• Le traité de l’OMS sur les pandémies est la porte d’entrée d’un régime totalitaire mondial,un gouvernement mondial
unique. La raison pour laquelle nous pouvons être sûrs qu’il y aura d’autres pandémies, qu’elles soient fabriquées uniquement par la peur et le battage médiatique ou qu’il s’agisse
d’une véritable arme biologique créée dans ce but précis, est que le plan de prise de contrôle, alias la Grande Réinitialisation, est basé sur le principe que nous avons besoin d’une
surveillance mondiale de la biosécurité et d’une réponse centralisée.
• Une nouvelle contagion verra probablement le jour en 2025, et les médias nous y préparent déjà. Du 15 au 19 janvier 2024, les dirigeants du monde
entier se réunissent au sommet de Davos du Forum économique mondial (WEF), où le principal sujet de discussion est «Se préparer à la
maladie X», une nouvelle pandémie hypothétique qui devrait tuer 20 fois plus de personnes que le COVID-19.
• En août 2023, un nouveau centre de recherche sur les vaccins a été créé dans le Wiltshire, en Angleterre, pour commencer à travailler sur un vaccin
contre la «maladie X» inconnue.
• En juin 2023, le Congrès américain a présenté le «Disease X Act of 2023» (H.R.3832). Le projet de loi prévoit la mise en place d’un programme BARDA
pour développer des «contre-mesures
médicales pour les menaces virales à potentiel pandémique». Le projet de loi a été renvoyé à la sous-commission de la santé début juin 2023 mais n’a pas encore été adopté.
La pandémie de COVID-19 a permis un changement sans précédent dans la répartition du pouvoir et des richesses à travers le monde et, comme prévu, il ne
s’agissait pas d’un événement unique. Une nouvelle contagion verra probablement le jour en 2025, et les médias nous y préparent déjà.
Du 15 au 19 janvier 2024, les dirigeants du monde entier se sont réunis au sommet de Davos du Forum économique mondial (WEF), où le principal sujet de
discussion était «Se préparer à la
maladie X»1,
une nouvelle pandémie hypothétique qui devrait émerger en 2025 et tuer 20 fois plus de personnes que le COVID-192.
Comme l’a rapporté le Mirror3, «l’Organisation
mondiale de la santé (OMS) a publié un rapport sur la pandémie de grippe aviaire».
«L’Organisation
mondiale de la santé (OMS) met en garde contre une éventuelle maladie X depuis 2017, un terme indiquant un agent pathogène inconnu qui pourrait provoquer une grave épidémie
internationale […].
Les orateurs
publics de l’événement «Se préparer à la maladie X» de mercredi prochain [17 janvier 2024] comprennent Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, la ministre brésilienne
de la santé Nisia Trindade Lima, et Michel Demaré, président du conseil d’administration d’AstraZeneca.
Lors de sa
première réunion post-pandémique, qui s’est tenue en novembre 2022, l’OMS a réuni plus de 300 scientifiques pour déterminer, parmi plus de 25 familles de virus et de bactéries, ceux
qui pourraient être à l’origine d’une nouvelle pandémie.
La liste dressée
par l’équipe comprenait : Le virus Ebola, la maladie à virus de Marburg, le Covid-19, le SRAS et le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV). Parmi les autres,
citons la fièvre de Lassa, les maladies nipah et henipavirales, la fièvre de la vallée du Zift et le zika, ainsi que l’agent pathogène inconnu qui serait à l’origine de la «maladie
X»».
J’ai interviewé le Dr Meryl Nass sur la manière dont l’OMS tente de prendre en charge certains aspects de la vie de chacun. Elle a publié ce week-end un
article important intitulé «Why Is Davos So
Interested in Disease ?» (Pourquoi Davos s’intéresse-t-il autant à la maladie ?) qui explique comment le WEF et l’OMS sont
devenus des partenaires pour terrifier le monde.
Alexis Baden-Mayer, directeur politique de l’Organic Consumers Association, a fait quelques recherches sur les participants à cet événement du WEF, et
les deux choses qu’ils ont en commun sont :
1) d’imposer le vaccin COVID d’AstraZeneca aux pays en développement (principalement l’Inde et le Brésil) après que les pays riches l’ont rejeté en
raison de son risque admis de coagulation sanguine,
2) de pousser à la mise en œuvre de systèmes médicaux d’IA qui élimineront les médecins en même temps que le choix et la vie privée des patients.
Entraînement ou planification
responsable ?
Dans un tweet daté du 11 janvier 2024, Monica Crowley, analyste de Fox
News et ancienne secrétaire adjointe aux affaires publiques du département du Trésor des États-Unis, a écrit4 :
«La semaine
prochaine, à Davos, les mondialistes non élus du Forum économique mondial organiseront une table ronde sur une future pandémie 20 fois plus mortelle que le COVID […].
Juste à temps
pour les élections, une nouvelle contagion qui leur permettra de mettre en œuvre un nouveau traité de l’OMS, de verrouiller à nouveau, de restreindre la liberté d’expression et de
détruire davantage de libertés. Cela vous semble exagéré ? C’est ce qui s’est passé en 2020. Lorsque vos ennemis vous disent ce qu’ils préparent et ce pour quoi ils le font,
croyez-les. Et préparez-vous».
Le Dr Stuart Ray, vice-président de la médecine pour l’intégrité des données et l’analyse au département de médecine de Johns Hopkins, a rejeté ces
avertissements en déclarant au magazine Fortune5 que «la
coordination de la réponse de la santé publique n’est pas une conspiration, c’est simplement une planification responsable».
Je serais prêt à le croire s’il n’y avait pas une tendance désormais évidente : Tout ce que les mondialistes prétendent qu’il va se passer se produit
effectivement à une fréquence remarquable, et leurs capacités de pronostic s’expliquent plus facilement si l’on considère que la plupart des
pandémies mortelles ont été causées par des virus fabriqués par l’homme, produits de la recherche sur le gain de fonction. Il est assez facile de prédire une nouvelle
épidémie virale si l’on dispose d’un virus qui attend dans les coulisses.
Dans cette optique, les récentes recherches menées en Chine sont pour le moins préoccupantes. Selon une préimpression du 3 janvier 20246,
un coronavirus du pangolin lié au SRAS-CoV-2 – décrit comme un «mutant adapté à
la culture cellulaire» appelé GX_P2V qui a été cultivé pour la première fois en 2017 – a tué 100% des souris humanisées (souris transgéniques ACE2) infectées par ce
virus.7
La principale cause de décès était l’inflammation du cerveau. Selon les auteurs, «il s’agit du
premier rapport montrant qu’un coronavirus du pangolin apparenté au SRAS-CoV-2 peut provoquer une mortalité de 100% chez les souris hACE2, ce qui suggère un risque de propagation du
GX_P2V chez l’homme».
Toutefois, si ce virus a muté à la suite de son passage dans des cultures cellulaires, il est peu probable qu’il émerge dans la nature. Il s’agit d’une
autre création de laboratoire non naturelle, donc plutôt que de dire qu’il peut passer des pangolins à l’homme, il serait plus juste d’admettre qu’il peut poser un risque (assez
sérieux) pour l’homme si une fuite de laboratoire se produisait.
Répétitions générales du
COVID
En 2017, le Johns Hopkins Center of Health Security a organisé une simulation de pandémie de coronavirus appelée scénario SPARS Pandemic
2025-20288.
L’exercice a mis l’accent sur les «dilemmes de
communication concernant les contre-mesures médicales qui pourraient plausiblement émerger» dans un scénario de pandémie.
Puis, en octobre 2019, moins de trois mois avant l’épidémie de COVID-19, la Fondation Bill & Melinda Gates, en collaboration avec Johns Hopkins et
le Forum économique mondial, a organisé l’événement 201.
Le nom lui-même suggère qu’il pourrait s’agir d’une continuation de l’exercice SPARS Pandemic. Les cours de l’enseignement supérieur sont numérotés en
fonction de leurs prérequis. Un cours 101 ne nécessite aucune connaissance préalable, tandis que les cours 201 requièrent une familiarité préalable avec le sujet traité.
Comme dans le scénario de la pandémie SPARS, l’événement 201 concernait l’apparition d’un coronavirus hautement infectieux, et l’objectif principal
(sinon unique) de l’exercice était, une fois de plus, de savoir comment contrôler l’information et contenir la «désinformation», et non pas comment découvrir et
partager efficacement les remèdes.
La censure
des médias sociaux a joué un rôle prépondérant dans le plan de l’événement 201, et dans les événements réels de 2020 à aujourd’hui, des informations exactes sur le
développement, la production et les dommages causés par les vaccins ont effectivement été supprimées dans le monde entier, grâce aux entreprises de médias sociaux et à la censure des
points de vue opposés par Google.
En mars 2021, une épidémie d’une «souche
inhabituelle du virus de la variole du singe» a été simulée9. Fin
juillet de l’année suivante, le directeur général de l’OMS a déclaré qu’une épidémie de variole du singe dans plusieurs pays constituait une urgence de santé publique de portée
internationale,10 contre
l’avis de son propre groupe consultatif.
Exercice de «contagion
catastrophique»
Étant donné que ces deux simulations, SPARS («Event 101»
?) et Event 201, ont préfiguré ce qui s’est finalement produit dans la vie réelle au cours de COVID, lorsque Gates organise un nouvel exercice de pandémie, il convient de
prêter attention aux détails.
Le 23 octobre 2022, Gates, Johns Hopkins et l’OMS ont organisé conjointement «un exercice de
défi mondial» baptisé«Contagion
catastrophique»11,12impliquant
un agent pathogène fictif appelé «syndrome
respiratoire à entérovirus épidémique sévère 2025»(SEERS-25).
L’entérovirus D6813 est
généralement associé à un rhume et à une maladie pseudo-grippale chez les nourrissons, les enfants et les adolescents. Dans de rares cas, il est également connu pour provoquer une
méningite virale et une myélite flasque aiguë, une affection neurologique entraînant une faiblesse musculaire et une perte de réflexes dans une ou plusieurs extrémités.
