ISLAM

Pourquoi la loi de séparation religion-État n’a aucun sens en islam

...par le Col. Henri De Saint-Bon (Spécialiste de l'Islam) - Le 21/02/2021.

Source : ASAF
SOCIETE. Pourquoi la loi de séparation religion-État n’a aucun sens en islam

L’implantation conséquente de l’islam en Europe pose des problèmes d’organisation de la société face auxquels nos dirigeants apparaissent désemparés. Ne voyant pas – ou refusant de voir – ce qu’est l’islam dans sa nature même, ils raisonnent par analogie aux autres religions, et notamment au christianisme. Ce comportement vicié d’emblée est cause de solutions bancales.

Car l’islam est à la fois une religion (dîn), un système politique (dawla) et un mode de société (dunya), ces trois domaines étant intégralement fusionnés. On est face à une réalité de nature fondamentalement différente de celle des autres religions.

Si la grande majorité des musulmans pratique pacifiquement sa religion, l’islam est un projet politique consistant en l’obligation prescrite par le Coran de soumettre tout individu à l’unique loi islamique (charia) dont Dieu seul est l’auteur. Cette loi prime sur la loi civile qu’elle récuse et abolit. Elle vise à se substituer aux valeurs et modes de vie de notre civilisation. Une loi de séparation religion/État n’a aucun sens, en islam ; elle lui est, par nature, contraire ; les concepts de laïcité et de démocratie tels que compris en Occident lui sont incompatibles.

En principe, aucun musulman ne peut quitter l’islam sous peine de prison ou de mort, la musulmane n’a le droit de n’épouser qu’un musulman et les non-musulmans sont soumis, dans les pays où l’islam est au pouvoir, à un statut juridique spécifique restrictif, la dhimmitude, qui entrave leur place dans la société civile. Les musulmans ont le pas dans la vie publique sur les autres, la femme est inférieure à l’homme (Coran 4,34 ; 2,228), la communauté musulmane est la meilleure (3,110) puisque l’islam prévaut sur les autres religions (9,33).

Il convient donc de sortir au plus vite des raisonnements par analogie

Le voile de la religieuse est purement religieux et son port doit être libre partout. Celui de la musulmane a un sens politique qui est le rejet de notre civilisation et doit être proscrit dans l’espace public.

Une église, un temple, une synagogue ne sont que des édifices religieux. Une mosquée est, en outre, le lieu de la puissance publique, la mairie de l’État musulman où des décisions législatives et juridiques sont prises (successions, conflits interpersonnels…) selon des règles souvent à l’encontre des nôtres – ainsi de l’héritage double pour les fils que pour les filles (Coran 4,11) – et où, via son école (médersa) attenante, est enseigné le Coran avec certains principes contraires à nos lois. De plus, la communauté musulmane considère que le terrain sur lequel elle est bâtie devient sacré et, de facto, sa propriété. Et non plus territoire français. Le financement de l’investissement et du fonctionnement des mosquées doit être strictement contrôlé, toute dérive devant entraîner l’arrêt des travaux ou la fermeture du lieu.

Un prêtre, un pasteur ou un rabbin sont des ministres de leur culte, un imam jouit d’une autorité tant temporelle que religieuse. Il est un fonctionnaire de l’État musulman. Le prêtre est un religieux, l’imam est un homme de religion qui a pour rôle d’enseigner le Coran. Ils ne peuvent être considérés de la même façon. La nomination des imams et leurs dires, écrits et agissements doivent être encadrés par l’État.

Une école chrétienne ou juive transmet des savoirs dans le cadre de nos valeurs, une école musulmane instruit ses élèves dans l’assurance de la supériorité de l’homme sur la femme ou du musulman sur les autres, dans l’obligation du prosélytisme coranique, dans l’idée que la laïcité est contraire à la loi de Dieu.

L’islamisme est la manifestation extrême, souvent violente, de l’exercice de l’islam et doit être combattu avec la sévérité la plus totale. Mais, en amont, c’est bien l’islam en tant que tel qui pose problème car il est intrinsèquement porteur – qu’on le veuille ou non – d’un projet politique s’opposant sur bien des points à nos valeurs et modes de vie.


