La communauté scientifique sait que le «vaccin» est un désastre mais comment le faire oublier et éviter le plus grand scandale sanitaire de tous les temps
Quand des scientifiques de Moderna manifestent leurs inquiétudes et quand un rapport secret déclassifié de Pfizer fait apparaitre LES DANGERS du
produit.
La communauté scientifique n’ignore plus rien, Big Pharma veut tourner la page très vite et investir dans les effets secondaires… Seuls les journalistes
et les politiques ferment encore les yeux.
1. Les scientifiques
appellentà l’arrêt des
injections
«De plus en plus
de scientifiques & médecins ouvrent les yeux : ce «vaccin» a été préparé sans aucune norme de qualité, a propagé l’épidémie, n’apporte aucune protection & est dangereux voir
mortel Il faut retirer ce produit expérimental du marché».
Notre compréhension des vaccinations contre la COVID-19 et de leur impact sur la santé et la mortalité a considérablement évolué depuis les premiers
déploiements de vaccins.
Les rapports publiés sur les essais randomisés originaux de phase 3 ont conclu que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 pourraient réduire
considérablement les symptômes de la COVID-19. Entre-temps, des problèmes sont apparus concernant les méthodes, l’exécution et les rapports de ces essais pivots.
Une nouvelle analyse des données de l’essai Pfizer a identifié une augmentation statistiquement significative des événements indésirables graves (EIG)
dans le groupe vacciné. De nombreux EIG ont été identifiés à la suite de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), notamment des décès, des cancers, des événements cardiaques
et divers troubles auto-immuns, hématologiques, reproductifs et neurologiques.
De plus, ces produits n’ont jamais été soumis à des tests de sécurité et toxicologiques adéquats, conformément aux normes scientifiques préalablement
établies. Parmi les autres sujets majeurs abordés dans cette revue narrative figurent les analyses publiées sur les dommages graves causés aux humains, les problèmes de contrôle
qualité et les impuretés liées aux processus, les mécanismes sous-jacents aux événements indésirables (EI), les bases immunologiques de l’inefficacité des vaccins et les tendances de
mortalité basées sur les données de l’essai d’enregistrement.
Le déséquilibre risque-bénéfice étayé par les preuves disponibles à ce jour contre-indique d’autres injections de rappel et suggère qu’au minimum, les
injections d’ARNm devraient être retirées du programme de vaccination des enfants jusqu’à ce que des études de sécurité et toxicologiques appropriées soient menées.
L’approbation par l’agence fédérale des vaccins à ARNm contre la COVID-19 sur une base de couverture générale à l’échelle de la population ne s’appuyait
pas sur une évaluation honnête de toutes les données d’enregistrement pertinentes et sur une considération proportionnelle des risques par rapport aux avantages.
Compte tenu du nombre important et
bien documenté d’effets indésirables graves et du rapport préjudice/récompense inacceptablement élevé, nous exhortons les gouvernements à approuver un moratoire mondial sur les
produits à base d’ARNm modifiés jusqu’à ce que toutes les questions pertinentes relatives à la causalité, à l’ADN résiduel et à la production aberrante de protéines soient
résolues.
2. Vous n’ignorez plus que la
justice américaine a déclassifié plusieurs milliers de documents secrets de Pfizer. Ainsi deux rapports intermédiaires de suivi des effets secondaires
Une simple analyse présente des bizarreries. On découvre ainsi que le suivi comparatif des vaccinés et des non vaccinés débute pour les décès 14 jours
après la 2ème dose pour les premiers et dès le premier jour pour les non vacc. Tout est donc faussé…
Sauf les comparaisons sur une longue période pour les autres effets secondaires et alors entre la deuxième dose et le 100ème jour c’est l’explosion des
effets secondaires :
Données cumulées entre le 100 et
le 200ème jour post vacc. Deux fois plus de crises cardiaques chez les vaccinés.
Données cumulées sur 200 jours.
Deux fois plus de problèmes reinaux pour les vaccinés
Données cumulées autant de cas de
covid pour les vacc que pour les non-vacc sur 200 jours
3. Des scientifiques travaillant
pour Moderna confirment les problèmes liés à la plateforme ARNm
Et c’est publié en 2024 dans Nature Reviews
Drug DiscoveryStratégies pour réduire les
risques de toxicité des médicaments à ARNm et des vaccinscc
Le professeur Alain Fisher, docteur en médecine, professeur
d’immunologie pédiatrique, chercheur en biologie, Monsieur Vaccin du gouvernement, parle des vaccins contre le covid dans une excellente petite vidéo :
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y va pas par quatre
chemins : il ne le dit pas aussi carrément, mais on ne peut que conclure qu’il ne faut pas se faire vacciner !
Dans cette vidéo, Jean Castex le présente aux ministres lors d’une
conférence de presse le 3 décembre et Alain Fisher doit parler des vaccins et de la stratégie qui va être appliquée, mais en préambule il fait une mise en garde tellement étonnante, tellement
énorme, sous les yeux ahuris de Castex qui ne sait comment réagir et est complètement pris au dépourvu, ce qui montre son manque de finesse…
Alain Fisher commence par dire
que la vaccination est un espoir, ce que personne ne nie, mais continue ainsi : « les nouvelles qui sont arrivées des industriels qui ont développé ces vaccins, au cours des deux ou trois dernières semaines, sont
encourageantes… » au cours des deux ou trois dernières
semaines seulement ?… Quant on sait que l’élaboration de certains vaccins a pris des années, il y a de quoi frémir devant tant de précipitation à nous infliger un vaccin absolument
inconnu.
Il continue à se montrer inquiétant, en disant qu’avant de
détailler ces vaccins, il nous incite tous à appliquer « une notion de prudence ». Puis il précise pourquoi il faut rester prudents, en résumé :
1) Nous n’avons pour l’instant que des communiqués de presse des
industriels. Aucune communication scientifique, ce qui est quand même gênant. Monsieur Vaccin n’a encore rien lu sur le sujet, même si ces communications scientifiques vont sûrement
arriver…
2) Le recul, sur l’efficacité, la sécurité, les évaluations, ne
dépasse pas deux à trois mois. Affirmation qui manque de clarté, d’ailleurs.
3) Les données ne sont pas complètes, par exemple au sujet de son
efficacité sur les personnes âgées et sur les personnes atteintes de maladies chroniques.
4) On ne sait pas encore si le vaccin protège l’individu contre
l’infection par le virus et contre la transmission du virus et il faudra plusieurs mois pour avoir les informations.
Mais tout va très bien, Madame la marquise. Puisqu’on
vous dit qu’on va être prudents. On va se prendre par la main et sauter tous ensemble, les yeux bien fermés dans le grand inconnu, vous verrez, tout ira bien. Enfin vous, surtout, allez sauter : ni les ministres, ni
Choupinet, ni Brizitte, ni Blachier le piqueur fou, ni la multi-subventionnée Karine Lacombe n’ont encore indiqué s’ils allaient se faire vacciner. N’est pas qui veut la reine
d’Angleterre.
Mais on va quand même, puisqu’il en a été décidé ainsi, vacciner les
personnes âgées dans les Ehpad. C’est du cheptel, euh pardon du matériel médical, euh encore pardon, ce sont des personnes qui sont toutes indiquées pour servir de cobayes. Elles mourront
sans rien dire (espère-t-on).
En Russie, on a interdit aux personnes de plus de soixante ans de se
faire vacciner.
Et après les personnes âgées qui, il faut bien le dire, sont en état
de faiblesse (il y a un délit pénal sanctionnant les abus de faiblesse, l’article 223-15-2, qui en punit les auteurs de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende), à qui le
gouvernement va-t-il s’attaquer ? Aux femmes et aux enfants ? Aux « sans-dents » ? À « ceux qui ne sont rien » ? aux Français de souche ? À ceux qui coûtent un « pognon de dingue »? Aux
employés bretons “illettrés” selon Macron des abattoirs Gad ?…
Pascal Praud, sur CNews,
effaré, a commenté ainsi cette vidéo : « c’est un gag ?
Vous allez vous faire vacciner, vous ? »
En
effetcette intervention est complètement glaçante. On ne sait même
pas comment ont réagi les ministres, comment a réagi Jean Castex, et si le professeur Fisher l’a fait exprès ou non. Après une telle déclaration, va-t-il rester Monsieur Vaccin
?…
Ensuite sur la vidéo, le professeur Fisher détaille les divers
vaccins ; il est clair qu’avec les vaccins avec ARN injecté, on saute dans le vide sans parachute. Ce ne sont plus des vaccins, mais des thérapies géniques, et cela n’a jamais été expérimenté
sur l’homme. Ces manipulations sont assez inquiétantes.
On ne sait rien sur les effets
secondaires, ni sur les effets à long terme. Il y a eu en
Angleterre, chez les personnes qui ont été récemment vaccinées, des cas de paralysie des membres inférieurs, heureusement guéris mais s’ils ne l’étaient pas ? Il y a eu aussi des cas de
paralysie faciale temporaire, de fièvre, etc.
Il faut arrêter cette course criminelle au vaccin. Un vaccin ne doit
être mis sur le marché que lorsqu’on l’a suffisamment testé, vérifié, sécurisé, ce qui n’est pas le cas. On nous a assommés avec l’hydroxychloroquine avec laquelle le professeur Raoult
n’aurait pas suivi tous les protocoles, que dire des vaccins contre le covid ? Habituellement la fabrication d’un vaccin prenait des années.
Mais on assiste aujourd’hui à la course au fric. Les industriels du
médicament ont un appétit de plus en plus énorme. Et ils arrosent autour d’eux. C’est devenu une vraie mafia. Une mafia qui vit à nos crochets et qui a l’aval des gouvernements et vice versa.
Ils se tiennent par la barbichette.
Une mafia qui est sans conscience et on sait ce que vaut une science
sans conscience. Il faudra, quand on sera revenus à la raison, légiférer pour imposer une éthique à Big Pharma. Pour que l’homme soit remis à sa juste place. Il est encore permis de
rêver…
Sophie Durand
Et si la résistance refusait un test PCR inutile et trompeur ?
Au fur et à mesure que l’absence de fiabilité du test PCR imposé comme grand arbitre de nos vies, les dirigeants ne sachant que décliner le nombre de positifs du
jour pour imposer des mesures de plus en plus liberticides et grotesques, chacun a bien compris l’heure à laquelle se couche le coronavirus et peut en déduire seul son comportement…
Et si chaque professeur, chaque employé, chaque étudiant acceptaient de réfléchir à ce qu’on veut lui faire faire et ne pas accepter passivement, au nom de la loi
du moindre ennui immédiat ? Nous avons reçu cette petite lettre qui montre bien que le plus difficile est sûrement le début de la révolte, le reste va suivre. Cette enseignante du nord de la France nous raconte son combat solitaire au creux de la nuit sur internet et les décrets successifs.
Histoire d’un dépistage refusé …
Je suis enseignante pour quelques heures d’arts plastiques dans un collège, le reste de mon temps je le passe dans mon atelier.
La première semaine de décembre, trois élèves ont été testés positifs. Prévenue par mon directeur, je devais rester isolée 7 jours comme 12 de mes collègues !
Nous devions tous nous faire tester, démarche que je refusais depuis le début ; étant donné que tout acte médical doit être
consenti. Durant une semaine, j’ai mal dormi (2h00 à 4h00 par nuit) passant mon temps entre la recherche des textes de lois, le code du travail, les Droits de l’Homme et du citoyen, le protocole
de l’Education Nationale et la méditation afin d’ôter ce sentiment de stress ressenti ; car j’avais la ferme intention de refuser.
J’ai donc reçu de la part du médecin scolaire un courrier de l’assurance maladie, sous couvert du médecin scolaire, m’indiquant
la date à laquelle je devais réaliser le test.
Voici quelques extraits du courrier : « vous êtes identifiée comme cas contact à risque », « vous devez
appliquer les mesures suivantes », vous devez rester isolée », « vous devez être dépistée » …etc. Je pensais donc à mes 12 collègues qui ont reçu le même courrier, qui eux
feraient tous le test, dans la peur de dire non, la peur du test, la peur du résultat. C’est une machine d’état bien huilée pour semer le trouble dans les esprits, afin de rentrer dans le rang.
Mais j’étais la 13e… la treizième qui contrairement aux douze premiers,
allait dire NON !
Le jour où je devais réaliser le test, j’ai contacté par téléphone le Dr Nicole Delepine, nous nous étions contactées par mail
auparavant, après une discussion franche et joyeuse, elle approuvait mon refus et me trouva suffisamment solide pour me lancer dans la bataille et faire ce pas de côté pour sortir du
rang !
Quelques minutes pour me recentrer et parler avec justesse, j’appelais le médecin scolaire en lui expliquant mon refus. Je lui
ai demandé s’il connaissait le droit, j’ai senti un grand étonnement de sa part et un silence ; j’ai donc cité les articles de loi et lui ai posé plusieurs questions sur les incohérences de
l’isolement. Nous avons été tous isolés un vendredi, alors que pour certains d’entre nous, du mardi au jeudi nous avons continué à fréquenter nos élèves, nos collègues, notre famille ; et
continué à circuler. Je lui ai évoqué que la machine mise en place allait à l’encontre des droits de l’homme et du code du travail ; il a bredouillé !
Enfin, il a essayé quelques menaces sur le fait que le virus : « je pouvais l’avoir attrapé et qu’on ne le savait que
grâce au test ; que c’était un virus dont on ne savait pas grand-chose, et qu’il était plus prudent de faire un test ». Discours formaté de la médecine scolaire !
J’ai informé le directeur de mon établissement, qui n’a émis aucun avis, le collège étant fermé durant 4 jours il était, je
pense plus préoccupé de sa réouverture.
Pour conclure, je suis ravie d’avoir refusé. Ils ont mis en place une machine dont les rouages ont néanmoins quelques
failles : le médecin scolaire signe et envoie tous les documents par mail, l’éducation nationale n’intervient à aucun moment (ni nom, ni courrier), elle se décharge totalement sur le
médecin, le courrier de l’assurance maladie est également signé par le médecin scolaire. Le contact tracing est indiqué, mais c’est vous qui devez appeler l’assurance maladie !
Finalement, ils ne connaissent pas les textes de loi, vous pouvez refuser car ils n’ont que peu d’arguments, ils instaurent la
peur que vous devez défier ; leur mise en scène est opérante, je suis la seule à avoir résisté et vous invite à faire de même ! »
Merci à cette dame et son acte de résistance qui sera probablement contagieux, d’autant que ceux chez lesquels nous avons ensemble réussi à ouvrir une petite faille
iront peut-être chercher les informations ailleurs que chez les décodeurs de France info qui commencent à en faire trop.
En effet il est de plus en plus clair que les tests PCR sont une supercherie sur laquelle a été montée la scénario catastrophe du covid depuis janvier 2020,
utilisée pour imposer dans le monde des mesures liberticides permettant aux gouvernements aux ordres de l’OMS, de priver les peuples de leur liberté d’agir et de ruiner les classes moyennes dans
l’espoir d’une remise à zéro de l’économie mondiale au profit des et des GAFA grandes entreprises mondialisées.[1] La fraude sur les tests PCR est mise en évidence par
de nombreux spécialistes dans le monde qui ont demandé la rétractation de l’article princeps de Drosten et al paru en janvier 2020 et adopté par l’OMS quelques jours plus tard, et dévoilé aux
peuples la gravité de la tricherie sur l’interprétation des tests.[2]
Cela fait des mois que les avocats allemands, portugais, américains ainsi que des groupes nombreux de médecins et scientifiques de très nombreux pays avertissent
sur le caractère fallacieux des tests PCR de Drosten mis sur le marché du covid en janvier 2020 par les autorités soumises à l’OMS.
Depuis cette date, les 194 pays ayant signé en 2017 l’accord du Conseil mondial de l’OMS, suivent, sauf exception résistante comme la Suède, les consignes de ce
Conseil qui se déclarent supérieures aux traités nationaux et internationaux en cas de pandémie. L’OMS a déclaré le covid pandémie (en modifiant les critères antérieurs). Le tour était joué. Et
récemment on voit des pays assez résistants aux consignes de l’OMS rentrer dans le rang au moins un peu comme l’Allemagne ou les Pays bas qui malgré l’absence de véritable vague, réimposent des
mesures liberticides pompeusement appelées confinement (alors qu’heureusement ils n’empêchent par leur citoyen de circuler librement).
Récemment les preuves scientifiques d’une fraude dans les résultats de l’article initial sur le test PCR de Drosten et Cie ont été mises au grand jour, comparable à
l’escroquerie monstrueuse du Lancet sur la chloroquine qui révéla au monde l’absence de fiabilité des grandes revues internationales. La requête pour le retrait de l’article a été publiée.
Le château de cartes s’écroule si on met en évidence la fraude des tests PCR
L’histoire internationale en est donc à exiger que les tests PCR disparaissent des critères qui servent à justifier le confinement, les masques, les vaccins et à
casser l’économie sous prétexte de protéger la population.[3]
On peut supposer une évolution relativement rapide, mais les médias aux ordres des mondialistes en train de bâtir leur gouvernement mondial imaginaire et même d’en
choisir les ministres sont évidemment très puissants dans la désinformation quotidienne, les menaces sur des lanceurs d’alerte médecins[4] qui se voient rapidement interdit d’exercice, et
intimidations fortes de journalistes indépendants.