Les entérovirus A71 et A6 sont connus pour être à l’origine de la maladie des mains, des pieds et de la bouche14 tandis
que le poliovirus, l’entérovirus prototypique, est à l’origine de la polio (poliomyélite), un type de paralysie potentiellement mortelle qui affecte principalement les enfants de
moins de 5 ans. Le virus modélisé dans cette simulation semble donc être similaire à l’entérovirus D68, mais en pire.
Début des essais de vaccins contre
le virus mortel Nipah
Le virus Nipah est un virus connu qui présente une certaine ressemblance avec le virus fictif SEERS-25. Ce virus a un taux de mortalité d’environ
75%15 et
les survivants sont souvent confrontés à des problèmes neurologiques à long terme dus à l’infection. On dit également que le Nipah affecte davantage les enfants que les
adultes16.
Par ailleurs, des essais sur l’homme d’un vaccin contre le virus mortel Nipah ont récemment été lancés17.
Des volontaires ont reçu leur première injection au début du mois de janvier 2024. L’injection expérimentale utilise la même technologie de vecteur viral que celle utilisée pour
produire le vaccin COVID d’AstraZeneca.
L’essai serait mené par l’Université d’Oxford dans une zone non divulguée où le Nipah infecte activement des victimes. (L’Inde semble être indiquée,
puisqu’une épidémie au Kerala a tué deux personnes et en a hospitalisé trois en septembre 202318).
On pense que la maladie se propage par interaction avec des animaux infectés tels que les chèvres, les porcs, les chats et les chevaux. Elle peut
également se propager par l’intermédiaire de produits sanguins et d’aliments contaminés. Les symptômes peuvent apparaître quelques jours après l’exposition et jusqu’à 45 jours
après.
Les premiers symptômes comprennent de la fièvre, des maux de tête et une maladie respiratoire, qui peuvent rapidement évoluer vers une encéphalite
(gonflement du cerveau), des convulsions et le coma en l’espace de quelques jours seulement. Selon l’OMS, les porcs sont connus pour être «très
contagieux» pendant la période d’incubation, et il est possible que les humains le soient également, bien que cela reste à confirmer.
Former les dirigeants africains à
suivre le récit
Il est révélateur que l’exercice Catastrophic Contagion visait à impliquer les dirigeants des pays africains et à les former à suivre le scénario. Les
pays africains sont sortis du scénario plus souvent que d’autres pendant la pandémie de COVID et n’ont pas suivi les traces des pays développés lorsqu’il s’agissait de pousser les
vaccins.
En conséquence, les fabricants de vaccins sont désormais confrontés au problème de disposer d’un énorme groupe témoin, car le taux de vaccination contre le COVID sur le continent africain n’était que de 6%19,
et pourtant, il s’en sort bien mieux que les pays développés en termes d’infections au COVID-19 et de décès associés.20
L’exercice Catastrophic Contagion prédit que SEERS-25 tuera 20 millions de personnes dans le monde, dont 15 millions d’enfants, et que beaucoup de ceux
qui survivront à l’infection se retrouveront avec une paralysie et/ou des lésions cérébrales. En d’autres termes, le «signal» donné est que la prochaine pandémie pourrait
cibler les enfants plutôt que les personnes âgées, comme ce fut le cas avec la COVID-19.
Un vaccin contre l’agent pathogène
inconnu «X» est déjà en préparation
En août 2023, un nouveau centre de recherche sur les vaccins a été créé dans le Wiltshire, en Angleterre, doté d’un effectif complet de plus de 200
scientifiques, pour commencer à travailler sur un vaccin contre la «maladie X» inconnue. Tel que rapporté par Metro21 :
«Il a fallu 362
jours pour développer le vaccin contre le Covid-19. Mais l’équipe du Centre de développement et d’évaluation des vaccins souhaite réduire ce délai à 100 jours. Les scientifiques de
l’installation développeront une gamme de prototypes de vaccins et de tests.
Le nouveau
laboratoire fait partie d’un effort mondial visant à répondre aux menaces sanitaires mondiales. Le Royaume-Uni et d’autres pays du G7 ont signé la «Mission des 100
jours» en 2021. Le gouvernement a investi 65 millions de livres sterling dans le laboratoire.
Le professeur
Dame Jenny Harries, directrice de l’Agence britannique de sécurité sanitaire, a déclaré que la nouvelle installation «garantirait que nous nous préparons de manière à ce que si nous
avons une nouvelle maladie X, un nouvel agent pathogène, nous ayons autant de travail à l’avance que possible»».
Aux États-Unis, le Congrès a également introduit le «Disease X Act of 2023» (H.R.383222)
en juin 2023. Le projet de loi appelle à la création d’un programme BARDA pour développer «des
contre-mesures médicales aux menaces virales à potentiel pandémique». Le projet de loi a été renvoyé en sous-commission de la santé début juin 2023 mais n’a pas encore été
adopté.
La loi sur la maladie X modifie un article de la loi sur les services de santé publique avec deux nouvelles clauses qui appellent à «l’identification
et le développement de technologies de fabrication de plates-formes nécessaires au développement et à la fabrication avancés de contre-mesures médicales pour les familles virales qui
ont un potentiel important de provoquer une pandémie». Et «la recherche et
le développement avancés de contre-mesures médicales flexibles contre les familles de virus respiratoires prioritaires et d’autres agents pathogènes viraux respiratoires ayant un
potentiel significatif de provoquer une pandémie, avec des approches à la fois spécifiques à l’agent pathogène et indépendantes de l’agent pathogène…»
Inutile de dire que, puisqu’il est impossible de personnaliser des vaccins en utilisant la méthode conventionnelle de culture de virus dans des œufs ou
dans d’autres milieux cellulaires en 100 jours, il semble inévitable que tous ces efforts visent l’expansion des technologies basées sur les gènes. Ceci, malgré le fait que la
technologie de l’ARNm utilisée pour les vaccins COVID s’est avérée désastreuse du point de vue de la sécurité, et inefficace, par ailleurs.
Pourquoi les pandémies fabriquées
continueront
À ce stade, il est tout à fait clair que la «biosécurité» est
le moyen choisi par la cabale mondialiste pour prendre le pouvoir sur le monde. L’OMS s’efforce d’obtenir le pouvoir exclusif sur la réponse à la pandémie à l’échelle mondiale grâce à
son traité
international sur la pandémie qui, s’il est mis en œuvre, éradiquera la souveraineté de tous les pays membres.
Le traité de l’OMS sur la pandémie est la porte d’entrée vers un régime totalitaire mondial imposé d’en haut, un gouvernement mondial unique. En fin de
compte, l’OMS entend dicter tous les soins de santé. Mais pour garantir ce pouvoir, ils auront besoin de davantage de pandémies. Le COVID-19 à lui seul n’a pas suffi à rallier tout le
monde à une unité centralisée de réponse à la pandémie, et ils le savaient probablement depuis le début.
Ainsi, la raison pour laquelle nous pouvons être sûrs qu’il y aura d’autres pandémies, qu’elles soient fabriquées en utilisant uniquement la peur et le
battage médiatique ou une véritable arme biologique créée dans ce but précis, est que le plan de rachat, alias The
Great Reset, est basé sur le principe que nous ont besoin d’une surveillance mondiale de la biosécurité et d’une réponse centralisée.
La biosécurité, à son tour, justifie un passeport vaccinal
international, auquel le G20 a adhéré, et ce passeport sera également votre identification numérique. Cette identification numérique sera alors liée à votre score de crédit
social, à votre suivi de l’empreinte carbone personnelle, à vos dossiers médicaux, à vos dossiers scolaires, à vos dossiers de travail, à votre présence sur les réseaux sociaux, à vos
achats, à vos comptes bancaires et à une monnaie numérique programmable de banque centrale (CBDC).
Une fois que tous ces éléments seront entièrement connectés, vous serez dans une prison numérique, et la cabale au pouvoir – qu’elle soit officiellement
ou non un gouvernement mondial unique – aura un contrôle total sur votre vie, du berceau à la tombe.
Nous souffrons déjà sous un
gouvernement mondial pseudo-unique
En fait, nous avons déjà un gouvernement
mondial pseudo-unique, sous la forme des organisations non gouvernementales (ONG) de Bill Gates. Ils prennent des décisions en matière de soins de santé qui devraient être
laissées à chaque nation et/ou État, et ils prennent des décisions qui leur permettront de remplir leurs propres poches, indépendamment de ce qui arrive à la santé publique.
Ils coordonnent et synchronisent la communication sur la pandémie lors d’exercices simulés, puis, lorsque la situation réelle qui correspond à la
situation apparaît, le scénario pré-planifié est joué plus ou moins textuellement.
Entre la déclaration du G20 visant à mettre en œuvre un passeport vaccinal international sous les auspices de l’OMS et le traité de l’OMS sur la
pandémie, tout est réuni pour prendre le contrôle de la prochaine pandémie et, ce faisant, renforcer davantage les bases d’un gouvernement mondial unique.
Comme indiqué dans mon article de 2021, «Répétitions
générales liées au COVID-19 et preuve du plan», les mesures de lutte contre la pandémie mises en place pour lutter contre le COVID-19 ont été le point culminant de décennies
de planification minutieuse visant à modifier radicalement et définitivement la gouvernance et les structures sociales du monde.
Le système médical a été utilisé dans le passé pour faire avancer un programme de nouvel ordre mondial – désormais rebaptisé «La Grande
Réinitialisation» – et il est désormais utilisé pour mettre en œuvre les dernières étapes de ce plan de longue date. Le COVID-19 était une mise en pratique concrète et a
montré à quel point une pandémie peut être utilisée efficacement pour modifier l’équilibre des pouvoirs et priver la population mondiale de sa richesse et de ses libertés
individuelles.