Henri de SAINT-BON
Colonel
 (er)
Spécialiste de l’Islam


 

...proposé par le Col. Jean-Pierre Mugg - le 19/02/2021

 

<<Deux textes remarquables, qui disent avec talent ce que je tente d'expliquer depuis longtemps !>>

 

JPM


Trappes : «Les élèves de Didier Lemaire vivent dans un monde séparé de la France»,

... par Coline Renault, Le Fig, 18/02/21

ENTRETIEN - L'écrivain Omar Youssef Souleimane a rencontré en décembre les élèves de Didier Lemaire, professeur de philosophie qui s'est dit menacé pour avoir dénoncé l'islamisme. Il raconte des échanges qui l'ont «choqué». (Source : Le Figaro)

 

À Trappes, l'écrivain s'est dit «choqué» de la teneur de ses échanges avec les élèves.

À l'automne, l'écrivain et poète syrien Omar Youssef Souleimane a animé dans plusieurs collèges et lycées de banlieue parisienne des ateliers d'écriture, organisés en collaboration avec le théâtre Montansier de Versailles et la préfecture des Yvelines. C'est dans ce cadre qu'il a rencontré une classe de terminale du professeur de philosophie Didier Lemaire au lycée La-Plaine-de-Neauphle, à Trappes. Lui qui a grandi en Arabie Saoudite dans la gloire d'al-Qaida s'est étonné d'y retrouver, en France, «le radicalisme islamique» de son adolescence. Pour Le Figaro, il raconte ses échanges houleux avec les élèves de l'enseignant, qui s'est dit menacé pour avoir critiqué l'islamisme.

 

LE FIGARO. - Comment se sont déroulés ces ateliers d’écriture avec Didier Lemaire ?

 

Omar Youssef SOULEIMANE. Pendant six semaines, j’ai animé des sessions de deux heures avec une classe de terminale de Didier Lemaire. Le projet était de faire écrire les élèves sur le thème «Vos rêves après le bac». Et j’ai été très surpris du résultat: un adolescent voulait devenir professeur de sciences islamiques à Alger, plusieurs autres ne parlaient que d’aller à la Mecque ou de s’installer en Arabie Saoudite… Ceux dont les rêves ressemblaient le plus à ceux d’un adolescent «normal» parlaient de conduire des Ferrari à Dubaï. En tout cas, presque aucun ne comptait rester en France. À la question: «Pourquoi ?», une élève a levé la main et a dit: «Parce que c’est un pays raciste.» En fait, je crois que la plupart d’entre eux ne se sentent pas vraiment Français.

 

 LE FIGARO. - Qu’est-ce qui vous a frappé chez ces élèves ?

 J’ai été choqué de retrouver une radicalité islamique qui m’a fait penser à ma propre adolescence en Arabie Saoudite. J’avais à peu près leur âge lors des attentats du 11 septembre 2001, et j’ai grandi dans ce discours de glorification de Ben Laden et d’al-Qaida. Je ne m’attendais pas à retrouver cela en France. Bien sûr, ce sont des adolescents, pas des djihadistes.

 Mais beaucoup avaient une sympathie dérangeante pour eux. Un jour, je leur ai posé la question: «Si un terroriste est caché chez vous, appelez-vous la police ?» Beaucoup ont répondu: «Non, sûrement pas !». Car ils considéraient les terroristes comme des héros, des victimes, ou les deux à la fois. D’autres étaient très fiers d’avoir la photo de Samuel Paty décapité sur leur téléphone. J’ai été très surpris de voir une prière en calligraphie arabe accrochée au mur, dans la classe où j’enseignais. Dans un lycée public !

 

 LE FIGARO. - Quelle a été la teneur de vos échanges avec les adolescents ?

