11 septembre 2001

 

Septembre 2001 aux États-Unis :

Quelle fut l’origine des évènements ? (partie 1)

Source : RzO International - Le 17/09/2024  

Septembre 2001 aux États-Unis : Analyse physique des évènements

par Christian Darlot

Résumé

La version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat au Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la physique. Mais les principes fondamentaux de la physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.

Une version précédente de cet article a été publiée en septembre 2021 sur le site du Saker francophone, cosignée par François Roby, enseignant-chercheur en physique, à qui la plus grande part de l’analyse physique est due, mais qui n’a pas souhaité s’associer à cette nouvelle publication.

Christian Darlot est chercheur en Physiologie.

*

Les attentats du 11 septembre 2001, à Manhattan et au Pentagone, ont déclenché plus de 20 années de guerre au Proche-Orient, la mort violente ou l’exil de millions de personnes, et la ruine de plusieurs États. Ce désastre se prolonge par la guerre en Ukraine et le génocide en Palestine. Identifier l’origine de ces attentats est donc capital pour comprendre et anticiper l’évolution des relations internationales. Mais le rapport officiel des pouvoirs publics étasuniens présente tant de lacunes et d’impossibilités physiques qu’il n’explique rien. Pourtant le choc d’un avion contre un immeuble, et l’effondrement d’une tour, sont déterminés par les lois de la Physique. Ces faits peuvent donc être étudiés selon une méthode sûre : l’analyse physique des observations. L’objectivité de principe d’une telle analyse n’empêche pas la compassion envers les victimes, mais au contraire peut permettre d’élucider les causes de leur mort, innocenter des innocents, identifier les coupables et les empêcher de récidiver.

Sources :

Outre le rapport officiel aussi lacunaire que volumineux1 une recherche sur Internet permet de trouver foison de documents, de photos et de vidéos des évènements à New York. Au contraire, très peu de documents sont accessibles sur l’attentat du Pentagone à Washington, et presque pas sur l’écrasement d’un avion en Pennsylvanie.2

Selon un principe fondamental de tout débat, la charge de la preuve incombe à qui affirme. La première étape de la recherche de la vérité est donc d’examiner la compatibilité de la version officielle avec les conditions physiques des évènements.

1 – Pas d’avion

1.1- Pas d’avion à Manhattan

Le premier souvenir gravé dans les mémoires est celui d’évènements qui n’eurent pas lieu : les frappes de deux avions contre les plus hautes tours de Manhattan.

Nul avion ne frappa ces tours.

Apparemment surprenante, cette affirmation est prouvée par les faits : l’absence de preuve matérielle, le trucage des vidéos, et l’impossibilité physique pour un avion de voler vite à basse altitude, de percer un immeuble et d’y disparaître entièrement.

1.1.1- Absence de preuve matérielle

Un des rares débris trouvés à Manhattan fut un moteur… mais il n’était pas d’un modèle équipant les avions prétendument entrés dans les tours3. Des quatre «boîtes noires» (deux par avion) enregistrant les informations sur le vol, pas une ne fut retrouvée4. La seule pièce à conviction trouvée dans la poussière d’acier et de béton couvrant les rues fut un passeport miraculeusement intact5. Ignifugé ? Jeté par la fenêtre de l’avion, en souvenir, avant le choc ?

Le rapport officiel conclut donc logiquement que nul indice matériel ne prouve l’identité des avions supposés avoir frappé les tours.

1.1.2- Vidéos diffusées dans les médias

Les vidéos diffusées, et encore disponibles sur internet, se classent en deux catégories :

1. Celles diffusées au moment même montrent, sur des images de mauvaise qualité, des silhouettes d’avions à contre-jour, entrant en entier dans les tours sans ralentir. Sur plusieurs vidéos, une silhouette disparaît derrière la tour Sud puis pointe le bout de son nez de l’autre côté (ce que les analystes de ces images ont nommé «le nez de Pinocchio»), comme si l’avion l’avait toute entière traversée sans se déformer : un carreau d’arbalète. Montage bâclé, par incrustation d’images en quasi-direct grâce à un tampon de quelques dizaines de secondes rendant le trucage possible mais hâtif. Aussitôt après cette séquence bizarre, l’image est interrompue pendant une fraction de seconde (un «écran noir»), comme si un technicien, conscient de la bévue, avait voulu la minimiser en interrompant la retransmission.6

Le jour même, les chaînes de télévision dégagèrent leur responsabilité en plaçant dans les images un encart «By courtesy of…», signalant que ces vidéos n’avaient pas été faites par leur personnel mais par des personnes extérieures7. Cette précaution disparut ensuite.

La vitesse mesurée de l’avion censé avoir frappé la tour Sud est proche de 900 km/h8, la vitesse de croisière normale à 10 000 mètres d’altitude, où l’air est trois fois moins dense qu’à la basse altitude où ces avions sont censés avoir volé pour échapper aux radars. Quoique les coefficients de sécurité mécanique en Aéronautique soient d’au moins 3, à une telle vitesse, au niveau de la mer, la structure d’un avion ne pourrait encaisser longtemps les contraintes aérodynamiques et se disloquerait, comme l’association «Pilots for 9/11 Truth» l’a montré.9

2. Les vidéos diffusées au cours des jours et semaines suivants, «filmées par des amateurs» tous en lien avec les métiers de l’audiovisuel, sont de meilleure qualité grâce à un temps de calcul plus grand, mais la trajectoire d’un même avion et sa vitesse varient d’une séquence à l’autre. Les avions paraissent encore absorbés par les tours, sans bris d’ailes ni chute de débris.

Les moteurs des avions produisent toujours derrière eux des turbulences persistant pendant plusieurs secondes en s’atténuant peu à peu. Or, après les chocs prétendus des avions contre les tours, les vidéos montrent de la fumée et de la poussière montant vers le haut et se dissipant sans tourbillons. Ce seul fait suffirait à prouver l’absence d’avions.

Traitement des images par incrustation

Ces images sont des montages par incrustation vidéo. Cette technique est désormais à la portée des vidéastes amateurs (même les téléphones portables permettent des effets très divers), mais était récente en 2001 pour du quasi-direct, maîtrisée seulement par des professionnels, et peu connue du grand public. Ces silhouettes d’avions passe-murailles sont impossibles dans le monde réel, mais familières aux connaisseurs de dessins animés.

1.1.3- Illusion de la mémoire

Les silhouettes des avions furent incrustées, mais des explosions eurent bien lieu10. Les rues de Manhattan sont larges, ce ne sont pas des ruelles, mais les tours sont hautes par rapport à la largeur des rues. Les passants ne virent donc que des flammes et de la fumée, et pour comprendre ce qui se passait regardèrent les chaînes de télévision diffusant les films truqués11. Témoins des explosions, ils crurent de bonne foi avoir vu la frappe des avions.12

Illusion psychologique classique.

1.1.4- Impossibilité mécanique

Afin qu’il soit léger, un avion est un tube creux en tôle d’alliage d’aluminium de quelques millimètres d’épaisseur, rivetée sur une armature aussi en alliage d’aluminium. Un avion ne peut pénétrer sans déformation visible dans une tour pour une raison simple : le principe des actions réciproques, ou d’égalité de l’action et de la réaction, ou «troisième loi de Newton», valide en statique et en dynamique :

– En statique : le haut d’un immeuble pèse sur le bas, et en retour le bas exerce vers le haut une force de soutien égale au poids du haut. La somme est nulle, et l’immeuble reste en équilibre.

– En dynamique : lorsque deux objets se heurtent – par exemple deux billes, ou une balle contre un mur – chacun exerce une force sur l’autre, et ces forces sont égales mais de sens opposés. Lors du choc d’un avion contre une tour, la partie de l’avion heurtant la façade exerce une force, et la façade exerce sur cette partie de l’avion une force opposée et égale.

Or selon le principe fondamental de la dynamique, ou «deuxième loi de Newton», le changement de vitesse d’un objet en mouvement est proportionnel à la force exercée sur lui.13

Considérés ensemble, ces deux principes permettent de conclure à l’impossibilité pour un avion de frapper une tour sans se déformer et d’y disparaître entièrement.

En effet, l’observation des images vidéo permet d’estimer la décélération de l’avion au moment de la collision supposée. Or la silhouette d’avion ne ralentit pas, ni ne se déforme, pendant qu’elle traverse la façade. La décélération serait ainsi très faible, et donc la force aussi. Puisque les forces exercées par l’avion sur la façade, et par la façade sur l’avion, sont opposées et d’égales intensités, une force très faible n’aurait pas déformé un avion en alliage d’aluminium, mais aurait causé à la façade en acier les dégâts spectaculaires que le monde entier a vu ! L’effet du choc de deux objets dépend des duretés relatives des matériaux, et celle des aciers de construction est plus grande que celle des alliages aéronautiques14. Or selon la version officielle, un avion, un tube en aluminium, aurait pu percer un réseau de poutres en acier sans se déformer, ni même ralentir, sans que les ailes ne se brisent ni même ne se plient !

Cette impossibilité pour un avion de percer un réseau de poutres en acier sans se déformer est indépendante de l’énergie cinétique (égale au produit de la masse par le carré de la vitesse). Certes, plus l’énergie cinétique est grande, plus graves sont les dégâts, mais, quelle que soit la vitesse, l’objet le moins dur est plus déformé que l’objet le plus dur15. Si une canette de soda vide est lancée, même très vite, contre la grille de la Préfecture, la grille sera-t-elle brisée ? La canette sera-t-elle intacte ou cabossée ? Une balle de ping-pong troue-t-elle une raquette sans se déformer ?16

1.1.5- Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

Le réseau de poutres en acier constituant la structure extérieure des tours avait été conçu pour résister aux tempêtes et au choc d’un avion de ligne17. Cette contrainte réglementaire fut dictée par l’expérience : Par un jour de brume, le 28 juillet 1945, un bombardier B-25 heurta l’Empire State Building. La force subie par l’avion dépassa le seuil de résistance d’un tube en aluminium ; il s’écrasa contre la façade, les ailes et la carlingue tombèrent dans la rue, et seules des parties dures des moteurs et du train d’atterrissage trouèrent la façade. Les trois hommes de l’équipage furent tués, ainsi que onze personnes dans l’immeuble. L’incendie fut maîtrisé en trois quarts d’heure. Cette fois, un avion réel frappa un immeuble à une vitesse conforme aux contraintes aéronautique, aux lois de la Physique et au bon sens18. Quant à l’Empire State, tel le Veau d’Or, il est toujours debout ; merci d’avoir pris des nouvelles de sa santé.

En résumé :

 Des explosions se produisirent.

 Nulle preuve matérielle de la présence d’avions à Manhattan ne fut jamais trouvée.

 Selon les lois de la Mécanique, un avion ne peut pas frapper un immeuble sans ralentir ni se déformer, ne peut pas entrer dans l’immeuble, et encore moins le traverser de part en part.

 L’expérience prouve qu’un avion s’écrase contre une tour mais ne la transperce pas, et que la plupart des débris de l’avion tombent au sol, hors du bâtiment.

 Les vidéos montrant la disparition complète d’un avion dans une tour sont des montages.

Conclusions : Nul avion ne frappa les tours de Manhattan ; les explosions furent déclenchées de l’intérieur des immeubles ; les auteurs des vidéos étaient connus des chaînes de télévision.

1.2- Pas d’avion au Pentagone

Nul avion ne frappa non plus le Pentagone19. Les photographies ne montrent, sur la pelouse devant la façade, qu’un seul débris métallique, inidentifiable, mais ni bagages éparpillés, ni kérosène en flammes. La fumée noire résulte de la combustion d’un camion.

Un avion de ligne ne peut faire de virage serré comme un chasseur et ne peut rester en rase-mottes sur 600 mètres20. Il lui est plus difficile encore de replier les ailes comme une chauve-souris qui se suicide. Le Pentagone n’est pas plus haut qu’un immeuble haussmannien, 23 mètres, et un Boeing 757-200 n’est pas un tapis volant. Faire entrer entièrement un avion de 12 mètres de haut, 47 mètres de long et 38,50 m d’envergure dans un trou de 6 mètres de diamètre, au rez-de-chaussée d’un bâtiment, c’est un exploit technique révolutionnaire.21

Puisque nul débris ne fut trouvé, les ailes et le train d’atterrissage se seraient évaporés, l’alliage d’aluminium se serait vaporisé (température nécessaire 3000°C) et l’alliage très résistant des moteurs se serait sublimé, mais le nez en fibre de carbone aurait percé six épaisseurs de murs. Physique innovante !