Il ne fait donc aucun doute dans mon esprit que de nouvelles pandémies seront déclarées, car elles sont le moyen d’atteindre les objectifs des
mondialistes. Pour empêcher ce coup d’État mondial, nous avons besoin que tout le monde parle et partage la vérité dans la mesure de ses possibilités. Ce n’est qu’à ce moment-là que
nos voix dépasseront en nombre celles de la machine de propagande.
Door To Freedom (Porte vers la liberté) (doortofreedom.org),
une organisation fondée par le Dr Meryl Nass, a une affiche qui explique comment le traité sur la pandémie et les modifications du Règlement sanitaire international (RSI) changeront
la vie telle que nous la connaissons et nous priveront de tout vestige de liberté. Veuillez télécharger
cette affiche et la partager avec tous ceux que vous connaissez. Affichez-le également sur les panneaux d’affichage publics et sur les lieux où les communautés partagent des
informations.
Lucien Cerise, Caroline
Galactéros, Frigide Barjot et Jean-Maxime Corneille étaient nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.
Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a publié plusieurs ouvrages sur les questions de
la souveraineté nationale, des frontières, du chaos et de la globalisation.
Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment
traduit l’ouvrage «Le charme discret
du djihad : L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical».
Caroline Galactéros est une géopolitologue, docteur en science politique et auditrice de l’IHEDN. Elle dirige le cabinet de conseil PLANETING et préside
le think-tank GEOPRAGMA. Elle est également auteur de plusieurs livres sur la gestion de crise, la stratégie et l’éthique du conflit.
Frigide Barjot est une humoriste, chroniqueuse et militante française. Elle a été l’une des porte-paroles de la Manif pour tous, opposée au mariage des
couples de même sexe et au changement de filiation en résultant. Elle a ensuite fondé l’association L’Avenir pour tous, qui défend la «filiation» et la «reproduction humaine».
L’ingénierie sociale est l’ensemble des moyens de communication mis en œuvre pour conditionner le comportement d’une population, en vue de la faire agir
dans le sens de son intérêt et dans le sens de l’intérêt général.
Le mindcontrol est une forme d’ingénierie sociale qui vise à contrôler ou influencer la pensée, les choix, les actions d’une personne ou d’un groupe via
un rapport de pouvoir ou d’influence. Ces techniques sont utilisées par les élites pour manipuler l’opinion publique et le contrôle des populations.
Comment les élites parviennent-elles à exercer
une telle emprise sur les masses ?
Quels sont les outils, les méthodes, les
objectifs de cette manipulation ?
Comment résister et se protéger face à cette
ingérence dans nos vies privées et collectives ?
Quels liens avec le transhumanisme
?
Ces questions brûlantes étaient au cœur de notre entretien en direct, qui a réuni quatre personnalités aux points de vue variés et éclairés. Ils ont partagé avec
nous leurs analyses, leurs témoignages, leurs propositions pour comprendre et déjouer les stratégies de l’ombre qui menacent notre avenir.
Nous l’attendions tous, des rumeurs circulaient sur sa sortie et voilà c’est fait.
Attention, «spoiler»… des éléments qui suivent divulguent des faits importants sur la série. Si vous désirez garder l’effet de surprise, ne
lisez surtout pas ce texte.
Cela fait des mois que durait l’incertitude, allions-nous avoir la grippe de la tomate1,
la grippe du poulet2,
la pleurésie du castor ou l’angine du poulpe ? Le grand vainqueur de cet épisode pilote diffusé en mondovision est donc :
Tada !
«La
variole du singe, Monkeypox de la brume !»
Permettez-moi de vous préciser que le scénario n’est pas totalement arrêté. Les studios se livrent à une guerre sans nom. Des milliards de dollars sont
en jeu et il n’est pas possible de se permettre de gâcher une série.
Ce n’est donc pas un hasard si OMS studios a choisi la période entre la fin des JO et la rentrée de septembre pour sortir son blockbuster. Il eût été
impossible de la diffuser pendant les Jeux olympiques au risque de gâcher la fête. Notez que durant ceux-ci, les studios ont pris soin ici et là de nous parler de cas de Covid afin de
nous préparer à cette nouvelle sortie.
Nous nous réjouissons tous de cette nouvelle saison, mais permettez-moi de vous faire part de mes inquiétudes. Quand bien même l’ensemble de ces acteurs
ne souhaite que notre bien, nul ne peut en douter, le risque de flop existe pour autant.
Les productions actuelles
Faisons un point rapide et non exhaustif sur la situation.
•OMS
studios a dans ses tiroirs à minima deux séries phares en gestation, la grippe aviaire et la variole du singe. D’aucuns qui rêvaient d’une épidémie mondiale ravageant les
humains ET les animaux pourraient avoir une petite larme à l’œil du fait de la sortie de Mpox. Je tiens néanmoins à les rassurer et leur dire que ce n’est que partie remise. La grippe
du poulet est un plan trop génial pour l’abandonner. N’oubliez pas que des pilotes de courte durée sont diffusés régulièrement afin de maintenir le téléspectateur en
haleine. «100 000
poulets abattus dans le Gers suite à un test PCR» et j’en passe…
•OTAN
studios garde quant à lui sa série culte qui fait un carton depuis des années, je vous rappelle que chaque saison se déroule en un lieu différent afin de la rendre plus
attractive et ne pas lasser.
«War in the
Ukraine» est toujours à l’affiche, mais en perte de vitesse. Face à cela les scénaristes ont eu l’idée de lancer l’opération «j’va faire mieux
qu’Napo et envahir la Russie». L’idée est géniale, le petit pays, même pas peur, qui veut réussir ce que des millénaires n’ont pas pu accomplir. Ici encore je crains que ce ne
soit le dernier souffle d’une série dont la fin est comptée. Même si cela en attriste plus d’un, il faut se rendre à l’évidence, il n’y a plus assez de chair à canon, on commence à
attaquer les moins de 18 ans et les plus de 65 ans pour qu’ils aillent se faire buter et ça fait désordre. À leur décharge ils ont du faire face à l’Étoile Studios qui, sans
prévenir, a sorti sa super production méga-gore.
Inutile pour autant de s’en faire pour la société de production qui nous régale depuis environ 75 ans de ses super réalisations. Il est un secret
de polichinelle d’affirmer qu’ils préparent une nouvelle série qui devrait se dérouler en Asie. Je sais, cela fait des années qu’ils en parlent nous laissant sur notre faim, mais ils
attendent le bon moment afin de pouvoir rafler tous les Golden Globes.
Mais les scénaristes d’OTAN studios ont pour autant un manque total d’imagination c’est systématiquement «les gentils
contre les méchants» (encore
plus con qu’un Disney), «les forces du
bien contre les forces du mal», «les démocraties
contre les dictatures», etc. On a beau se dire que c’est du vu et revu, que l’on connaît le scénario par cœur, et bien on retombe dans le piège, on se fait happer par
l’atmosphère bon enfant, les spécialistes de plateau, le dictateur qui génocide trois civils dans un bombardement immonde, le fou rempli de haine qui sabote ses propres installations
sous le regard médusé de sa population, etc.
•Étoile
Studios quant à lui a profité du désordre et de la concurrence pour se dire que c’était l’occasion d’agrandir ses locaux et de créer la série «Un,
deux, trois, soleil !»
Il a déniché une petite bande de terre de 300 km2 en bord de plage qu’il utiliserait bien. Profitant du désordre un script a été mis œuvre, certes
de très mauvaise qualité, mais qui au final rencontre un énorme succès d’audience. Je dois dire qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai pour les scénarios abracadabrantesques. Rappelez-vous le 11 septembre, la plus grande
puissance du monde qui n’a plus un seul avion de disponible occupés pour des manœuvres aériennes, des pirates de l’air même pas foutus de poser un Cesna, deux avions qui volent
tranquillement sans être dérangés et qui percutent chacun une tour. On aurait pu imaginer que deux tours s’effondrent, mais dans leur scéna une troisième tombe toute seule par
mimétisme. Bref de la mauvaise série B au scénario lamentable, mais qui pour autant a eu un succès mondial qui continue encore à faire de l’audience.
Qu’à cela ne tienne, nous sommes ici dans le plagiat d’eux-mêmes. Un document officiel décrivant le mode opératoire des terroristes, les
postes-frontière abandonnés, l’aviation en train de prendre l’apéro et hop les méchants qui frappent à la plus grande surprise, la faute à pas de chance ! À noter que dans le
scénario original les terroristes sont tellement nuls que les auteurs sont obligés de rajouter une scène dans laquelle les hélicoptères de l’armée tirent sur tout ce qui bouge, des
civils en plein concert, histoire de rajouter une peu de carnage et de viande grillée. Je me dois de préciser à ce stade que c’est du plagiat, rappelons-nous de l’autoroute de la mort
produite par OTAN Studios entre Bassora (en
Irak) et Koweït City… des kilomètres de cadavres brûlés vifs dans une ambiance festive de barbecue et de maïs grillé. Ça avait plus de gueule que quelques voitures brûlées
sur un parking.
Ici encore, malgré la faiblesse du scénario et les déjà-vu, elle a un succès fou. Les épisodes s’enchaînent à un rythme effréné. Pas le temps de
s’ennuyer. Elle est un peu construite comme la série «24 heures».
Feux d’artifice géants avec son et lumière, quartiers rasés, massacres de civils, viols de prisonniers, enfants déchiquetés, hôpitaux bombardés, opérations de blessés sans
anesthésique, victimes déterrées puis écrasées par des chars pour qu’ils n’aient pas de sépulture (celle-ci est une
de mes préférées cf. reportage Al-Jazeera), bref, que du bon gore qui ferait passer un «Rambo III» ou un «Apocalypse Now» pour une kermesse à la paroisse.
Hélas, les scénaristes ont péché par orgueil. Ils ont voulu tellement nous épater par de belles images qu’à ce rythme il n’y aura bientôt plus personne
à massacrer dans la série. C’est ce qui s’appelle jeter le bébé avec l’eau du bain sauf que là, ils n’ont plus d’eau ni de baignoire et bientôt plus de bébés !
