse Pfizer est en partie responsable du refus de nombreuses familles du nord du Nigéria de
permettre à leurs enfants de se faire vacciner contre la polio. Ce qui aurait entraîné une épidémie qui s’est propagée dans différentes parties de l’Afrique. Les autorités de Kano ont
également refusé de distribuer le vaccin contre la polio.
Le covid, une plate-forme technologique pour le bioterrorisme et les armes biologiques
Source : Riposte laïque - par Jean Saunier - Le 17/06/2023.
Intervention du docteur David Martin au Parlement européen
Il y a plus d’une décennie, j’étais assis dans ce même fauteuil. A l’époque, j’avais alerté le monde sur ce qui se préparait. Nous avions discuté de la question de
savoir si l’Europe devait adopter la politique des Etats-Unis qui consiste à autoriser les brevets sur les matériaux d’origine biologique. Et à l’époque, j’ai exhorté cette institution, et j’ai
exhorté les gens du monde entier, à réaliser que la militarisation de la nature contre l’humanité avait des conséquences désastreuses.
Tragiquement, je suis assis ici aujourd’hui, avec cette phrase malheureuse que je n’aime pas dire, à savoir, « Je vous l’avais bien dit ». Nous sommes ici
pour faire face à la condition humaine et poser la question : Qui voulons-nous être ? A quoi voulons-nous que l’humanité ressemble ? Et plutôt que de voir cela comme un exercice futile, ce qui est très facile de temps en temps lorsque vous êtes dans ma position, je ne vois pas cela comme un
exercice futile. Je vois cela comme l’une des plus grandes opportunités qui s’offrent à nous, parce que nous avons maintenant une conversation publique, qui est au premier plan dans l’esprit des
gens, alors que c’était une conversation ésotérique sur les brevets biologiques dont tout le monde se fichait. Mais lorsque cette conversation est entrée dans les maisons, c’est devenu quelque
chose dont les gens peuvent se préoccuper.
Cela ne s’est pas produit au cours des 3 dernières années. Cela ne date pas des 5 ou 6 dernières années. Il s’agit en fait d’une question permanente qui a
probablement commencé ici en Europe, au début du milieu des années 1990. Mais il est certain que dès 1913-1914, cette conversation a commencé ici même, en Europe centrale. La pandémie, que nous
croyons être survenue ces dernières années, ne s’est pas non plus produite du jour au lendemain. En fait une pandémie très spécifique utilisant le coronavirus a commencé à une époque bien
différente. La plupart d’entre vous ne savent pas que le coronavirus, en tant que modèle d’agent pathogène, a été isolé en 1965. Le coronavirus a été identifié en 1965 comme le
premier modèle viral réplicable infectieux pouvant être utilisé pour modifier une série d’autres éléments de la condition humaine. Il a été isolé à une époque où il était associé au simple rhume.
Mais ce qui est particulièrement intéressant au sujet de son isolation en 1965, c’est qu’il a été immédiatement identifié comme un agent pathogène pouvant être utilisé et modifié pour toute une
série d’objectifs. C’était en 1965.
En 1966, le tout premier COV modèle de coronavirus, a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique transatlantique de manipulation humaine. 1966. Cela ne
s’est pas fait du jour au lendemain. Il s’agit là d’un événement préparé depuis longtemps. En 1966, nous avons eu la première expérience transatlantique d’échanges de données sur le coronavirus
entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Et en 1967, nous avons réalisé les premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains. N’est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans. Le
succès du jour au lendemain, d’un agent pathogène dont l’ingénierie a duré 56 ans. Où étions-nous lorsque nous avons autorisé, en violation des traités sur les armes biologiques et chimiques, où étions-nous ? En tant que civilisation humaine ?
Quand nous pensions qu’il était acceptable de prélever un agent pathogène des Etats-Unis et d’en infecter le monde entier ? Où en était cette réflexion ? Et qu’aurait dû être cette discussion en
1967 ? Cette discussion n’a pas eu lieu.
Ironiquement, le rhume a été transformé en chimère, dans les années 1970. En 1975, 1976, et 1977, nous avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus, en
l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens. Et sans surprise, en 1990, nous avons découvert que le coronavirus, en tant qu’agent infectieux, était un problème industriel pour
principalement deux industries : les industries du chien et du porc. Les éleveurs de chiens et de porcs ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux. C’est sur
cette base que Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin, à base de protéine de pointe (Spike). Brevet déposé en 1990. 1990. Opération « Warp Speed ». Où sont la pression et la vitesse ? Pfizer 1990, le tout premier vaccin à base de protéines de pointe contre le
coronavirus. N’est-ce pas fascinant ? N’est-ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et que nous venions de découvrir que c’était là le problème ? Non.