Les environs du bâtiment étaient dans le champ de 85 caméras de surveillance, mais seulement quelques images floues ont été publiées. Une tache blanche, oblongue, fugace, peut suggérer un missile tiré d’un avion et des témoins affirmèrent avoir entendu un sifflement strident22. Or, pour échapper aux batteries anti-aériennes automatiques, un missile doit être détecté comme «ami». Une autre possibilité serait que des explosifs aient été placés dans le bâtiment lors des travaux de rénovation récemment achevés23. Des photos prises avant l’écroulement de la façade montrent en effet des débris tombés hors du bâtiment, indiquant une explosion à l’intérieur. Dans les deux cas, des complicités au Pentagone ont été nécessaires.

L’incendie au Pentagone fut vite éteint par les pompiers. Les Tours Jumelles et le Pentagone étaient certes des bâtiments très différents, mais les mêmes projectiles supposés – des avions de ligne contenant du kérosène – auraient-ils déclenché un feu infernal dans des tours très robustes et un petit incendie dans un bâtiment, certes solide, mais classique ?

En résumé :

 Nulle trace matérielle ne prouve la présence d’un avion.

 Un avion de ligne ne peut effectuer la manœuvre supposée.

 Un avion ne peut entrer (ailes comprises !) dans un trou de 6 m de diamètre.

 Un missile aurait été nécessairement «ami».

 Les travaux récemment terminés pourraient avoir permis d’installer des explosifs.

Conclusion : nul avion ne frappa le Pentagone.

2 – Destruction de trois gratte-ciels 

2.1- Structure des immeubles

La majeure partie de la masse des tours WTC1, WTC2 et WTC7 était constituée d’acier de construction et de béton léger utilisé dans les planchers, et n’était donc pas combustible. Selon le NIST, chacune des tours jumelles contenait 87 090 tonnes d’acier de construction24. La masse en service du WTC1 était d’environ 290 000 tonnes (2,9 × 108 kg), en accord à la masse par unité de surface de plancher de bâtiments similaires.25

Dans la plupart des gratte-ciels, tous les étages ont les mêmes dimensions mais ceux du bas supportent ceux du haut. Cette évidence implique que la structure porteuse est plus robuste en bas qu’en haut. La contrainte de stabilité que la forme de la Tour Eiffel rend bien visible est cachée par l’apparence parallélépipédique des immeubles-tours.26

Schématiquement, les tours de Manhattan étaient constituées de deux structures emboîtées, et solidarisées au sommet tour par un «chapeau» très résistant :

1. La structure intérieure, de plan rectangulaire, contenant les cages d’escaliers et les ascenseurs, mesurait 26,5 mètres sur 41 mètres et était constituée, de la base jusqu’au sommet de la tour, de 47 colonnes reliées entre elles par des entretoises, et entourées de panneaux en gypse. Ces colonnes étaient des tubes en acier, de section carrée, typiquement de 35 cm de côté, et dont l’épaisseur des parois décroissait de bas en haut : 5 pouces (12,7 cm) pour les 5 étages les plus bas, 2,5 pouces (6,35 cm) pour les étages au-dessus, et décroissant progressivement jusqu’à ¼ de pouce (6,35 mm) pour les étages 102 à 110. Cette structure supportait 60% de la charge verticale.

2. La structure extérieure, de plan carré, supportait 40% de la charge statique totale. Elle était constituée de 236 colonnes en acier, 59 sur chaque façade, du 6ème au 107ème étage, espacées d’un mètre, encadrant des fenêtres de 60 cm de largeur27. Les colonnes des cinq étages du bas étaient plus robustes, et plus espacées afin de permettre l’entrée dans les tours. Cette façade porteuse avait été construite par assemblage décalé de modules préfabriqués, constitués de 3 colonnes sur 3 étages, dont l’épaisseur des parois diminuait de bas en haut, comme dans la structure centrale. Dans la tour Sud, au 81ème étage, niveau de l’explosion (de «l’impact de l’avion»), l’épaisseur était de 0,875 pouce (2,22 cm). Quand souffle un vent fort, la répartition des charges d’une tour varie, la charge dynamique étant alors asymétrique entre les façades. La façade au vent peut même être en tension, d’où l’usage de l’acier pour la structure, car les autres matériaux de construction (pierre, béton…) résistent bien en compression mais mal en traction. Cette grille solide, en acier, ne peut avoir été traversée par un avion en alliage d’aluminium.

Pour la sécurité, les colonnes centrales pouvaient supporter trois fois plus que le poids qu’elles ne supportaient réellement, et les colonnes périphériques cinq fois plus.

2.2- Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?

Quelques heures à peine après ces effondrements, l’ingénieur en génie civil Zdeněk Bažant les interpréta comme une propagation de la chute de quelques étages, interprétation illustrée par l’image de la «pile d’assiettes» : les étages des Tours Jumelles auraient été comparables à des assiettes accrochées aux structures porteuses – les colonnes du noyau central et de la façade28. Les attaches auraient pu supporter le poids d’un étage, mais pas celui de tous les étages situés au-dessus. Si une cause, telle qu’un incendie localisé au niveau des «impacts d’avions», faisait rompre les attaches de quelques étages, ces «assiettes» tomberaient sur celle du dessous, dont les attaches ne résisteraient pas au poids et à l’énergie cinétique des assiettes tombant, et se briseraient à leur tour. Les assiettes déjà décrochées tomberaient alors sur celle encore en-dessous. De proche en proche, les assiettes se décrocheraient l’une après l’autre, et toutes dégringoleraient en cascade jusqu’en bas. Raisonnement juste, fondé sur une prémisse fausse : l’attachement d’étages rigides à quelques colonnes par des attaches fragiles.

En fait chaque étage des gratte-ciels est solidaire de toutes les colonnes. Même en admettant l’image simpliste de plateaux accrochés à des structures porteuses, chaque plateau aurait été attaché aux 283 colonnes, et toutes les attaches n’auraient pu se rompre au même instant29. Une rupture soudaine est possible pour le béton et la maçonnerie, mais l’acier est un matériau déformable à haute température. Améliorés par des décennies de recherche scientifique et technique, les calculs de résistance au feu de l’acier permettent de prévoir le comportement des structures30. En regardant si les poutres se déforment, les pompiers peuvent anticiper un risque d’écroulement. Le résultat final de ces chutes en cascade eût d’ailleurs été un tas de «débris d’assiettes», tandis que les structures interne et externe seraient restées debout, tout au plus vacillant par manque d’entretoises. En réalité, une grande part de l’acier et du béton des tours fut réduite en poussière, et les décombres n’étaient pas des entassements de fragments de dalles. La théorie de la pile d’assiette n’explique pas ces faits, et est incompatible avec les lois de la Physique. Pourtant de vaillants journalistes et de téméraires «experts» médiatiques tentèrent de faire admettre l’impossible.31

À supposer que des colonnes de soutien aient été cisaillées et que des pans de plancher soient tombés, la résistance de la partie basse de l’immeuble aurait arrêté leur chute, selon le principe de conservation de la quantité de mouvement, car cette partie était plus grande et beaucoup plus massive que la partie haute, et soutenue par les fondations ancrées dans le sol. Tant que le bas resta solide, la force résistante exercée du bas vers le haut resta égale à la force exercée du haut vers le bas. Le haut de l’immeuble ne peut avoir écrasé le bas.

Le haut de l’immeuble n’écrasa pas le bas ; il est tombé parce que le bas ne le soutint plus.

La Physique n’est pas la magie, elle décrit la réalité sur laquelle elle est fondée. Il ne suffit pas, comme dans Harry Potter, d’émettre un vœu pour qu’il se réalise (même de travers). Certes l’Amérique est le continent de tous les possibles, mais les lois de la Mécanique ne s’appliquent-elles pas à Manhattan ?

2.3- Effondrement sans cause : L’énigme de la tour n°7

Plusieurs heures après les attentats, des incendies s’allumèrent dans une troisième tour, n°7, située à 150 mètres des tours jumelles, dont elle était séparée par un autre immeuble, et que nul avion n’était censé avoir frappée. Haute de 173 m (47 étages), elle était comparable à la Tour Montparnasse haute de 209 mètres (56 étages). Sa chute fut annoncée plusieurs heures d’avance, même par la télévision BBC, alors qu’elle était encore debout, son image bien visible sur l’écran derrière la présentatrice. Soudain, à 17 h 20, elle s’effondra tout entière en 12 secondes, sur sa base. Par solidarité avec ses grandes sœurs ? Pendant les premières secondes, elle tomba de trente mètres à la vitesse de la chute libre ; après l’avoir d’abord nié, même le NIST dut le reconnaître et admettre que la cause est inconnue. Mais le rapport officiel se contredit en affirmant d’abord «l’effondrement du WTC7 fut un effondrement progressif produit par des incendies» puis (sur la même page !) en mentionnant «une chute libre de la hauteur d’environ 8 étages, selon l’accélération de la pesanteur pendant environ 2,25 s».

Comment une chute libre pourrait-elle être progressive ?

2.4- Effondrement et pulvérisation des tours : D’où provint l’énergie ?
2.4.1- Incendies de bureau

Le kérosène n’explose pas ; c’est pourquoi il est utilisé en aviation. À supposer même que des avions eussent frappé les tours, le kérosène aurait brûlé en un quart d’heure.  Les réservoirs d’un Boeing 757 contiennent au plus 42 680 litres de kérosène, et selon la FEMA (Federal Emergency Management Agency Agence fédérale des situations d’urgence), chaque avion transportait 37 900 litres de kérosène. C’est le volume d’un cube de 3,35 mètres d’arête, tandis que les deux tours mesuraient 63,4 x 63,4 x 415 mètres. Cinq tours Montparnasse chacune !32

Des incendies de bureau durèrent une heure et demie dans la tour Nord et une heure dans la tour Sud. La plus grande part de l’énergie dégagée par un feu chauffe l’air, d’où la faible efficacité d’un feu dans un âtre, dont la chaleur part surtout par le conduit de cheminée. La quantité d’énergie nécessaire pour atteindre une température donnée dépend de la nature et de la quantité de matériau à chauffer33. La température d’un incendie de bureau est 800-900 degrés Celsius (1073-1173 K). La température de fusion d’un alliage d’acier dépend de la composition chimique mais reste proche de 1427°C (1700 K). L’acier commence à mollir vers 600°C (873 K), mais, en une heure, l’air chaud ne peut transmettre au cœur de poutres en acier, épaisses et ignifugées, une quantité d’énergie suffisante pour les ramollir.34

En outre, une charpente métallique en réseau répartit la chaleur comme un radiateur, donc abaisse la température des poutres. Et comme la chaleur ne diffuse pas instantanément, les structures fléchissent asymétriquement et penchent d’un côté. Les effondrements dus à des incendies ne sont jamais symétriques.

2.4.2- Preuve par l’exemple : Incendies de gratte-ciels

En 1975, un incendie dans la tour Nord ravagea pendant plusieurs heures la moitié du onzième étage (en bas de la tour), puis se propagea à d’autres étages où il fut bientôt éteint. La structure de la tour ne fut néanmoins pas endommagée. En 1991, un incendie au One Meridian Plaza de Philadelphie dura 18 heures et détruisit 8 des 38 étages. Selon le rapport de la FEMA «Des poutres et des poutrelles se sont tordues ou affaissées… suite à l’exposition au feu, mais les colonnes ont continué à supporter leur charge sans dégât apparent»35. En 2004, à Caracas, 20 étages d’une tour de 50 étages brûlèrent pendant 17 heures, mais le gratte-ciel ne s’effondra pas36. L’énergie d’un incendie ne peut suffire à détruire un gratte-ciel.

Une relation de cause à effet entre incendie et effondrement est donc exclue.

2.4.3- Explosions et effondrement

Après une heure ou une heure et demi d’incendie, peu avant l’effondrement, des pompiers, et d’autres témoins présent dans les tours, entendirent une série d’explosions, au sous-sol, au rez-de-chaussée et dans les étages proches de l’incendie. Ces explosions sont visibles sur les films. Des poutres furent éjectées jusqu’à 500 mètres ou s’encastrèrent dans les façades d’immeubles voisins37. Les vitesses estimées par analyse des films, image par image, atteignent jusqu’à 110 km/h. Pendant les 7 minutes précédant l’effondrement de la tour Sud, WTC2, une coulée de métal fondu fut filmée tombant du 80ème étage d’une façade. L’analyse chimique des décombres identifia des produits de réaction d’un explosif utilisé en démolition, la thermite. Des cordons de thermite auraient causé les coupures obliques nettes, visibles sur des poutres non pulvérisées. Mais des explosifs chimiques ne dégagent pas assez d’énergie pour réduire des bâtiments en poussière, et leur emploi laisse de grands pans de bâtiment d’un seul tenant.38

Les tours s’effondrèrent en dix à quinze secondes, l’incertitude étant due à la poussière masquant la fin de la chute. La vitesse de chute est proche de celle de la chute libre. Or la conservation de la quantité de mouvement rend impossible un effondrement accidentel à la vitesse de la chute libre39. Des milliers de tonnes d’acier et de béton furent réduits en grains de quelques millimètres à quelques dixièmes de millimètre, s’élevant en volutes semblables à celles d’explosions volcaniques pyroclastiques, puis se déposèrent en recouvrant les rues d’une couche de poussière épaisse de plusieurs centimètres. Or la quantité d’énergie nécessaire pour broyer un solide est une fonction croissante de la finesse des grains. D’où provint l’énergie ?