Le combat juridique de Reiner Fuellmich sera donc au cœur de la contestation suivi par les avocats du monde entier dont bientôt la France. Certains avocats comme
Virginie Araujo[5] ont analysé en détail la situation et pourront s’unir
pour libérer notre pays de ces mesures profondément antidémocratiques contre un virus qui n’a pas tué plus que la grippe asiatique et qui de surcroit peut être soigné avec succès par divers
traitements précoces dont l’hydroxychloroquine et l’azithromycine mais aussi d’autres possibilités.
Chacun, comme notre professeur peut se battre là où il est, montrer que la soumission n’est pas obligatoire, et qu’au contraire la résistance est nécessaire pour
sortir de ce guêpier et que notre pays applique à nouveau sa devise LIBERTE.
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa
liberté, pour exiger le retour de la démocratie (ce qui n’est pas encore le cas au Canada. NDLR).
En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur
les vaccins,
je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de «complotiste»
ou mieux de «rassuriste»,
termes désignant ceux qui critiquent la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de
ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais
l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État (ce qui est aussi le cas au Canada au service de Big Pharma. NDLR) https://les7duquebec.net/archives/260091
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première
(sic). Le Ministre de la Santé, le Dr
Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous
ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés (resic). Même le Président de la
République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement,
nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr
Arnaud Fontanet de Pasteur.
Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant
l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.
L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact. Or l’épidémie
régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la
vague épidémique terminée (même observation au Canada. NDLR).
Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité
collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.
Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à
la baisse avait commencé avant même sa mise en place.
La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu. Malheureusement, il y a encore des décès qui
surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà
invalidantes.
Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les
traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le
traitement précocément. https://les7duquebec.net/archives/260691
Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans
ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ?
Aucun. Cette
vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et
l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour.
Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse (ce qui était l’objet de
ces communiqués patentés. NDLR).
Le pire est que les premiers « vaccins >>
qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie
génique. https://les7duquebec.net/archives/260847
On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient
trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARNm,
mais il existe des projets avec l’ADN.
Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit
des temps des rétrovirus dits « endogènes >> intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple),
mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection
pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes,
de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et
prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des
laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais
qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.
C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.
Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique
vaccinale.
Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et
par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.
Les vaccins « thérapie génique » anticovid, une manne de milliards de dollars
et une plainte pénale
Plainte pénale de reaction19 contre la thérapie génique abusivement appelée vaccin anticovid
L’association Reaction19fr et son fondateur ont déposé le 16 décembre une plainte pénale contre X [1] contre la thérapie génique abusivement appelée « vaccin » que la propagande mondialiste tente de faire admettre aux peuples comme la seule solution pour espérer
retrouver une vie normale. Que nenni, il ne s’agit que d’une arnaque mondiale pour générer des profits monstrueux, renflouer les banques et pendant ce temps ruiner les classes moyennes au nom
d’une épidémie construite sur une fausse pandémie et rendue destructrice par des mesures liberticides prétendument sanitaires.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’ASSOCIATION REACTION19
L’association Loi 1901, REACTION19 qui compte 40.000 adhérents et représentée par
monsieur Carlo Alberto BRUSA son président, et monsieur Riccardo MEREU, coprésident, informe par le présent communiqué de presse, du dépôt de ce jour, d’une plainte pénale article 40 du Code de
procédure pénale, auprès du procureur de la République de Paris, contre l’usage qui est envisagé pour la population des vaccins dénommés ARN Messager.
La plainte vise les délits qui suivent :
– Délit de mise
en danger délibérée de la vie d’autrui
– Art. 223-1 du
Code pénal
– Délit de
tromperie aggravée
– Article L213-1
et L213- du Code de la consommation
– Délit d’abus
de faiblesse
– Article
223-15-2 du Code pénal
– Délit
d’extorsion aggravée
– Art. 312-2 du
Code pénal.
Elle sera ainsi instruite selon les formes légales en la matière par le parquet et
le cas échéant par le juge d’instruction saisi d’une plainte avec constitution de partie civile à défaut d’enquête préliminaire ouverte par le procureur général.
Les plus hautes autorités de l’État français, ainsi que l’ensemble des députés et
sénateurs seront informés du dépôt de cette plainte, afin que chacun saisisse les responsabilités pénales qui pourront être retenues pour les complices de ces délits.
Fait à Paris le 16 décembre 2020
Ass. RÉACTION 19 63, Rue la Boétie 75008
Paris www.reaction19.fr
Arnaque médicale et financière
Ce pseudo-vaccin mis sur le marché en dehors de toutes les procédures de sécurité habituelles en raison d’une pandémie qui tue moins de 0,001 de la population
française et 0,0003 des Allemands est une énorme arnaque financière avec les millions de dollars déjà récoltés en Bourse par les patrons des laboratoires fabricants.
C’est aussi une tricherie scientifique puisque les médecins et autres professions médicales ne disposent que des communiqués de presse des laboratoires sans aucune
démonstration de l’efficacité de ces drogues mises à la hâte sur le marché, ni des effets secondaires à court, moyen et long terme.
COMMENT COMPRENDRE CETTE EXCITATION PRO-VACCINALE : L’ARGENT
Et comme nous, citoyens lambda, n’avons aucune idée des sommes en jeu, nous partagerons ici quelques informations de globalresearch.ca
Big Pharma et big profits : Le marché des vaccins de plusieurs milliards de
dollars [2]publié pour la première fois le
27 janvier 2016
« L’activité vaccins va bientôt devenir une source majeure de profits pour les plus grandes sociétés pharmaceutiques du
monde. Un communiqué de presse (Business Wire, 21 janvier 2016) publié par marketwatch.com indique que Technavio, l’une des principales
sociétés de recherche et de conseil technologiques au monde, prévoit que les sociétés pharmaceutiques qui produisent des vaccins atteindront des
bénéfices estimés à 61 milliards de dollars d’ici 2020.
Aujourd’hui, le marché des vaccins vaut près de 24 milliards de dollars (2016) Le rapport intitulé « Global Human Vaccines
Market 2016-2020 » donne une « analyse approfondie » des revenus possibles et des « tendances des marchés émergents » à l’échelle mondiale »
L’introduction de nouveaux produits alimente la croissance du
marché. Il existe deux types de vaccins humains, thérapeutique (cancer, troubles métaboliques, maladies chroniques et
maladies infectieuses) et préventif (vaccinations pédiatriques en particulier) qui sont estimés à 55 milliards de dollars dans le monde
entier. Le magazine Atlantic a publié en 2015 un article intitulé « Les vaccins sont rentables, et alors
? » [3].
Qu’est-ce qui a motivé les sociétés pharmaceutiques à se concentrer sur le marché des
vaccins au cours de la dernière décennie, selon The Atlantic ?
Depuis 2000, l’Alliance Gavi a vacciné 500 millions d’enfants dans les pays pauvres. GlaxoSmithKline a indiqué que 80 pour cent des doses de vaccin fabriquées
en 2013 sont allées aux pays en voie de développement. Les vaccins vont aussi faire des profits dans les pays à revenu élevé : représentant 82 % des ventes mondiales de vaccins en
valeur, selon l’Organisation mondiale de la santé.
Deux vaccins « blockbuster » ont envahi le marché :
Conjugué pneumococcique pour la méningite et autres infections bactériennes,
Vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) dont le Gardasil.
Merck est le seul géant pharmaceutique autorisé à produire et à vendre le vaccin contre la rougeole Prodquad et le MMR II (également utilisé pour la rougeole, les
oreillons et la rubéole) et Varivax, un vaccin contre la varicelle. Selon
Lam de « the atlantic », les trois vaccins combinés se sont élevés à plus de 1,4 milliard de dollars de bénéfices de ventes pour Merck en 2014.
Le très controversé vaccin contre le papillomavirus Gardasil a également rapporté 1,7 milliard de dollars de profits à
Merck.
Un porte-parole de Merck a déclaré à The Atlantic que les vaccins demeuraient l’un de ses principaux domaines d’intérêt — il a généré des ventes de 5,3 milliards de
dollars en 2014.
Les analystes disent que la marge bénéficiaire est « entre 10 et plus de 40 pour cent.
»
Le couple milliardaire Bill et Mélina Gates a promis au moins 10 milliards de dollars pour les programmes mondiaux de vaccination censés lutter contre la polio et
la rougeole, c’est là que Merck & Co ont leur maximum de profit. Il est également connu que Bill Gates a nommé l’ancien président et chef de la direction de Merck, Raymond Gilmartin au
conseil d’administration de Microsoft où il est resté plus de 11 ans avant sa retraite en 2012.
En 2015, Brandy Vaughan, (qui vient de décéder brutalement) ancienne employée et dénonciatrice de Merck, s’est prononcée contre le projet de loi SB277 sur
l’obligation vaccinale de l’État de Californie et a déclaré : les États-Unis donnent plus de vaccins à leur peuple que tout autre pays dans le monde. Notre programme pour les moins d’un an
comporte deux fois plus de vaccins que les autres pays développés et le taux de mortalité infantile le plus élevé de tous les pays
développés.
Le Mississippi a le taux de vaccination le plus élevé des États-Unis – le taux de mortalité infantile le plus
élevé.
Évidemment cette lanceuse d’alerte célébrée aujourd’hui sur les réseaux sociaux à la suite de sa mort brutale et suspecte n’était pas étonnée que les grands médias
ne communiquent pas ces données pourtant importantes dans le choix que devrait pouvoir faire chaque parent pour le destin de son enfant.
En résumé le vaccin est le médicament pharmaceutique à marge bénéficiaire la plus élevée sur le marché.
Le plus grave est que la sécurité vaccinale est faible car les vaccins sont les seuls produits aux États-Unis qui n’entraînent pas de responsabilité pour le
laboratoire fabricant depuis 1986 ! les poursuites se font devant l’État qui le cas échéant indemnise les victimes. Les laboratoires ne sont donc pas incités à investir pour améliorer la sécurité
de leurs vaccins
Dans le monde, il y a des poursuites judiciaires en raison de complications graves et décès post-Gardasil : en Espagne, au Japon, et en France.
Le vaccin contre la grippe a été retiré du marché pour cinq ans en Australie après des décès et des complications post-vaccinales.
Le Dengvaxia a été retiré du marché aux Philippines après l’explosion de formes graves (dont une centaine de morts) post-vaccinales et de multiples procès sont en
cours contre les responsables de ce fiasco.
Prevenar a été interdit en Chine. Le programme de vaccination de Pfizer y a été supprimé. La France vient de sortir le rotavirus de son programme après des décès et
des accidents infantiles.
Avec une prévision de 61 milliards de dollars de ventes prévues, de nouveaux vaccins seront développés pour presque n’importe quoi.
« L’acteur et humoriste Jim Carrey a déclaré que « 150 personnes meurent chaque
année d’être frappé par la chute d’une noix de coco. Ne vous inquiétez pas, les fabricants de médicaments développent un vaccin ». Avec 271 vaccins en production, les commentaires de Jim Carrey,
qui ont été critiqués par les médias traditionnels, ne sont peut-être pas si farfelus que cela, après tout ».
Nicole Delépine
Ancien Interne
et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, elle s’est successivement spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux et a présenté de nombreuses
communications dans les congrès internationaux. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux. La réputation internationale
de son équipe médicochirurgicale associant la chimiothérapie de pointe individualisée et la chirurgie conservatrice mise au point et développée par le Dr Gérard Delépine depuis les années 80 est
considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles. Cette renommée internationale a permis à cette petite équipe créatrice et indépendante de résister au long des décennies aux
représentants de la pensée unique et de la médecine purement normative qui ont tenté de la faire disparaitre à plusieurs reprises. Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents, des
interventions répétées des élus de la région parisienne et autres, des reportages multiples de journalistes, du soutien de nombreux médecins français et étrangers que cette équipe a pu résister à
ses détracteurs. Elle publie régulièrement des tribunes dans différents médias. Elle a publié quatre livres chez Michalon : Neuf petits lits au fond du couloir 2000 Ma liberté de soigner 2006 La
face cachée des médicaments 2011 Le cancer un fléau qui rapporte 2013
On sent bien, quelque part, que ça démange. Obliger, interdire, c’est un peu une drogue dure dont on a du mal à se passer, une fois qu’on y a goûté. Il est
rare, en effet, aujourd’hui, que, dans une loi, les mots « obligation » et « interdiction » n’apparaissent pas. En gros, et pour caricaturer, ce qui n’est pas obligatoire a des chances d’être
interdit et ce qui n’est pas interdit d’être obligatoire ! Il suffit de faire un détour dans le parc d’attractions de l’écologie punitive pour s’en convaincre.
Pour l’instant, on s’interdit d’obliger les gens à se faire vacciner contre le Covid-19. Le Président l’a dit, le vaccin ne sera pas obligatoire. Il l’a dit, on
ne va donc pas revenir là-dessus. En revanche, on entend, ici et là, que, faute de pouvoir obliger, on pourrait interdire. Interdire d’aller ici, interdire d’aller là. Plus subtil. Vous ne
voulez pas vous faire vacciner ? Comme vous voulez, c’est vous qui voyez. Un petit détail, cependant…
Dans cet esprit, la semaine dernière, sur le plateau de CNews, Patrick Vignal, député macroniste de l’Hérault, déclarait qu’il faudra bien que les non-vaccinés assument. On est, là, non pas dans l’obligation légale mais dans l’injonction morale. Va falloir assumer, mon gars ! Plus subtil, on vous
dit. Pour un peu qu’à l’école, les enfants reçoivent la bonne parole… Le soir, ce sera la leçon de morale tirée du cartable faite aux parents par les enfants. Dans un monde à l’envers, c’est
normal. On connaît déjà ça pour tout un tas d’autres causes nobles : la lutte contre le réchauffement climatique, le racisme, le sexisme, etc. Comment, Papa, tu te fais pas vacciner ! Mais ce
n’est pas citoyen-responsable, qu’elle a dit, la maîtresse. Le spot publicitaire est peut-être même déjà en construction.
Tout aussi subtile, la proposition de Valérie Six, députée UDI du Nord. Lors du débat sur la « stratégie vaccinale », à l’Assemblée nationale, mercredi 16
décembre, elle a carrément proposé la création d’un « passeport vert » pour les personnes vaccinées. Pourquoi vert ? On se demande. C’est tendance, actuellement. En tout cas, un document qui
permettrait d’accéder aux restaurants et lieux de culture. Et pourquoi pas pour éviter de faire la queue à la caisse du supermarché ? Femmes enceintes, invalides de guerre et du travail, passez derrière, j’ai mon passeport
vert ! Des bons de réduction à récupérer en caisse centrale sont envisageables.
Cette proposition n’a pas manqué de faire réagir sur les réseaux sociaux. Lionnel Luca, maire de Villeneuve-Loubet, dans les Alpes-Maritimes, et ancien
député LR : « Et pourquoi pas un signe distinctif sur le vêtement… pour être tout
de suite identifié. » Suggestion qui se tient et moins politiquement incorrecte qu’un signe distinctif pour les non-vaccinés. Florian Philippot, lui, évoque « la fausse liberté vaccinale ». L’ancien sénateur centriste de Paris Yves Pozzo di
Borgo dénonce, de son côté, « la dérive du centrisme plein de bonne volonté qui
confine à la bêtise ». Des anonymes font aussi remarquer que les restaurants seront déjà bien heureux, lorsqu’ils rouvriront, d’accueillir des clients et qu’ils auront autre chose à
faire que de les trier entre vaccinés et non-vaccinés.
Cette proposition, au regard du respect des libertés individuelles, semble être vouée à rejoindre le catalogue des fausses bonnes idées, mais elle en dit long
sur ce qui peut se passer dans la tête de certains législateurs. On ne dira jamais assez les dégâts collatéraux causés par cette pandémie.
Attention danger ! Encore un vaccin qu’ils veulent imposer aux enfants sans justification sanitaire réelle
Peur du chômage ? Reconversion en Angleterre loin de l’UE ? Qui sait… En tous cas on ne peut qu’être sidéré par la lettre très officielle déposée sur le site de la
direction générale de la Santé et signée de son directeur ! Décidément cette équipe dirigeante est très douée pour nous surprendre [1]
Le cadeau de Noël du directeur général de la Santé aux enfants
Tellement dépité de ne pouvoir vacciner les enfants dès maintenant par son fameux vaccin miracle anticovid, surnommé pseudo-vaccin pseudo-miracle anti-quelque
chose, notre Jérôme national auquel les plateaux télé doivent manquer a signé le message suivant disponible sur le site officiel du ministère de la Santé.
Le grand ordonnateur de notre santé et de celle de nos enfants veut in fine imposer une vaccination antigrippale aux enfants qui n’en ont pourtant aucun besoin.
Même si la grippe tue chaque année moins d’une dizaine d’enfants (les immunodéprimés en règle) en France sur 10 millions de moins de 15 ans, on ne voit pas au nom de quoi (sauf de l’idéologie
stalinienne et/ou des profits maximum pour ses amis de Big Pharma) on devrait imposer ce vaccin à tous nos petits.
Pour justifier sa vaccination il qualifie cette population de « fragile » alors que la plupart d’entre nous, quand ils avaient cet âge, n’ont jamais vu un médecin,
ni même un ostéopathe, un psychologue ou un nutritionniste. Certes les temps ont changé, il faut que tout le monde vive, mais à ma connaissance les Big Pharma ne sont pas trop pauvres.
Cette année le cadeau est gratuit évidemment. Avec un beau nœud sur le paquet du Fluenz Tetra [2]
Quand c’est gratuit, c’est vous le produit comme nous a averti il y a déjà longtemps Patrick Lelay, patron de TF1, qui nous a bien reformaté les neurones.