 Au départ, les élèves étaient très fermés. Pour créer du lien, je leur ai raconté sans tabou ma propre histoire. Ils m’ont alors considéré comme un «arabe» - donc un des leurs, et la parole s’est déliée. Nous avons commencé à échanger. Puis lorsque j’ai expliqué mon parcours non pas vers l’athéisme, mais vers la liberté de penser, l’ambiance a totalement changé. Une adolescente m’a demandé: «Mais c’est quoi votre religion maintenant ?». Et j’ai répondu: «Je n’en ai pas». Ils étaient choqués. Très choqués. Pour eux, c’est inconcevable d’être Arabe et laïc. Ils mélangent totalement culture, religion, histoire et identité.

 Aucun élève ne comptait fêter Noël, ils trouvaient ça « mal »

 

LE FIGARO. -: En quoi mélangent-ils culture, religion, histoire et identité ?

Par exemple, nous avons évoqué les fêtes de fin d’année, car c’était quelques jours avant Noël. Aucun élève de la classe n’allait le fêter, pour eux, c’était «mal» car cela déchirait leur identité. Ils y voyaient un truc de «chrétien, de Blanc, de Français» - les trois étant pour eux synonymes. Ces élèves veulent sans cesse se positionner vis-à-vis de leur identité.

 Nous avons abordé la question de la fête nationale: le 14 juillet, ils ne savaient pas à quoi cela correspondait. N'avaient aucune idée dans quelle République nous étions, ce qu'il s'était passé en 1905… Ils rejettent en fait tout ce qui n’est pas «l’islam», qu’ils mélangent avec leur identité. Ils résument la religion au voile, aux vêtements et aux fêtes. Ils vivent, cela se voit, à la maison dans une ambiance islamiste et au lycée dans un monde qui leur est totalement étranger. Certaines filles gardaient le foulard en classe, les autres se hâtaient de le remettre à la sortie. J’étais frappée car elles étaient jeunes ! Même en Syrie, ce n’était pas à ce point.

 

LE FIGARO. - Comment s’est passée votre collaboration avec Didier Lemaire ?

Nous avons beaucoup discuté de ces thématiques, lors des déjeuners qui suivaient les ateliers d’écriture. Didier était malheureux. Il vivait mal cette ambiance au lycée et avait surtout l’impression que personne ne le comprenait. Moi, si: je viens de cette ambiance de radicalisation. Comme tous ses collègues, il observait tous les jours ces problématiques au lycée. Mais pour la plupart, évoquer ces sujets reste tabou. Beaucoup estiment que le lycée n’était pas l’endroit pour en discuter. Didier était assez isolé: c’était le seul à en parler.

 

 

Écrivain, poète et journaliste, Omar Youssef Souleimane est l'auteur du roman autobiographique Le Petit Terroriste (Flammarion, 2018).

 


Séparatisme, une loi pour rien

Par Marie-Thérèse Urvor - Le 11/02/2021.

La loi censée lutter contre le "séparatisme islamiste" arrive trop tard et sera inutile, en raison de la méconnaissance de l'islam qui la caractérise. 

 

 La loi sur le séparatisme ainsi que le discours présidentiel "historique" d'octobre, et à sa suite la charte du Conseil Français du culte musulman (CFCM), commande diligentée par le président, ont en commun leur appareil lexical. Fustiger le binôme "séparatisme islamiste" est inadéquat. Les musulmans conglomérés en communauté des croyants (umma), lorsqu'ils, sont hors du domaine de l'islam, ne cherchent pas à se séparer mais à se substituer au pouvoir. Les musulmans sont "islamistes" lorsqu'ils obéissent à l'intégralité de leurs fondamentaux, lesquels sont les mêmes pour tous.