Non seulement la pulvérisation des matériaux nécessita beaucoup d’énergie, mais sa rapidité indique une source d’énergie dégageant une grande puissance, notion physique caractérisant le flux d’énergie au cours du temps.

La puissance est le rapport de la quantité d’énergie à la durée pendant laquelle elle est émise. Pour démarrer une voiture ou faire décoller un avion, les moteurs doivent fournir beaucoup plus de puissance que pendant un mouvement à vitesse constante, sur route ou en vol. Tout cycliste sait que la puissance musculaire dépensée est plus grande pour démarrer que pour rouler à vitesse constante.

2.4.4- Persistance d’un grand dégagement de chaleur

La puissance nécessaire pour pulvériser presque instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton est difficile à évaluer, mais une valeur minimale de l’énergie dégagée peut être estimée en considérant l’évolution de la température du site pendant les mois suivants.

Des blocs de béton et d’acier mêlés furent trouvés, dont l’apparence est celle de la lave refroidie. Des températures d’environ 2000°C furent mesurées peu après les évènements. Des photographies célèbres montrent de l’acier rougeoyant retiré de la pile de débris. Quelques citations de témoins font ressentir la réalité du dégagement de chaleur :

 Au dire des pompiers, les semelles de leurs bottes fondaient. Sous les débris, la température était «si intense qu’ils ont rencontré des rivières d’acier en fusion», «comme dans une aciérie»40. Ils s’exposaient à des périls comme «la secousse d’un effondrement profondément en dessous, (…) ou, dans les premiers temps, les coulées de métal en fusion s’échappant des noyaux chauds et s’écoulant le long des murs brisés à l’intérieur des fondations».41

 «21 jours après l’attaque, l’acier en fusion coulait toujours»42. «Sous terre, c’était encore si chaud que du métal en fusion a coulé sur les côtés du mur du bâtiment 6».43

 «Des éléments en acier, dans la pile de débris, semblent avoir été partiellement évaporés à des températures extraordinairement élevées».44

La température de sublimation du fer, principal composant de l’acier, est de 2861°C (3134 K).

Des relevés de la température en surface, par thermographie infrarouge aérienne montrèrent, le 16 septembre, des points chauds jusqu’à une température de 747°C (1020 K)45. Le 7 octobre 2001, une image thermique montra des températures semblables aux emplacements des trois bâtiments (WTC1, WTC2 et WTC7), quoiqu’ils aient été architecturalement très différents et n’aient pas subi les mêmes dommages46. Le refroidissement fut progressif au cours des mois suivants : «Le feu souterrain brûla pendant exactement 100 jours et a finalement été déclaré «éteint» le 19 décembre 2001». Quels matériaux combustibles auraient alimenté un «feu souterrain» ? Comment l’air nécessaire à la combustion serait-il parvenu dans le sous-sol ?

Les matériaux tombés et au sous-sol sont ainsi restés pendant trois mois à des températures bien plus élevées que celles d’un incendie de bâtiment. Puisque, selon le deuxième principe de la Thermodynamique, l’énergie ne se concentre pas spontanément, ces températures ne peuvent avoir été causées par un «feu souterrain», mais résultaient de l’existence d’une source de chaleur très importante dans la profondeur du sous-sol.

Le 12 février 2002, cinq mois après l’effondrement des tours, de nouvelles mesures par thermographie infrarouge aérienne révélèrent encore une émission de chaleur47. Le sous-sol n’avait donc pas atteint l’équilibre thermique et continuait à se refroidir.

Les lois du transfert de la chaleur sont couramment employées par les architectes pour dimensionner les circuits de chauffage des bâtiments, et par les ingénieurs pour assurer le refroidissement, en électronique comme en automobile. En estimant la surface d’émission et l’évolution au cours du temps de la différence de température avec l’air ambiant, ces mesures permettent d’estimer la quantité de chaleur totale émise par le site. Elle est énorme, de l’ordre de 1 pétajoule (1015 joules ou 1 000 000 000 000 000 joules), soit la chaleur émise par la combustion de 24 000 tonnes de pétrole, pouvant remplir plus de 10 piscines olympiques.48

2.4.5- Déblaiement des ruines

Élimination des preuves matérielles

Le déblaiement commença aussitôt après la catastrophe, avant toute enquête, et l’acier des décombres fut envoyé en Chine, en Inde et d’autres pays d’Asie. Procédé inhabituel en cas de désastre sans précédent. La soustraction et la dissimulation de preuve sont des délits.49

Cancers des sauveteurs et des déblayeurs

Des équipes de détection furent envoyées sur place le jour même, habillées de tenues NBC. Les déblayeurs ne restaient que quelques jours avant d’être remplacés, et regrettaient de quitter le chantier à peine devenaient-ils efficaces. Parmi les 80 000 personnes affiliées au programme sanitaire WTC Health Program, à la fin de mars 2021, près de 14 000 souffraient d’un cancer et 1015 en étaient morts50. Les cancers des voies respiratoires et digestives furent causés vraisemblablement par des débris d’amiante et des poussières radioactives inhalées ou ingérées. Des cancers de la peau et des lymphomes sont nombreux aussi. Les malades ont constitué des associations de défense et prononcé maintes conférences aux États-Unis.

2.5- Fausseté de l’explication officielle

En résumé, l’explication officielle enfreint des principes physiques fondamentaux :

 Le principe de conservation de l’énergie : de l’énergie ne peut être créée. Ce principe est fondamental pour toute la Physique («premier principe de la Thermodynamique»).

 Le principe de dispersion de l’énergie : la chaleur ne peut pas s’être concentrée dans les poutres ni dans le sous-sol («deuxième principe de la Thermodynamique»).

 Le principe fondamental de la dynamique («deuxième loi de Newton») : un projectile ne peut percer une cible sans ralentir.

 Le principe des actions réciproques («troisième loi de Newton») : un tube creux en alliage d’aluminium ne peut percer un treillis en acier sans se déformer.

 Le principe de conservation de la quantité de mouvement.

L’affirmation officielle que le bas de chaque tour fut écrasé par le haut enfreint encore le principe fondamental de la dynamique, le principe des actions réciproques et le principe de conservation de la quantité de mouvement. L’effondrement ne peut être dû qu’à la perte de résistance du bas.

D’autres lois, non détaillées dans ce bref article, sont enfreintes par l’explication officielle :

 La loi de diffusion de la chaleur de Fourier : la température du réseau de poutres ne peut être devenue uniforme dans tout l’immeuble.

 La loi de changement d’état des matériaux : la température d’un incendie de bureau ne peut faire fondre de l’acier. La fragmentation fine des matériaux ne peut être due à la température.

 La loi de rayonnement des matériaux selon la température (corps noir) : avant l’effondrement, la couleur des coulées de métal fondu sur une façade, jaune ou blanche, seule information disponible, indique une température de 1200°C au moins, soit une température supérieure à celle d’un incendie. Ces coulées furent sans doute dues à des réactifs placés localement.51

L’explication officielle enfreint les principes les mieux établis de la Physique.

Mais la Physique permet aussi de comprendre le mode opératoire.

3 – Explosions nucléaires souterraines

Les tours de Manhattan furent détruites par des explosions nucléaires souterraines. Cette «interprétation complotiste délirante» est la seule compatible avec les lois de la physique.52

À l’apogée de l’engouement pour l’énergie nucléaire, pendant les années 1950 et 1960, des essais d’emploi d’explosifs nucléaires pour de gros travaux de génie civil, comme creuser des canaux, furent faits en URSS53 et aux USA54. Mais la pollution résultante les fit abandonner. Toutefois ces essais rendirent réalisable ce procédé de démolition de gratte-ciels.

3.1- Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires

Les explosifs chimiques couramment utilisés en démolition ne pulvérisent pas les bâtiments, quoique l’effondrement dégage de la poussière, et les décombres sont des amas de pans de murs et de planchers. Pour fragmenter des milliers de tonnes d’acier et de béton en grains millimétriques, il faudrait une très grande masse d’explosifs, en proportion notable de la masse de l’immeuble, répartie dans toutes les parties de la tour par des dizaines de techniciens pendant des milliers d’heures. Impraticable.

L’énergie chimique libérée par unité de masse d’un explosif classique est déterminée par l’énergie de liaison entre électrons et noyaux, mais celle d’un explosif nucléaire l’est par l’énergie de liaison des nucléons – protons et neutrons – dans les noyaux des atomes. Or l’énergie de liaison entre les nucléons des noyaux est un million de fois plus grande que l’énergie de liaison entre les électrons et les noyaux. En pratique, les matériaux nucléaires opérationnels comportent beaucoup de masse inerte, mais leur densité énergétique reste cependant 10 000 fois plus grande que celle des matériaux chimiques. C’est pourquoi une centrale électrique nucléaire n’est rechargée en combustible que tous les 3 ans, tandis qu’une centrale à charbon est alimentée quasiment en continu, par trains entiers.

Les bombes nucléaires émettent de l’énergie en quelques microsecondes, produisant une puissance inimaginable par l’esprit humain, et causant une onde de choc dont la pression maximale, de l’ordre du milliard d’atmosphères, est beaucoup plus destructrice que celle produite par tout explosif chimique.

Seule une bombe nucléaire émet la puissance suffisante pour réduire quasi-instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton en poussière millimétrique, et contient assez d’énergie pour produire la très grande quantité de chaleur lentement dégagée du sous-sol de Manhattan.

En quelques microsecondes, les réactions nucléaires dégagent une énergie énorme, décomposant les roches du sous-sol jusqu’à l’état de plasma, composé de particules sans liaisons à très haute température55. L’onde de choc fragmente les roches environnantes, et provoque une secousse sismique. En quelques dixièmes de seconde, une cavité se forme et s’agrandit. L’explosion souterraine ne provoque évidemment pas d’éclair. Si elle est assez profonde, l’onde atteint la surface du sol, sans la soulever, mais se diffuse dans les objets solides placés sur le sol. L’onde ne se diffuse pas dans l’air, et ne produit donc pas de bruit, Les roches situées entre le haut de la cavité et la surface du sol forment le «toit de la cavité». Les radio-nucléides restent pour la plupart confinés, mais la quantité traversant le toit est suffisante pour être détectée, même à grande distance.

La chaleur de la cavité diffuse dans les roches, les fait fondre. De la chaleur est ainsi absorbée par les roches, et par conséquent la température du plasma et des gaz baisse dans la cavité, et donc la pression diminue56. Lorsque la pression ne suffit plus à soutenir le toit de la cavité, il s’effondre, tombe dans la cavité, et le sol s’affaisse. Qu’une pression souterraine initiale produise une dépression à la surface du sol est un effet contre-intuitif mais bien étudié.57

Si l’explosif nucléaire est placé sous un bâtiment à une profondeur convenable, l’onde de choc et l’affaissement du sol peuvent faire écrouler même des gratte-ciels à structure métallique.

La quantité de chaleur restant dans la cavité est une fraction de l’énergie émise, dont le dégagement est retardé par le transfert à travers les roches du toit, tombées dans la cavité. Des éléments radioactifs s’échappent, mais d’autant moins que la profondeur est grande. Maints essais ont permis de mesurer le rayonnement, la température, la dépression du sol, etc., et, dès les années 60, les physiciens ont su calculer la forme et les dimensions de la cavité et de la cheminée, selon la nature de la roche encaissante, la profondeur et l’énergie de l’explosion. En France, le Commissariat à l’Énergie Atomique procéda à ces analyses.58

Depuis 1963 les essais militaires d’explosions aériennes ont été réduits, puis interdits, et depuis 1974, un traité international limite l’énergie des explosions souterraines à 150 kT, soit 0,63 pétajoule. Ces explosions émettent beaucoup moins de particules radioactives dans l’atmosphère que les explosions aériennes ou que l’accident de Tchernobyl. Des mesures sismographiques, hydroacoustiques et infrasoniques, ainsi que le dosage des particules de radionucléides dans l’air, permettent de les détecter et de connaître leurs caractéristiques, même à de grandes distances. Les États peuvent ainsi se surveiller les uns les autres.59

3.2- Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction

La pulvérisation instantanée des tours fut l’effet d’une puissance que seules des bombes nucléaires peuvent dégager. Mais où ces bombes avaient-elles été placées ?