« Dans son avis du 1er octobre 2020, la Haute Autorité de Santé considère que Fluenz Tetra®, peut être
utilisé, conformément à son autorisation de mise sur le marché, chez les enfants âgés de 2 à 17 ans révolus, pour lesquels la vaccination antigrippale est recommandée dans le calendrier des
vaccinations ».
« Les données de l’assurance maladie montrent qu’au 11 décembre 2020, seuls 20% des enfants de 2 à 17 ans invités par
l’Assurance Maladie ont été vaccinés contre la grippe, ce qui laisse une marge de progression pour améliorer la couverture vaccinale de ces enfants. Les 300 000 doses de FluenzTetra® seront donc
mises à disposition du public, à titre gratuit, à partir de la semaine du 21 décembre 2020 ». [3]
Chez les enfants n’ayant jamais été vaccinés contre la grippe saisonnière, deux doses doivent être administrées à 1 mois
d’intervalle – Chez les enfants ayant déjà été auparavant vaccinés contre la grippe saisonnière, seule une dose est nécessaire.
– Comme tout vaccin vivant atténué, il présente des contre-indications spécifiques mentionnées dans la fiche d’information pédagogique.
– Comme pour tout autre vaccination chez les mineurs, seul un médecin, ou un infirmier sur prescription médicale, peuvent
vacciner. »
Incroyable mais vrai, pour une vaccination inutile il y a de
l’argent !
– « Afin de renforcer la vaccination pour ce public fragile spécifique, une information ciblée auprès des parents des
enfants de 2 à 17 ans, éligibles à la vaccination antigrippale, qui ne sont pas encore vaccinés, sera envoyée par l’Assurance Maladie sous forme de relance personnalisée. » [4]
La signature est appréciable, voire sidérante pour rester polis !! – « Je vous remercie de votre mobilisation au
bénéfice des personnes les plus fragiles Pr. Jérôme Salomon Directeur Général de la Santé »
Depuis quand les enfants de notre pays sont-ils les personnes les plus fragiles ? Certes ils le deviendront peut-être avec tous les vaccins et autres
traitements préventifs et les consultations préventives qu’on leur impose au lieu de les laisser vivre et grandir !
QUE SAIT-ON DE CE NOUVEAU VACCIN QUI NE PEUT ATTENDRE ?
Antigène : Virus grippal réassorti (vivant atténué) des quatre souches différentes, cultivé sur œufs embryonnés de poules provenant d’élevages sains et
produites sur cellules Vero par technologie de génétique inverse.
Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM). Ce vaccin est conforme à la recommandation de l’OMS (Hémisphère Nord) et à la décision de l’UE pour
la saison 2020/2021.
Le vaccin peut contenir des résidus des substances suivantes : protéines d’œuf (ex : ovalbumine) et gentamicine. La quantité maximale d’ovalbumine est inférieure à
0,024 microgrammes par dose de 0,2 ml (0,12 microgrammes par ml).
Le vaccin contient des OGM
Quels sont les fondements juridiques interdisant l’utilisation d’OGM sur l’humain ?
Théoriquement l’utilisation d’OGM chez l’humain risquant d’altérer le génome est interdit par les lois européennes [6]. De nombreuses études sont menées à ce sujet que nous ne
développerons pas ici. [7]
L’étude du pentagone de 2020 montre que ce vaccin augmente le risque de contracter un coronavirus de 36 % [8][9]
Autres dangers de ce “vaccin OGM”
Lorsque ce vaccin est injecté, la personne reçoit des allergènes auxquels le corps n’est pas habitué.
Un gros problème est l’alimentation car l’organe le plus important pour l’immunité est l’intestin et les allergies alimentaires de l’enfant conduisent à des
maladies auto-immunes comme la colite ulcéreuse. Si l’allergie est importante, cela peut conduire à un choc allergique (voire au décès en quelques minutes).
Le risque supplémentaire est qu’habituellement les fabricants ne délivrent pas la transparence sur 100 % des composants. Et que malheureusement les vaccins
contiennent souvent des débris d’ADN étrangers et des nanoparticules.
Tout médicament comme tout vaccin expose à des risques
Et le Fluenz Tetra comme les autres.
La vaccination contre la grippe H1N1 a été suivie en France et en Suède par de graves complications donnant des séquelles définitives et en particulier des
narcolepsies dont plus de 60 cas (soit 1/100 000 vaccinés). La narcolepsie est une maladie neurologique qui est généralement acquise à la suite d’une surréponse du système immunitaire, causant
des dommages à la partie du cerveau qui régule le cycle veille-sommeil. Le déclencheur peut être dans de très rares cas un vaccin. La narcolepsie est incurable et dure toute la vie, et nécessite
une vie de traitement impliquant un équilibre délicat de stimulants pour réduire la somnolence tout en minimisant les effets indésirables de ces stimulants et de divers autres médicaments pour
réduire ou contrôler la cataplexie.
Le Fluenz Tetra peut donner aussi des narcolepsies
L’enfant («X ») est née en 2003 et était donc âgée de 11 ans, lorsqu’elle a été immunisée avec le vaccin contre la grippe saisonnière, Fluenz Tetra, en novembre
2014. Jusque-là, X était une enfant en parfaite santé qui dormait bien et n’avait jamais eu de blessures ou de maladies graves. Elle avait de bons résultats scolaires à l’école et était très
sociable, mince et confiante. Trois mois plus tard les signes de narcolepsie sont apparus.
Le 15 novembre 2015, la mère de X a présenté une demande au DWP pour un paiement de dommages-intérêts pour les vaccins au titre de la narcolepsie de X causée par sa
vaccination contre la grippe saisonnière de 2014. Le tribunal a rendu sa décision le 13 mars 2020. Il a certifié qu’il était convaincu que X était gravement handicapée à la suite de la
vaccination, de sorte que X avait droit à l’indemnité de 120 000 £ pour les dommages dus au vaccin.
Les premiers signes de la narcolepsie de X sont apparus environ 2-3 mois après sa vaccination, lorsque X a commencé à faire des siestes pendant la journée, à des
heures irrégulières, ce qu’elle n’avait jamais fait auparavant.
En conclusion : attention danger !
La grippe est exceptionnellement sévère chez l’enfant ciblé par la note de Jérôme Salomon, 2 à 17 ans, population par définition non fragile.
Cette cible n’a donc pas besoin de se faire vacciner.
Le plus gros risque est le vaccin. Le grand danger est que le vaccin contre la grippe déclenche des réactions immunitaires anormales et dangereuses.
Nicole Delépine
[1] Message DGS-Urgent ainsi que sa fiche jointe en suivant
ce lien : https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/article/dgs-urgent?var_mode=calcul
[2] Le Fluenz Tetra® est un vaccin antigrippal pédiatrique,
vivant atténué, quadrivalent, administré par voie intranasale et à prescription médicale obligatoire.
[3] Les références, modalités de déconditionnement,
honoraires et modalités de facturation sont celles précisées dans le DGSURGENT n°2020-59 du 21-11-2020 et fixées par l’arrêté SSAZ2033724A du 3 décembre 2020 publié au JO du 4 décembre.
– Les modalités de traçabilité restent les mêmes que celles décrites dans le DGS-URGENT n°2020-59 du 21-11-2020.
[4] Le résumé des caractéristiques du produit du Fluenz
Tetra® est disponible sur le site de l’European Medicine Agency.
En termes d’efficacité, cette analyse confirme les taux de protection rapportés par les médias en novembre : en moyenne, 70,4 % de protection contre les formes
symptomatiques de COVID-19, avec une forte disparité entre les personnes ayant reçu une demi-dose, puis une dose complète (90 % de protection) et
ceux ayant reçu deux doses complètes (62,1 %).
Aucune conclusion ne peut être tirée sur l’efficacité de ChAdOx1-nCoV19 chez les personnes âgées de plus de 55 ans ou souffrant de comorbidités (quasi absentes des
essais analysés), ni envers la prévention des formes graves ou asymptomatiques, ni sur la durée de l’immunité conférée.
Le profil de toxicité de ChAdOx1-nCoV19 semble bon, avec peu d’effets indésirables sévères liés au vaccin. Néanmoins, la survenue de 2 cas
de myélite transverse chez des personnes vaccinées, ayant occasionné un arrêt temporaire des essais, évoque un point à surveiller dans de futures
analyses.
L’avenir réglementaire de ce vaccin reste incertain, en particulier aux États-Unis où un essai de phase III est toujours en phase de recrutement et dont les résultats sont attendus par
la FDA avant qu’elle n'envisage de se prononcer. Dans l'intervalle, AstraZeneca a déclaré vouloir lancer des essais de son vaccin en association avec le vaccin russe
Sputnik V, qui utilise aussi des adénovirus comme vecteur recombinant. Cette annonce suggère fortement que la plus faible efficacité du schéma vaccinal « 2 doses complètes
» pourrait être due à la réponse immunitaire envers le virus ChAdOx1 après la première injection.
The Lancet publie une analyse intermédiaire des essais cliniques sur le vaccin Oxford-AstraZeneca contre la COVID-19 (en rouge, incidence cumulée des cas dans les groupes vaccinés ; en bleu,
dans les groupes placebo - À gauche après 2 injections, à droite après une seule injection) (illustration).
Dans les médias et sur les réseaux sociaux, la publication de l'analyse intermédiaire de l'essai
de phase II/III du vaccin Pfizer/BioNTech, le 8 décembre 2020, a été abondamment commentée (voir notre
article). En revanche, l'analyse intermédiaire de 4 essais portant sur le vaccin Oxford-AstraZeneca, publiée au même moment
dans The Lancet, l'a été beaucoup moins, probablement en lien avec la perception d'une moindre efficacité, mais aussi du fait
de la complexité des données présentées, capables... de donner la migraine aux plus perspicaces des méthodologistes.
Essayons d'y voir plus clair et de comprendre comment un acteur majeur de l'industrie pharmaceutique se retrouve à présenter des données aussi disparates et difficiles à
interpréter.
Rappels sur le vaccin ChAdOx1-nCoV19 (AZD1222) d'Oxford-AstraZeneca
Ce vaccin utilise un vecteur viral incapable de se reproduire (l'adénovirus AdV du chimpanzé) recombiné pour exprimer l'intégralité de la
protéine Spike (S) de SARS-CoV-2, y compris son site de clivage. Le choix d'un adénovirus de chimpanzé permet d'être sûr qu'aucun participant des essais n'a
d'immunité préexistante envers ce vecteur (ce qui nuirait à l'efficacité du vaccin). Il a été développé par l'université d'Oxford et peut être stocké entre 2 et 8°C. Chez les macaques rhésus vaccinés avec ChAdOx1-nCoV19 (1 injection ou 2 injections séparées de 4 semaines), un challenge infectieux se traduit par
la production de quantités significatives de virus dans le nasopharynx, mais une absence de signe de réplication virale dans les poumons et de symptômes pulmonaires. Les
anticorps neutralisants sont présents en concentration modérée et une réponse cellulaire est détectable. Concernant l'immunogénicité chez l'homme, dans l'essai COV001 (voir ci-dessous), une réponse humorale a été observée, ainsi qu'une réponse cellulaire transitoire (entre
la 2e et la 7e semaine après l'injection).
L'analyse globale de 4 essais de phase I/II, II/III et III menés dans 3 pays
L'article publié par M.
Voysey et al. dans The Lancet présente une analyse intermédiaire globale de 4 essais cliniques randomisés, de taille et de conception assez différentes :
l'essai COV001 est une étude de phase I/II, menée au Royaume-Uni sur 1 077 personnes âgées de 18 à 55 ans (2 injections à 4 semaines
d'intervalle), en simple aveugle, où le groupe témoin recevait 2 injections d'un vaccin contre la méningite (dans le but d'empêcher les participants de savoir s'ils avaient
reçu le vaccin ChAdOx1-nCoV19, les effets immédiats typiques d'une vaccination pouvant avoir lieu dans les 2 groupes) ;
l'essai COV002, de phase II/III, mené au Royaume-Uni sur 7 548 personnes âgées de 18 à 55 ans (puis étendu à des sujets plus âgés),
en particulier des soignants et des travailleurs sociaux, en simple aveugle, utilisant également un vaccin contre la méningite comme placebo (voir ci-dessous pour une
description plus détaillée de cette étude complexe) ;
l'essai COV003, de phase III, mené au Brésil sur 4 088 personnes âgées de plus de 18 ans, notamment des soignants, en simple aveugle, avec
2 injections à un intervalle allant de 4 à 12 semaines, le vaccin contre la méningite étant le placebo de la première injection et un soluté physiologique celui de la
seconde ;
l'essai COV005, de phase I/II, mené en Afrique du Sud sur 2 130 personnes âgées de 18 à 65 ans, en double aveugle, avec 2 injections
séparées par 4 semaines, un soluté physiologique comme placebo et un sous-groupe de 100 patients séropositifs pour le VIH/sida.
Ces 4 études ont été utilisées pour apprécier la toxicité de ChAdOx1-nCoV19, mais seules COV002 et COV003 ont été incluses dans les analyses portant sur son
efficacité (les autres n'ayant pas comptabilisé suffisamment de cas de COVID-19 pour être pertinentes, elles seront traitées lors de futures analyses). Certains de ces
essais sont toujours en cours.
Il est déjà clair que l'hétérogénéité de ces études peut nuire à une interprétation globale. D'autant plus qu'un problème inattendu est venu compliquer l'essai COV002 (et un peu
COV005).
Les complications de l'essai COV002 : des groupes Low Dose/Standard Dose
imprévus
Lors de la mise en œuvre de l'essai COV002, un événement inattendu s'est produit. L'équipe britannique a, dans un souci de contrôle de qualité, vérifié par spectrométrie la
concentration en ChAdOx1-nCoV19 des doses de vaccins (comme elle l'avait fait pour COV001) sans se rendre compte qu'un excipient nouveau (non inclus dans le vaccin de
COV001) perturbait cette technique de contrôle et surestimait la concentration réelle en particules virales.
À cause de cette erreur technique, 2 741 participants de COV002 ont reçu une demi-dose de vaccin (LD, Low Dose) à la 1re injection. Le problème a été détecté du fait de la faible réponse immunitaire obtenue après cette première injection. Ces personnes
ont ensuite reçu une dose complète (SD, Standard Dose) à la 2e injection.
COV002 regroupe donc 2 741 personnes vaccinées selon un protocole LD/SD et 4 807 selon un protocole SD/SD. Dans les deux
cas, le délai entre les 2 injections a été éminemment variable (« un écart important/a substantial gap ») parce que l'investigateur a inclus
des sujets qui avaient été initialement recrutés pour une étude à une seule injection, et qui ont ensuite été inclus dans cet essai à deux injections.
Ainsi, 53,2 % des participants LD/SD de COV002 ont reçu leur 2e injection plus de 12 semaines après la 1re (intervalle médian de 84 jours) ! Dans le groupe SD/SD, cet intervalle médian était de 69
jours. Dans COV003 (SD/SD), 61 % ont eu leur rappel moins de 6 semaines après la 1re injection (intervalle médian
de 36 jours).
Initialement, les participants de COV002 avaient tous moins de 55 ans, mais, en cours de route (en août, pour une étude démarrée en avril), 1 006 sujets plus
âgés ont été inclus (d'abord des moins de 70 ans, puis des plus de 70 ans) dans le groupe SD/SD (mais pas dans le groupe LD/SD). Dans ce cas, le délai de 4 semaines entre les 2
injections a été respecté. Dans COV003, 412 personnes de plus de 55 ans ont également été incluses tardivement.
L'emploi de cette demi-dose imprévue a également affecté, dans une moindre mesure, l'essai COV005, non inclus dans cette analyse intermédiaire de l'efficacité de
ChAdOx1-nCoV19.
Une analyse globale sérieusement complexe…
Comment les investigateurs ont-ils réussi à regrouper et étudier les données d'essais aussi hétérogènes, tant au niveau des dosages que des délais entre les
deux injections ? Concernant l'efficacité du vaccin (COV002 et COV003), un protocole d'analyse a été défini par les investigateurs avec des retours de l'Agence
britannique du médicament (MHPRA) et de l'Agence européenne du médicament (EMA), mais pas de la Food and drug
Administration (FDA), ce qui aura, sans nul doute, des effets sur l'avenir de ce vaccin aux États-Unis, nous y reviendrons.
Pour l'analyse globale de la toxicité, la multiplicité des placebos (vaccin contre la méningite, soluté physiologique, succession des deux !) rend
également complexe l'interprétation globale des données.
Les critères retenus pour évaluer l'efficacité de ChAdOx1-nCoV19
Concernant le critère principal d'efficacité retenu, il s'agit, dans tous les essais, d'un épisode de COVID-19 symptomatique, survenu
au moins 14 jours après la 2e injection, confirmé par PCR. Les PCR n'étaient pas centralisées, un comité indépendant
validant les tests utilisés localement.
Dans COV002 et COV003, le critère « symptomatique » était défini par : une fièvre supérieure à 37,8 °C, une toux, un essoufflement, une anosmie ou
agueusie.
De plus, dans l'étude COV002, une PCR hebdomadaire a été réalisée chez tous les participants, afin de dépister d'éventuelles infections asymptomatiques. Ce
test était fait par le sujet lui-même, formé au prélèvement dans le nez et la gorge (pas le nasopharynx), ce qui est un peu surprenant, les patients asymptomatiques pouvant
présenter une réplication virale modeste et uniquement localisée dans le nasopharynx. Mais il aurait été difficile de demander aux participants de se déplacer chaque semaine
(ou d'effectuer un prélèvement dans leur nasopharynx !).