•Giec
Studios et «le dérèglement
climatique». Alors là ce n’est plus de la super production, mais de la méga-super-production. Des moyens colossaux ont été utilisés pour cette série, que dis-je pour cette
épopée. Elle implique quasi tous les pays de la planète. Ici encore on pourrait trouver le scénario un peu faible :
«Si l’on ne fait
rien, c’est la fin du monde, sinon c’est aussi la fin du monde, mais plus tard».
Les auteurs sont pris à leur propre piège. Si dans l’histoire tout s’arrange grâce à la mise en œuvre d’un maximum de mesures dictatoriales, c’est la
fin de la série, et adieu le contrôle des masses et la poule aux œufs d’or. Il faut dire qu’arriver à faire des milliards de bénéfices avec de l’air (du
CO2) relève du génie. En revanche, si l’on veut continuer à attirer les spectateurs, il nous faut de la catastrophe ad vitam æternam au risque de lasser. Cette année les
scénaristes ont fait évoluer l’histoire. Au commencement était le «réchauffement
climatique» :
«Nous allons tous
crever de soif, les déserts vont recouvrir la planète, toute vie terrestre et marine va mourir, l’eau qui s’évapore de plus en plus du fait de la chaleur ne va pas retomber sous forme
de pluie, mais partir dans l’espace».
Je reconnais que l’idée était pas mal, mais difficile à tenir sur la distance. Ils ont donc remplacé (sans le dire
trop fort aux téléspectateurs) «réchauffement» par «dérèglement».
Tout le monde sait que le climat est «réglé» et qu’il en a toujours été ainsi depuis des millions d’années. Je tiens aussi à rappeler que le
réchauffement est très néfaste pour la vie, celle-ci explosant dans les déserts arctiques et antarctiques alors même que les régions équatoriales ne sont que mort et désolation. Donc
pour cette nouvelle saison ils ont inventé les températures sous la normale, la pluie à n’en plus finir, mais aussi les inondations récurrentes. C’est bien parce que cela simplifie
enfin le discours que les plus cons n’arrivaient pas à suivre.
Il faut dire que les débiles de complotistes ne manquaient pas de dire :
«Regarde, il fait froid.» «Regarde il pleut».
Tout ceci n’a plus lieu d’être dans la dernière saison, le message est beaucoup plus simple :
«Il fait chaud, c’est la faute au dérèglement». «Il fait froid, c’est la faute au dérèglement». «Il fait habituel, c’est la faute au dérèglement».
C’est bien, mais ça marque moins les esprits et le nombre de spectateurs qui suivent la série ne fait que diminuer. Sans compter que le réflexe saison 1 demeure. Pendant toute la dernière saison, les protagonistes passent leur temps sous la pluie et en fin de
saison le message est : «C’est le mois le
plus chaud depuis la naissance de l’Univers».
Je salue au passage l’imagination des auteurs qui ne prennent plus les températures sous abri loin d’un point chaud artificiel, mais à 10 cm
au-dessus du bitume dans un parking en plein soleil. Sans compter le remplacement progressif de la température mesurée par la température ressentie, bien plus précise et scientifique
comme vous en conviendrez.
Je ne veux pas être un oiseau de mauvais augure, mais de nombreux spectateurs ont senti la faiblesse du scénario. Dans les premières saisons, nous
avions droit à des annonces sympathiques comme «les Maldives
seront noyées d’ici 10 ans» ou «d’ici 2020 il n’y
aura plus de neige dans les Alpes» et voilà que les hôtels ou les maisons de milliardaires continuent de fleurir au niveau de la mer et on nous annonce que 12 mètres de
neige sont tombés au col du Galibier !3 Il
y a bien celles et ceux qui sortent en tee-shirt sous la neige quand on leur explique que l’on vit un épisode caniculaire, mais avouez qu’ils perdent des spectateurs avec ce flux
d’incohérence.
Les croisements (crossover) entre les séries
Je ne sais pas pour vous, mais moi j’a-do-re quand un personnage récurrent d’une série fait un passage dans une autre série. Ça surprend, ça crée de
l’excitation, bref la clef du bonheur dans un monde libre.
Et bien les Studios Étoile et les Studios OMS viennent de nous en faire profiter dans un épisode totalement inattendu de la série aux bons accents de
méditerranée, «Un,
deux, trois, soleil !».
La scène se déroule sur la plage en pleine chaleur où ça massacre à tour de bras, vieillards, femmes, enfants et c’est alors que tombe une nouvelle
horrifiante à nous glacer le sang :
«Un premier cas
confirmé de polio depuis 25 ans, l’ONU réclame des «pauses humanitaires» pour vacciner les enfants. La maladie a été diagnostiquée chez un bébé de 10 mois qui n’avait
pas été vacciné».
Attendez, c’est pas fini, c’est génial, il fallait oser !
Imagines la scène avec des bombes qui pleuvent, des hurlements, ça pue le cadavre, des enfants déchiquetés, par exemple les jambes sous du sable avec
des petits pieds qui dépassent et le corps sur un arbre (j’ai la vidéo
pour qui veut) et là tu as un médecin d’OMS Studios (style super
héros beau gosse baraqué sauveur du monde libre, et américain) qui arrive dans l’hôpital et décide de faire un test de polio sur un bébé de 10 mois miraculeusement
indemne qui vient de perdre toute sa famille en une seule explosion !
Ne rigolez pas, le médecin débile de la série «Un,
deux, trois, soleil» aurait
essayé de soigner les blessures des survivants, quel con ! Le superhéros d’OMS studios se dit quant à lui : «Le plus important
c’est de diagnostiquer une polio pour éviter une épidémie !»
Vous touchez du doigt la psychologie j’espère.
C’est là que le génie des scénaristes s’associe à la beauté de l’Humanité, qui ne peut que tirer la larme à l’œil aux plus endurcis d’entre nous. Ah,
ils sont forts ces auteurs.
«Cette annonce
intervient alors que le secrétaire général de l’ONU s’est joint à l’appel de l’OMS et de l’Unicef, qui réclament
des «pauses
humanitaires de 7 jours» dans les
combats à Gaza pour permettre deux campagnes de vaccination contre
cette maladie, qui concernent plus de 640 000 enfants de moins de 10 ans ces prochaines semaines».4
On croit rêver, mais c’est écrit dans le script, je déconne pas, suivez le lien de la note de bas de page si vous êtes septique. C’est comme s’ils
disaient : «Les mecs, on va
arrêter de déchiqueter les bébés et les enfants pendant quelques jours et on reprend dans une semaine le temps de les vacciner, histoire qu’ils meurent en bonne santé ! Ha, ha,
ha !»
Dire qu’après cela certains doutent de l’Humanité. Mais je m’égare devant tant d’amour et de compassion.
L’objet de mon introduction était de dire que la concurrence des différents studios est rude et qu’il n’est pas facile de garantir le succès d’une
nouvelle série.
Monkeypox, Mpox pour les branchés :
Alors que dire de ce pilote de la nouvelle série d’OMS Studios ?
Reprendre les ficelles qui font le succès tout en amenant de l’originalité, disons plutôt en essayant de faire croire que c’est une nouveauté afin que
les téléspectateurs suivent.
Il y a sans doute des limites à la surenchère même si… par exemple après les Dents de la mer et son requin blanc qui mange des baigneurs, nous avons
désormais les mégalodons qui mangent des baigneurs.
Pour autant un mauvais démarrage d’une série n’implique pas obligatoirement son futur échec.
Prenez par exemple la série «SIDA» produite
en son temps par OMS Studios. Les débuts ont été décevants : difficile pour tout un chacun de s’identifier aux héros quand ceux-ci passent la nuit à se droguer et à se faire
pénétrer dans leur fondement par des partenaires multiples d’un soir. Heureusement les scénaristes se sont ressaisis en trouvant l’idée géniale de la contamination par le sang, sans
cet éclair de génie s’en était fini.
Ici encore la série eût pu être un échec total sans l’invention de la trithérapie qui a permis de provoquer, enfin, un nombre de morts hallucinant. S’en
suit ensuite une reculade du nombre de décès au fur et à mesure que l’on diminuait la dose mortelle des «médicaments».
Il me semble aussi que c’est à cette époque que l’on a théorisé le malade non malade, le «séropositif», qui devait être «soigné» à vie
pour ne pas développer la «maladie» causée par les médicaments et ne pas mourir. Ils sont même allés jusqu’à inventer l’infecté par le virus dont il était impossible de
détecter le moindre virus chez lui. Du boulot d’artiste !
Le malade asymptomatique
Idée géniale qui a été largement reprise pour la série «Covid» d’OMS
Studios avec le développement à l’infini du malade en pleine santé potentiellement contagieux et sans le moindre symptôme.
Ainsi chaque téléspectateur pouvait s’identifier dans cet extrait devenu culte :
– Candide : «Je me sens
parfaitement bien, pas le moindre signe de maladie, je me demande si je ne devrais pas me faire tester».
– Le Savant : «Bien évidemment
espèce de dingue criminel, te rends-tu compte que tu pourrais infecter une personne en bonne santé qui à son tour, ignorant sa dangerosité et se croyant en bonne santé, pourrait
infecter une autre personne en bonne santé et ainsi de suite ?!»
– Candide : «Et dois-je me
vacciner ?»
– Le Savant : «Absolument, le
vaccin protège des formes graves que ta bonne santé et ta jeunesse préviennent. Je te rappelle qu’il est sûr et efficace. Les études ont prouvé que plus tu étais vacciné et moins tu
subissais de tests PCR et moins tu étais positif5.
Si tu ne te vaccines pas, tu pourrais contaminer et mettre en danger une personne vaccinée déjà protégée par sa vaccination sûre et efficace».
– Candide ; «Ah oui, tu as
raison, c’est logique».
– Candide : «Mais mon voisin
vacciné ne peut toujours pas aller voir sa mère en maison de retraite !»