Démolir des gratte-ciels est une entreprise difficile, et les règlements d’urbanisme imposent aux maîtres d’œuvre de proposer, dès la construction, une solution technique de démolition60. Un procédé de démolition d’urgence peut avoir été prévu pour les Tours Jumelles, bâtiments exceptionnels, construits selon les meilleures techniques des années 60. Une loge peut avoir été creusée sous le niveau du sous-sol le plus profond de chacune, hypothèse corroborée par un fait architectural : sur les plans d’élévation des immeubles, les hauteurs sont cotées à partir d’une altitude de référence de 246 pieds, soit 75 m, sous les fondations, dans le socle rocheux.61

3.3- Destruction des tours de Manhattan

Chaque tour fut détruite par l’explosion d’une bombe nucléaire placée dans la roche, sous les fondations, ce que des enregistrements sismiques prouvent62. Plusieurs petites bombes «mini-nuke» n’auraient pas suffi, et n’auraient pas produit l’énorme quantité de chaleur dégagée du sous-sol pendant des mois. L’onde de choc atteignit aussitôt les fondations et se propagea dans l’immeuble. Jusqu’aux trois quarts de la hauteur, l’énergie de l’onde brisa des liaisons chimiques et fragilisa les matériaux63. La pression maximale de l’onde varie environ comme l’inverse du carré de la distance au point de l’explosion ; la quantité d’énergie transmise fut donc moindre dans les étages supérieurs, où l’onde ne causa plus qu’une déformation élastique et diminua donc moins la résistance mécanique que dans la partie inférieure.

Sur des vidéos filmées par des caméras sur support fixe, l’image tremble 12 s avant la chute des tours, durée pouvant être interprétée comme le délai entre l’explosion et l’effondrement du toit de la cavité. Lorsque cet effondrement ôta à l’immeuble le support des fondations, la partie basse de l’immeuble tomba en se désagrégeant. N’étant plus soutenue, la partie haute tomba à son tour, en se désagrégeant aussi, à une accélération d’environ 2/3 de celle de la chute libre, à peine freinée par la cohésion résiduelle de la partie basse et la résistance de l’air.

Des explosions déclenchées juste avant la chute prouvent la présence de charges explosives chimiques, dont la mise à feu paraît avoir été synchronisée à celle de la bombe souterraine64. Placées en des points choisis de la structure, ces charges ont peut-être désolidarisé le haut et le bas de l’immeuble et coupé une part du train d’onde. S’il pouvait être consulté, le plan de démolition serait instructif.

Une grande part des matériaux se dissipa en volutes de poussière65. Hauts d’environ 20 m, les tas de décombres étaient remarquablement petits par rapport aux immeubles de 420 m. Des relevés aériens par la technique LIDAR montrent que chaque tas était au centre d’une dépression peu profonde.66

Les débris des tours recevaient de la chaleur issue de la cavité, diffusant à travers les roches comblant la cheminée. L’énergie accumulée maintint le sous-sol à température très haute pendant plus de trois mois. L’émission de radioactivité au cours des semaines suivantes, mais le peu de pollution résiduelle, indiquent une fusion plutôt qu’une fission. Les autorités ne furent pas disertes sur la présence de tritium, isotope radioactif de l’hydrogène produit par fusion. Après déblaiement des décombres, la cheminée sous l’emplacement de chaque tour fut couverte par une chape en béton, surmontée d’un grand bassin d’eau. Le béton et l’eau absorbent le rayonnement résiduel des éléments radioactifs présents dans la cavité, de sorte que le site est désormais sans danger.

Quant à l’expression «ground zero», elle désigne depuis huit décennies, en vocabulaire militaire le point de la surface du sol à l’aplomb d’une explosion nucléaire.

Voilà les grandes lignes de l’affaire, faciles à vérifier. Les documents officiels, les études techniques publiées sur internet, quelques connaissances de base en Physique et un zeste de bon sens suffisent.

Toute interprétation rationnelle des évènements doit expliquer :

1. L’entrée d’avions de ligne dans des immeubles à structure en acier S’ils ne peuvent pas percer la façade, force est de déduire qu’ils n’étaient pas là.

2. L’effondrement des trois tours de Manhattan : Tours Jumelles et WTC7.

3. L’origine de la puissance nécessaire pour pulvériser les tours, et de l’énergie dégagée du sous-sol pendant des mois.

Or la version officielle n’explique rien et est incompatible avec les lois de la Physique.67

4 – Conclusions

Donc les conclusions s’imposent :

1. Les principes et lois physiques ne s’appliquent pas à Manhattan. Exceptionnalisme.

Dans une stratégie de réindustrialisation des États-Unis, cette particularité serait précieuse pour fabriquer des produits à haute valeur ajoutée.

2. De l’énergie a été créée, et comme les États-Unis sont un pays très religieux «under God», c’est que Dieu a fait un miracle ; les enquêteurs devraient donc se tourner humblement vers les théologiens pour leur demander d’en expliquer le sens.

3. À moins qu’une explication plus rationnelle ne soit possible…

Que chacun réfléchisse et conclue !

*
Échanges avec de précédents lecteurs

Participer à un débat est bien, mais pour proposer un avis valable il faut d’abord lire les arguments. Des arguments physiques ne peuvent être réfutés que par des arguments physiques mieux fondés. Des arguments de bon sens, ou des interprétations psychologiques, ne peuvent qu’être subordonnés aux arguments physiques, et le simple bon sens permet rarement d’envisager toutes les possibilités. D’abord considérer les faits, en gardant à l’esprit qu’à l’échelle des phénomènes produits par ces attentats la Physique est une science achevée, hormis peut-être la recombinaison des nucléons.

Un raisonnement physique doit être quantitatif : les matières combustibles contenues dans du matériel de bureau ne suffiraient pas à dégager assez d’énergie pour maintenir le sous-sol à température élevée (progressivement décroissante) pendant trois mois. Un incendie s’éteindrait bientôt faute d’alimentation en oxygène. Un feu de bureau ou de forêt n’est pas un haut-fourneau. La température d’un feu de joie peut atteindre 1000-1100°C, celle d’un feu de bureau au plus 900°C, un feu de bois domestique brûle à environ 600°C. La température d’un feu de sous-sol qui couve est évidemment bien moindre.

Observations à la portée de tous :

 La fragmentation presque instantanée de tours mesurant 420 m de haut et 65 m de côté a nécessité une énergie et une puissance énormes.

 Dans le sous-sol des tours de Manhattan, les pompiers observèrent de l’acier en fusion pendant de nombreux jours, et un grand dégagement de chaleur pendant plusieurs semaines. Or la température de fusion de l’acier est de 1500°C. Force est de conclure qu’une grande source de chaleur intense existait sous les ruines.

Tels sont les faits à expliquer.

Le premier article explique le mode opératoire. Selon l’interprétation proposée, des explosifs nucléaires ont été placés sous chacune des trois tours. En effet, de tels explosifs peuvent seuls produire l’énorme puissance émise pour fragmenter en poussière millimétrique des milliers de tonnes d’acier et de béton, et la non moins énorme quantité d’énergie dégagée dans le sous-sol pendant plusieurs mois. Bien entendu, lors de démolitions contrôlées, des explosifs chimiques font s’effondrer des immeubles, dont la chute produit de la poussière, mais les immeubles ne deviennent pas majoritairement de la poussière.

Une explosion nucléaire souterraine peut fournir la puissance et l’énergie observées lors de l’effondrement des tours (pour rappel, la puissance est le rapport de la quantité d’énergie émise à la durée de l’émission). La température mesurée au cours des jours suivant les attentats était supérieure à 2000°C. Nul autre procédé permettant de dégager à la fois l’énergie et la puissance observées n’est à présent connu. Des commentateurs admettent qu’une grande quantité de chaleur s’est dégagée pendant plusieurs mois, mais doutent de l’emploi d’explosifs nucléaires. Ce dégagement est la preuve de l’emploi d’explosifs très énergétiques. L’emploi d’explosifs nucléaires peut bien sûr être contesté. Si d’autres explosifs que des explosifs nucléaires étaient envisagés, l’auteur serait intéressé à connaître l’interprétation des faits.

Les explosions souterraines sont très bien connues ; elles provoquent des secousses sismiques, mais ni éclair ni bruit important, et les radio-nucléides restent pour la plupart confinés, quoique s’échappe une quantité suffisante pour être détectée même à grande distance. Une explosion souterraine ne produit évidemment pas d’éclair. Des traces sismiques ont été mesurées.

De nombreuses explosions nucléaires souterraines ont été faites dans le monde, et le CEA a publié des études. Un document spectaculaire, référencé dans une note du premier article, est le film de la surface du sol lors d’une explosion souterraine, où l’on voit une dépression se creuser ce qui est contre-intuitif. La puissance des bombes dépend de leur type, il y en a toute une gamme, et elle peut même être réglée.  Ces explosions dégagent peu de radio-activité dans l’atmosphère, mais bien entendu, même de petites doses de radio-nucléides dans l’atmosphère sont détectées, ainsi que des ondes sismiques. Des mesures ont été faites dès le 11 septembre 2001 et les dirigeants de toutes les grandes puissances, ainsi que de plusieurs puissances moyennes et de groupes financiers, reçurent certainement dans la semaine des rapports de leurs services de renseignement. Les tentatives de creuser des canaux faites au cours des années soixante, en Union soviétique et aux États-Unis n’aboutirent pas à des procédés de travaux publics efficaces car la pollution radio-active était importante lors d’explosions en surface. Mais lors d’explosions souterraines, la majorité des radio-nucléides reste enfermée dans la cavité souterraine creusée par l’explosion, et une minorité sort jusqu’à l’atmosphère par des fissures atteignant la surface du sol. En septembre 2001, cette émission de radio-nucléides fut bien sûr détectée par des labos de plusieurs pays, mais elle n’a pas été rendue publique. Les gouvernants des États-Unis n’y avaient évidemment pas intérêt, et ceux des autres pays n’avaient pas un contrôle suffisant des médias mondiaux pour contrer la propagande anglo-saxonne ; ils préférèrent donc négocier leur silence et garder une menace en réserve. Des négociations politiques eurent ensuite lieu en coulisse, mais n’ont pas été rendues publiques, comme il est de règle dans les rivalités de puissances, étatiques ou financières. Nul doute que ces négociations aient été âpres.

C’est l’interprétation proposée dans cet article, discutable évidemment puisque nous ne participâmes pas à ces tractations.

Les coupures nettes de poutres, observées avant le début des travaux de déblaiement, suggèrent que de la thermite fut utilisée localement, au moins dans les deux grandes tours, ce qu’ont confirmé des analyses chimiques de fragments de poussière. Mais l’emploi de thermite n’expliquerait pas que de grandes masses d’acier ou de béton aient été fragmentées en poussière millimétrique. Or une onde de choc très puissante peut le faire. Les très hautes fréquences contenues dans une onde choc produite par une explosion durant quelques microsecondes permettent de dissocier même des liaisons courtes.

Ces évènements datent de plus de vingt ans, mais les agressions en Ukraine et en Palestine leur redonnent de l’actualité. Les commanditaires ultimes sont les néocons, qui ont organisé les agressions contre les pays arabes depuis 2003 et 2011, contre la Russie depuis 2014, et à présent perpètrent le génocide à Gaza. La continuité de leurs crimes n’a pas cessé depuis 2001. Il est vital de comprendre les stratégies à long terme des puissants qui dirigent le monde à travers les pantins qu’ils ont placés à la direction des États.