En 1970, les musulmans ont produit, en imitation de la Déclaration universelle des droits de l'homme, les Droits de l'homme en islam, qui récusent tout fondement non islamique pour ces droits. Le Coran déclare que la pire des choses est d'éprouver un musulman dans sa foi pour l'en écarter ou pour limiter son exercice. Toute action nécessaire pour lever cette épreuve est légitimée, et toute critique est considérée comme agression à l'encontre de l'islam. Bien sûr, tous les musulmans ne sont ni fondamentalistes ni terroristes, mais demeurera toujours le sentiment d'appartenance à cette élite sacralisée par Allah lui-même et cette obligation pour tout musulman d'obéissance à l'intégralité du Coran. Chaque musulman en cache un autre, plus musulman encore, disait Yadh Ben Achour. On peut ajouter que ce qu'il n'accomplit pas pour la religion, il le fera pour le groupe. Des mots comme laïcité, république, intégration, modernité, etc. n'ont pas de statut dans son corpus doctrinal et n'ont donc aucune résonance dans la conscience religieuse du musulman, fût-il modéré: il cherchera toujours à soumettre la laïcité à l'islam, à adapter la République à sa croyance, à-intégrer à ses fondamentaux la modernité, bref, il cherchera à islamiser tout ce qui lui est offert d'exogène. La loi en cours d'examen, bien qu'atténuée et édulcorée, arrive trop tard, car la revendication de la minorité islamique croît dans un pays gravement ébranlé dans ses racines.

 

DES MOTS COMME LAÏCITÉ, RÉPUBLIQUE, INTÉGRATION N'ONRT PAS DE STATUT DANS LE CORPUS DOCTRINAL DE L'ISLAM ET N'ONT DONC AUCUNE RÉSONANCE DANS LA CONSCIENCE RELIGIEUSE DU MUSULMAN, FUT-IL MODÉRÉ. 

 

Elle sera également inutile, car la charte du CFCM a révélé la capacité inouïe des musulmans à pratiquer les recommandations chariatiques que sont la ruse juridique (hîla) et la dissimulation légale (taqîy a), dès lors qu'elles sont employées pour la défense de l'islam et du croyant musulman dans sa personne et dans ses biens. De même, le recours à un prétendu islam des Lumières est un leurre, car il revient à confondre  l'islam civilisation du passé avec l'islam religion d'aujourd'hui.

Dénoncer l'islam politique est un pur déni du texte coranique et des traditions prophétiques. L'islam politique, c'est principalement l'islam des textes. Or à aucun instant, il n'a été dit au CFCM, dans la charte des principes, qu'une révision de ces textes est à l'ordre du jour. Le judaïsme de la lettre vit à côté du judaïsme émancipé de la lettre de la Torah; alors que l'islam persécute toute  

tentative pour suspendre, dans le Coran, ce qui alimente son projet politique, autrement dit pour séparer le spirituel du temporel.

Le président devrait exhorter les musulmans en France à une telle réforme qui serait, elle, "historique". Et non pas se féliciter de choses comme la renonciation à l'exécution de l'apostat, qui ne devrait qu'en être la suite logique.

 

 Marie-Thérèse Urvoy est professeur émérite des universités. 

 


AMIENS : Envahie par les déchets jetés depuis les fenêtres d'un immeuble, une école va fermer...

P
ar Laura Mousset -
 Mis à jour le Publié le tager

 

Source : CNews

 

Bouteilles en verre, mégots, poubelles et parfois même de l'électroménager... Depuis sa fenêtre, Christiane voit régulièrement des ordures tombées dans la cour de l'école primaire Monseigneur Cuminal, située en bas de chez elle à Amiens.

Ces déchets jetés depuis les fenêtres de l'immeuble par des habitants sont devenus un véritable fléau dans ce quartier prioritaire.

Une situation dangereuse qui dure depuis des années et qui a amené l'école catholique à prendre une décision radicale. En juillet prochain, elle fermera ses portes après 25 ans d'activité. 

 


L’Islam au lycée : Un Etat dans l’Etat ?

... par Aliénor Barrière - Le 21 décembre 2021,

L’IFOP a sorti un sondage sur Les lycéens, le droit à la critique des religions et les formes de contestation de la laïcité à l’école. Les chiffres témoignent de la gangrène islamique dans les lycées, et particulièrement ceux qui sont situés en zone d’éducation prioritaire (ZEP).