Une efficacité plus forte dans le sous-groupe LD/SD
Globalement, sur l'ensemble des 11 636 participants inclus dans cette analyseintermédiaire, le taux de protection contre la COVID-19 a
été de 70,4 % (IC 95% : 54,8-80,6 ; 30 cas dans les groupes vaccinés et 101 cas dans les groupes placebo). La durée de suivie médiane
était de 2 mois après la 2e injection (1,3-2,3) et de 3,4 mois après
première (1,3-4,8). Lorsque les sous-groupes LD/SD et SD/SD sont étudiés séparément (ce qui n'était pas prévu au départ), le taux de protection est, respectivement,
de 90 % (IC 95% : 67,4-97 ; p = 0,01 ; 27 cas chez les vaccinés, 71 dans le groupe placebo) et de 62,1 % (41-75,7 ; p
non précisé ; 3 cas versus 30). Dans ce dernier cas, les résultats SD/SD étaient similaires au Royaume-Uni et au Brésil (60,3 % et 64,2 %
respectivement) malgré les différences de délai entre les 2 injections (plus de 12 semaines versus 6 semaines).
On comprend dès lors que, loin de faire disparaître le groupe LD/SD dans une note de bas de page, AstraZeneca ait souhaité valoriser cette erreur de dosage. Le retard à la 2e injection ne semble pas affecter le taux de protection obtenu dans le groupe SD/SD. Dans
COV002, une 2e injection plus de 8 semaines après la 1re offre un taux de
protection de 65,6 % (59,3 % lorsque le délai est inférieur à 8 semaines). Dans l'ensemble de la cohorte SD/SD (COV002 + COV003), le taux de protection passe de 53,4 % à 65,4
% lorsque l'intervalle entre les 2 injections est supérieur à 6 semaines (la différence entre les deux pourcentages n'est pas significative).
Les auteurs de l'article de The Lancet ont tenté d'évaluer le taux de protection après une seule injection (dose standard) et l'estiment
à 64,1 % (50,5-73,9 ; 51 cas dans les groupes vaccinés contre 141 dans les groupes placebo).
Insuffisance de données pour les plus de 55 ans et les formes sévères ou asymptomatiques
Les auteurs reconnaissent que les données ne permettent de tirer aucune conclusion sur l'efficacité de ChAdOx1-nCoV19 chez les personnes de plus de 55 ans.
Avec seulement 5 cas de COVID-19 observés dans ce groupe, il est en effet trop tôt pour juger.
Concernant la prévention des formes graves :
avant le 21e jour suivant la 1re injection, deux
hospitalisations ont été signalées, dans les groupes vaccinés, une le jour de l'injection, une autre 10 jours après ;
plus de 21 jours après la 1re injection, 10 hospitalisations pour COVID-19 ont été notifiées, toutes dans les
groupes placebo, avec 2 formes sévères dont l'une a entraîné le décès ;
avec le critère « plus de 14 jours après la 2e injection », 5 hospitalisations ont été rapportées dans les
groupes placebo, sans formes graves.
Ainsi, en l'état des données, il est impossible de se prononcer sur l'efficacité de ChAdOx1-nCoV19 sur la survenue de formes sévères de COVID-19.
Concernant la prévention des formes asymptomatiques (détectées par des PCR hebdomadaires dans l'essai COV002), les données sont au mieux préliminaires
considérant le faible nombre de prélèvements positifs utilisables (n = 354) : dans le sous-groupe LD/SD, le taux de protection était de 58,9 % (1,0-82,9)
et de 3,8 % dans le sous-groupe SD/SD (-72,4-46,3). Il est donc de nouveau trop tôt pour conclure.
La question de la durée de l'immunité conférée par ChAdOx1-nCoV19 demeure également, comme pour les autres vaccins. Enfin, les personnes présentant
des comorbidités ont été exclues des essais COV002 et COV003.
Des données de toxicité succinctes
Les données de toxicité présentées dans The Lancetsont assez succinctes.
Selon M. Voysey et al., les effets indésirables observés ont été équilibrés entre les groupes vaccinés et les groupes placebo. Au total (sur les
4 essais), 168 participants ont eu des effets indésirables sévères, 79 dans les groupes vaccinés, 89 dans les groupes placebo : 175 effets secondaires graves ont été enregistrés, 84
dans les groupes vaccinés et 91 dans les groupes placebo.
Trois types d'effets indésirables sévères ont été rapportés :
un cas de fièvre élevée (plus de 40 °C) chez un sujet sud-africain dont l'aveugle n'a pas encore été levé, ayant guéri spontanément ;
un cas d'anémie hémolytique chez une personne ayant reçu le vaccin contre la méningite ;
3 cas de myélite transverse (inflammation de la moelle épinière), l'un 68 jours après l'administration du vaccin contre la méningite, un autre 10 jours après
l'injection de ChAdOx1-nCoV19 (attribué à une sclérose en plaques débutante) et le 3e après une injection de
ChAdOx1-nCoV19. Ce dernier cas a occasionné l'arrêt temporaire des essais, mais a été jugé, par des experts indépendants, comme probablement sans lien avec l'injection,
même si, de l'aveu des auteurs, un doute persiste.
Quatre décès ont été enregistrés dans les essais, 3 dans les groupes placebo, 1 dans les groupes vaccinés (accident de la route, traumatisme, homicide et
pneumonie due à un champignon).
Pourquoi le groupe LD/SD montre-t-il de meilleurs résultats que le groupe SD/SD ?
La meilleure efficacité du protocole LD/SD (qui résiste à des ajustements sur l'âge ou l'intervalle entre les 2 injections) reste la grande question de cette analyse intermédiaire.
Les auteurs de l'article de The Lancet émettent trois hypothèses :
de meilleurs taux d'anticorps neutralisants après administration de la demi-dose ;
une réponse immunitaire, humorale ou cellulaire, différente en nature avec la demi-dose ;
une plus faible réaction immunitaire contre le vecteur (ChAdOx1) après la 1re injection, rendant la
seconde plus efficace. En effet, la 1re injection produit non seulement des anticorps contre SARS-CoV-2, mais aussi
contre ChAdOx1. Lors de la 2e injection, ces anticorps anti-ChAdOx1 peuvent neutraliser le vecteur avant que celui-ci n'ait eu le temps d'augmenter la réponse
immunitaire contre la protéine S de SARS-CoV-2.
Cette dernière piste, évoquée par de nombreux commentateurs, a été indirectement renforcée le 11 décembre 2020 lorsqu'AstraZeneca a annoncé débuter des essais cliniques de ChAdOx1-nCoV19 en combinaison avec le vaccin russe
Sputnik V (Centre de recherche Gamaleya). Pour rappel, ce dernier repose sur la même technique que ChAdOx1-nCoV19, mais utilise comme vecteur deux adénovirus du
rhume humains, Ad26 (1reinjection) puis Ad5 (2e injection), justement pour contourner la réponse immunitaire contre le vecteur de la 1re injection.
Ainsi, il semblerait qu'AstraZeneca souhaite améliorer l'efficacité de son vaccin en appuyant l'une des deux injections sur un adénovirus différent de ChAdOx1-nCoV19.
Une crise de confiance avec la FDA Quelles sont les prochaines étapes pour le vaccin ChAdOx1-nCoV19 ? Premièrement, il va falloir confirmer les résultats de l'analyse intermédiaire, en publiant
des données plus complètes, en particulier sur le profil de toxicité. Mais, en l'absence d'une explication crédible à la meilleure efficacité du protocole LD/SD, le chemin vers
une mise à disposition risque d'être périlleux, en particulier aux États-Unis.
En effet, comme décrit précisément dans un récent article du New York Times, les relations entre AstraZeneca et la FDA ne sont pas au beau
fixe pour diverses raisons. En particulier, à la suite d'une rencontre le 8 septembre 2020 où, alors que l'arrêt temporaire des essais sur ChAdOx1-nCoV19 avait
été discrètement acté 2 jours auparavant (à la suite du premier cas de myélite transverse), les dirigeants d'AstraZeneca n'en ont pas informé la FDA (qui l'a
appris quelques heures après la réunion, confirmé deux jours plus tard par voie de presse). Par ailleurs, les premières informations sur l'origine de cet arrêt temporaire ont été
communiquées par le PDG d'AstraZeneca au cours d'une réunion d'investisseurs, avant d'être communiquées aux agences de régulation.
De plus, les délais importants observés entre les deux injections, ainsi que l'absence complète de personnes de plus de 55 ans dans le groupe
LD/SD, n'ont été révélés que tardivement.
Enfin, à la suite de l'embarrassante affaire des demi-doses au Royaume-Uni, AstraZeneca a établi un protocole d'analyse des résultats modifié, en lien avec la MHPRA et l'EMA, mais
pas la FDA. En raison de cette transparence à géométrie variable, la FDA a averti qu'elle n'examinerait pas les données de ChAdOx1-nCoV19 avant que
l'essai NCT04516746 (un essai de phase III qui se déroule aux États-Unis seulement depuis août, ayant été
retardé par l'analyse des cas de myélite transverse et qui n'a, pour l'instant, enrôlé que la moitié des 40 000 participants prévus) ne soit complété. Que fera l'EMA en attendant ? La question reste ouverte.
En conclusion, il est possible d'affirmer que, face aux documents rapportés par
Pfizer/BioNTech et la FDA en vue de l'examen de leur vaccin à ARN messager, la publication des résultats intermédiaires sur ChAdOx1-nCoV19
dans The Lancet fait pâle figure. Du fait de l'insuffisance des informations obtenues, notamment concernant
l'efficacité chez les plus de 55 ans, les personnes présentant des comorbidités, ou contre les formes sévères ou asymptomatiques, mais aussi (et surtout) du fait
de l'hétérogénéité des essais analysés, en particulier en termes de protocoles de vaccination (LD versus SD, mais aussi intervalle entre les
injections) et de placebo retenu.
Le chemin reste long pour AstraZeneca avant de pouvoir obtenir un consensus de la communauté scientifique et des autorités de régulation sur son efficacité et son mode
d'utilisation (pour qui ? à quelle dose ? à quel rythme ? en association avec quel autre vaccin ?).
Il est dommage que ce vaccin, pourtant parti en tête de la course, ait eu à souffrir du manque d'expérience d'AstraZeneca dans le domaine de la recherche vaccinale (ainsi que de
leur manque de transparence). En effet, il présente, sur le papier, plusieurs avantages : stockage simple et,
surtout, promesse d'être vendu à un faible coût (2 à 3 US$ par dose au moins jusqu'en juillet 2021, et de manière permanente pour les pays en voie
de développement, selon les termes de l'agrément entre l'université d'Oxford et AstraZeneca).
Espérons que l'essai américain en cours permette d'apporter des informations suffisamment claires pour que ChAdOx1-nCoV19 trouve rapidement sa place dans l'arsenal
vaccinal contre le SARS-CoV-2.
Globalement, sur l'ensemble des 11 636 participants inclus dans cette analyseintermédiaire, le
taux de protection contre la COVID-19 a été de 70,4 % (IC 95% : 54,8-80,6 ; 30 cas dans les
groupes vaccinés et 101 cas dans les groupes placebo). La durée de suivie médiane était de 2 mois après la 2e injection (1,3-2,3)
et de 3,4 mois après première (1,3-4,8). Lorsque les sous-groupes LD/SD et SD/SD sont étudiés séparément (ce qui n'était pas prévu au départ), le taux de protection est, respectivement, de 90
% (IC 95% : 67,4-97 ; p = 0,01 ; 27 cas chez les vaccinés, 71 dans le groupe placebo) et de 62,1
% (41-75,7 ; p non précisé ; 3 cas versus 30).
Dire qu’on a une protection de 70,4 % sur une réduction de
mortalité avec 30 malades chez les vaccinés et 101 chez les non-vaccinés, est une plaisanterie. On peut
aussi en déduire que si le virus peut parfois êtres très méchant, il reste la plupart du temps assez gentil avec une faible morbidité.
On va dire que c’est du complotisme, qu’on voit le mal partout alors que, c’est évident, on ne nous veut que du bien. Mais que découvre-t-on, à quatre jours
de Noël, sous le sapin des députés, alors que les Français, à juste titre, n’aspirent qu’à se retrouver en famille ? Un projet de loi présenté par le Premier ministre visant à instituer « un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires ».
Il s’agit, comme l’explique l’exposé des motifs, de mettre en place « un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des
situations sanitaires exceptionnelles ». En début d’année, lorsque la crise sanitaire survint, il fallut en effet prendre des mesures dans l’urgence. Il convient donc, désormais, de
pérenniser. Pérenne : qui dure pour toujours ou, tout du moins, pour longtemps.
Que découvre-t-on, dans le texte de ce projet de loi ? La distinction entre « état d’urgence sanitaire » et « état de crise sanitaire ». La différence entre urgence et crise ? On parle
d’état d’urgence sanitaire en cas de « catastrophe sanitaire mettant en péril,
par sa nature et sa gravité, la santé de la population » et d’état de crise « en cas de menace ou de situation sanitaire grave aux fins de prévenir ou de limiter les
conséquences de cette menace ou de cette situation ». Vient alors la question : quelle est la différence entre « catastrophe sanitaire » et « situation sanitaire grave » ? Question importante et même essentielle, d’autant
qu’elle reste, semble-t-il, à l’appréciation du gouvernement.
Mais au-delà de cette sémantique qui peut paraître accessoire, il y a la question fondamentale du contrôle du Parlement. En effet, l’état d’urgence sanitaire
est pris par décret en Conseil des ministres. Une fois l’état d’urgence sanitaire décrété, un comité de scientifiques est réuni sans délai. Si son président est nommé par le chef de l’État,
les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale désignent, chacun, une personnalité qualifiée. La prorogation de l’état d’urgence sanitaire au-delà d’un mois est soumise au vote d’une
loi. Donc, le Parlement garde le contrôle.
L’état de crise sanitaire est aussi déclenché par décret pris en Conseil des ministres tout comme la prorogation au-delà de deux mois, sans passage par le
Parlement. La seule obligation du gouvernement vis-à-vis du Parlement, au-delà de six mois d’état de crise sanitaire, sera de rendre un rapport expliquant les raisons de ce maintien en état
de crise sanitaire. Pas de vote. On peut donc imaginer entrer dans un régime de crise sanitaire de façon « pérenne ». Certes, le projet de loi évoque les notions de stricte proportionnalité
et de stricte nécessité des mesures par rapport aux risques. Mais comme le gouvernement est son propre juge dans l’état de crise sanitaire, par construction, il n’est pas envisageable qu’il
prenne des mesures disproportionnées, sauf à se déjuger !
Voilà donc le joli cadeau de Noël, bien empaqueté et enrubanné, de Jean Castex aux Français. Après les « fêtes de fin d’année », on risque parfois la crise de foie, moment, par définition, passager. Le gouvernement nous invente donc la
crise permanente. Pardon, pérenne. Quand viendra l’indigestion ? À Rome, sous la république, la dictature, à l’origine, ne pouvait excéder six mois…
Mais – surprise ! -, mardi soir, le ministre de la Santé, Olivier Véran, annonçait sur TF1, face à la levée de boucliers de droite comme de gauche que ce projet de loi a
soulevée, notamment à cause d‘un article qui rendait de fait la vaccination quasi-obligatoire, qu’il retirait ce texte, invoquant une « mauvaise polémique du Rassemblement national ». Question : qui est mauvais dans cette affaire
? La polémique, le texte ou le gouvernement ? Pas de cadeau pour Noël, donc. Mais c’est l’intention qui compte.
Emmanuel Macron présente l’avantage exquis d’être très prévisible. Lorsqu’il déclarait au journaliste de Brut : « Je crois pas à la vaccination obligatoire pour ce vaccin. » Outre remarquer l’absence de négation, il fallait bien évidemment entendre le contraire. Il n’y croyait pas, donc elle le serait. Ou, plus
exactement, toutes les conditions seraient mises en place pour que la population se trouve dans l’obligation de se faire vacciner. Le tout dans le cadre d’une procédure non
obligatoire.
Le projet de loi présenté au Conseil des ministres par Jean Castex vient donc définir les conditions de cette
contrainte non contraignante. L’article L.3131-9 de la section 2 est limpide : «
Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que
l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y
compris à l’administration d’un vaccin ou d’un traitement curatif. »
Les clauses de la punition ne font pas dans la dentelle. Tricards dans les transports aériens et ferroviaires, dans les entreprises, magasins, les cinémas,
théâtres, musées, fêtes à Neuneu… Selon le bon vouloir de Castex Ier.
Les non-vaccinés pourront s’exposer à être catapultés hors de la planète sur un mouvement d’humeur du législateur. Y a-t-il encore des candidats ? Qui souhaite rester cloîtré chez lui à
se passer en boucle l’interview de Macron affirmant que le vaccin ne sera pas obligatoire ?
« Je trouve que c’est contre-productif de rendre le
vaccin obligatoire sur des vaccins qu’on connaît mal sur une pathologie nouvelle » : Macron face à Brut entamait alors sa première phase du « en même temps ». « Tout » dans un premier temps.
Et quelques jours plus tard, badaboum ! Castex propose le contraire. À savoir une vaccination obligatoire qui se rit du principe de précaution énoncé par le gourou qui a le don d’ubiquité
intellectuelle. De sa chambre où il garde le lit, celui
qui avait l’air d’un ado face à sa webcam ne comprend plus ses propres contradictions. « Ai-je dit ce que je n’ai pas dit ? » Les médecins sont inquiets. Un « enmêmetempologue » a
été appelé d’urgence. Macron pourrait à tout moment être à la fois atteint du virus et ne pas l’avoir. Trépasser et suivre ses propres funérailles.