 

 

  1. Les faits n’ont pas été étudiés par plusieurs équipes d’experts indépendantes qui eussent ensuite confrontés leurs avis, et le rapport n’a pas été débattu publiquement. Philip Zelikow, qui dirigea la commission d’enquête, était lié aux gouvernements des États-Unis et d’Israël.
    http://wtc.nist.gov/pubs/factsheets/faqs-8-2006
  2. Des associations de professionnels, comme Architects and Engineers for 9/11 Truth, ou Pilots for 9/11 Truth, ont analysé ces évènements. http://ae911truth.org
    Parmi d’autres auteurs : Thierry Meyssan, «11 Septembre 2001. L’effroyable imposture». Carnot, 2002. Laurent Guyénot : JFK – 11-Septembre, 50 ans de manipulations.
  3. Même consciencieux, un accessoiriste n’a pas toujours le matériel nécessaire. Mise en scène bâclée plutôt que restes de catastrophe aérienne. Les autres débris trouvés furent une roue incrustée dans une poutre et un morceau d’aile découvert en avril 2013 entre deux immeubles et entouré d’une corde… Les décombres avaient été pourtant déjà dûment fouillés par des agents du Service National de Sécurité des Transports (National Transportation Safety Board, NTSB) agissant à la requête du Bureau Fédéral d’Enquêtes (Federal Bureau of Investigations, FBI).
    https://aitia.fr/erd/esprit-critique-es-tu-la
    http://govinfo.library.unt.edu/911/report/911Report-Notes
    http://www.aldeilis.net/fake/1083.pdf    
    http://pacer.psc.uscourts.gov
  4. Les spécifications sont pourtant sévères : enregistrement de 300 paramètres pendant 25 heures ; résistance à l’impact de 3400 G ; résistance à la température de 1100°C pendant 30 minutes ; résistance à la pression de 7000 mètres d’eau ; émission à 37,5 KHz pour le repérage ; batterie d’une durée de vie de 6 ans. Le numéro des boîtes permet d’identifier l’avion, et leur contenu de connaître les circonstances précédant un accident.
  5. Depuis, tant de documents d’identité de tant de terroristes ont été trouvés sur des pare-brises après un attentat, que c’en est devenu une coutume.
    http://www.guardian.co.uk/september11/story/11209
  6. Un citoyen des États-Unis, Alexander Collin Baker, musicien et vidéaste connu sous le nom de «Ace Bake», réalisa une série de 8 vidéos sur le 11-Septembre 2001, intitulée «The Great American Psy-Opera». Cette capacité d’analyse critique lui serait venue à la suite d’un accident médical qui modifia son psychisme : https://aitia.fr/erd/eloge-du-handicap. Dans l’épisode 7 de la série, il interrogea l’auteur de la séquence vidéo, Kai Simonsen, qui s’empêtra pour trouver une explication plausible à ce «fondu au noir», ainsi qu’au zoom «prémonitoire» qu’il effectua juste avant : la caméra transmettait un plan très large sans avion visible, puis zooma très fortement juste avant l’instant fatidique de la collision. À partir de 19 min 20 s, Kai Simonsen affirme que le noir est provoqué par la mise en place d’un doubleur de focale sur l’objectif afin d’obtenir un plan plus serré… mais le plan est exactement le même avant et après la coupure ! Ces huit épisodes, totalisant plus de 4 heures, sont encore visibles en partie en version originale, et en totalité en version sous-titrée en allemand : https://www.youtube.com/user/CollinAlexander.
    Une version des épisodes 6 à 8, sous-titrée en français par Laurent Guyénot, est visible sur Dailymotion :
    https://www.dailymotion.com/video/x2546ic 
    https://www.dailymotion.com/video/x25ff9k
    https://www.dailymotion.com/video/x254kr6
  7. La rapidité de diffusion prouve que les auteurs des vidéos avaient accès ouvert aux chaînes de télévision. Seuls les frères Naudet présentèrent une vidéo de la frappe du premier avion : des virtuoses du suivi de cible et de l’ajustement de focale. Pourraient-ils être incités à révéler les noms de leurs commanditaires ?
  8. Selon le NIST, 542 ± 24 mph soit 872 ± 39 km/h pour l’avion de la tour sud (WTC2).
  9. https://web.archive.org/2021/01/12/pilotsfor911truth.org/WTC2.html et web.archive.org
  10. Dans la tour Nord, le 91ème étage avait été loué quelques semaines avant par des «artistes» du groupe Gelatin qui firent pendant quelques jours une «installation» : un hourd dépassant de l’immeuble. Les étages 93 à 100 étaient occupés par la compagnie Marsh & McLennan, dont le PDG était Jeffrey Greenberg, liés aux assureurs et contre-assureurs des tours. Les explosions se produisirent entre le 91ème et le 98ème étages.
  11. Après la première explosion, les regards étaient rivés sur la face Nord de la tour Nord. La seconde explosion s’est produite sur la face Sud de la tour Sud, soit à l’opposé, là où l’attention générale n’était pas fixée.
  12. Les journalistes ne mirent pas en avant les propos mesurés des gens prudents. Des témoins affirmèrent n’avoir pas vu d’avions mais seulement des explosions : https://www.youtube.com/watch?v=qH8SN_RnGEQ. Dans des reportages sur place, diffusés le jour même, quelques personnes interrogées paraissent réciter une leçon apprise, dont le fameux «Harley guy», un homme portant casquette et T-Shirt Harley Davidson, très calme en plein tumulte, et capable, au moment même, de résumer les conclusions des rapports d’enquête futurs et officiels :
    https://www.reddit.com/nuclear911/presenting-harley-guy-full-911-interview-scene
  13. Le principe de conservation de la quantité de mouvement d’un système, principe d’inertie, fonde la Mécanique. De ce principe est déduite la deuxième loi de Newton : «Les changements qui arrivent dans le mouvement sont proportionnels à la force motrice, et se font dans la ligne droite dans laquelle cette force a été imprimée». L’accélération est égale au rapport de la force à la masse : ou. Si la force F est nulle, l’accélération est nulle et donc la vitesse du mouvement constante. Le concept d’inertie, l’un des mieux établis de la Physique, fut progressivement précisé par Galilée, Baliani, Torricelli, Descartes, Huygens, puis énoncé explicitement par Hooke, formulé mathématiquement par Newton, et généralisé par Poincaré et Noether.
  14. Le principe des actions réciproques détermine les lois de résistance des matériaux. Tout outil de découpe doit être plus dur que le matériau qu’il entame. Ainsi, une fraise en acier peut découper du duralumin (un alliage d’aluminium et de cuivre employé en construction aéronautique) parce que l’acier est plus dur que le duralumin. Les liaisons entre les atomes déterminent la dureté propre des matériaux, comme les alliages métalliques. À forces subies égales, un plus grand nombre de liaisons sont rompues et plus d’atomes sont déplacés dans un alliage d’aluminium que dans un alliage d’acier. L’alliage d’aluminium est donc moins dur que l’acier. Un projectile, comme une balle d’arme à feu, doit être plus dur que la cible pour la percer. De même un couteau coupe du pain parce que les faibles liaisons électrostatiques entre les molécules constituant la croûte et la mie du pain sont brisées, tandis que celles entre les atomes de métal ne le sont pas. L’analyse détaillée du choc de deux objets non pleins, comme la structure tubulaire d’un avion de ligne et le treillis de poutres d’un gratte-ciel, nécessite des notions précises de Mécanique, comme le moment quadratique d’une poutre, mais en physique comme en tout domaine, les principes généraux déterminent les lois particulières.
  15. Lors d’un choc d’un objet mobile contre un objet immobile et ne pouvant être mis en mouvement, comme une voiture contre un arbre, l’énergie cinétique se dissipe en déformation des matériaux, puis en chaleur.
  16. Attention, un tel cas comporte des pièges. Voir ici : https://aitia.fr/erd/balle-tueuse-de-raquette-info-ou-intox/
  17. Selon les architectes, les coefficients de sécurité étaient si grand que les tours jumelles résisteraient à l’impact d’un Boeing 707 ou d’un Douglas DC-8 en pleine charge, volant à 965 km/h : «(…) une telle collision causerait seulement des dégâts locaux ne pouvant provoquer l’effondrement ni des dommages conséquents à l’immeuble, et ne mettrait en danger ni la vie ni la sécurité des occupants, hors de la proximité immédiate de l’impact» Henry Hold and company, City in the sky, Times Books, 2003. La documentation de l’étude technique était conservée dans les bureaux de l’Autorité portuaire, détruits par l’effondrement du bâtiment n°7 du World Trade Center. Fahim Sadek, Baseline Structural Performance and Aircraft Impact Damage Analysis of the World Trade Center Towers, NIST, 2005, «NCSTAR 1-2 appendix A», p.305-307
  18. La plus grande décélération longitudinale que peut subir une carlingue d’avion de ligne sans se froisser est d’environ 10 G, dix fois l’accélération de la pesanteur, le plus que peut encaisser un pilote de chasse. Cette accélération est bien moindre que celle subie par des objets durs lors des chocs les plus anodins ; ainsi deux billes de billard, lors de leur bref contact durant quelques millisecondes, subissent des accélérations de 100 G ou plus.
    https://en.wikipedia.org/1945-Empire-State-Building-B-25-crash
  19. Le journaliste Thierry Meyssan l’affirma dès mars 2002, et fut aussitôt étiqueté «complotiste délirant». Thierry Meyssan, «11 Septembre 2001 : L’effroyable imposture». Carnot, 2002.
  20. À la demande insistante de l’association de «Pilots for 9/11 Truth», les enregistrements de la boîte noire du vol AA77 (prétendument retrouvée) furent déclassifiés par le National Transportation Safety Board (Bureau National de Sécurité des Transports), mais ne furent pas communiqués : le document présenté fut une trajectoire reconstituée en images de synthèse à partir de ces enregistrements supposés. Or elle montre une manœuvre impossible pour un avion de ligne (à 850 km/h !) et aboutissant au-dessus du Pentagone !
  21. Avant l’effondrement de la façade le trou d’entrée était rond. De chaque côté, la façade présentait des dégâts dans un rectangle horizontal, tracé au cordeau, vraisemblablement censé suggérer l’impact des ailes. Le trou de sortie persista et était rond aussi. Or entre l’entrée et la sortie il y avait une vingtaine de colonnes.
  22. Un jeune officier prévint Cheney plusieurs fois de l’approche d’un avion vers Washington, et reçut comme réponse que «les ordres étaient maintenus». Leurre, avion civil ou avion militaire porteur d’un missile ?
  23. https://www.youtube.com/watch?v=0SL2PzzOiF8
  24. Stephen W. Banovic. «Steel inventory and identification. Technical report, NIST», September 2005 : p.55. http://fire.nist.gov/bfrlpubs/build05/PDF/b05030.pdf. Les planchers étaient 110 dalles de béton, de soixante-trois mètres de côté et d’une quinzaine de centimètres d’épaisseur.
  25. Gregory H. Urich. «Analysis of the mass and potential energy of world trade center tower 1». Journal of 911 Studies, 2007.
    http://www.journalof911studies.com/volume/200703/GUrich/MassAndPeWtc.pdf.
  26. La forme proche d’un arc de parabole des arches de la tour Eiffel participe à leur stabilité, mais la forme parallélépipédique des gratte-ciels impose une grande résistance, surtout en bas, et donc un réseau serré de poutres robustes. Pour éviter le basculement de ces pieux fichés au bord de l’océan, offrant prise aux vents de tempêtes, les fondations étaient profondément implantées dans le granit, sous la couche sédimentaire.
  27. L’expression «mur rideau» désigne les parois externes des immeubles, où prédomine le verre qu’un choc peut briser ; elle est toutefois impropre car des colonnes verticales renforcent aussi la façade, surtout dans les hautes tours. Cette fragilité apparente des parois a pu faire croire que des avions pouvaient entrer dans des tours.
  28. Les assiettes ne sont pas supposées empilées, mais suspendues à des poteaux verticaux par de frêles attaches, théorie nommée aux É-U pancake theory «théorie de la crêpe», soutenue par la FEMA (Chapitre 2, 2002).
    https://aitia.fr/erd/travaux-diriges-version-serieuse.
  29. Un bélier ne fait que transmettre l’énergie cinétique que les servants lui impriment. Sans élan, un bélier ne peut enfoncer une porte. Si des assiégeants placent la tête du bélier contre la porte d’une forteresse sans faire bouger l’engin, les défenseurs peuvent dormir tranquilles.
  30. Après une étude expérimentale des effets, sur des structures en acier, de hautes températures pendant plusieurs heures. La FEMA a conclu : «Bien que la température des poutres en acier ait atteint 800-900°C (1.500-1.700°F) dans trois des tests, nul effondrement n’a été observé pour les six expériences». FEMA, World Trade Center Building Performance Study, mai 2002, A-9 Appendix A : Overview of Fire Protection in Buildings.
  31. https://www.youtube.com/watch?v=DR1qnvMDh4w Vidéo esclaffatoire, esbaudissante et rigolisible.
  32. Les dimensions de la Tour Montparnasse sont 50 x 32 x 209 mètres.
  33. L’énergie est une variable extensive et la température une variable intensive.
  34. La température d’un feu de kérosène dépend de l’apport d’oxygène ; à l’air libre elle ne dépasse pas 1100°C et ne peut atteindre 1700°C que par apport d’air sous pression dans un réacteur dont les matériaux supportent cette température ; or, près des colonnes centrales des tours, à 30 mètres du dehors, l’apport d’air était faible. Selon le NIST, la température de l’air ne dépassa pas 1000°C pendant 15 à 20 minutes (NIST, Rapport 1-5, 2005). Ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle que les sidérurgistes réussirent à construire des fours supportant des températures assez élevées pour faire fondre l’acier, et nécessitant une alimentation en air. Des photos disponibles sur internet montrent une femme, identifiée par sa famille, agitant les bras en signe de détresse, debout dans la brèche prétendument faite dans la façade en acier par les ailes en aluminium d’un avion, là où la température était censée être infernale selon la version officielle des évènements.
  35. http://www.consensus911.org/fr/point-mc-10-fr/#N–7
  36. http://www.consensus911.org/point-mc-10-fr/#N-9
    Pour les amateurs de catastrophes : https://fr.wikipedia.org/Chronologie-des-grands-incendies 
    Autres incendies de gratte-ciels : 24 février 1972, tour Andraus à Sao Paulo, 30 étages brûlés ; 1er février 1974, tour Joelma à Sao Paulo, 25 étages, embrasement du 12ème au 25ème étage ; 15 novembre 2010, à Shanghai, un immeuble 28 étages. Certes les tours de Manhattan étaient beaucoup plus hautes, mais ce furent les seules à s’effondrer et à être pulvérisées.
    https://www.profession-gendarme.com/une-saine-curiosite-amene-souvent-a-la-verite
  37. Jones, Steven, Korol, Robert, Szamboti, Anthony, and Walter, Ted. «15 years later : on the physics of high-rise-building collapses». Europhysics News, 47(4):21–26, 2016. Fig. 6. Doi:10.1051/epn/2016402.
  38. N. Harrit, J. Farrer, S. Jones, K. Ryan, F. Legge, D. Farnsworth, G. Roberts, J. Gourley, B. Larsen. «Active thermitic material discovered in dust from the 9/11 World Trade Center catastrophe». (2009) The Open Chemical Physics Journal, 2 :7-31
  39. Estimation : 12,6 secondes pour la tour 1 et 11,5 secondes pour la tour 2. Les tours étaient deux fois plus hautes (415 et 417 m) que la tour Montparnasse (209 m). Le calcul de la durée de la chute libre dans le vide est du niveau d’un baccalauréat scientifique. La formule est en effet : La hauteur H des immeubles étant de 400 mètres et l’accélération de la gravité G de 9,81 m/s², la durée est d’environ 9 secondes. C’est une borne inférieure : la chute ne peut pas durer moins (et encore la résistance de l’air est-elle négligée).
  40. Lou Lumenick, «Unflinching look among the ruins». New York Post, 3 Mars 2004.
  41. William Langewiesche. «American Ground : Unbuilding the World Trade Center». North Point Press, 2002.
  42. James M. Williams, «WTC a structural success». The Newsletter of the Structural Engineers Association of Utah, 6:3, 2001.
  43. Ken Holden, Département de la conception et de la construction de New York ; Audition publique de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis, le 1er avril 2003, National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States ; Public hearing, Avril 2003.
    http://www.9-11commission.gov/archive/hearing1/9-11Commission-Hearing-2003-04-01.htm [cited2016-06-10].
  44. Dr Barnett, professeur d’ingénierie de la protection contre les incendies à l’Institut polytechnique de Worcester ; cité par James Glanz. «A nation challenged : The site ; engineers have a culprit in the strange collapse of 7 World Trade Center : Diesel fuel». New York Times, 29 novembre 2001.
  45. «Images of the World Trade Center sites how thermal hot spots on September 16 and 23, 2001».
    https://pubs.usgs.gov/of/2001/ofr-01-0429/thermal.r09.html [cited 2017-06-22].
  46. Charles K. Huyck and Beverley J. Adams. «Emergency response in the wake of the World Trade Center attack : The remote sensing perspective». Technical report, Multidisciplinary Center for Earthquake Engineering Research, Juin 2002. http://mceer.buffalo.edu/publications/wtc/02-SP05-screen.pdf. Fig. 3.6, p.22. Images acquises par EarthData au moyen d’un capteur aéroporté Raytheon.
  47. EarthData International New York State, Office for Technology. «Aerial views and maps of the WTC thermal imagery», 2001.
    http://www.loc.gov/exhibits/911/911-maps.html.
  48. Les détails du calcul peuvent être consultés dans l’article «What is Basic Physics Worth ?» de François Roby, disponible en ligne :
    https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02004696
  49. Le métal envoyé en Chine fut traité par la société Shanghai Baosteel Group CorpDes traces ont été effacées : 
    https://www.bollyn.com/#article_16266
  50. https://www.cdc.gov/wtc/ataglance.html#member1OrMore
  51. Des alliages de métaux à plus basse température de fusion sont employés en soudure.
  52. Cette interprétation fut exposée par un personnage atypique prétendant être un ancien officier soviétique spécialisé dans l’armement nucléaire, et disant vivre à présent en Thaïlande, Dimitri Khalezov. Il présenta sa version des événements dans de longs entretiens en anglais, faciles à trouver sur YouTube en effectuant une recherche sur son nom. Il publia aussi un document de plus de 1000 pages intitulé «911thology» («onze-septembrologie») téléchargeable à partir de son site : http://www.911thology.com. Le magazine Nexus, dans son édition allemande d’octobre-novembre 2010, publia un article dans lequel Khalezov résume sa version de la destruction des tours de Manhattan, téléchargeable sous forme de PDF : https://www.nexus-magazin.de/Nex31-Khalezov-DritteWahrheit911.pdf. Une traduction en anglais est disponible : http://www.911thology.com/nexus1.html. C’est en tentant de prouver, par un calcul de coin de table, que ses affirmations étaient insensées, que l’un des auteurs de cet article aboutit à la conclusion que l’hypothèse d’une explosion nucléaire souterraine était nécessaire pour expliquer l’énorme énergie dégagée sous forme de chaleur par les décombres de Ground Zero, au cours des mois suivant les attentats.
  53. Le lac Chagan, au Kazakhstan, fut ainsi creusé : Explosions nucléaires pour l’économie nationale (Мирные ядерные взрывы в СССР).
    https://fr.rbth.com/tech/85161-urss-explosions-nucleaires
    https://fr.wikipedia.org/Explosions-nucléaires-pour-léconomie-nationale
  54. Programme «Plowshare». https://fr.wikipedia.org/Opération-Plowshare
  55. Un spécialiste en physique nucléaire pourrait expliquer la recombinaison du plasma en éléments chimiques.
  56. La pression est une densité d’énergie, quantité d’énergie par unité de volume.
  57. Des essais d’explosions nucléaires souterraines furent faits dans le désert du Nevada. Des loges étaient creusées à plusieurs dizaines de mètres de profondeur, et des photos du site montrent un grand nombre de dépressions causées par ces explosions :
    https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY Underground nuclear subsidence crater.
    https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY
  58. https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/Public/03/031/3031840.pdf https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/Public/35/095/35095014.pdf
  59. Les dirigeants des grandes puissances furent certainement alertés par leurs services de renseignement.
  60. Les plans prévoient des lignes de rupture des dalles et des poutres, et les places des charges explosives, afin que les immeubles s’effondrent dans l’aire de leur base, sans risquer de tomber sur les voisins. Les explosifs chimiques, instables à long terme, ne sont évidemment pas placés lors de la construction.
  61. Voir ici la dernière image : http://www.911research.wtc7.net/wtc/evidence/masterplan/index.html. Ces loges sous les immeubles étaient bien sûr vides. Des bombes peuvent avoir été entreposées au sous-sol du bâtiment n°7 au cours de l’été, lorsque des services de renseignement soupçonnèrent des préparatifs d’attentats. Incidemment la cote de 246 pieds, obtenue par conversion de 75 m, montre que cette partie du plan avait été tracée par des architectes et ingénieurs employant le système métrique.
  62. La tour Sud s’effondra à 9 h 59 minutes 4 secondes, et la tour Nord à 10 h 28 minutes et 31 secondes. Les sismographes du laboratoire de Géophysique Lamont–Doherty de l’Université Columbia, à Palisades situé à 37 kilomètres – l’un des laboratoires qui établirent la théorie de la tectonique des plaques – enregistrèrent, juste avant les effondrements, des signaux de magnitude 2,1 dont les décours et les intensités signent des explosions dans le sol. Des signaux géophysiques durant aussi longtemps qu’une dizaine de secondes résultent de trains d’ondes d’assez forte intensité pour diffuser par divers chemins en se réfractant sur les interfaces de terrains de natures différentes. Des explosions calibrées sont utilisées en Géophysique pour l’étude des sols. La chute des tours ne produisit pas d’onde assez forte pour être perçue par les sismographes à près de 40 km.
    http://www.agoravox.fr/des-signaux-sismiques-revelent
  63. Quoique ces immeubles aient contenu des milliers de chaises, de bouilloires électriques, d’ordinateurs, de téléphones, etc., très peu furent trouvés dans les décombres. Il n’y a pas de marché des reliques, comme il y en eut lors de la démolition du mur de Berlin. Les vingt personnes rescapées et les 293 corps trouvés étaient hors du parcours de l’onde de choc, que leur localisation permettrait d’étudier. Des 2800 victimes environ disparues, 1643 ont été identifiées. En admettant que quelques personnes aient été comptées à tort parmi les disparues, environ un millier de corps manque. Plusieurs mois plus tard, plus de 700 restes humains furent découverts sur le toit de l’immeuble de la Deutsche Bank. Des spécialistes de l’analyse de l’ADN identifièrent des personnes qui travaillaient dans les tours, et des pompiers qui n’étaient pas présents lors des explosions mimant le choc des avions. L’explosion thermonucléaire fut très brève, et par conséquent l’onde de choc contint des fréquences si hautes qu’à cette échelle de temps même la chair se comporte comme une matière rigide et est brisée.
  64. Les tours furent inaccessibles pendant le dimanche précédant l’attentat, et les systèmes de sécurité désactivés, officiellement pour des travaux de maintenance ; des charges ont pu être placées alors.
  65. Une vidéo https://www.youtube.com/watch?v=3HbD_Q6kmh8 (vers 2:05) montre une poutre se dissipant en poussière devant la caméra : ayant perdu sa cohésion, une faible brise suffit à la désagréger. Cette poutre est pourtant une partie du cœur de la tour Nord, haute comme un immeuble ordinaire !
  66. https://www.gettyimages.co.uk/this-lidar-light-detection-and-ranging-image-of-the-world-news-photo
  67. Quel crédit accorder à une interprétation qui ferait se retourner dans leur tombe Galilée, Newton, Fourier, Lagrange, Carnot, Boltzmann, Kelvin, Poincaré, Planck, Eiffel, mais qui intéresserait Nobel et le dériderait peut-être, en le distrayant des déboires subis par son prix pour la Paix ?