– Le Savant : «C’est à cause des
non-vaccinés, ils pourraient la contaminer même si son vaccin est sûr et efficace et qu’il protège des formes graves et qu’elle est aussi vaccinée par ce même vaccin sûr et efficace
qui protège des formes graves».
– Candide : «C’est là que l’on
voit que vous êtes le spécialiste et moi le débile».
– Candide : «Mais j’ai un
autre voisin qui a attrapé le Covid malgré le vaccin».
– Le Savant : «C’est à cause des
non-vaccinés, son vaccin sûr et efficace l’a protégé des formes graves.»
– Candide : «Oui, mais il a
failli mourir.»
– Le Savant : «C’est à cause des
non-vaccinés, sans le vaccin il serait mort !»
– Candide :«Mais
que dire du petit Albert6 qui
est décédé sur le terrain quelques heures après sa vaccination».
– Le Savant :«Cela
fait partie des mystères de la vie, tu sais il avait déjà 6 ans et demi, un âge où l’on a des accidents cardiaques, c’était son heure. Dire que des pourritures de complotistes
utilisent ce drame pour faire le mal».
– Candide : «Ah, je comprends
mieux, merci pour ces informations précieuses et si logiques».
– Le Savant :«Ne
me remerciez pas, je suis là pour vous. Si vous avez d’autres questions sur tous les sujets comme le réchauffement climatique, je peux vous éclairer».
Cet échange est devenu célèbre au point que les gamins jouent la scène dans les cours de récré !
Ne risque-t-on pas le plagiat avec la nouvelle série Mpox ?
Vous dites-vous cela quand vous regardez une nouvelle saison de «Otan-war» ?
Bien sûr que non et il en sera de même de «Monkeypox
dans la brume» versus «Covid
19».
Un jour, je disais à une personne ayant un poste très très élevé dans une boîte de production :
«Mais Master-chef, c’est la même chose que Top-chef !»
Je dois dire qu’avec le recul j’ai un peu honte de moi. Il m’a immédiatement remis en place pour me dire «mais ça n’a rien
à voir !»
Et bien croyez-moi ou pas, mais la variole et le Covid n’ont strictement aucun point en commun, leur simple dénominateur est qu’ils sont tous deux
produits par OMS Studios.
«Spoiler» Stoppez votre
lecture si vous voulez garder le suspense.
La suite suppose que les spectateurs accrochent à l’épisode pilote actuellement diffusé et que la série prenne sa vitesse de croisière dès la rentrée.
Pour cela il va nous falloir très vite le premier décès en Europe.
Si la série est lancée alors nous allons apprendre pêle-mêle dans un consensus scientifique que :
• Le virus n’est pas dangereux, mais il est peut-être dangereux. • Il est très contagieux, mais pas trop contagieux ou peut-être pas du tout contagieux. • Seules les personnes à risque doivent se protéger, mais aussi sans doute toutes les autres. • Les malades meurent beaucoup entre 3 et 10%, mais la maladie n’est pas dangereuse. • Il n’y a pas de traitement, mais il y a un traitement. • Les vaccinés d’avant 1980 sont protégés sauf s’ils ne sont pas protégés. • Il y a un vaccin efficace, mais il devrait y avoir bientôt un vaccin encore plus efficace.
Les premiers épisodes se verront rassurants :
• Ce n’est que quelques cas • Nous avons le meilleur système de santé au monde • Nous avons la chance d’avoir déjà un vaccin alors que pour la série Covid nous avions déjà la chance d’avoir un vaccin, mais nous attendions le
meilleur moment pour le sortir pour rendre l’intrigue plus captivante • Nous avons appris de nos maladresses passées • Nous avons renforcé notre système de santé en fermant des lits et des services • Aucune raison de s’alarmer, mais soyons prudents, on ne sait jamais
On nous dira aussi dans les épisodes suivants que : «Il est inutile à
ce jour de se précipiter pour se faire vacciner, faire des PCR, porter un masque ou rester chez soi à moins que vous fassiez partie du panel de personnes pour lesquelles il est
important de se faire vacciner, faire des PCR, porter un masque et rester chez soi».
Les auteurs précisent que les symptômes de la maladie sont spécifiques et ne peuvent en aucune façon être confondus avec d’autres pathologies comme le
Covid et qu’il ne saurait y avoir plagiat.
Le symptôme
principal est l’éruption cutanée qui peut être accompagnée de :
«Fièvre.
Frissons.
Maux de tête.
Épuisement.
Ganglions lymphatiques enflés.
Douleurs dorsales, articulaires et musculaires».
Mais attention :
«Parfois, les
personnes infectées ne remarquent pas d’éruption cutanée, mais elles peuvent toutefois avoir un mal de gorge ou une douleur au rectum».7
Nous apprendrons par la suite que la douleur au rectum pourrait s’expliquer autrement, je vous laisse découvrir pourquoi.
Il y a aussi le côté enquête qui ajoute du suspense, je cite :
«Les symptômes
peuvent ressembler à ceux d’autres maladies infectieuses, notamment :
• La
varicelle (et le zona).
• Les infections bactériennes de la peau.
• Les infections transmissibles sexuellement, comme l’herpès, la syphilis, la gonorrhée».
Ils vont bien insister pour nous expliquer que «Mpox
dans la brume» est
une maladie aux symptômes spécifiques, mais qui ressemble à d’autres maladies.
En revanche les réalisateurs ne nous ont pas encore révélé quelles sont les maladies qui vont miraculeusement disparaître durant l’épidémie au profit du
Mpox. Je vous rappelle qu’il n’y avait plus aucune grippe ni maladie respiratoire dans la série Covid.
Petite originalité, les auteurs ont essayé de faire une synthèse entre Covid et SIDA, à la fois un petit clin d’œil aux séries précédentes, mais aussi
afin d’accroître l’intensité dramatique.
Ainsi la transmission du virus peut se faire par le contact (comme le
Covid), mais aussi par voie sexuelle (comme le
SIDA). Hey, ils en ont de l’imagination hein !
Mais alors, comment savoir si l’on est contaminé ?
Rassurez-vous la série a prévu des tests PCR fiables (pléonasme).
«Actuellement le
diagnostic se fait par PCR spécifique Monkeypox virus à partir des prélèvements suivants :
• prélèvements
cutanéo-muqueux : écouvillonnages et/ou biopsies de lésions cutanées et/ou lésions muqueuses (génitaux et anaux) ;
• prélèvements de la sphère ORL : écouvillonnages oropharyngés (nasopharyngés possibles).
L’infection à virus Monkeypox est une maladie à déclaration obligatoire».8
Nous voilà donc rassurés.
Sans surprise le pilote nous laisse volontairement sur notre faim.
Les populations :
• Devront-elles porter un masque obligatoirement ? • Devront-elles être confinées ? • Devront-elles subir des PCR dans tous les orifices ? • Devront-elles être vaccinées pour pouvoir sortir, histoire de tester le nouveau passeport vaccinal européen ?
Vous le saurez en regardant : «Monkeypox, la série qui n’a rien à voir avec la série Covid 19 !»
Nous apprendrons aussi durant un épisode que les complotistes délirent totalement en parlant des effets secondaires des vaccins.
Ne ratez surtout pas cet épisode clef avec la franche rigolade du stagiaire qui s’est amusé à introduire une liste de faux effets secondaires dans la
notice de l’ACAM2000.9
«Plusieurs événements indésirables graves ont été signalés suite à la première vaccination ou à une revaccination ultérieure avec le vaccin vivant
contre la variole à virus de la vaccine (ACAM2000). Les événements indésirables graves survenus comprennent :
Myocardite et péricardite.
Le muscle cardiaque et sa muqueuse deviennent enflammés. La notice indique que les cas suspects ont été observés à un taux de 5,7 pour 1000
primovaccinés.
Vaccinie (infection virale provoquée par le vaccin) générale, progressive et sévère
Cette condition peut survenir chez les personnes immunodéprimées et est causée par la réplication incontrôlée du virus de la vaccine. Le
virus provoque des blessures ouvertes et, selon sa gravité, peut entraîner la mort.
Eczéma vaccinal entraînant des séquelles permanentes ou la mort
Cela se produit lorsque le virus de la vaccine se propage et provoque une éruption cutanée globale et des réactions systémiques.
Mort fœtale
Les personnes enceintes qui ont reçu un vaccin vivant contre le virus sont plus susceptibles de subir un avortement spontané
(fausse couche).
Encéphalite, encéphalomyélite et encéphalopathie
Il s’agit d’inflammations du cerveau, de la moelle épinière ou des deux.
Érythème multiforme majeur (EMM), y compris le syndrome de Stevens-Johnson (SJS)
L’EMM est une réaction cutanée. Le SJS est un trouble rare et grave qui affecte la peau, les surfaces humides du corps, les organes
génitaux et les yeux.
Complications oculaires et cécité
Lorsque le virus de la vaccine pénètre dans la région oculaire, il peut provoquer des infections des paupières, un gonflement, une
sensibilité à la lumière, une irritation et des lésions de la cornée, voire une cécité.
Il s’agit de risques graves et certaines personnes qui reçoivent un vaccin vivant contre le virus de la vaccine sont plus sujettes à ces effets
indésirables».
Sachez qu’à l’écriture de ce texte les auteurs n’ont révélé que quelques petits effets secondaires du nouveau vaccin JYNNEOS10 afin
de ne pas gâcher la surprise et le plaisir. Notre enquête nous a permis néanmoins d’en divulguer quelques-uns en avant première :
«Incidence
inconnue :
• Oppression
thoracique. • Toux. • Difficulté à
avaler. • Vertiges. • Évanouissement. • Rythme cardiaque
rapide. • Urticaire,
démangeaisons, éruption cutanée. • Gonflement ou
gonflement des paupières ou autour des yeux, du visage, etc. • Difficulté à
respirer. • Fatigue ou
faiblesse inhabituelle»
Rien de bien méchant donc. Nous ne savons pas encore qui de l’ACAM2000 ou du JYNNEOS sera le grand vainqueur.
Patientons, tout vient à point à qui sait attendre.