D’après L’Express, seule l’affreuse extrême droite
s’insurge contre ce projet de « tyrannie sanitaire ». Favorable un jour, sceptique un autre, Jean-Luc Mélenchon semble, quant à lui, porteur du virus de la Lanterne. Pour la vaccination, et
un peu contre quand même. La maladie gagne du terrain. Un lit à deux places a été installé dans les locaux versaillais.
(NDLR : NDLR : À 20h, mardi soir, Olivier Véran a finalement affirmé que le texte ne serait pas présenté avant la fin de la crise sanitaire).
Quelques pistes pour résister au coup de force sanitaire de Castex
...par le Dr. Nicole Delépine - Le 22/12/2020.
À TOUS CEUX QUI CROIENT EN LA DÉMOCRATIE
Tous ont, depuis cette nuit, partagé l’infâme projet de loi qui est arrivé brutalement à l’Assemblée et qui a été traduit par la majorité des lecteurs de la façon
suivante :
Le Président a promis que le vaccin génique expérimental ne serait pas
obligatoire.
Quinze jours plus tard, son Premier ministre explique qu’il le sera de
fait.
Selon lui (nous allons résister) les citoyens seront divisés en deux catégories : les soumis vaccinés et sages qui pourront aller au théâtre, au restaurant etc., et
ceux de seconde zone qui auront refusé de servir de cobaye à un pseudo-vaccin jamais expérimenté, même pas chez l’animal.
D’autres plus compétents, juristes, analyseront en détail le projet de texte, mais retenons quelques points avant de proposer des idées pour la « Résistance
».
Le projet de loi nº 3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires est inquiétant à deux titres : il constitue sans conteste
une violation des pouvoirs et de la compétence du Parlement, lequel ne doit pas être
consulté pour l’état de “crise sanitaire” qui permet peu ou prou les mêmes pouvoirs à l’État et la même suspension des libertés publiques pour le peuple (mais dans des modalités différentes :
elles seront en effet prises au niveau local par les préfets, (donc à l’administration) que le régime d’état d’urgence sanitaire sauf à être rendu
destinataire d’un simple rapport (sans vote) au bout de 6 mois.
En effet, dans l’état de crise sanitaire, le ministre chargé de la Santé pourra, entre autres par arrêté motivé
:
« Autoriser l’adoption et définir leurs modalités de mise en œuvre, de mesures individuelles qui, afin de prévenir la propagation d’une infection ou d’une contamination, ont pour objet le placement et le maintien en isolement des personnes affectées ou contaminées, au sens de l’article 1er du règlement sanitaire international de 2005, ou la mise en quarantaine
des personnes susceptibles d’être affectées ou contaminées, au sens du même
article 1e
‑ soit entrent sur le territoire national
‑ soit se trouvent ou ont séjourné sur le territoire national, dans une zone
concernée par la présence ou la circulation active d’une source d’infection ou de contamination, ou ont été en contact avec des personnes affectées ou contaminées et qui, de ce fait, présentent
un risque élevé de développer ou de transmettre l’infection ou la contamination ;
donc, en fait, tout le monde est susceptible de faire l’objet d’une rétention
administrative sur simple « suspicion » covid.
(…)
La suite n’est pas plus réjouissante, mais nous laisserons aux juristes le soin de vous la détailler.
Plutôt que désespérer devant ce texte totalitaire unanimement rejeté par la population, il nous semble légitime d’évoquer quelques moyens de sortir de la crise en
rejetant les violences qui ne sauraient être évitées en l’absence d’un redressement majeur.
Nous lançons donc ici un cri d’alarme en particulier à destination des politiques, élus de toute nature, à commencer par députés et sénateurs, maires etc.
Deux temps s’imposent qui peuvent néanmoins se superposer.
Évacuer la Peur
Cela va être le plus difficile tant le lavage de cerveau effectué sur les chaînes TV qui tournent en boucle en particulier chez les gens âgés. Il nous semble que
les vidéos très didactiques de l’avocat Reiner Fuellmich pourraient servir de petite lumière permettant ensuite d’être plus réceptif aux autres arguments.
Ensuite reprendre les principaux éléments de la grande manipulation, en particulier ce que l’avocat demande à Christian Drosten de préciser à
destination des politiques et du grand public.
Au-delà de l’indemnisation du client patron de bar ruiné par le confinement et toutes mesures prises à la suite des fausses affirmations de M. Drosten qu’ont
suivies les politiques, les yeux fermés (d’où sa responsabilité directe engagée comme celle de nos conseillers du Conseil scientifique par exemple)
« Nous réclamons par la présente un montant partiel de 50 000 € au nom et pour le compte de notre client
»(…)
L’avocat demande également à Mr Drosten de « corriger les déclarations suivantes à l’intention des responsables politiques et du public ».
Précisez officiellement
« – qu’il n’y a aucune raison de supposer que le SRAS CoV-2 pourrait causer un nombre
incontrôlable de décès et de patients en soins intensifs
– Précisez que l’étude de cas du New England Journal of Medicine du 5 mars 2020,
dans laquelle vous étiez impliqué et qui est censée prouver un risque asymptomatique d’infection, repose sur une base de données incorrecte et aurait donc dû être retirée depuis longtemps
!
– Précisez qu’un test PCR positif ne peut pas détecter une infection active et n’est donc pas adapté pour établir seul un diagnostic de covid-19 !
– Précisez que les restrictions collectives de liberté ne garantissent pas
qu’elles contribueront en quoi que ce soit à contenir la propagation, mais qu’il peut être démontré qu’elles causent d’énormes dommages collatéraux !
Nous vous demandons également de vous abstenir de déclarations contraires à
l’avenir. »
Superbe !
« Les politiciens ne doivent plus être formatés par des informations
scientifiquement insuffisantes. Et le public ne doit plus être trompé par de telles informations.
Nous vous demandons également de soumettre la déclaration de
cessation et de désistement et d’obligation jointe à cette lettre avant le 22 décembre 2020.
Sachez que chaque jour où vous maintenez votre évaluation des risques délibérément faussés du COVID-19, vous ne faites
qu’empirer les choses – pour d’innombrables personnes dans ce pays, mais aussi pour vous-même.
Car nous allons rendre toute cette lettre disponible pour des collègues prêts à représenter les clients qui ont subi des
dommages à la suite des mesures anticovid19.
Si vous ne vous conformez pas à notre demande ci-dessus, un litige sera inévitable. Dans le cadre de ce différend, toute la
vérité sur le verrouillage fera l’objet de preuves judiciaires ».[1]
SORTONS DE LA PEUR INJUSTIFIÉE
SI VOUS AVEZ BIEN LU LES CONCLUSIONS DE MAÎTRE FUELLMICH APRÈS DES MOIS D’ÉTUDE DE LA GESTION DE LA CRISE COVID
La première bataille est celle des tests PCR sur lesquels reposent toutes les mesures qui nous sont imposées.
Sans test pas de déclaration tragique du ministre au journal de 20 h. Sans panique, pas de mesures liberticides.
Les tests PCR ne sont pas fiables et ne peuvent à eux seuls affirmer qu’une personne est infectée et les mesures liberticides que souhaiteraient prendre les
dirigeants. Il faut refuser de se tester, et ne plus croire les conclusions hâtives du ministre.[2]
Il faut convaincre les élus de ces mensonges
répétés depuis une année qui ont détruit les économies et plus encore le moral des peuples avec des records de dépression et de suicide.
Lisez les articles nombreux et éventuellement découpez les morceaux les plus parlants pour vous et faites des petits tracts pour vos élus mais aussi vos amis
relations, familles.
Une fois convaincus, il vous faut interpeller les élus, votre député, votre sénateur ou mieux les deux, que vous connaissez peut-être par mail, téléphone à
l’Assemblée ou à sa permanence, demander un rendez-vous pour parler de cette obligation camouflée du vaccin génique expérimental et des mesures liberticides pour un virus qui ne tue pas plus de
0,001 de la population générale (non traitée…).
Une fois un certain nombre d’élus convaincus au minimum du caractère abusif de l’obligation, il leur faudra s’unir pour tenter d’obtenir une motion de censure et
mieux encore la dissolution de l’Assemblée nationale, afin que le peuple retrouve le moyen de s’exprimer autrement que par la violence.
Il faut aussi que chacun comprenne que les décideurs et les conseillers comme en Allemagne devront un jour répondre de leurs actes. Chacun dans ce pays devrait se
sentir responsable de la situation et participer aux redressements.
Comment un député pourrait-il se sentir concerné ? Par exemple il y a 577 députés. Si chacun reçoit mille mails ou lettres postales, cela fait un demi- million de
gens actifs ! sur 67 millions de Français ce ne serait pas énorme et pourtant pourrait changer la donne. Un député a envie d’être réélu et se doit d’écouter ses électeurs si ceux-ci
s’expriment…
Nous n’avons rien à perdre à essayer en toute légalité. Les deux notions à entrer dans nos têtes après tant de désinformation sont
– Les tests PCR positifs sont faux à 97 % et ne donnent aucune idée d’une infection potentielle ;
– Les bien-portants NE SONT PAS CONTAGIEUX.
Cette idée fausse d’asymptomatiques contagieux a été galvaudée par un mensonge initial de M. Drosten et repris par la moitié du monde vu sa position hégémonique
auprès de la chancelière et donc de l’OMS.
Si beaucoup s’y mettent, on devrait obtenir une motion de censure et une dissolution de l’Assemblée nationale.
Courage à tous et joyeux Noêl en famille.
Ne craignez rien, il n’y a pas d’épidémie, les hôpitaux et cliniques sont à moitié vides et remplis de malades non covid actuellement rares.
En tout état de cause, les coronavirus sont sensibles depuis longtemps (publié en 2003 par le Dr Fauci) au traitement par hydroxychloroquine et azithromycine que
votre médecin a le droit de prescrire et le pharmacien de délivrer. Un peu de vitamine D, C et zinc ne feront pas de mal.
Dans l’acte où nous nous trouvons de cette triste tragicomédie collective, les zautorités et les médias se gargarisent de notre « unique planche de
salut vaccinale ». Dans ce rétrécissement de la pensée caractéristique des uns et des autres, on nous explique que l’efficacité du vaccin est de 95%, qu’il n’a pas d’effets
secondaires graves, que les normes de sécurité ont été respectées et que seuls des irresponsables et des inconscients (suivez notre regard !) peuvent encore s’entêter à poser quelques
questions…
Le narratif officiel a en effet l’air cohérent :
Nous sommes face à une épidémie d’une gravité sans précédents depuis la terrible grippe espagnole de 1918.
Cette épidémie tue massivement.
Il n’y a pas de remèdes pour soigner les personnes infectées avant qu’elles aient éventuellement besoin d’être hospitalisées aux soins intensifs.
Tout notre espoir repose donc sur la perspective d’un vaccin.
Le virus est tout, donc il ne sert à rien de perdre son temps avec des mesures autres que vaccinales (prévention, promotion de la santé et soutien à
l’immunité).
Des équipes scientifiques ont réalisé la prouesse de réaliser un vaccin en un temps record.
Malgré cette vitesse, toutes les étapes de sécurité ont été respectées grâce à l’immensité des moyens mis à disposition.
Les résultats montrent que le vaccin est sûr, efficace et avec très peu d’effets secondaires.
Il est donc urgent de vacciner la population dans son ensemble, en commençant par les groupes les plus à risque.
Ceux qui s’opposent ou mettent en doute le vaccin sont dangereux pour la collectivité puisqu’ils risquent de mettre en échec notre seule planche de
salut.
Contrairement à ce qui est avancé par ces « irresponsables » et même si on n’a pas de recul quant à leur usage, les vaccins géniques à ARN
sont sûrs et ne peuvent en rien endommager notre ADN.
Vaccinons, vaccinons, vaccinons et nous reviendrons (enfin !) à la vie d’avant.
Le
problème ? C’est que chacun des items de cette liste est faux.
Ce qui n’empêche bien sûr pas des médias comme
la RTS et Léman Bleu (et tant d’autres) de présenter les choses de manière fallacieuses, entretenant (comme ils semblent en avoir fait leur mission prioritaire) la panique
collective. A l’image des « autorités de santé », comme la Task Force qui sonne le tocsin sur le « nouveau variant anglais » au moment même où l’INSERM
se montre explicitement rassurant sur cette mutation.
Et la TF de préconiser, suivie aveuglément par le Conseil fédéral, un « nouveau confinement », alors que rien, absolument rien n’existe de probant à ce
sujet dans la littérature scientifique, au contraire. C’est la conclusion que vient de publier comme une
des toutes meilleures équipes au monde (celle des Pr
Eran Bendavid, John P.A. Ioannidis, Christopher Oh et Jay Bhattachary au Department of Epidemiology and Population Health de la Stanford University) :
« Nous ne remettons pas en cause le rôle de toutes les interventions de santé publique, ni des communications coordonnées sur l’épidémie, mais nous ne
trouvons pas d’avantage supplémentaire dans les commandes au domicile (fermeture des commerces et restaurants NdT) et les fermetures d’entreprises (…) Si de petits avantages ne peuvent
être exclus, nous ne trouvons pas d’avantages significatifs sur l’augmengation des cas des mesures plus restrictives. Des réductions similaires de
l’augmentation des cas peuvent être obtenues avec des interventions moins restrictives ».
Je sais que c’est dur à entendre pour celles et ceux qui prêtent foi au narratif officiel, mais la réalité est qu’il n’y a aucune science solide,
soit absolument
rien d’avéré ni de probant à l’appui de mesures comme la fermeture des restaurants et commerces ni même du confinement !
On impose pourtant ces mesures hasardeuses avec pour conséquences de provoquer – en pure perte – un tsunami sans précédent de suicides et de faillites,
une explosion
des troubles psychiques, des traumatismes massifs sur les enfants et la jeunesse tout en signant l’arrêt de mort de centaines
de milliers (pour la Suisse), de millions ou dizaine de millions (en France) de commerces entreprises et restaurants, après avoir asphyxié à mort les malheureuses et les
malheureux qui en vivaient honnêtement et ont tout fait pour respecter scrupuleusement les mesures -même imbéciles- qu’on leur imposait.
Sachant par ailleurs que rien de tout ceci ne se serait produit si nos autorités avaient appliqué diligemment les plans pandémie (et rien d’autre !), laissé
les médecins-généralistes soigner les malades en premier recours, si la science avait été intègre et au service du bien commun, et si les médias enfin avaient fait leur travail avec
honnêteté.
Beaucoup de si, certes, dans un monde en plein effondrement, avec des élites en pleine faillite intellectuelle et morale !
Pour revenir au vaccin, nous sommes donc arrosés depuis des semaines d’affirmation aussi rassurantes que péremptoires. Le vaccin, selon le Ministre suisse
de la santé Alain Berset, est « sûr et efficace » et, selon la
propagande de l’état de Genève adressée par Mauro Poggia aux aînés, « offre une protection efficace à 95% ».
Waouh, tous sur le quai vaccinal !
Sauf
qu’il y a un problème : rien de cela, à nouveau, n’est vrai.
Bidouillages et
trucages
Et c’est une série de constats en effet très éloignés de la conscience qu’en a la population (accordant une confiance religieuse aux
« scientifiques ») qu’il faut bien poser aussi clairement que nécessaire pour essayer de ramener la raison. La population doit ainsi savoir :
que l’on peut publier n’importe quoi dans les revues scientifiques, ce d’autant plus que les revues sont (de l’aveu même de leurs rédacteurs en chef)
inféodées à des intérêts qui les forcent à publier des études même falsifiées ;
qu’il y a donc besoin, face à toute publication, d’avoir une lecture très critique ;
enfin (et c’est le plus important) que, si l’on ne peut pas tenir pour responsables les politiciens de l’évaluation de ces études, la
responsabilité des membres de la Task Force suisse (et des autres comités scientifiques) est lourdement
engagée, civilement et probablement même pénalement, pour les conseils qu’ils donnent aux politiciens, sur la base de leur conflit d’intérêts ou de leur incompétence, au
choix.
Lire la science est certes quelque chose pour lequel il faut un minimum de formation. Les méthodologies de recherche sont des réalités complexes. Il existe
une multitude de biais possibles dans le design des études et l’interprétation des données, sans même parler des falsifications qui abondent elles aussi. Bref, compliqué certes pour
quiconque n’est pas du domaine. Mais nous ne sommes pas non plus dans une situation où seules quelques personnes à travers le monde avaient la compétence pour décrypter la qualité des
recherches !
Celle (Mehra
et al.) publiée au mois de mai dans The Lancet,
n’aura pas requis plus d’une dizaine de minutes à un œil averti pour constater que les données étaient impossibles et qu’il s’agissait donc d’un faux.
Comment cette escroquerie de bas étage (on ne parle pas ici d’erreurs, mais d’une véritable arnaque) a-t-elle pu être signée par des professeurs
d’université respectables, dont un professeur à l’Hôpital universitaire de Zürich ?! Comment a-t-elle pu passer le filtre du peer-reviewing du Lancet ?!
Comment des personnalités « scientifiques » jouissant de la confiance de la population et des autorités ont-elles
pu prêter publiquement crédit à un tel torchon ?!
Ne savent-elles pas lire les études de Big Data ? Et si c’est le cas, comment expliquer que personne aux HUG ou au sein de la Task Force, ne les ait
averties qu’il s’agissait d’un faux grossier ?!