 

Septembre 2001 aux États-Unis : Quelle fut l’origine des évènements ? (partie 2)

Source : RzO international - Le 18/09/2024.

par Christian Darlot

«Viendra un temps auquel la postérité s’étonnera que nous ayons méconnu de telles évidences». – Sénèque

«La crédulité des dupes est un fonds inépuisable pour l’ingéniosité des coquins». – Edmund Burke

«Tout pouvoir est une conspiration permanente». – Honoré de Balzac

«La réalité a cet avantage sur la fiction qu’elle n’a pas besoin d’être vraisemblable». – Mark Twain

«On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles». – Georges Courteline

«Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus grands sont gardés par l’incrédulité publique». – Marshall McLuhan.

«Le bobard dément prépare le bombardement». – Éphraïm Camember, 29 juillet 1881.

Résumé

Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis furent prétexte à des guerres dévastatrices, et la dynamique politique ainsi déclenchée s’est développée jusqu’à mettre la paix du monde en péril, tandis que la répression du terrorisme était prétexte à restreindre les libertés publiques. Les circonstances de ces attentats éclairent leur origine et leur dessein.

Christian Darlot est chercheur en Physiologie.

*

Un article précédent a montré que la version officielle de l’attentat contre le Pentagone et de la destruction des tours de Manhattan, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique, mais qu’une analyse simple, fondée sur les principes de la Physique, permet d’identifier le procédé de destruction des tours : des explosions nucléaires souterraines. Ce procédé est inaccessible à un groupe terroriste, et son emploi nécessita des complicités dans l’appareil d’État et les médias. Comment ces évènements furent-ils possibles ?