En fait, nous n’avons pas découvert le problème maintenant, nous l’avons découvert en 1990, et nous avons déposé le premier brevet sur les vaccins en 1990 contre la protéine de pointe du
coronavirus.
Pfizer, la compagnie qui n’a pas acheté les votes de cette assemblée et de toutes les assemblées de tous les gouvernements du monde. Pas ce Pfizer-là. Ils n’ont
certainement rien à voir avec cela. Oh si, ils y sont pour quelque chose. Et en 1990, ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins. Ils ne fonctionnaient pas. Pourquoi ? Le
coronavirus est un modèle très malléable, qui se transforme, change et mute au fil du temps. Et toutes les publications sur les vaccins contre les coronavirus, de 1990 à 2018, chaque publication
a conclu que le coronavirus échappe à la stimulation vaccinale, parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. Et depuis 1990 jusqu’à 2018, c’est la science
qui a été publiée. C’est ce que l’on appelle suivre la SCIENCE. Suivre la science, c’est leur propre mise en accusation de leurs propres programmes qui disaient que ça ne marchait pas. Il existe
des milliers de publications à ce sujet, qui ne sont pas payées par des sociétés pharmaceutiques. Ces publications issues de recherches scientifiques indépendantes montrent sans équivoque, y
compris les efforts de modification des chimères, réalisés par Ralph Baric à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre le
coronavirus. Et cette science n’a jamais été contestée. Cependant, une évolution intéressante s’est produite en 2002. Cette date est très importante. En effet, en 2002, l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill, a
breveté, je cite : « un clone infectieux de coronavirus dont la réplication est défectueuse ». Que signifie cette phrase ? Le terme « infectieux à réplication défectueuse » signifie
qu’il s’agit d’une arme. Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus. Et ce brevet a été déposé en 2002, sur la base de travaux
financés par le NIAID de Anthony Fauci (Institut national des allergies et des maladies infectieuses) de 1999 à 2002. Ces travaux, brevetés en Caroline du Nord, à Chapel Hill, ont mystérieusement
précédé d’un an le SRAS 1.0.
Le SRAS 1.0 ne provenait pas d’un marché clandestin de Wuhan. Il pourrait provenir d’un laboratoire de l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill. Ce sont les
faits. Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Il s’agit d’une maladie de type grippal. Il s’agit de la gastro-entérite.
C’est le coronavirus naturel. Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains, et ils l’ont breveté
en 2002. Et en 2003, surprise de taille, le CDC a breveté le coronavirus humain, en violation, une fois de plus, des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux
Etats-Unis.
Je suis très précis sur ce point. Les Etats-Unis aiment parler de leur droit et de tout le reste, de l’Etat de droit et de toutes sortes d’absurdités. Mais nous ne
ratifions pas de traités concernant la défense des êtres humains. Nous évitons ostensiblement de le faire. En fait, nous avons l’habitude de défendre les droits de l’homme, puis de les nier
lorsqu’il s’agit de faire partie de la communauté internationale, ce qui est légèrement problématique. Lorsque le CDC a déposé le brevet, en Avril 2003, sur le modèle du coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence en
provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux Etats-Unis. Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques et chimiques savent qu’il s’agit d’une violation.
C’est un crime. Il ne s’agit pas d’une erreur innocente. C’est un crime. L’office américain des brevets a rejeté cette demande de brevet à deux reprises, jusqu’à ce que les CDC décident de
corrompre l’office des brevets pour qu’il passe outre l’examinateur de brevets et délivre finalement le brevet en 2007 sur le coronavirus SRAS. Ne perdons pas cela de vue, car la RT-PCR, le test
que nous allions prétendument utiliser pour identifier le risque associé au coronavirus, a en fait été identifiée comme un acte de bioterrorisme par moi-même, lors des événements parrainés par
l’Union européenne, en 2002 et 2003. Il y a 20 ans. Cela s’est passé ici à Bruxelles et dans toute l’Europe.
En 2005, ce pathogène en particulier a été spécifiquement qualifié de plate-forme technologique pour le bioterrorisme et les armes biologiques. Il a été désigné
comme tel, ce n’est pas ma terminologie que j’utilise. Et à partir de 2005, il s’agissait d’un agent permettant de mener une guerre biologique. C’est la classification officielle depuis 2005.
Cela ressemble-t-il à de la santé publique ? Est-ce le cas ? « Technologie permettant la guerre biologique ». Cela ne ressemble pas à de la santé publique. Cela ne ressemble pas à de la médecine. Cela fait penser à
une arme conçue pour éliminer l’humanité. C’est ce que l’on comprend. Et cela ressemble à cela parce que c’est exactement ce que c’est.