Je me permets d’insister : il n’aura fallu que 10 minutes à Philippe Douste Blazy, au collectif Laissons les médecins prescrire ou à votre serviteur
pour repérer le lézard (gros comme un supertanker de nouvelle génération) mais chez nos experts, « rien à signaler », « quelle belle étude » et
« circulez » ?!
Sommes-nous à l’aise et nous sentons-nous en sécurité de placer notre confiance dans des mains comme les leurs ? Ne va-t-on aucunement s’interroger sur
cette cacade, suivie au mois d’août d’une autre (Fiolet
et al., tout aussi malhonnête), aussi fortement « swissmade » ?! Pourquoi les deux articles le plus malhonnêtes sur le traitement avec l’hydroxychloroquine
impliquent-ils des « scientifiques » suisses, payés par nos impôts ?!
Vaccin
Pfizer
Or ici, re-belotte ! Les conclusions qu’on nous présente dans l’article de Polack
et al. publié le 10 décembre dernier puis mis à jour le 16 dans le New England Journal
of Medicine sont fausses. L’étude en question étant elle aussi bidouillée, de manière certes moins massive, mais pourtant obvie. J’attends donc depuis plus d’un mois qu’un
quelconque média mette en lumière ces bidouillages et les porte à la connaissance de la population et des experts (qui manifestement n’ont toujours pas appris à lire la science). En pure
perte.
Alors, allons-y ici sur ce modeste blog d’un anthropologue de la santé certes expérimenté, mais se trouvant ici dans un domaine qui n’est pas celui de son
expertise principale. Et qui remercie au passage un éminent chercheur – également médecin clinicien et praticien – tenant par nécessité (étant donné la barbarie des temps) à rester
anonyme ainsi qu’Alexandra Henrion Caude, généticienne de renom qui s’engage courageusement à faire connaître d’importantes vérités, qui a partagé l’analyse de ces données. Les
conclusions que j’en tire ici étant de ma seule responsabilité.
Reprenons : il existe d’innombrables manières de truquer une étude, c’est d’ailleurs un des avantages (pour les intérêts crapuleux) de ce qu’on appelle
l’Evidence-Based Medicine. Nous ne les rappellerons pas ici, ayant donné ailleurs des
références de choix pour ceux que cela intéresse.
Toutefois, la plus évidente (devenant l’indice signalant un bidouillage) est de violer en cours de route le protocole d’étude. Ici, le problème est gros et
évident.
Le protocole de recherche original prévoyait en effet une évaluation de l’efficacité (primaire et secondaire) du vaccin en comparant le groupe vacciné au
groupe « placebo » avec le cadre temporel suivant : seconde injection 21 jours après la première, puis données récoltées à partir du 7ème jour suivant cette seconde injection. Ceci pour
une raison : l’immunité requiert à notre connaissance un délai de quelques semaines pour advenir.
Voici donc les indicateurs retenus pour être évalués dans le protocole (pp. 243-244) :
Voici les résultats que livre (ou omet de rapporter) le papier de Polak et al. tels que mon informateur les a consolidés :
Sur les deux groupes (de grande taille, 21’699 sujets dans le groupe vacciné et 21’686 dans le groupe placebo), on s’aperçoit à la lecture de l’article que
différents délais ont été retenus, en violation flagrante du protocole initial.
1. Les cas ont donc été comptés immédiatement dès la première dose de vaccination, en violation du protocole.
En comptant les cas immédiatement après la première dose de vaccination, le résultat est faussé car il n’y a pas d’élément scientifique suggérant que la
vaccination ait pu avoir un impact dès la 1ere dose.
Avec un décompte selon protocole soit à >j7, on aurait 75% et non plus 95% d’efficacité.
L’intervalle de confiance à 95% pour les « Severe Covid » va de -152,6% à 99,5%.
Cela signifie que 95% de l’efficacité de la vaccination se situe entre moins 152,6% et 99,5%. En d’autres termes ce résultat ne dit rien du tout, car il se
peut aussi que des cas graves se produisent plus fréquemment (jusqu’à moins 152,6% d’efficacité !
2. Le tableau S5 représente également une violation du protocole, car il devrait indiquer dans quelle mesure il est probable que « l’efficacité du
vaccin », c’est-à-dire l’efficacité de la vaccination, soit supérieure à trente pour cent.
3. Dans le groupe placebo, seulement 2,4% des personnes infectées (NDLR : 4 sur 162) ont eu une évolution sévère (ce qui soulève bien sûr la question
de savoir pourquoi nous vaccinons). Dans le groupe vaccin, bien que huit seulement aient été infectés, l’un de ces huit a développé une évolution sévère (1/8 soit 12,5%) soit 5 fois plus
!
Efficacité :
Polack et al. indiquent : « The vaccine showed some early protection 12 days after the first dose; 7 days after the second dose, 95% efficacy was observed
».
Il faut préciser sur tous les Covid
La figure 3 contient une erreur (162 et non 172) – 172 ne se retrouve pas dans la publication
Le cas « Severe Covid » dans le groupe placebo après 7j sont 4 et pas 9 !
On constate donc que deux délais ont donc été mélangés selon l’intérêt :
Pour « Symptomatic Covid-19 » on prend les données 7 jour et plus après la deuxième vaccination (après la première vaccination, « l’efficacité » ne serait
autrement que de 82%).
Pour « Severe Covid-19 », en revanche, les données sont prises à partir du premier jour de la 1ere vaccination.
Voilà comment, sans grands efforts et de manière discrète (dès lors que les « autorités scientifiques » ne lisent pas sérieusement les études) on
arrive à des conclusions bidouillées en violant tranquillement le protocole de l’étude.
Sur le
fond
Nous avons tous entendus les messages affirmatifs de nos gouvernements respectifs : le vaccin est « sûr et efficace à 95% », il est
surtout utile pour « prévenir les formes graves de Covid ». Hélas, toutes ces affirmations sont à nouveau fausses !
1/
La sécurité est spéculative
Les données
publiées par le Center for Disease Control aux États-Unis font état d’un taux de 2.8% d’effets adverses suffisamment intenses (critères : les vaccinés ne sont plus en état de
travailler), ce qui est significativement plus élevé que pour des vaccins comme celui contre la grippe !
Il existe par ailleurs (nous y reviendrons plus bas) de très inquiétantes incertitudes quant à la sécurité du vaccin à moyen et long terme… et aucune étude
suffisante n’a été faite sur les personnes âgées, plus à risque également de connaître des effets secondaires graves ! L’Agence britannique de réglementation des produits médicaux et
de santé (MHRA) a ainsi approuvé l’administration du vaccin génique de Pfizer aux personnes vulnérables sur la base d’une étude portant sur 39 personnes âgées uniquement, faisant état
d’un taux d’effets indésirables assez élevé, produit exclusivement à partir de la R&D du fabricant du Vaccin !
2/
L’efficacité est discutable
Les données montrent un effet de prévention sur l’infection (seulement 8 cas sur 2’214 contre 162 sur 2’222 dans le groupe placebo). Avec toutefois une
étude portant uniquement sur des sujets âgés entre 25 et 65 ans, soit hors groupes à risque ! La réponse immunitaire déclinant avec le temps, cela ne permet de tirer absolument
aucune conclusion quant à l’efficacité du vaccin sur les groupes de population âgés de plus de 65 ans. Extrapoler comme le font les autorités sanitaires est profondément contraire à
l’éthique et à la déontologie de la recherche !
En ce qui concerne la prévention des cas sévères, l’échantillon (même composé de près de 44’000 personnes) ne permet d’arriver à aucune conclusion : le
faible nombre de cas de Covid grave (5 en tout si on respecte le protocole, 10 en le transgressant) étant rédhibitoire (intervalle de confiance de -152.6 à 99.5, proprement
inutilisable !) Si vraiment on voulait à tout prix faire dire quelque chose à cette étude, la conclusion (qui serait elle aussi fallacieuse) serait qu’on aurait 5 fois plus de risque
de développer une forme grave en ayant été vacciné qu’en ayant reçu le placebo !
Dans un récente -et tonitruante prise de position, le rédacteur du Bristih Medical
Journal, Peter Doshi, appelle à plus de détails et de données brutes en soulevant d’autres irrégularités que celles présentées ici :
« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats spectaculaires en termes d’efficacité : Pfizer a rapporté 170 cas de covid-19 confirmés par PCR,
répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres ont été éclipsés par une catégorie de maladies appelée « covid-19 suspecté », c’est-à-dire les cas de
covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le
rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer, il y a eu « 3410 cas totaux de covid-19 suspecté mais non confirmé dans l’ensemble de la population étudiée, 1594 dans le groupe vaccin
contre 1816 dans le groupe placebo ».
Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y a pas eu de résultat
positif au test PCR. En effet, il est d’autant plus urgent de la comprendre. Une estimation approximative de l’efficacité du vaccin contre les symptômes du covid-19, avec ou sans résultat
positif au test PCR, serait une réduction du risque relatif de 19% (voir note de bas de page) – bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé par les régulateurs.
Même après avoir éliminé les cas survenant dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin de Pfizer contre 287 sur le placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes
dus à la réactogénicité à court terme du vaccin, l’efficacité du vaccin reste faible : 29% ».
« Il n’y a (…) actuellement pas assez de données pour tirer des conclusions sur la sécurité du vaccin dans des sous-populations telles que les enfants
de moins de 16 ans, les femmes enceintes et allaitantes, et les personnes immunodéprimées… (le) risque de maladie aggravée par le vaccin au fil du temps, potentiellement associé à une
immunité décroissante, reste inconnu ».
3/
La vaccination telle qu’elle est pratiquée actuellement est contraire au droit de la santé
Contrairement à ce qui nous est dit, la campagne de vaccination en cours est une expérimentation à large échelle sur la population, ce qui est expressément
prohibé par l’éthique médicale et la législation : la date finale de la recherche sur le vaccin Pfizer est fixée pour janvier
2023 ! Ce qui veut dire que tous les vaccinés sont bel et bien des sujets
d’une expérimentation n’offrant pas les garanties prescrites de sécurité.
4/
Le vaccin génique à ARN messager présente bel et bien des risques énormes
Dans la cacophonie en cours, il est bien entendu impossible au citoyennes et citoyens d’évaluer ces risques. Les autorités scientifiques et médicales
(largement captives d’un environnement de corruption systémique) se veulent rassurantes en minimisant les risques graves qui pourraient advenir tant pour les personnes que pour la
collectivité. Cela nous semble problématique eu égard à la réalité des risques suivants :
a. Un risque connu (que rien ne peut sérieusement exclure a priori sans un recul temporel suffisant) est celui que le vaccin génique, au contraire, fasse
exploser le nombre de formes graves de Covid. Voici ce
que soulignent Cardozo et Veazy au sujet du « consentement éclairé » des patients :
« Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si
elles n’étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n’ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins
laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou
minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quel que soit leur mode d’administration,
peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps (Antibody Dependent Enhancement). Ce risque est suffisamment occulté dans les protocoles d’essais
cliniques et les formulaires de consentement pour les essais de vaccins COVID-19 en cours pour qu’il soit peu probable que les patients comprennent bien ce risque, ce qui empêche les
sujets de donner un consentement véritablement éclairé dans le cadre de ces essais.
Conclusions tirées de l’étude et implications cliniques : Le risque spécifique et significatif de COVID-19 d’EAD aurait dû être et devrait être divulgué de
manière visible et indépendante aux sujets de recherche actuellement en cours d’essais de vaccins, ainsi qu’à ceux qui sont recrutés pour les essais et aux futurs patients après
l’approbation du vaccin, afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé ».
La vaccination risque très clairement de provoquer chez certains sujets une sur-réaction immunitaire conduisant à cette fameuse « tempête de
cytokines » aux effets dévastateurs. C’est entre autres la position de la Dresse
Dolorès Cahill, experte auprès de nombreuses agences de santé et généticienne moléculaire à l’Université de Dublin, qui a prédit de manière très controversée une
flambée de mortalité et d’hospitalisations suivant de quelques semaines ou de quelques mois la vaccination. Il se pourrait (mais là aussi il convient d’être prudent) que nous
soyons en train d’observer
un phénomène de cet ordre dans les pays qui font la « course en tête » avec le vaccin génique.
b. Un autre risque est celui de la transcription inverse de l’ARN au sein de notre ADN. Les vaccins à ARN messager sont censés ne pas pouvoir affecter ou
modifier notre ADN, ce qui est théoriquement vrai sous les réserves suivantes : certains virus (la plupart anodins, qui peuvent très bien se trouver dans certaines cellules de
certains vaccinés) peuvent en effet « rétro-transcrire » l’information de l’ARN messager dans notre code génétique ! C’est notamment le cas des rétro-virus (comme le HIV),
raison pour laquelle la séroprévalence au HIV était un critère d’exclusion de la recherche. Mais d’autres virus peuvent être impliqués et conduire à des conséquences dangereusement
imprévisibles. Qu’on le veuille ou non, nous sommes dans un type de thérapie pouvant faire de nous des OGM – à ce sujet, la dernière interview d’Alexandra Henrion Caude (censurée en
quelques heures sur Youtube mais qui peut être visionnée ici) donne une masse d’informations pertinentes.
c. Le dernier phénomène inquiétant qui ne peut être exclu est celui d’une recombinaison virale. L’injection de l’ARN messager codant la protéine Spike
entrera tôt ou tard dans un terrain occupé par d’autres virus à ARN. Les virus étant friands d’échange de matériel génique, il est inévitable que la vaccination concoure à produire tôt ou
tard de nouveaux mutant qui peuvent (principe de Murphy ?!) s’avérer terriblement dangereux. Les experts nous rétorquent que le risque est minime. Un contre-argument qu’il faut
entendre me semble-t-il (c’est celui
avancé par le Pr Christian Vélot, généticien moléculaire à l’Université de Paris-Saclay et président du Comité de Recherche et d’Information indépendantes sur le Génie génétique)
est que même en admettant une probabilité d’occurrence de 1/10’000’000 ou 1/100’000’000, en vaccinant un ou plusieurs milliards d’individus comme on semble hélas bien partis pour le
faire, on s’expose de facto à un accident microbiologique qui peut être dévastateur.
Tout ceci fait beaucoup. Ce n’est certes que la 10ème étape d’une gestion calamiteuse et catastrophique d’un virus assez banal, qu’on aurait pu combattre
bien plus efficacement avec de simples mesures éprouvées et de bon sens.
Conclusion
Même si la panique collective et l’agenda corrompu des gouvernants nous ont mis – littéralement – cul par-dessus tête, pourquoi ne pas en revenir aux
fondamentaux les plus solides, et écouter les meilleurs spécialistes ?
L’ancien vice-président (et directeur de la recherche !) de Pfizer, Le Dr Michael Yeadon, a déposé une pétition/motion urgente en compagnie du Dr Wolfgang
Wodarg auprès de l’Agence européenne du médicament (EMA) pour un moratoire immédiat sur le vaccin génique, dont l’argumentaire (en anglais) peut être consulté ici.
Quant à Christian Perronne (qui a présidé pendant dix ans ans la commission des maladies transmissibles à la Haute autorité de santé), il
rappelle opportunément que vacciner une population entière pour une maladie qui a une mortalité de 0,05% est juste insensé. Jouer avec de l’ARN messager sur une population saine
étant ici pour Alexandra Henrion Caude (une des meilleures spécialistes françaises de cette technologie) et selon
ses propres termes « de la pure folie » au regard des conséquences possibles…
Depuis bientôt une année, nos gouvernements et les panels « d’experts » qui les influencent nous imposent des mesures qui sont contre-productives et bien
plus destructrices que ce qu’elles prétendent combattre. Espérons que le vaccin génique imposé à la hâte ne sera pas l’acmé dévastateur de ce délire ! Avec un avertissement pour terminer
de mon informateur :
« En tant que chirurgien confronté à la nécessité de respecter le devoir d’information pour obtenir le « consentement éclairé », et en tant qu’expert pour
de nombreux litiges médicaux, je suis extrêmement sensible à ce point (on se fait la plupart du temps coincer à cause du manquement au devoir d’information).
Ce consentement, avec ce nouveau vaccin, ne peut tout simplement pas être obtenu, puisque personne ne sait ce qui se passe, ni en termes d’efficacité ni de
dangerosité.
C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant ».
C’est ce que peuvent faire craindre les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays actuellement les plus vaccinés, selon les données fournies par
l’OMS.
Evolution en Israël depuis la vaccination
Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anticovid par le vaccin Pfizer [1]. Excellente opération pour Pfizer qui a obtenu une augmentation de prix de 40% pour
cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en 24 jours, plus de 20% des Israéliens (deux millions de personnes) ont été vaccinés.
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Mais, depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent. Les
contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21 décembre à 8094 le 10 janvier.
Malheureusement aussi la mortalité Covid19, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4 décembre à 1564 le 14 janvier) dépasse de 27% celle observée en mars-avril 2020
(pic maximal 1224 le 22 avril 2020).
Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après vaccination sont très inquiétantes et confirment que les
autorisations de mise sur le marché des vaccins ont été prématurées.
Evolution en France non vaccinée pendant cette période
En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes sont restés stables durant cette période et à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans
les pays champions de la vaccination.
On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays, premiers de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.
Depuis l’administration large du vaccin Pfizer, le nombre de contaminations et de morts quotidiennes a fortement augmenté en Israël et en Grande-Bretagne, alors que chez les
irréductibles Gaulois l’épidémie est en lente décrue.
Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés
combattre.
Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anticancers (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie [2] et les vaccins anti-papillomavirus
prétendument anticancer du col de l’utérus [3] et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux Philippines qui a entraîné plusieurs centaines de
morts et une cascade de procès en cours.
Les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et mettent en danger les victimes de la propagande forcenée actuelle, ceux qui se font
vacciner contre le Covid19.
Ni pro ni antivaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué
Contrairement à ce que prétendent les décodeurs/déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin
lorsqu'un vaccin est efficace, sans danger et qu'il permet d'éviter une maladie grave. Je suis contre un vaccin lorsqu'il est inutile, comme c’est le cas pour les maladies
transmises uniquement par l'eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l'hygiène publique disposant d'eau potable et de traitement des eaux usées. Je suis contre le vaccin,
lorsqu'il n'a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le
risque de cancer du col).
L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.
On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne
peut donc rien espérer des vaccins anticovid si ce n’est des complications.
Et l’argument sociétal : "on se vaccine pour protéger les autres", n’est pas non plus pertinent, puisqu’il est loin d’être démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de
ralentir les transmissions virales.
En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas
été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.
Le principe de précaution justifie donc de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et
l’absence de toxicité en population réelle.
Alerte norvégienne
La Norvège vient d’ailleurs d’émettre le 15 janvier une alerte après la constatation de 23 décès possiblement liés au vaccin Pfizer[4] [5], chez des personnes âgées en Ehpad.
Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées
fragiles. Selon l'Institut norvégien de santé publique : « pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des
conséquences graves. Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non
pertinents » et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la
vaccination des personnes âgées fragiles.
Peter Doshi[6] avait prévenu dès novembre « attendons de disposer des données complètes des essais » car les communiqués de victoire de l’industrie sont
imprécis et incomplets. Il rappelait aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] mais seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent
faux : « le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le
seront ».
En conclusion, il faut féliciter le gouvernement de la lenteur qu’il met à généraliser la vaccination anti covid. Les résultats actuels du vaccin Pfizer dans les populations
israélienne et britannique laissent en effet craindre une catastrophe sanitaire vaccinale dans ces pays et l’alerte norvégienne accroit l’inquiétude.
Remercions par avance les Français volontaires pour se faire vacciner : ils constitueront les cobayes de l’essai phase 3 que le laboratoire n’a pas pris le temps de faire
avant la commercialisation. Grâce à eux et aux risques qu’ils prennent, nous pourrons dans quelques mois avoir une plus juste idée des avantages et des inconvénients en population
réelle.
Pfizer a annoncé que les livraisons des vaccins pourraient avoir 3 à 4 semaines de retard dû à des travaux dans l’usine de Puurs, dans la province d’Anvers en
Belgique, plus connue pour ses diamants.
Une série d’évènements entachent la chaine logistique du vaccin et la dernière information qui évoque un retard de livraison du vaccin et serait imputable à des travaux conduits
dans l’usine, paraît pour le moins surprenante . Et surtout coïncide avec les retours des premières vaccinations (avec entre autres, leurs lots d’effets secondaires notables dont
23 décès en Norvège, une annonce d’experts chinois mettant en garde contre le vaccin à ARNm...). Les pays en attente de livraison ont déjà exprimé leur insatisfaction et certaines
agences sanitaires - comme au Royaume-Uni - ont déjà décidé de ne faire qu’une seule injection alors que Pfizer en recommandait deux. De son côté Pfizer assure que les retards de
livraison seront limités à une semaine.
Le 9 décembre dernier, alors en plein début de la logistique pour la campagne vaccinale, l’Agence Européenne des médicament (EMA) indiquait avoir
fait l'objet d'une
cyberattaque. L'Agence a rapidement ouvert une enquête approfondie, en étroite coopération avec les forces de l'ordre et d'autres entités
concernées en déclarant que des information concernaient les vaccins anti-Covid-19 Pfizer-BioNTech et Moderna.
Cette semaine, les investigations ont montré que « certains documents relatifs aux traitements et vaccins anti-Covid-19 auxquels on a accédé illégalement ont fait
l'objet de fuites sur internet ».
Le 15 janvier, l’EMA déclarait que « les documents ont été manipulés et diffusés en ligne de façon à casser la confiance du public envers les vaccins. »
FranceSoir ainsi que NOS, la télévision publique néerlandaise ont vu les documents publiés en ligne qui montrent que la Commission européenne aurait fait pression sur
l'EMA pour l'inciter à approuver dès que possible les vaccins. De plus une source non identifiée citée par la télévision et par d’autres médias allemands a affirmé
qu'un « service de renseignement étranger » était derrière le piratage.
Parmi ces documents figuraient des mails confidentiels à usage interne datés de novembre sur "le processus d'évaluation des vaccins", a ajouté l'agence dans un
communiqué. « Certains de ces courriers ont été manipulés par les auteurs [de la cyberattaque] avant leur publication d'une manière susceptible de miner la confiance
dans les vaccins », selon l'agence.
Toutefois, dans un échange avec Le Monde ce 16 janvier, l’EMA reconnaît que « les courriels divulgués reflètent les problèmes et les discussions qui ont
eu lieu ».
Un retard dans la livraison redouté de 3 à 4 semaines
Pfizer-BioNTech, le laboratoire américain qui produit son vaccin contre le Covid-19, a annoncé vendredi 15 janvier que ses livraisons de vaccins en dehors des
États-Unis allaient ralentir fin janvier-début février. Le motif invoqué : des travaux dans une de ses usines de production à Puurs, en
Belgique. Après les vives inquiétudes dans les pays de l’Union européenne alors que les variants du virus apparaissent, ce retard initialement estimé de 3 à 4 semaines ne
serait finalement que d'une semaine, selon le dernier communiqué de la firme pharmaceutique. Un retard justifié par des modifications à effectuer dans la chaîne de
production de l’usine, qui doit être rénovée. Pfizer précise également que ces modifications « nécessitent des approbations réglementaires
supplémentaires » sans les spécifier.
Dans un premier temps, le ministère de la Santé allemand avait communiqué que « la Commission européenne et les Etats membres avaient été informés que Pfizer ne
serait pas en mesure de respecter pleinement les quantités promises pour les trois à quatre prochaines semaines ». Cependant, ce 16 janvier, Pfizer expliquait
dans un communiqué que « le retour à la normale est prévu la semaine du 25 janvier », disant aussi « avoir développé un plan qui permettra d'augmenter les
capacités de fabrication en Europe et de fournir beaucoup plus de doses au deuxième trimestre ».
Dès l’annonce imprécise de ce vendredi, plusieurs pays s’attendaient à un rationnement des livraisons début février, ajoutant au défi logistique un rebondissement psychologique.
Pfizer a signé un contrat avec l’UE pour 600 millions de doses en 2020 dont 75 millions au second trimestre. Aucune information publique n’a filtré sur le nombre de doses prévues
au premier trimestre
La France a déjà reçu 1.5 million de doses du vaccin Pfizer-BioNTech et en attendait 520 000 la semaine prochaine. Plus de 318 000 personnes ont déjà reçu une première
injection du vaccin et 500 000 ont pris rendez-vous pour être vaccinées entre le 18 janvier et le 4 février.
Le ministère de la Santé expliquait à FranceInfo que "Si le déploiement global de notre campagne vaccinale n’est pas remis en cause par cette inflexion dans les
livraisons, du fait du système privilégié par la France, qui prévoyait une gestion des livraisons anticipant d’éventuels retards de production, cette forte baisse obligera le
gouvernement à ajuster le rythme des vaccinations dans les semaines à venir ".
Des travaux qui arrivent à point
L’annonce des travaux de l’usine est surprenant car le directeur général de Pfizer à Puurs expliquait au trimestre dernier qu’il attendait avec impatience le premier jour de
distribution dans l’Europe des vaccins pfizer. Dans un message vidéo, il se dit réjouit du début de la fourniture européenne du vaccin corona. «C'est le début d'un nouveau
chapitre: les premières doses de vaccin, fabriquées à Puurs, partent désormais pour tant de pays européens.» Il exprime un mot supplémentaire de remerciement pour le personnel de
Puurs. « Je suis extrêmement fier et reconnaissant, notamment grâce aux plus de 3 000 employés de Pfizer Puurs qui font la différence jour et nuit. C'est leur
conviction, la croyance en la science, qui les a propulsés vers l'avant pendant des mois. »
Le vaccin développé par Pfizer avec BioNTech a reçu lundi une autorisation de mise sur le marché conditionnelle dans l'Union
européenne. Cela fait du vaccin américano-allemand le premier à être utilisé sur le marché européen et donc également belge. "Aujourd'hui, nous ajoutons un chapitre
important à une réussite européenne", a annoncé la décision de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
Dans ce même article on peut lire que le 20 décembre, l'Agence européenne des médicaments a également donné une recommandation positive pour l'autorisation de
mise sur le marché au vaccin Pfizer. L’EMA a aussi déclaré que « l’examen approfondi de l’EMA nous permet de garantir en toute confiance aux citoyens
européens que ce vaccin est sûr, efficace et répond aux normes de qualité nécessaires»,
En effet, un lancement de trois jours de campagnes de vaccination à travers l'Union européenne débutera le 27 décembre. « Les doses du vaccin seront disponibles pour
tous les États membres en même temps dans les mêmes conditions » a déclaré von der Leyen, président de l’EMA.
Tout était dans les starting blocks pour commencer la livraison selon le PDG de BioNTech et commencer la vaccination le 27 décembre.
À aucun moment il n’a été fait mention de possible travaux ou ajustements ni par le personnel de Pfizer ou l’EMA. Tout semblait prêt.
Le chantier de l’usine Pfizer de Puurs a commencé en septembre 2018, tel qu’en témoigne ce tweet où l’on peut apercevoir en arrière-plan la nouvelle usine
sur la production et l’emballage de médicaments injectables. Les messages récents laissaient sous-entendre que ces travaux étaient achevés, et à moins
qu‘ils aient été mal réalisés ou incomplets, il est plus que surprenant que des travaux soient à nouveau nécessaires.
Belga rajoute : le site de Puurs, en province d'Anvers, est un des deux sites du groupe pharmaceutique américain Pfizer choisi pour produire le vaccin actuellement
en cours de développement contre la Covid-19. Pfizer, associé à l'allemand BioNtech, prévoit de fournir jusqu'à 1,3 milliard de doses en 2021. 150 personnes embauchées à
Puurs.
Aucune information n’avait donc filtré sur de quelconques travaux. La réponse se trouverait-elle dans les documents qui ont fuité sur Internet
?
Certains des documents qui ont fuité apportent des compléments d’information aux nombreuses questions que les autorités avaient posées, mais qui n’apparaissaient pas dans les
documents publiés par Pfizer, ni plus dans les publications scientifiques en soutien de l’efficacité et de l’innocuité supposées de ces vaccins.
L’EMA admet donc ce jour que les documents divulgués reflètent bien les discussions qui se sont tenues sans
parler du contenu. Ils omettent donc de parler des très nombreux éléments entrant dans la composition des
vaccins évalués comme cancérigènes et des risques d’encéphalites. Il est à noter que de nombreux cas d’encéphalopathie dans le monde ont été
observés. Nous relèverons aussi qu’aucune étude n’a été menée pour évaluer les propriétés cancérigènes de ce vaccin en particulier, et des vaccins à ARN en général, thérapie
pourtant élaborée depuis 20 ans.
Les premiers retours de vaccination montrent qu’en Israël la contamination continue alors que 20% de la population est vaccinée et ils sont toujours
confinés. De plus, 23 personnes seraient décédées dans des Ehpads en Norvège. Les signalements d’effets secondaires sont aussi nombreux.
Serait-il envisageable que l’EMA confrontée à la divulgation cette semaine des données piratées ait demandé des informations complémentaires à Pfizer ? Rappelons que Pfizer a
déclaré étudier les 23 décès en Norvège. Devant ces nouvelles demandes de remontées directes de pharmacovigilance, ne serait-ce pas la super usine de Purrs qui
serve d’excuse pour temporiser alors que tout le monde était prêt à affronter un challenge logistique ? Rappelons que Pfizer n’a pas
fourni de preuves factuelles du besoin de ces travaux et qu’à aucun moment cela n’est apparu dans les diverses communications précédentes. Contacté par la rédaction, un expert de
la production de médicament nous dit « ce genre de fermeture d’usine nous ferait plutôt penser à celles que l’on observe lorsqu’une contamination au sein des unités de
production contraint ces dernières à être arrêtée dans l’urgence.»
Au regard de l’opacité dont est coutumière l’entreprise Pfizer, ne serait-il pas plus probant qu’une contamination ait affectée l’usine de Puurs ? De là
à franchir le gué, il n’y a qu’un pas.
Auteur(s): FranceSoir
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Voici quelques chiffres intéressants pour alimenter vos réflexions, avec leurs sources.
QUATRIÈME VAGUE
L’analyse de certains indices permet de prévoir avec un peu d’avance ce qui va se passer : nouvelle vague ou fin de vague. C’est sur l’Internaute que les
courbes sont les plus parlantes, source Santé France. On peut voir que les taux de positivité et d’incidence semblent sur un plateau, comme prêts à redescendre, et par contre le R effectif a fait
une descente spectaculaire passant de 2,11 à 1,07 :
Est-ce que ce taux est fiable et que dit-il. Il suffit de voir l’historique pour comprendre. J’ai superposé les courbes du R et des nouveaux cas en faisant
coïncider les dates. On constate que les montées et descentes de la courbe du R précèdent celles des nouveaux cas d’environ 2 semaines.
Nous sommes toutefois un peu en retard en ce qui concerne la baisse des cas, le pic du R se situant vers le 19-20 juillet. Il est très probable que le nombre plus
important de tests pour le passe augmente le nombre des cas.
Conclusion : Dans 4 à 6 semaines on se félicitera de la fin de la vague, grâce à l’augmentation des vaccinations et de la mise en place du passe, alors que la
fin de la vague aura commencé avant. Les affections virales évoluent depuis toujours par vagues. Regardez la première vague de l’an dernier : un joli pic, une jolie descente, sans vaccin ni
passe. Le confinement ? Pour la seconde vague, le confinement a démarré le 30 octobre, le R avait commencé sa descente le 24 octobre, avant confinement, comme cette fois sans doute (vérifiez
sur l’Internaute).
HOSPITALISATIONS
Vous avez toujours sur l’Internaute les chiffres des hospitalisations, avec courbes claires des entrées quotidiennes, du solde entrées/sorties et du cumul, pour les
hospitalisations courantes et réanimation. Je vous laisse voir ces courbes (même page que
précédemment). Pour plus de détails, sur les hospitalisations, vous avez ce site, mis à jour
quotidiennement, avec hospitalisations, réanimations, décès. Vous pouvez sélectionner le jour, revenir en arrière pour l’historique. Sources : Insee, Santé Publique France, Drees.
On peut relever quelques chiffres intéressants (en prenant les chiffres du 13 aout pour éviter le WE).
Les Covids représentent 3,4% des hospitalisations (3,67% avec les Dom-Tom)
En France métropolitaine, on peut noter sur la période, 84 824 décès + 387 697 sorties, soit 472 521 hospitalisation. Les 84 824 décès représentent donc 18% des
hospitalisation. Une hospitalisation sur 5 finit mal !
En comparant hospitalisations et réanimation, 1 hospitalisé sur 6 est en réanimation.
VARIANTS
En voici le catalogue. Rappelons que l’ARN qui caractérise le virus, est une chaîne de nucléotides (adénine, guanine, cytosine, uracile), se suivant en séquences,
décrites par des lettres, A, B, C, D, .. Pour le E484K, la séquence E est remplacée par la K en position 484, ce qui modifie certaines propriétés.
Le Wuhan n’a pas de nom, Alpha est l’ex anglais, le Beta = Afrique du Sud, Gamma = Brésil et Delta = Inde. La mutation E484K rend le virus un peu plus résistant aux
vaccins, le Delta qui est le dominant actuel a une quinzaine de mutations dont L452R et P681R qui le rendent très contagieux.
A surveiller Epsilon de Californie, virulent mais très peu contagieux (très ancien, mars 2020), Eta de Grande Bretagne et Nigéria, Thêta des Philippines et Japon,
mais surtout Lambda, du Pérou, devenu majoritaire dans tout le continent d’Amérique du Sud (serait en baisse). Le « Colombien » qui a tué 7 résidents, tous
vaccinés, d’une maison de retraite en Belgique en est une variante.
DELTA : CONTAGIEUX, VIRULENT ?
En ce qui concerne la contagiosité, c’est indéniable, Delta est très contagieux. Non 1 000 fois plus comme aurait pu le faire croire notre ministre devant les
représentants de la Nation en parlant de la charge virale, mais 60% plus qu’Alpha, qui était 30% plus contagieux que le Wuhan. Total 2 fois plus contagieux que le Wuhan de la première vague. On
retrouve ce 2 fois dans le R des courbes de l’Internaute. Delta a très rapidement remplacé les précédents en Europe et dans la plupart des pays comme Israël.
En ce qui concerne la virulence, en prenant les chiffres plus haut (hospitalisations), ou ceux de l’Internaute, sur 8 jours, nous avons en moyenne 55 décès par
jour, pour 8 200 hospitalisations, cela fait 0,7% de décès. En janvier-février, l’épidémie était en plateau avec 24-25 000 hospitalisations, soit 3 fois plus, et les décès, eux, étaient sur la
période de 400 par jour, soit 8 fois plus. Nous avons donc 2,5 à 3 fois moins de décès.