Des coïncidences étonnantes accompagnèrent ces évènements extraordinaires.1

1. Coïncidences
1.1- Coïncidences à Manhattan

 Une société de sécurité du World Trade Center, Securacom, était dirigée par un frère de G.W. Bush, Marvin Bush, et son cousin Wirt Walker III, et une autre par un frère de Cheney. Une autre société, Kroll Incorporated, était dirigée par l’assureur des Tours jumelles, Maurice Greenberg2. Or, le dimanche précédent, l’activité fut arrêtée dans les tours et le système de sécurité fut débranché pour des travaux de maintenance.

 Un exercice de réaction à une attaque terroriste biologique, Tripod II, était organisé à New York et programmé pour le lendemain, 12 septembre. De nombreux secouristes avaient été rassemblés depuis plusieurs jours, et un centre de commandement avait été installé sur un quai du fleuve Hudson. Ces préparatifs furent bien utiles, puisque le Bureau de gestion des urgences de New-York, situé dans la tour n°7, devint bientôt indisponible !

 Un des hommes les plus riches du monde, Warren Buffet, organisait ce 11 septembre un «petit déjeuner de charité» et un tournoi de golf sur le site militaire d’Offutt, siège de l’US STRATCOM (STRATegic COMmand, commandement des armes atomiques, doté d’un bunker souterrain à 18 mètres sous le niveau du sol), où George W. Bush passa au cours de l’après-midi. Cette base était aussi le poste de commandement d’un exercice en cours. Plusieurs dirigeants d’entreprises ayant leur siège dans les tours du WTC avaient été invités et étaient arrivés la veille au soir. Pour employer comme lieu de fête une base militaire très importante, l’assentiment du secrétaire à la Défense était évidemment nécessaire.

 Au matin du 11 septembre, la société de messagerie israélienne Odigo diffusa des messages enjoignant à ses correspondants de ne pas s’approcher du World Trade Center, ou de le quitter.

 Le spéculateur immobilier Larry Silverstein fut extrêmement chanceux3. Il ne vint pas à son bureau ce matin-là, tandis que ses enfants arrivèrent en retard. Déjà propriétaire du bâtiment n°7, il avait acquis six semaines auparavant les tours jumelles, immeubles déficitaires, et les avait assurées séparément contre des attentats, chacune pour une valeur de 3,6 milliards de dollars4. En compensation de deux attentats, les compagnies d’assurance et les compagnies de navigation aérienne lui payèrent 4,577 milliards de dollars pour les tours et 861 millions pour le bâtiment 7. Total : 5,4 milliards. Certaines gens sont des génies de la finance !

 Dans la tour Nord, le 91ème étage avait été loué quelques semaines auparavant par le groupe de «performance» Gelatin qui fit pendant quelques jours une «installation» : un hourd dépassant de la tour. Que se passa-t-il à l’intérieur ? En 1999, Jeffrey Greenberg fils de l’assureur des Tours jumelles Maurice Greenberg, devint PDG de la société de gestion de risques Marsh & McLennan, dont des bureaux occupait huit étages, du 93ème au 100ème. Les explosions se produisirent entre le 91ème et le 98ème étages ; 295 membres du personnel furent tués.

 Après la première explosion dans la tour Nord, cinq hommes sommairement travestis en Palestiniens furent aperçus dansant et se filmant sur fond de tour en flammes. Signalés par des passants à la police5 ils furent arrêtés, se déclarèrent Israéliens et proclamèrent que les États-Unis et Israël avaient les mêmes ennemis arabes. Ils furent identifiés comme agents du Mossad, agissant sous la couverture d’une entreprise de déménagement du New Jersey6 connue comme une façade des services secrets israéliens, et dont le directeur s’enfuit aussitôt. Dix semaines plus tard, ils furent libérés par l’intercession de Michael Chertoff, procureur général adjoint anti-terroriste au département de la Justice, doté des deux nationalités étasunienne et israélienne7. Expulsés des États-Unis, ils déclarèrent ensuite à une chaîne de télévision israélienne qu’ils étaient venus à New-York pour «couvrir l’évènement». Les pompiers prévoyants vérifient en effet le bon fonctionnement des pompes et l’étanchéité des tuyaux la veille d’un incendie.

 Le bâtiment 7 abritait des bureaux du département de la Défense, de la CIA (le plus grand hors de Washington) et d’autres agences (NSA, FBI), de la Security and Exchange Commission SEC (institution fédérale de contrôle des marchés financiers), de l’Internal Revenue Service (le fisc) et un dépôt d’archives judiciaires contenant, parmi bien d’autres, des dossiers sur la manipulation par ENRON des tarifs de l’électricité en Californie. Les documents sur ces malversations furent ainsi fort opportunément détruits.

Au 23ème étage, le centre de surveillance et d’alerte de l’agglomération new-yorkaise devait permettre de gérer en lieu sûr une crise grave (ouragan, attaque terroriste). Ce centre d’alerte fut détruit, mais par bonheur fut suppléé par le centre de commandement installé pour l’exercice Tripod II !8

1.2- Coïncidences à Washington

 Un incendie eut lieu le 11 septembre au matin, non au Pentagone mais dans une annexe de la Maison-Blanche. Ce sinistre rarement mentionné paraît couvert par le secret.

 En mars 2001, Bruce Hoffman, un dirigeant de la Rand Corporation, déclara à des officiers supérieurs de l’armée de l’air étasunienne : «Nous essayons de préparer nos armes contre Al Qaïda, l’organisation – ou peut-être le mouvement – associé à Ben Laden. (…) Pensez un moment à ce que fut l’attentat à la bombe contre le World Trade Center en 1993. Maintenant, considérez qu’il est possible de faire tomber la tour Nord sur la tour Sud et de tuer 60 000 personnes. (…) Ils trouveront d’autres armes, d’autres tactiques et d’autres moyens pour atteindre leur cible. Ils ont un choix évident d’armes, dont (…) les drones».

 Au Pentagone, des exercices de préparation des équipes d’intervention d’urgence, sigle Mass Casualty MASCAL, furent organisés : l’un en mai 2000, code Abbotsville, prévoyait la frappe d’un avion contre la façade Ouest, celle où l’explosion se produisit le 11 septembre 2001, l’autre entre le 24 et le 26 octobre 2000, prévoyait l’écrasement d’un Boeing 757.9 

 Quelques jours avant le 11 septembre 2001, des experts en explosifs nucléaires du ministère de la Défense avaient été envoyés en Allemagne pour une visite de courtoisie. Colin Powell était parti pour deux jours à Lima, et d’autres personnalités du ministère étaient absentes, dont M. Dov Zakheim, sous-secrétaire d’État à la Défense et contrôleur budgétaire.

 Selon Zakheim, des milliards de dollars manquaient, pour l’année 2000, dans les comptes du département de la Défense des États-Unis, et des titres douteux venaient à échéance au 12 septembre, ce qui ne l’empêcha pas de partir en voyage, lui aussi en Allemagne. Un audit fut annoncé par le secrétaire d’État à la Défense, M. Donald Rumsfeld, et le matin même du 11 septembre 2001 des contrôleurs budgétaires commencèrent à enquêter sur ces détournements de fonds, en étudiant les archives du budget du ministère de la Défense, récemment transférées dans cette partie rénovée du Pentagone. Les archives brûlèrent. Dans cette aile du Pentagone venait aussi de s’installer un service de renseignement de la Marine, l’ONI (Office of Naval Intelligence), dont plusieurs membres furent tués. Officiellement 125 personnes furent tuées au Pentagone, et parmi elles 34 étaient comptables ou analystes, tous civils. Avis aux entendeurs.

 Ce jour même, pour des manœuvres de l’armée de l’air, des avions avaient été envoyés en mission dans toutes les directions. Les dates habituelles de sept exercices aériens avaient été modifiées pour inclure le 11 septembre parmi les jours de leur déroulement. Des exercices annuels en cours, Northern Guardian et Northern Vigilance, simulaient une attaque russe. Les chasseurs de la défense aérienne patrouillant habituellement au Nord-Est étaient donc partis en Alaska et au Canada. Le thème des manœuvres Vigilant Warrior et Vigilant Guardian était «des avions détournés frappent des immeubles», et une manœuvre de moindre envergure simulait l’écrasement d’un avion sur le siège d’une agence de renseignements. Des silhouettes d’avions fictifs étaient insérées sur les écrans parmi celles représentant des avions réels10. Aussi les aiguilleurs du ciel peinaient-ils à distinguer la fiction de la réalité supposée. Ce jeu de guerre ne fut interrompu qu’une heure environ après les évènements à Manhattan.

 À l’occasion de ces manœuvres, des spécialistes de la défense aérienne avaient été déplacés (en congé ou en mission) et remplacés par des militaires sans expérience du poste auquel ils étaient provisoirement affectés. Ce bouleversement de l’organigramme du commandement fut évidemment décidé avec l’accord de chefs militaires haut gradés, par des fonctionnaires haut placés dont beaucoup avaient deux nationalités, étasunienne et israélienne, et étaient liés au «Project for a New American Century» PNAC11Ce cercle politique professait que seul un «nouveau Pearl Harbour» ferait accepter au peuple étasunien les actions nécessaires pour faire perdurer la domination mondiale des États-Unis.12 

 Selon des sources militaires, à cause de ces manœuvres, quatre chasseurs seulement étaient armés et prêts à décoller à la base d’Andrews protégeant la capitale, à une vingtaine de kilomètres de Washington. Les avions de chasse volèrent à des vitesses anormalement lentes, et les F-18 du Corps des Marines, basés aussi à Andrews, ne furent pas envoyés intercepter le prétendu Boeing 757 s’approchant de Washington.13 

 Alors que le pays paraissait attaqué, Donald Rumsfeld, joua au brancardier amateur. Il resta injoignable pendant une demi-heure et ne participa aux réunions qu’après 10 heures, une heure et quart après le début des évènements. Force est de conclure qu’il laissait les militaires prendre des décisions et assumer la responsabilité de la suite. Le secrétaire d’État à la Défense gambadant sur la pelouse…14 Abandon de poste ; on en a démis pour moins que cela.

 La société AMEC Construction Management, qui venait d’achever des travaux dans cette aile du Pentagone15, fut aussitôt chargée du déblayage par Donald Rumsfeld, sans appel d’offre. Outrepassant son pouvoir de secrétaire d’État à la Défense, Rumsfeld la fit aussi participer au déblayage des ruines du World Trade Center, à New-York.16

 Les contrats avec l’État, liés aux guerres, rapportèrent plusieurs milliards de dollars à la société Halliburton où Richard Cheney avait exercé, entre deux épisodes politique17. Contrats de gré à gré, bien entendu, dont, au mépris de la Constitution, une part revenait à Cheney.

1.3- Coïncidences économiques et politiques

 Des services de renseignement allemand, français, israélien, jordanien, marocain, russe, affirmèrent avoir prévenu les services étasuniens de risques de détournements d’avion, dès janvier 2001 et encore au cours de l’été18. Qui intoxiqua qui ?

Les services d’espionnage anglo-saxon, dont le fameux ECHELON des «cinq yeux», prétendent détecter, par analyse sémantique, même l’emploi de termes voilés dans des messages. Ces préparatifs leur auraient pourtant échappé ?

 Un projet d’exploiter les réserves de pétrole et de gaz d’Asie centrale, étudié depuis plusieurs années, nécessitait de faire passer un oléoduc et un gazoduc à travers l’Afghanistan. En 1997, des délégués du gouvernement taliban furent invités au siège de l’Union Oil Company of California, Unocal, sis au Texas, État dont George W. Bush était alors gouverneur, mais ce projet buta sur les droits de passage demandés par les Taliban. En février 1998, John J. Maresca, ancien diplomate et personnalité éminente du Pentagone, alors vice-président pour les relations internationales d’Unocal, affirma au Comité des relations internationales du Congrès qu’un gouvernement afghan favorable aux États-Unis serait nécessaire pour que ce projet aboutisse. Quelques jours avant les attentats, les négociateurs étasuniens avaient menacé les négociateurs afghans d’une invasion19. Selon le quotidien israélien Ma’ariv, les bases militaires étasuniennes bâties en Afghanistan après l’invasion jalonnaient le trajet projeté.20

 Au cours des jours précédents, des achats de 5 milliards de dollars de bons du Trésor étasunien, et le volume inhabituel des achats d’options à la baisse des actions en bourse des compagnies aériennes, prouvent que des spéculateurs financiers anticipaient les attaques.21

 Associées dans l’industrie pétrolière, les familles Bush et Séoud tenaient ce jour-là une réunion.22 

 Quoique les autorités étasuniennes aient interdit à l’aviation commerciale mondiale toute liaison avec les États-Unis, des ressortissants séoudiens purent quitter les États-Unis.23

Un Boeing 707 s’envola aussi vers Tel Aviv.