Scoop :
Tout le monde se pose la question quant à l’existence de porteurs asymptomatiques et le pilote laisse volontairement planer l’incertitude comme le
montre l’affirmation suivante : «À l’heure
actuelle, on ne sait pas si une infection asymptomatique peut se produire».11
Je vous rassure immédiatement, si cette mise en bouche est un succès il y aura alors des asymptomatiques. Il est vital pour le succès de la série qu’il existe des tueurs potentiels comme pour la série Covid-19 avec «les petits
enfants qui peuvent tuer leurs grands-parents».
Si les malades et les contagieux ont des symptômes alors adieu les confinements, les masques obligatoires, les PCR généralisés, la panique et le
vaccin (quasi) obligatoire.
Le succès de cette nouvelle production des studios OMS repose EXCLUSIVEMENT sur l’existence de porteurs asymptomatiques comme dans la
série «Covid» qui
n’aurait pas eu ce succès planétaire.
Il suffira alors de compter les cas positifs et non les malades pour pouvoir avoir une «vraie»épidémie
mondiale dont le nombre de cas sera directement proportionnel au nombre de tests PCR effectués.
Je ne résiste pas non plus à une dernière révélation sur la série. Vous vous rappelez, les auteurs et téléspectateurs adorent les références à d’autres
séries. C’est ainsi que dans Covid-19, un épisode révèle que le vaccin Comirnaty (Pfizer
BioNTech) a parmi ses effets secondaires12 celui-ci :
«Érythème
polymorphe – une réaction
cutanée qui provoque des taches ou des plaques rouges sur la peau. Il peut ressembler à une cible ou à une «cible» avec un centre rouge foncé entouré d’un anneau rouge
plus pâle».
Toute ressemblance avec les boutons de la variole ne serait que pure coïncidence. Variole dont l’irruption peut aussi faire penser à un vulgaire
zona.
Je vous souhaite donc un bon visionnage. Que la bière et les pop-corn coulent à flots !
Notons qu’en revanche il y avait plus de décès dans le groupe vacciné que dans le groupe témoin, mais au moins sans l’étiquette Covid. J’invite les covidistes à ne pas
vérifier au risque d’ébranler leur foi.
La variole du singe, désormais appelée mpox (contraction
de MonkeyPox) n’est pas la seule épidémie à faire parler d’elle cet été. Des cas de polio en Inde interpellent les autorités sanitaires mondiales, qui sans surprise, incitent à la vaccination. En
Inde, la ministre de la Santé, Ampareen Lyngdoh, a déclaré mercredi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mené une enquête sur une nouvelle souche de
polio identifiée dans l’Etat. Cette étude devrait permettre de confirmer s’il s’agit d’une « polio sauvage ». Un nouveau pas de l’OMS vers la propagande de peur instillée
auprès de la population, avec ses données de santé instrumentalisées à des fins de contrôle et de crédit social.
Le 21 août à Shillong, la ministre de la Santé, Ampareen Lyngdoh, a annoncé que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) enquêtait pour confirmer si une nouvelle
souche de polio identifiée dans l’État de Meghalaya était une souche sauvage. Ce cas suspect a été signalé dans un village de la région de Tikrikilla, dans le district de West Garo Hills, et
concerne un enfant de deux ans et demi. Une situation qui a déclenché une série de mesures sanitaires et une surveillance accrue dans la région.
Une nouvelle souche de polio
Un premier cas suspect lié à une
nouvelle souche de polio identifiée en Inde a été signalé dans un village de Tikrikilla, une région du district de West Garo Hills, le 14 août dernier. Il s’agit d’un enfant de 2 ans et demi, non
vacciné, soigné à l’hôpital civil de Goalpara.
Les diagnostics ont révélé que l’enfant a été infecté par une souche probable du poliovirus. Il est atteint d’une paralysie flasque. Lyngdoh a assuré que le petit,
en observation médicale, allait bien jusqu’à présent. Toutefois, Mme Lyngdoh estime qu’il faut étudier cette nouvelle souche pour savoir s’il est nécessaire de produire un nouveau vaccin pour la
neutraliser.
Enquête et Surveillance
Selon JS Momin, la directrice des services de santé, on attend actuellement les résultats des analyses réalisés par un centre de dépistage à Kolkata et un
laboratoire de l’ICMR-NIV à Mumbai à partir des échantillons prélevés sur l’enfant hospitalisé. Le ministère indien de la Santé mène également des enquêtes avec le soutien de l’OMS.
Notons que l’équipe de surveillance du Département de la Santé a déjà lancé une campagne de sensibilisation de porte-à-porte dans le village de Tikrikilla.
Lors de cette mission, elle devrait collecter des échantillons aléatoires de selles de nourrissons, d’enfants et d’adolescents pour des enquêtes supplémentaires.
Problèmes de vaccination
Un haut responsable du gouvernement a aussi exprimé des inquiétudes concernant le faible taux de vaccination dans le village, avec moins de 50 % de la population
ayant été vaccinée contre la polio. Ce manque de couverture vaccinale
pourrait expliquer l’infection de l’enfant.
Le ministère de la Santé a également renforcé la vigilance face à la
propagation de la souche du virus Mpox en République démocratique du Congo et dans quelques pays africains. Le risque qu’elle se propage en Inde est modéré pour le moment d’après les
estimations.
Il s’agit à chaque fois d’épidémies à vaccins, la vaccination reste au cœur de la stratégie pharmaceutique mondiale. Ceux qui créent les épidémies sont les
mêmes qui prétendent les traiter, ce qui devrait susciter la méfiance.
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Big Pharma : entre scandales et innovations. Plongez dans les coulisses de l’industrie pharmaceutique, où profits colossaux et avancées médicales se
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enquête captivante qui démêle le vrai du faux sur les théories du complot et révèle les défis éthiques auxquels fait face ce secteur vital pour notre santé. Restez jusqu’à la fin pour
comprendre les enjeux qui façonnent l’avenir de la médecine mondiale !
La déclaration de l’OMS d’une urgence mondiale pour la variole du singe (Mpox) a permis aux fabricants de vaccins d’engranger de généreuses subventions,
des commandes considérables et de belles plus-values boursières.
Et Moderna en profite pour tenter de promouvoir un traitement à ARN qu’elle qualifie à son habitude de vaccin, en osant se vanter des résultats de son
produit lors du covid !
Le Mpox est une
maladie bénigne, peu contagieuse et facilement évitable.1
L’AFP essaie
de nous effrayer en insistant sur la contamination des enfants et avançant un taux de mortalité estimé à 3,6% sans souligner que ce taux n’a été observé qu’en Afrique dans des pays en
guerre qui manquent cruellement d’hôpitaux, de soignants, de médicaments, de nourriture, et que la majorité des morts souffraient aussi du sida.
En Occident, c’est une maladie
bénigne. En Europe et aux USA, lors de l’épidémie de 2022, sur plus de 18 500 cas, aucune complication mortelle n’a été signalée. En France, aucun des plus de 5000 malades
recensés au 27 avril 2023 n’est décédé. Cette bénignité contredit totalement l’image de nouvelle peste que l’OMS et les médias tentent d’imposer.
C’est une maladie peu
contagieuse. Elle se propage essentiellement (voire exclusivement) par contact direct a peau à peau en touchant les boutons (pustules) d’une personne infectée ou des objets
qu’elle a contaminés (linge, couverts, etc.). Le virus pénètre dans l’organisme par des microlésions de la peau. La transmission peut aussi s’effectuer par contact avec des fluides
corporels et peut être par les gouttelettes respiratoires après un proche contact prolongé. Les malades sont contagieux tant qu’ils présentent des pustules (près de 3 semaines.
En Europe, elle touche essentiellement les homosexuels mâles surtout multipartenaires ou souffrant du sida comme l’a confirmé l’ONU qui précisait en
2022 que 98% des cas (5996/6099) s’identifiaient comme gays.2
C’est une maladie
facilement évitable par des précautions simples.
Les hétérosexuels et les lesbiennes qui ne vivent pas au contact des singes, ni des malades, ont infiniment peu de risque de se contaminer.
En France, comme dans tous les pays riches, les gays et les travailleurs du sexe qui représentent les populations à risque sont généralement bien
informés par leurs associations et savent que pour ne pas s’infecter il suffit de respecter les recommandations des autorités sanitaires comme celles de San Francisco en 20223 :
«éviter
les contacts cutanés ou de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure» ou celles de New York : «demandez à vos
partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption
cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe».4
En France les personnes à risque ont été sensibles aux messages de prévention et aux recommandations, notamment celles avec plus de dix partenaires
sexuels au cours des trois derniers mois. Leurs comportements sexuels ont ainsi significativement changé avant et après le 9 mai conduisant à une diminution de la proportion de
personnes ayant plus de 10 partenaires dans les 3 derniers mois
L’efficacité de ces précautions est confirmée par Heymann, expert de l’OMS5 :
«les mesures
individuelles pour atténuer les risques – en faisant attention si les partenaires sexuels ont des lésions génitales, par exemple – sont la meilleure approche».
Mais très curieusement les déclarations de l’UE et de l’OMS oublient trop souvent de rappeler les modes de contamination, les mesures d’hygiène simples
à respecter pour éviter la maladie et les groupes à risque, officiellement pour éviter de les stigmatiser.
Contrairement à
ce qu’affirment l’OMS et l’ONU, les vaccins sont peu efficaces
Sous l’influence de donateurs comme Bill Gates qui lui assurent l’essentiel de son budget l’OMS, comme l’ONU poussent les populations vers le dépistage
et des vaccins dont ni l’innocuité ni l’efficacité n’ont été correctement évaluées. L’absence d’essais randomisés publiés à ce jour, la rareté de la maladie, le faible nombre de
personnes vaccinées et suivies et le trop faible recul dont on dispose actuellement ne permettent en effet d’obtenir aucune certitude scientifique.