Deux causes possibles : soit la vaccination qui protège, soit le variant moins virulent. Comme on nous explique que 85% des hospitalisés sont non vaccinés,
nous sommes dans la même situation qu’en janvier février pour les décès chez les malades, à 90% non vaccinés, avec 2,5 à 3 fois moins de décès dans cette catégorie de non vaccinée. C’est donc le
variant qui est moins virulent, à moins qu’on nous donne de faux chiffres sur les hospitalisés vaccinés ou non.
EFFICACITÉ DES VACCINS
Dur dur d’avoir des chiffres fiables. La France est un pays exceptionnel, où le vaccin est nettement plus efficace que dans n’importe quel autre pays. Nos dernières
statistiques officielles montrent que 85% des hospitalisés sont des non vaccinés. Nous ne devons pas avoir le même vaccin qu’ailleurs. Aux US, Fauci, l’éminence grise du covid depuis le début, à
la fois Salomon, Delfraissy et Véran, a dit il y a quelques jours qu’avec le variant Delta, vaccinés ou pas, c’est
pareil, autant de cas. Au Portugal, Graça Freitas, madame Salomon du pays, dit que la plupart des décès dus au covid sont complètement vaccinés. En Israël on avoue cette semaine 39%
d’efficacité, voire moins. En Angleterre, cela fait un moment qu’ils le disent, et en Islande, un des pays le plus
vacciné d’Europe, Monsieur Þórólfur le
Salomon local reconnaît également que la moitié des personnes hospitalisées ont été vaccinées, « la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts
«. Il n’y a guère qu’en France qu’on y croit encore.
A côté de ces discours officiels, quels sont les chiffres objectifs ? Je consulte régulièrement Our Worl in Data, si
facile d’accès et riche. Vous avez en un clic les nouveaux cas, les décès, les vaccins, le taux de reproduction, les variants, etc, au jour le jour, moyenne de 7 jours ou cumulés, le tout pour
tous les pays au monde, source John Hopkins University.
Voici par exemple la situation dans les pays Européens que l’on suit le plus, nouveaux cas et vaccinations. La vaccination, dans ces pays très vaccinés, n’empêche
en rien la dernière vague due au Delta. Le vaccin n’est pas efficace contre ce variant, une troisième dose, solution proposée par certains ne changera rien sur cette efficacité, pas plus
qu’augmenter le nombre de vaccinés.
Seules Italie et Espagne, autant vaccinés, sortent du lot. Pourquoi ? La réponse est plus loin
Amusant, sélection d’Israël, vacciné, avec ses voisins, Egypte, Syrie, Jordanie, très peu vaccinés. Plus de vaccins, plus de cas ? Moins vaccinés, moins de
malades ?
Conclusion : Un vaccin est fait pour empêcher la maladie. Vaccinés contre la tuberculose, variole, tétanos, coqueluche, diphtérie, vous n’attrapez pas la
maladie. Ici, manifestement, vous l’attrapez autant que non vacciné. Alors pour continuer à vacciner, le discours a changé. On vous explique qu’il ne vous protège pas, mais qu’il vous empêche
d’attraper une forme grave.
Par contre, paradoxalement, on court toujours derrière une immunité collective impossible à obtenir dans ces conditions, pour ceux qui ont un peu de bon sens. Cette
immunité collective était la seule justification à vacciner les jeunes qui n’ont rien à craindre de la maladie, alors comme cette raison saute, pour quelle raison médicale, épidémiologique, on
continue ? Qu’on nous le dise.
Quant au passe pour mettre fin à l’épidémie, là encore la France est très forte. Il permet d’éviter de transmettre une maladie que vous n’avez pas, à des gens
qui sont vaccinés contre cette maladie, et qui eux ont le droit d’aller et venir partout contaminer les autres, car porteurs autant que les non vaccinés. Pour aller sur votre lieu de travail, non
vacciné, il vous faut un test, prouvant que vous êtes négatif. Par contre le vacciné, porteur de passe, n’a pas besoin de test pour travailler, alors qu’il peut être positif et peut vous
contaminer. Contrairement à ce qu’on nous dit, avec le passe, ce n’est pas les non vaccinés qui contaminent les autres, mais les vaccinés qui vont contaminer les autres, vaccinés ou
négatifs ! Comprenne qui pourra le raisonnement de nos « élites ».
Pour terminer avec ce passe, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal affirmait en
février que ce passe « n’avait de sens que si on était sûr que les vaccinés ne transmettent pas la maladie », maintenant que l’on sait qu’ils transmettent, virage à
180°, il affirme que ceux qui
l’ont cru en février sont des irresponsables. « L’immunité de groupe est un objectif mythique qui ne sera jamais atteint », selon les responsables du vaccin
d’Oxford. Chez nous, Alain Fisher, monsieur vaccin court encore après ce
jour.
VACCINS : MOINS DE FORMES GRAVES ?
Moins de formes graves ? C’est ce qu’on nous dit maintenant pour justifier la vaccination, après nous avoir promis une couverture individuelle à 95%, ensuite
il fallait faire plus pour une immunité collective, maintenant c’est pour éviter les cas graves.
Pour se faire une idée, regardons ce qui se passe chez le pionnier, que nos élites citaient en exemple il y a quelques mois : Israël. Tout d’abord, ils sont en
train de nous faire la même vague que l’an dernier avant vaccin, malgré les 2/3 de la population vaccinée, montrant l’inefficacité ou le peu d’efficacité de ce dernier.
Le 5 août, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a déclaré lors d’une interview sur la chaîne
13 TV News, que 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid, sont vaccinés. Dimanche 15 aout, on comptait 525 patients dans un état grave, 162 de plus qu’une
semaine plus tôt. Parmi eux, 404 ont plus de 60 ans, dont 277 complètement vaccinés. Si dans ce pays, où il y a plus de vaccinés que de non vaccinés, on trouve en réanimation plus de
vaccinés, on peut se poser des questions sur l’efficacité des vaccins sur les formes graves.
Au Portugal, Graça Freitas, directrice de la santé citée plus haut, disait il y a peu dans
une interview, que la majorité des victimes qui meurent du covid-19 sont âgées de plus de 80 ans et ont été complètement vaccinées, deux doses, soulignant qu’il
s’agissait d’une situation prévisible compte tenu de l’efficacité du vaccin. Les 7 décès du Lambda en
Belgique, vaccinés deux doses, ne vont pas non plus dans ce sens.
Avec le temps, on voit de moins en moins de différences entre les vagues de l’an dernier sans vaccins, et de cette année, avec vaccins, tant en ce qui concerne les
cas que leur gravité. Même chose pour le pays le plus vacciné, Les Seychelles, très, très grosse vague, virulente.
On peut également voir apparaître une différence entre les pays vaccinés et ceux qui le sont moins, confirmant la sonnette d’alarme que lancent certains
spécialistes : le phénomène ADE. Le delta chez
les vaccinés serait plus sévère que chez les non vaccinés ? En effet, ces données en Israël et aux Seychelles montrent que le delta est virulent, alors que d’autres pays semblent montrer le
contraire, avec un variant moins virulent. On ne peut toutefois pas généraliser, les chiffres anglais ne montrent pas autant de virulence. Il est difficile de se faire une opinion réelle sur
les chiffres, en raison des différents facteurs pouvant intervenir en bien ou en mal. Le temps nous dira ce qu’il en est. Dernière mise en garde sur l’ADE dans cette étude récente
: « la possibilité d’une ADE devrait être étudiée plus avant, car elle pourrait représenter un risque potentiel pour la vaccination de masse au cours de la pandémie actuelle de
variants Delta ».
En France, il n’y a aucun problème, on affiche un excellent résultat de la vaccination, avec première quinzaine de juillet, 85% des formes graves hospitalisées,
relevant de non vaccinés. Je signale que ces chiffres que tout le monde a repris, ne sont pas issus d’un comptage, mais de savants calculs de la DRESS, à
partir d’autres données. J’ai pu juger pendant 20 ans de ces études Dress, par exemple pour les revenus nets des médecins. J’avais ces chiffres, (ainsi que le fisc), précis au centime près, à
partir des avis d’imposition fournis par les confrères. Par contre le ministère, la SS, la presse, n’utilisaient que les chiffres Dress, faux, calculés arbitrairement à partir du brut, et publiés
comme chiffres officiels.
TESTS
Parmi les pays proches, à peu près autant vaccinés, nous avons vus que l’Allemagne et l’Italie avaient beaucoup moins de cas. Pourquoi ? Certains vont pouvoir
formuler plusieurs explications. La vérité est peut-être simple, et elle se trouve non dans des théories, mais dans les chiffres. Ce que j’ai constaté peut remettre en question beaucoup
d’hypothèses élaborées depuis 1 an quant aux différences entre pays. Voici tout simplement, grâce aux données de Our World in Data, la courbe du nombre de tests par habitants :
l’Italie teste 3 fois moins que nous, l’Allemagne 10 fois moins. Plus vous testez, plus vous avez de nouveaux cas déclarés ! Logique.
Conclusion : si vous voulez mettre fin à l’épidémie, ne testez plus, et si vous voulez affoler la population pour justifier des mesures impopulaires, prendre
testez plus.
Trêve de plaisanterie, deux choses :
Premièrement, cela montre que le nombre de cas n’est pas un bon indice pour suivre une évolution tellement il est dépendant du nombre de tests, plus que de la
maladie. On doit tenir compte du nombre de tests.
En voyant ces courbes et l’importance du nombre de tests, on peut se demander ce que l’on aurait en testant 100% de la population, tous auraient les mêmes courbes.
Normal, c’est le même virus. On constaterait aussi que chaque vague s’éteint quoi qu’on fasse. J’en reviens toujours à notre première vague, belle cloche sans vaccin ni traitement, avec des
indices qui baissaient avant confinement comme expliqué plus haut. Cela rejoint ce que dit le Pr Raoult qui fait parler son expérience quand il nous dit que chaque vague n’est pas une reprise de
la même épidémie, mais est due à un variant différent, il s’agit de plusieurs épidémies successives, non de la même. Ces courbes semblent le démontrer.
INCIDENTS, ACCIDENTS DES VACCINS
Ici, pour avoir des chiffres fiables des effets secondaires, c’est la cata. Et quand certains publient les chiffres officiels qu’ils trouvent, ils
sont censurés, comme Laurent
Mucchielli, chercheur au CNRS. Même chose sur YouTube, FB et Twitter : les chiffres officiels sont complotistes, il ne faut pas les donner, quels qu’ils soient. Pour faire baisser la
température, il faut casser le thermomètre. En théorie, pour l’affichage, cela marche, mais en pratique, je ne suis pas sûr que cela fasse réellement baisser la température.
Tous les pays ont des chiffres minorés, pour plusieurs raisons. Les patients, ne pensent pas toujours qu’il peut y avoir un lien. Je vous ai déjà cité ces cancers
du pancréas qui flambent juste après vaccin, quelles preuves d’un lien ? Aucun. Ce jour c’est une amie qui me demande si la dissection aortique de sa mère moins de deux semaines après vaccin
est une coïncidence ou non (pour info, 108 enregistrés sur Vigibase, soit sans doute 500 en pratique). Lésions préexistantes stimulées ? Même chose pour les médecins traitants, coïncidence
ou non ? De plus ayant poussé à la vaccination, ils ont tendance à dire que cela n’a rien à voir. Les autorités, rechignent à enregistrer, puis font tout pour ne pas valider, la preuve
n’étant jamais formelle. En France, on ne publie plus de chiffres officiels de décès après vaccins, au motif qu’il est difficile de faire la preuve de la cause, et donc que les chiffres ne
peuvent être fiables.
Comment s’y retrouver ? Certains parlent de moins de 10% de remontées d’effets secondaires, une étude de 2019 parle même de 1%, cela me paraît excessif, je
l’évalue autour de 5 par plusieurs recoupements. Le Dr Georges Diaz, aux US, a fait une énorme étude portant sur 2 millions de dossiers covids. Ce travail, au nombre significatif, a
été publié dans le JAMA.
Il n’a étudié que les cas de myocardites et péricardites, et a pu le faire sur un grand nombre grâce aux dossiers informatisés. Il a trouvé 5 fois plus de myocardites et péricardites dans les
dossiers, que de cas déclarés dans le VAERS (base de données américaine sur les effets secondaires).
De mon côté, il y a 15 jours, en prenant le nombre de décès déclarés en GB, 1 500, avec une règle de 3, en divisant par le nombre d’injections dans le pays, en
multipliant par le nombre d’injections dans le monde, j’arrivais à 70 000 décès dans le monde, 5 fois plus que ceux déclarés dans Vigibase de l’OMS. Aux
USA, la base officielle donnait 6 207 décès dus aux vaccins le 21 juillet. D’autres sources donnent plus : 6 985 décès le 2 juillet, 11 940
le 30 juillet , et le 6
aout, nous sommes à 12 791 décès (source,
confirmé ici). Ces chiffres de décès
sont-ils sûrs ? Je suis allé voir sur un site anti fake, Reuters Fact Check, équivalent de AFP Factuel. Un article de fin juillet confirme le rapport de 6 207 décès dans le VAERS à la date
du 21 juillet, en émettant une réserve que je rapporte : « cette déclaration est assortie de réserves on “La FDA exige que les prestataires de soins de santé signalent au VAERS
tout décès survenu après la vaccination par COVID-19, même s’il n’est pas clair si le vaccin en est la cause.”
Je ne prendrai donc que le chiffre le plus bas, sachant que comme chez nous, tout est fait pour rejeter le maximum de décès sans preuves et non rapportés. 6 207
pour 320 millions de doses injectées à cette date, avec une règle de 3, pour 4,2 milliards de doses injectées dans le monde, cela fait 81 500 décès. Nous sommes toujours dans le rapport de 1 à 5
avec la base OMS, et de 1 à 10 avec 150 000 décès si on prend les sources citées plus haut dépassant 12 000 décès pour les USA. Faites le calcul, il n’y a pas de raison pour que le vaccin tue
plus ici que là, ce sont les mêmes hommes, le même vaccin, et il va falloir cesser d’enseigner la règle de trois à l’école, opération complotiste. Vous pouvez vous même faire une autre règle de
trois en vaccinant 2 doses toute la planète (soit 14 Mds de doses), puisque c’est l’objectif des grands de ce monde. Et ce pour 6 mois d’efficacité, sans parler des 3e et 4e doses commandées et des futurs variants. Toujours dans cette base, 16 décès chez les moins de 17 ans,
dont aucun ne serait mort du covid. Egalement 1 576 myocardites, ce n’est pas rien.
Personnellement, ce n’est pas cette cuisine de chiffres qui m’inquiète le plus. Je ne détaillerai pas tous les effets connus, leur nombre, on les trouve partout,
sauf dans la presse main stream, je vous laisse voir :
Ici la base européenne, très
incomplète. Allez sur C, et sélectionnez Covid-19 pour avoir les chiffres. Un seul pays semble transmettre correctement, l’Italie, qui transmet 20 fois plus que les autres européens !
La plupart de ces effets sérieux, sont, nous le savons maintenant, le plus souvent dus à des micro thromboses. Si on nous a aussi expliqué que le vaccin restait
dans le muscle de l’épaule, on sait maintenant que c’est faux. Ci-joint un document Pfizer, caché au
début, qui montre une diffusion dans tous les organes (y compris les gonades), heure par heure, confirmant bien que le produit passe dans la circulation générale.
On nous dit que la plupart de ces incidents régressent, oui, c’est vrai. J’ajouterai aussi que beaucoup ne sont pas apparents, sans symptômes. Les micro thromboses
sont constantes comme le montre le dosage de D-dimères avant et après. Maintenant, médicalement, je me pose des questions. Elles sont microscopiques et touchent tous les organes. Le poumon en
premier on est d’accord. Si nombre de ses vaisseaux sont bouchés, la pompe cardiaque continuera à débiter, mais va peiner pour aspirer dans les artères pulmonaires, quel sera l’état de la pompe
qui fonctionne dans des conditions anormales dans 20-40 ans ? Même chose après myocardites : si vous perdez 5-10% de muscle cardiaque, qui ne régénère pas, vous ne verrez rien de suite,
à 70 ans, ce n’est pas grave, mais si vous êtes jeune, comment sera votre cœur dans 20-40 ans ? Insuffisance cardiaque ? Greffe ? Même chose pour les glomérulonéphrites
maintenant explorées par l’EMA : si vous perdez 5-10% de votre fonction rénale, les glomérules filtrants étant bouchés, vous ne verrez rien de suite, mais dans 20-40 ans ?
Dialyse ? Greffe ? Pour l’œil, 18 500 effets signalés dans le VAERS. Tous les organes possèdent des micro vaisseaux et sont donc sujets à micro thromboses. Personne ne peut vous dire le
taux de cellules abîmées et les conséquences sur le long terme, et je ne fais que me poser la question.
BÉNÉFICE/RISQUE
Enfin ne faudrait-il pas revoir la notion de bénéfice/risque ? En effet, on peut évoquer cette notion quand il y a couverture individuelle à 95%, mais quand
cela ne marche pas sur un variant, que devient ce facteur bénéfice/risque quand il n’y a pas de bénéfice ? Un mathématicien vous dira qu’il s’inverse ! Il doit être évalué en fonction
de l’efficacité réelle et durable, alors qu’aujourd’hui il n’est établi que dans l’hypothèse de 100% d’efficacité définitive. La notion de durabilité doit aussi être introduite, car quel est ce
rapport après 6 mois si le produit a 0 efficacité à 6 mois ? Que devient le risque pour un bénéfice égal à zéro ?