Le séparatisme religieux n’est pas un phantasme d’extrême droite, c’est une réalité bien concrète que les lycéens français vivent chaque jour en cours, à la cantine ou dans les sanitaires. Le sondage que l’IFOP a réalisé pour la Licra met en lumière le séparatisme islamique, largement surreprésenté par rapport aux autres opinions religieuses, et l’environnement néfaste de la ZEP : 56% des lycéens inscrits dans un lycée prioritaire ont déjà entendu des élèves réclamer des menus conformes à leurs pratiques confessionnelles, en particulier halal et casher. Ils sont également 40% à avoir été témoins de contestations au sujet des repas de Noël, des sapins de Noël ou des galettes des rois au prétexte qu’ils auraient des références religieuses.

Les ZEP, fossoyeuses des modes de vie et de pensée français

Ce sondage donne une vision des lycées de ZEP s’enfonçant peu à peu dans une logique comparable à celle de la ségrégation : 30% des lycéens de ZEP ont constaté l’installation dans les toilettes de robinets réservés aux élèves en fonction de leur religion ! Les regroupements communautaires se manifestent également à la cantine, quand l’organisation des tables se fait en fonction des religions (33% en ZEP).

Ces comportements ont une incidence directe sur les cours puisque de nombreuses jeunes filles refusent par exemple les séances de natation (40% en lycée prioritaire) ou les cours d’éducation physique et sportive (47% en lycée prioritaire contre 24% ailleurs)., Les cours de musique aussi sont é parfois bannis : 42% des élèves de lycées prioritaires ont constaté des absences au nom de convictions religieuses.

Quant aux autres matières, sans forcément quitter la salle, certains élèves les remettent souvent en cause : toujours dans les lycées prioritaires, 58% des lycéens ont été confrontés à des protestations pendant des cours d’enseignement moral et civique ; 51%, pendant des cours ou pour des propos portant sur la mixité garçons-filles ; 54%, lorsqu’il est question de laïcité ; 58%, pendant des cours d’éducation à la sexualité ou consacrés à l’égalité garçons-filles ; 53% en histoire-géographie, 56% en sciences et vie de la Terre, 54% en lettres et philosophie, 51% en éducation artistique. Dans les autres lycées, ces pourcentages tournent autour de 25%.

Le sondage met en lumière un cocktail explosif composé de lycées qui ont un mauvais niveau, de lycées situés en ZEP, de lycéens perçus comme non-blancs et de lycéens musulmans. Les élèves issus de ces catégories manifestent un communautarisme beaucoup plus fort que la moyenne. Si on observe la proportion de lycéens ayant déjà vu des élèves récuser au moins un enseignement au nom de leur religion, on obtient 70% chez les lycéens musulmans, 74% dans les lycées prioritaires et 70% parmi les « non-blancs » ; des chiffres qui se recoupent assez bien.

 

 

 

Source : sondage IFOP

Un refus d’assimilation de certaines populations musulmanes

Quelles conclusions tirer de ce sondage ? Il montre sans ambiguïté que les adolescents musulmans rejettent majoritairement le modèle de civilisation que leur propose la France et auquel ils sont censés s’assimiler. Le problème ne peut que s’amplifier si l’on en croit les taux de natalité : les femmes françaises ont 1,8 enfants et les femmes immigrées algériennes en France en ont 3,6. Cela et l’immigration massive en provenance d’Afrique ont fait de la France le pays de l’Union européenne qui compte le plus grand nombre de musulmans. Une grande partie de cette population ne s’intègre pas, ou mal, et cela commence au berceau : l’analyste politique Jérôme Fourquet dévoile qu’un nouveau-né sur cinq porte un prénom le rattachant culturellement et familialement à l’immigration arabo-musulmane en 2016. L’observatoire de l’immigration rappelle également l’augmentation foudroyante du nombre de mosquées en France : une centaine en 1970, elles sont aujourd’hui 2500 selon les estimations convergentes de la Grande Mosquée de Paris et du Bureau des cultes du ministère de l’Intérieur.

Pour qu’un sondage tel que celui de l’IFOP ne prenne pas des proportions encore plus dramatiques dans les années à venir, des mesures s’imposent.

 

Source : IREF 

Commentaires: 0