On nous a fait croire que Eco Health Alliance (Alliance Eco-Santé), le DARPA et toutes ces organisations sont ce que nous devrions surveiller, mais on nous a
spécifiquement demandé d’ignorer les faits, à savoir que plus de 10 milliards de dollars ont été acheminés par le biais d’opérations secrètes, grâce au chèque d’Antony Fauci, et à un registre
comptable parallèle, dans lequel le NIAID présente un bilan, et à côté, il y a un bilan de biodéfense équivalent dollar pour dollar, dont personne dans les médias ne parle. Et cela dure depuis
2005.
Notre moratoire sur le gain de fonction était censé geler tout effort de recherche sur le gain de fonction. Comme par hasard, à l’automne 2014, l’université de
Caroline du Nord, Chapel Hill, a reçu une lettre du NIAID disant que le moratoire sur le gain de fonction sur le coronavirus in vivo devait être suspendu. Mais comme leurs subventions avaient
déjà été financées, ils ont reçu une exemption. Un laboratoire d’armes biologiques de l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill a bénéficié d’une dérogation au moratoire sur le gain de
fonction. De la sorte, en 2016, il a été possible de publier l’article indiquant que le SRAS coronavirus était prêt à émerger chez l’homme. C’était le WIV1 : virus de l’institut de virologie de Wuhan. Prêt à émerger chez l’homme en 2016, dans le cadre des travaux de l’Académie nationale des
sciences.
Conséquence. En 2017-2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : « Il va y avoir une libération accidentelle ou
intentionnelle d’un pathogène respiratoire ». Le mot clé de cette phrase est le mot « libération ». Cela ressemble-t-il à une fuite? Est-ce que cela ressemble à une chauve-souris
et à un pangolin qui seraient entrés dans un bar du marché de Wuhan, auraient traîné ensemble, eu des relations sexuelles ? Et ainsi, nous aurions le SRAS COV 2 ? Non. Le terme « libération
accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé quatre fois en Avril 2019. Sept mois avant le soi-disant patient numéro un, quatre demandes de brevet de
Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire », afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour
une chose qui n’existait pas.
Veillez à ce que chaque enquête fasse référence à la nature préméditée de cette affaire. En Septembre 2019, le monde a été informé que nous allions avoir une
libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire. De la sorte, en Septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un modèle de vaccin universel. Ce sont leurs
mots. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le coronavirus pour y parvenir. On peut lire : « En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente, et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignoré, pour maintenir la base
de financement au-delà de la crise, nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales, telles qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus. Les
médias sont un vecteur essentiel, et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer aux vrais problèmes. Les investisseurs
réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus ».
Cela ressemble-t-il à de la santé publique ? Cela ressemble-t-il au meilleur de l’humanité ? Non. Il s’agit d’un terrorisme domestique prémédité, déclaré dans les actes de l’Académie nationale des sciences en 2015, publiés devant eux. Il s’agit d’un acte de
guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine. Il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un hold-up financier et d’une fraude financière : « Les investisseurs suivront s’ils voient un profit à la fin du processus ».
Concluons en formulant cinq recommandations très brèves. La nature a été piratée. Toute cette histoire a commencé en 1965, lorsqu’ils ont détourné et manipulé un modèle naturel. La science a été piratée. Les seules
questions qui pouvaient être posées étaient des questions autorisées, sous la protection des brevets des CDC, de la FDA, du NIH, et de leurs organisations équivalentes dans le monde entier. Nous
ne disposions pas d’une science indépendante, mais d’une science détournée. Et malheureusement, il n’y a pas eu de contrôle moral, en violation de tous les codes que nous défendons. Aucun comité
d’examen indépendant, financièrement désintéressé, n’a jamais été mis en place autour du coronavirus. Pas un seul. Pas depuis 1965. Aucun IRB indépendant (Commission de revue institutionnel) n’a
jamais été mis en place sur le coronavirus. La moralité a donc été exclue des contre-mesures médicales.
En fin de compte, l’humanité a été perdue parce que nous avons décidé de permettre que cela se produise. Notre tâche aujourd’hui est de dire : Fini la recherche sur le gain de fonction. Un point c’est tout. Fini la militarisation de la nature. Un point c’est tout. Plus de mécénat de la science, par les entreprises dans leur propre intérêt, à moins qu’elles n’assument à 100% la responsabilité du produit pour
chaque effet secondaire et chaque décès qu’elles provoquent.
Retranscription d’une vidéo du docteur David Martin.