En France, les avocats du vaccin Ankara s’appuient sur une étude purement observationnelle (non randomisée) ANRS-174-DOXYVAC6 incluant
seulement 472 homosexuels qui compare les taux de contamination sur deux périodes consécutives (avant et après mai 2022). Ils se félicitent de la diminution du taux de contamination
qu’ils attribuent à la vaccination sans aucune preuve réelle du fait de l’évolution décroissante spontanée de nombreuses épidémies, et des modifications des pratiques sexuelles
adoptées par les personnes à risque.
Aux États-Unis, le vaccin antivariolique de deuxième génération ACAM2000 a été autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) et acheté pour le
Strategic National Stockpile (SNS) pour être utilisé lors d’une urgence impliquant la variole. La vaccination avec ACAM2000 est également recommandée pour certains personnels de
laboratoire et de soins. Mais aucun essai randomisé n’a étudié son efficacité.
Il en est de même du vaccin JYNNEOS qui n’a été autorisé sur le marché que sur une étude cas clinique de valeur très discutable.7
De plus ces vaccins de deuxième génération ne sont pas dénués de risque :
«Risque documenté
de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000… et du risque inconnu de myocardite après JYNNEOS»8 ;
«la
prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque
de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum9 et
la vaccine évolutive, cette dernière étant un effet indésirable événement au cours duquel la réplication incontrôlée du virus de la vaccine entraîne généralement la
mort».10
IMVAMUNE est un vaccin antivariolique qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors
de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité et l’immunogénicité contre ces maladies. Contre le monkeypox, l’efficacité d’imvamune a été démontrée sur des
animaux, mais n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Il reste donc expérimental chez l’homme, même si les agences en ont autorisé sa mise sur le marché.
Le rapport de Santé Publique France du 27 avril 202311 permet
de douter de l’efficacité de la vaccination en vie réelle, puisque sur un cluster tourangeau de 19 malades, 10 avaient été vaccinés ! Des infections par Mpox peuvent survenir
chez des personnes ayant reçu un schéma complet de vaccination, et il est important de penser à ce diagnostic en cas de lésions typiques de Mpox, y compris chez des personnes
correctement vaccinées.
Un essai randomisé de vaccins contre le Mpox ne fait pas courir de risque aux non vaccinés et est donc parfaitement éthique si les participants sont
parfaitement informés des buts de l’essai, de la composition du vaccin et de ses risques. Et c’est précisément ce qui pose un problème aux candidats à l’essai.
L’essai Mpox de
moderna n’utilise pas un vaccin, mais un médicament à ARN
MPower, l’essai de Moderna contre le Mpox est en cours de lancement au Royaume-Uni pour obtenir l’autorisation de sa mise sur le marché avec
l’appui du National Institute for Health and Care Research, de la West NHS Foundation Trust.
Contrairement à qu’ils prétendent, il ne s’agit pas d’un vaccin selon la définition de Pasteur. Il ne contient ni d’antigènes issus du virus, ni de
virus atténué mais un ARN, comme pour les injections contre le Covid. Il s’agit donc en réalité d’un médicament à ARN.12
Des chercheurs de l’University Hospital Bristol et de la West NHS Foundation Trust prétendent sans sourciller que la maladie serait «une menace
mondiale pour la santé publique, et il est urgent de faire davantage de vaccins pour prévenir de futures épidémies». Alors que, comme nous l’avons vu, elle ne menace
réellement que certains africains et une infime minorité d’occidentaux qui peuvent l’éviter en adoptant un mode de vie plus prudent.
Moderna et ses chercheurs espèrent ainsi obtenir le même soutien institutionnel à leur recherche que celui observé pour le Covid-19. Ils recherchent les
cobayes humains indispensables à leur essai. Mais il n’est pas certains que les homosexuels mâles qui s’intéressent à la maladie acceptent de prendre le risque que font courir les
médicaments à ARN pour au mieux éviter des pustules qu’ils ont appris à reconnaître. Les myocardites et les complications neurologiques des injections à ARN contre le Covid sont
tellement plus dangereuses que le Mpox.
D’abord ne pas nuire constitue le premier devoir du médecin. En Grande-Bretagne, proposer en 2024 une technique à risque pour éviter une maladie bénigne
déroge à ce principe intangible que tout médecin a juré de respecter.
Mais il s’agit de chercheurs et d’industriels pour lesquels les motivations ne sont pas médicales mais prioritairement financières…
Cela témoigne de la volonté de généraliser les injections à ARN injustement dénommées vaccins et contre lesquelles le Pr Péronne met en garde à nouveau.
1984 sur X : Le Pr Péronne alerte sur l’Agenda mondialiste !! COVID vaccins Variole du singe vaccins Le gouvernement illégitime prépare la mise en place d’une
obligation généralisée des injections ARNm !! Un soulèvement est indispensable… nous sommes tous en danger !!!
https://t.co/md9VSqysY2 » / X
RI Zap du 03.09 : La peur comme arme de soumission de la population
«Tout le but de l’ingénierie sociale, c’est comment faire en sorte que la population réclame quelque chose qui serait totalement inacceptable si c’était
imposé du jour au lendemain à toute la population».
Les vaccins actuels contre le virus mpox (connu sous le nom de variole du singe) ont été développés à partir de vaccins conçus pour lutter contre la variole, une maladie plus ancienne et presque
éradiquée. Cependant, une récente étude publiée le 4 septembre dans la revue Cell,
et menée par Moderna, une biotech américaine bien connue pour sa technologie des vaccins à ARNm, révèle que leur nouveau vaccin
mpox pourrait offrir une protection. Sans surprise, l’industrie pharmaceutique continue à profiter grassement des maladies à vaccins. Si le nombre de cas de variole du singe continue
d’augmenter, la vaccination sera de nouveau recommandée par la caste pour l’ensemble de la population. C’est une réalité évidente, bien que rarement exprimée clairement.
L’épidémie de mpox qui frappe plusieurs pays africains commence à préoccuper les experts de la santé. La société pharmaceutique Moderna a testé un nouveau vaccin à
base de la technologie ARNm sur des singes. Les résultats des essais ont été publiés dans la revue Cell. A noter que la République démocratique du Congo (RDC) a reçu hier sa première cargaison de
vaccins contre le mpox, fournie par l’Union européenne et transportée par avion depuis le Danemark. Le pays, actuellement au cœur de l’épidémie en Afrique, devrait recevoir un total de 200 000
doses d’ici la fin de la semaine. L’OMS ne l’a pas affirmé et s’est contentée d’émettre son plus haut niveau
d’alerte mais c’est une réalité épidémiologique au regard du nombre de cas actuels et de la vitesse de transmission du virus dont il a été répété qu’il ne s’agissait pas d’une maladie
très contagieuse hors du cadre des relations sexuelles ou d’un contact direct.
Une étude prometteuse sur des primates
Depuis 2022, le mpox a fait des victimes à
travers le monde, affectant principalement les hommes homosexuels et bisexuels dans 116 pays, et causant environ 200 décès. Grâce à l’utilisation du vaccin Jynneos mpox et à des changements
de comportements au sein des communautés les plus touchées, l’épidémie initiale a été maîtrisée. Cependant, une nouvelle vague d’infections frappe 12 pays d’Afrique
centrale, notamment le Congo, avec plus de 21 300 cas confirmés et 590 décès dans 12 pays. Le virus aurait même réussi à traversé les océans, car des cas d’infection ont été signalés en
Europe.
Le virus se transmet par contact rapproché et prolongé entre personnes, via les sécrétions, les lésions et les matières ou objets contaminés : surfaces, vêtements,
draps, etc. La transmission de la variole du singe par des gouttelettes de salive n’est pas exclue mais reste encore à démontrer.
Selon les autorités sanitaire, les vaccins utilisés jusqu’à présent, tels que Jynneos, reposent sur des formes atténuées de la variole. Ils ne seraient pas conçus
spécifiquement pour le mpox. Moderna a développé un candidat vaccin nommé ARNm-1769. Galit Alter, le
virologue et immunologiste de la société pharmaceutique, a mené une étude pour vérifier l’efficacité de ce produit par rapport à l’ancien vaccin sur des singes macaques exposés au virus
mpox.
Les résultats de l’étude ont révélé que le vaccin à ARNm Moderna aurait déclenché des réponses immunitaires capables d’offrir une protection contre les maladies
graves. Notons que les résultats ont été publiés dans la revue Cell. Les chercheurs
ont annoncé que l’essai de phase 2 du ARNm-1769 sur l’homme a déjà débuté. Il sert à identifier « la sécurité, la tolérance et la réponse immunitaire d’une gamme de
doses ».
Protection contre le mpox et autres orthopoxvirus
Pour mener cette étude, Alter et ses collègues ont exposé 18 singes macaques à une souche potentiellement mortelle du mpox. Les chercheurs ont ensuite formé trois
groupes, composés chacun de 6 primates. Ils ont injecté l’ancien vaccin contre la variole chez les singes du premier groupe. Ceux du second groupe ont reçu le vaccin expérimental à ARNm et ceux
du troisième n’ont pas été vaccinés.
Les chercheurs ont déclaré que les 12 singes vaccinés ont tous survécu. 5 parmi les 6 primates non vaccinés sont morts. D’après l’observation des auteurs de
l’étude, les symptômes étaient beaucoup plus légers chez les primates ayant reçu le vaccin à ARNm que chez les singes ayant reçu l’ancien vaccin. En effet, la perte de poids était moins
importante. Il en est de même en ce qui concerne les lésions cutanées qui caractérisent le mpox. Les chercheurs ont tablé sur une moyenne de 54 contre 604 lésions maximum par animal.
Alter et son équipe ont aussi constaté que les lésions chez les primates ayant reçu le candidat vaccin de Moderna ont disparu plus rapidement. Un écart de 10 jours
a été observé, ce qui réduit évidemment le risque de transmission de l’infection. Concernant la réponse immunitaire, les chercheurs ont détecté un nombre plus élevé d’anticorps ciblant le virus
chez les singes vaccinés avec le vaccin expérimental à ARNm après les analyses sanguines. De plus, les anticorps avaient une fonction immunitaire variée. L’auteur principal de l’étude, Alter, a
donc conclu que le vaccin à ARNm est capable d’offrir une protection plus puissante et plus durable que le vaccin disponible actuellement.
Dans le communiqué de presse publié sur Cell, les chercheurs ont annoncé qu’ils ont testé le sang des singes immunisés avec le candidat vaccin de Moderna contre de
nombreux Orthopoxvirus. Ce vaccin à ARNm pourrait offrir une protection non seulement contre le mpox, mais aussi contre d’autres orthopoxvirus, comme la variole, la vaccine, et d’autres virus
apparentés. Selon le communiqué, sa polyvalence fera de ce vaccin un outil potentiellement essentiel pour contrer les futures menaces virales.
Les pays producteurs de vaccins contre la variole sont en train d’ajuster leur production et donc même si l’OMS ne recommande pas la vaccination de masse
pour la population générale, plusieurs pays s’y préparent progressivement.
Variole du singe en Afrique : Un prétexte à la mobilisation de l’industrie du vaccin
Devenue l’un des principaux sujets de préoccupation sur les réseaux sociaux, la variole du singe continue d’affoler l’opinion publique. Le but de la caste : faire peur aux citoyens et les
amener à la vaccination .Avec plus de 1 400 nouveaux cas détectés en une semaine, notamment en République démocratique du Congo, les Centres africains de lutte contre les maladies (CDC Afrique)
et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont déclaré l’état d’urgence. Face à la propagation de cette
maladie simienne, habillé d’un discours bienveillant, l’OMS se plie aux injonctions de son principal bailleur, le vaccinolâtre Bill Gates, qui
recommande de donner la priorité à la vaccination.
L’épidémie de Mpox en
Afrique a débuté en République démocratique du Congo. Puis, elle s’est propagée aux pays voisins. En une semaine, on a recensé plus de 1.400 nouveaux cas d’infection. L’OMS (Organisation
mondiale de la santé) et les Centres africains de contrôle et de prévention ont déclaré une urgence sanitaire. Pour mettre fin à l’épidémie, comme avec le COVID, les autorités sanitaires se
préparent déjà à vacciner l’ensemble de la population
Développement de vaccins de nouvelle génération
Le virus du mpox, ou virus de l’eau-singe (MPXV), appartient à la famille des orthopoxvirus, tout comme le virus de la variole. Bien que la variole ait été
éradiquée en 1980 grâce à une campagne mondiale de vaccination, le vaccin utilisé contre cette maladie reste efficace contre le mpox, notamment contre ses deux clades principaux (I et II).
Toutefois, les dernières vaccinations de masse en Afrique remontent aux années 1980, laissant une grande partie de la population jeune vulnérable au virus. Les anciens vaccins étaient efficaces
mais présentaient des effets secondaires parfois graves, voire mortels.
Aujourd’hui, la menace de réémergence du virus, soit par des épidémies inattendues, soit par une utilisation en tant qu’arme biologique, a incité de nombreux pays à
stocker des vaccins. Par exemple, les États-Unis disposent d’un stock stratégique national capable de vacciner toute leur population contre la variole. Pour mémoire, Nuclear
Threat Initiative – financé par la fondation
Gates – qui
a produit en 2021 un rapport sur les catastrophes
biologiques et bactériologiques indiquant qu’une épidémie de variole du singe pouvait surgir le 15 mai 2022
Il faut souligner que les anciens types de vaccins contre la variole étaient à base du virus de la vaccine. Ils peuvent générer des effets secondaires rares ou même
des décès. Mais actuellement, des vaccins de nouvelle génération, plus fiables, sont disponibles. Le vaccin Jynneos (États-Unis)
ou Imvanex (Europe) a été largement utilisé lors de l’épidémie de mpox en 2022. Ces vaccins offrent une protection importante, mais leur durée d’efficacité est encore à l’étude.
De plus, ils ne sont pas encore homologués pour une utilisation chez les enfants, leur coût est élevé, et ils restent rares. La Bavière nordique, fabricant du
Jynneos, vendait une dose pour 110 dollars lors de l’épidémie de 2022, un prix prohibitif pour les pays à faible revenu.
Récemment, un nouveau vaccin, le CL16, a été approuvé pour les enfants, une avancée significative dans la lutte contre le mpox, particulièrement pour protéger les
populations les plus jeunes, souvent vulnérables à la maladie.
Disponibilité des vaccins mpox en Afrique
Le coût des vaccins est un frein à la vaccination en Afrique. Les pays africains, fortement touchés par le mpox, peinent à obtenir les vaccins nécessaires en
raison de leur coût élevé. En réponse à cette crise, le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a accéléré la mise en place d’une « liste des utilisations d’urgence » pour les vaccins contre
le mpox.
Selon le directeur général des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies, Jean Kaseya, l’Afrique a besoin de 10 millions de doses pour stopper la
propagation du Mpox.
Vacciner toute la population africaine semble être impossible. Les autorités de santé publique en Afrique recommandent une campagne ciblée incluant les travailleurs
de la santé, les personnes ayant plusieurs partenaires sexuels, et les populations vivant dans des conditions de surpeuplement, telles que les camps de réfugiés.
Selon les CDC Afrique, les enfants sont également une priorité. Un nombre important d’entre eux contracte le mpox et en meurt. Nous avons toujours évoqué le
fait que l’industrie pharmaceutique ne
fait pas de santé publique mais du business dans le secteur de la santé, la communication grand public consiste à construire artificiellement une « image de philanthrope »
où la manipulation des masses
reste le maître mot.
Afrique : Comment l’OMS continue à servir la soupe vaccinale de Bill Gates
Les autorités sanitaires mondiales s’inquièteraient-ils réellement du sort de l’Afrique ? Afin de contenir la propagation du virus mpox , Gavi, l’Alliance mondiale pour les vaccins, a
récemment annoncé l‘achat de 500 000 doses de vaccins Mpox de
Bavarian Nordic pour le continent africain. Comme toujours Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’OMS et homme de paille de Bill Gates et du gouvernement américain qui financent
l’Organisation, va se plier aux injonctions de ses bailleurs de fond. Ils ont choisi d’instaurer leur domination par la peur à travers la vaccination. On doit au COVID, la notoriété soudaine du
GAVI fondé par Bill Gates avec le soutien du prince Haakon de Norvège, Young Global Leader
pour promouvoir leur business pharmaceutique, lié à la vaccination de masse.
Pour mettre fin à l’ épidémie de Mpox , comme avec le
COVID, les autorités sanitaires se préparent à vacciner l’ensemble de la population. Dans un communiqué publié mercredi, Gavi a
déclaré avoir conclu un accord d’achat anticipé avec Bavarian Nordic, le fabricant du vaccin Mpox. Cet accord vise à fournir ces doses aux pays africains les plus touchés, notamment la République
démocratique du Congo, le Burundi, l’Ouganda, le Rwanda et le Kenya. L’achat sera financé par le premier fonds d’intervention de Gavi, un mécanisme créé pour répondre aux urgences sanitaires.
Selon le patron de l’OMS, le coût des vaccins est un frein à la vaccination en Afrique. Les pays africains, fortement touchés par le mpox, peinent à obtenir les vaccins nécessaires en
raison de leur coût élevé. La dose de vaccin Jynneos de Bavarian Nordic se
vendait à 110 dollars lors de l’épidémie de 2022.
Priorité à la vaccination
Sania Nishtar, PDG de Gavi, a souligné l’importance de cet accord pour soutenir les efforts des dirigeants africains dans la lutte contre les maladies infectieuses.
Elle a également exprimé sa gratitude envers les donateurs qui ont permis la mise en place rapide du fonds d’intervention. Les modalités de distribution des vaccins seront finalisées en
collaboration avec l’UNICEF, qui se chargera de la logistique de livraison.
L’arrivée du vaccin en Afrique a été retardée, exacerbée par le coût élevé des doses et les procédures d’approbation de l’OMS. Jusqu’à présent, seuls la République
démocratique du Congo et le Nigeria ont reçu des doses, laissant de nombreux pays africains vulnérables face à l’épidémie..
Les responsables au niveau du GAVI ont déclaré à Reuters, que l’accès aux vaccins
dans les pays à faible revenu est un problème récurrent, aggravé par les inégalités mondiales en matière de santé. Les gouvernements africains, en collaboration avec le Centre
africain de lutte contre les maladies (CDC africain), ont dû compter sur des dons de vaccins provenant des pays plus riches.
En réalité, les pays africains ne ressentent pas le besoin
de la vaccination. Durant le COVID, les vaccins accumulés en Afrique par les autorités n’ont même pas été utilisés. En effet, un certain nombre de pays avaient refusé 100 millions de doses de
vaccin contre le Covid-19 proches de la date de péremption. Les sociétés africaines étaient peu touchées par le Covid et apparemment bien protégées par le recours fréquent à
l’ivermectine ou à l’hydroxychloroquine.
Vers une campagne ciblée
L‘épidémie de Mpox a débuté en
novembre 2023 en République démocratique du Congo avant de se propager à d’autres pays africains. À ce jour, plus de 26 544 cas suspects et 5 732 cas confirmés ont été enregistrés dans 15 pays,
avec 724 décès. Au Nigeria, la situation est particulièrement préoccupante avec 1 031 cas suspects et 64 cas confirmés en 2024, dont 15 chez des enfants de moins de cinq ans.
L’infection touche principalement les hommes, qui représentent 67 % des cas, et les jeunes enfants semblent également être particulièrement vulnérables. Cette
tendance soulève des inquiétudes quant à la capacité des systèmes de santé africains à protéger les groupes les plus à risque.
Les autorités de santé publique en Afrique recommandent une campagne ciblée incluant les travailleurs de la santé, les personnes ayant plusieurs partenaires
sexuels, et les populations vivant dans des conditions de surpeuplement, telles que les camps de réfugiés.Vacciner les enfants sont également une priorité.