 Deux centaines de ressortissants israéliens furent expulsées au cours des jours suivants.24

 Une semaine après les attentats, des lettres contenant des bacilles du charbon, modifiés en laboratoire, furent envoyées à des personnalités politiques, dont les sénateurs Patrick Leahly et Tom Daschle, qui tentaient d’amender le Patriot Act. Vingt-deuxpersonnes furent contaminées dont 5 moururent. L’enquête incrimina le biologiste Bruce Irvins, 33 ans de service au laboratoire militaire de Fort Detrick mais «déséquilibré mental ayant agi seul» (un de plus !) et opportunément suicidé en août 2008 à la veille de son arrestation. Néanmoins George Tenet, directeur de la CIA en 2001, vante dans ses mémoires (2007) l’efficacité de cette agence pour retracer ces lettres piégées jusqu’à leur origine : Al-Qaïda. Pudiquement nommé US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, le laboratoire d’étude d’armes biologiques de Fort Detrick est devenu fameux par sa participation aux manipulations du virus du Covid.

 Des membres de la commission d’enquête sur les attentats participaient à des firmes pétrolières, à des compagnies aériennes, à Boeing, ou à des sociétés en lien avec la CIA, avec Larry Silverstein, ou dont l’activité dépendait de la situation politique, comme la compagnie de mercenariat Blackwater. D’autres furent ensuite compromis dans des scandales comme la faillite frauduleuse de l’institution de garantie immobilière Fannie Mac. La commission fut présidée d’abord par Henry Kissinger, qui démissionna pour ne pas révéler les noms des clients de son cabinet de conseil, puis par Thomas Kean, en relation d’affaires avec les familles Bush et Ben Laden25. La commission était dirigée autoritairement par Philipp David Zelikow, qui rédigea le rapport final26. Zelikow était un collaborateur proche de Richard Cheney, Condolizza Rice et Karl Rove, donc membre de l’équipe gouvernementale.27

2. Disparition des avions 
2.1- Complicités

Au début de juin 2001, le secrétaire d’État à la Défense, Donald Rumsfeld, modifia les procédures coordonnant l’aviation civile et la défense aérienne, établies depuis les années 60. Il retira aux commandants des bases le pouvoir de décider et se l’attribua à lui-même.

Les pirates de l’air auraient réussi à déjouer les services de sécurité de plusieurs aéroports et à détourner pas moins de quatre avions de ligne sans provoquer d’alerte. Nulle preuve de leur présence dans les aéroports ni à bord des avions ne fut présentée. La société de sécurité israélienne Huntleigh USA contrôlait les passagers dans les aéroports. Les procédures de sécurité à bord sont strictes, l’accès à la cabine de pilotage est réglementé, et le personnel navigant est attentif et entraîné à réagir aux incidents.

Ces habiles pirates ne savaient pas piloter ; tout au plus quelques-uns étaient-ils capables de faire des ronds dans l’air à bord d’avions d’écolage. Pourtant ils auraient pris les commandes d’appareils très complexes, qu’ils n’avaient jamais pilotés, et, pour changer de route sans être repérés, auraient débranché les «transpondeurs» assurant les communications, dont ils connaissaient donc le fonctionnement. Ils auraient volé à basse altitude pour ne pas être repérés par les radars civils, mais cette ruse ne permet pas d’échapper aux radars militaires. Des avions de chasse sont à tout instant prêts à décoller, interviennent plusieurs fois par jour, et mettent en moyenne un quart d’heure à joindre un avion s’écartant de sa route. Comment détourner quatre avions pendant 33, 49, 83 et 112 minutes, sur 500 km, sans être interceptés ?28

Ces impossibilités mènent à conclure que le détournement d’avion est un mensonge, en accord avec l’inexistence des frappes d’avion contre les tours de Manhattan.

Trois jours après seulement, le FBI publia sur une affiche les photos et les noms de 19 suspects, dont six étaient «supposés» pilotes et huit «présumés» Séoudiens. La date de naissance de sept seulement était connue, et la nationalité de huit ne l’était pas ; 6 habitaient en Arabie, Égypte, Maroc et protestèrent véhémentement contre cette usurpation d’identité qu’ils demandèrent aux consulats étasuniens de reconnaître en publiant un démenti.

2.2- Leurres

La chasse aérienne chercha en vain deux avions au-dessus de l’Atlantique. La confusion des vrais avions et des leurres insérés, pour les manœuvres, sur les écrans du contrôle aérien laisse planer le doute sur leur trajet et même sur leur envol. Décollèrent-ils ? Atterrirent-ils sur un aéroport discret mais doté d’une piste de longueur suffisante ? Ont-ils été démontés dans un hangar ? Ou même, scénario rocambolesque : furent-ils jetés dans l’Atlantique et les équipages récupérés par un navire croisant par-là ?

2.3- Avion détourné

Un avion fut peut-être réellement détourné, piloté par des complices. Il pourrait avoir atterri sur la base aérienne militaire Westover dans le Massachusetts, dont le personnel avait été averti la veille que la base serait fermée ce jour-là. De cet avion partirent les appels téléphoniques des hôtesses, dont les paroles paraissent avoir été choisies pour faire passer à demi-mots un message de détresse. Le sort de l’avion et des passagers est inconnu.

2.4- Appels téléphoniques

Plusieurs appels téléphoniques auraient été envoyés, en vol, par des passagers à leurs proches. Ces appels ont été si abondamment commentés qu’un résumé est inutile. Le plus célèbre est celui de Barbara Olson, seule personne à avoir décrit des pirates tenant en respect tout l’équipage et les passagers en brandissant des coupe-papiers. Des armes comme le pistolet Glock 17 sont conçues pour n’être pas détectées par les portiques de sécurité, mais les pirates auraient préféré des cutters contraignant au corps à corps ! L’enquête montra l’inexistence de l’appel téléphonique de ce seul témoin, Barbara Olson. En 2001 la technique ne permettait pas de communiquer par téléphones portables en vol, et les appareils de bords avaient été supprimés. Tous ces messages furent donc émis à partir du sol, y compris ceux des hôtesses. Le téléphone du passager censé avoir lancé le cri de ralliement «Let’s roll !» fonctionna encore pendant 15 minutes après l’écrasement de l’avion ! Les récits sur des appels prétendument envoyés par des passagers à leurs proches pendant le vol participèrent donc à la mise en scène.

2.5- Avion abattu

L’avion United Airlines 93 («Let’s roll !») s’écrasa en Pennsylvanie, officiellement près de Shankville, dont des habitants dirent avoir entendu un sifflement et une explosion. Les autorités locales ne trouvèrent que quelques débris, mais des morceaux furent trouvés à 14 km de là, près d’un lac. Le FBI boucla le site de Shankville et annonça que l’avion s’était enfoncé profondément dans le sol meuble (sic), puis qu’il avait été déterré, mais pas reconstitué selon l’usage. Les deux «boîtes noires», placées dans la queue de l’avion, auraient été trouvées à 3 m et 8 m de profondeur. Un avion-taupe29. Cet avion fut vraisemblablement abattu par erreur, parce qu’il ne s’était pas posé assez vite après l’interdiction de vol.

2.6- Victimes

Le FBI interdit promptement de publier des informations sur les passagers, le vol, et même l’heure de décollage30. Composer une liste de passagers bidon est au programme du premier cycle de barbouzologie31. Des personnes furent toutefois vraiment tuées dans l’avion tombé en Pennsylvanie et vraisemblablement dans celui d’où partirent les appels des hôtesses.

2.7- Accusation

Le grand coupable, M. Oussama Ben Laden, fut officiellement désigné six heures après ; jamais enquête ne fut si rapide. Les télévisions et la presse battirent aussitôt furieusement du tam-tam, empêchant d’argumenter raisonnablement. Lancée dès les premières heures par des personnalités politiques, cette accusation ne put plus être discutée. Pourtant M. Ben Laden ne fut pas inculpé aux États-Unis pour ces attentats, dont il condamna la lâcheté le 16 septembre 2001, par un communiqué sur la chaîne d’information Al-Jazeera. Il était alors soigné à l’hôpital militaire de Rawalpindi, protégé par les autorités pakistanaises pourtant alliées aux étasuniennes. Le 28, il déclara à des journalistes du quotidien pakistanais Ummat : «Je n’avais pas connaissance des attaques, je ne considère pas le meurtre de femmes, d’enfants et d’autres êtres humains innocents comme un acte louable… Un gouvernement existe dans le gouvernement des États-Unis. C’est à ce gouvernement secret qu’il faut demander qui a organisé les attentats». Deux fois encore, il affirma n’avoir pas participé à ces attentats32. Les vidéos où il s’en vante furent reconnues fausses par l’institut suisse Dalle Molle, dont l’expertise fait autorité pour authentifier des enregistrements audio et vidéo33. Des revendications d’origine inconnue ne furent pas confirmées ensuite : étonnante discrétion de la part d’un mouvement terroriste supposé capable d’organiser secrètement, du fond d’une grotte, des attentats d’une telle ampleur.34

Selon les notices nécrologiques publiées par la presse du Proche-Orient et par Fox News, puis confirmées le 19 janvier 2002 par M. Pervez Musharraf, président du Pakistan, M. Oussama Ben Laden mourut d’insuffisance rénale en décembre 2001 et fut enterré dans les montagnes au Sud-Est de l’Afghanistan. Pour le besoin de leur scénario, les organisateurs le firent survivre fictivement encore dix années.35

3. Scénario imaginable

Les arguments physiques exposés dans l’article précédent ne pourraient être réfutés que par d’autres arguments physiques, mais l’interprétation des agissements humains présentée ci-dessous pourrait être révisée si de nouvelles informations étaient révélées. Quoique la vérité ne soit pas encore connue avec certitude – mais cela viendra – une vue rétrospective des faits permet de proposer un scénario cohérent et discutable, dont la critique argumentée permettrait de progresser vers une compréhension réaliste des évènements.

Deux groupes de personnes pourraient avoir organisé deux complots gigognes emboîtés36 :

 Un «petit» complot, ayant pour instigateurs les Bush et les Séoud, aurait visé le Pentagone pour mettre en scène un attentat fictif contre un ministère d’État, afin de fournir un prétexte à envahir un pays souverain, l’Afghanistan.

 À l’insu de ses organisateurs, ce «petit complot» aurait été éventé par des agents d’un petit État côtier du Proche-Orient, qui auraient organisé un «grand» complot visant à contraindre les États-Unis à mener des guerres, non seulement pour le pétrole mais surtout dans l’intérêt de cet État, afin de détruire les capacités militaires et économiques des États voisins. Après les évènements, les organisateurs du grand complot auraient fait plier ceux du petit.37

3.1- Destruction des tours 

Qui déclencha les bombes ? Les organisateurs du complot ou les chefs militaires ?

 Puisque chaque pays pratique le secret militaire, le nombre de bombes atomiques dans le monde n’est pas connu précisément. Elles ne paraissent pas aussi bien gardées que les humains sains d’esprit le souhaiteraient ; ainsi, lors de la dissolution de l’URSS, une partie de l’arsenal disparut, et pas seulement des chars ou des armes à feu. Les organisateurs pourraient ainsi avoir disposé eux-mêmes de bombes.38 

• La multiplicité des manœuvres aériennes ce jour-là prouve le pouvoir des organisateurs sur le ministère de la Défense.

 Les chefs militaires sont en charge de la sécurité du pays ; ils s’attendaient à un attentat : pourraient-ils avoir été induits en erreur ? Au cours de l’été précédent, ils peuvent avoir fait entreposer des bombes thermonucléaires dans le bâtiment n°7, centre de gestion de tous les bâtiments du World Trade Center, afin de pouvoir procéder si nécessaire à une démolition d’urgence. Nul danger à stocker ce type d’explosif, tout à fait stable tant que les parties de la masse critique de la bombe-amorce restent séparées.39

Leur réaction pourrait donc être imaginée ainsi :

«Alertés dès les explosions dans les tours, les chefs militaires ne crurent évidemment pas un instant à la fable des avions, mais supposèrent que des missiles étaient entrés dans les tours, et pas pour y placer des bombes à confettis. Ces chefs étaient à Washington, loin de New-York, ne disposant que d’informations partielles et sans les experts en explosifs nucléaires, mais ils faisaient face à un dilemme auquel ils avaient déjà réfléchi : risquer qu’une explosion nucléaire à 300 m au-dessus du sol, altitude idéale, ne détruise la ville, causant peut-être 10 millions de morts, ou bien détruire les tours en faisant certainement périr les personnes présentes, mais en détruisant ainsi les bombes supposées y avoir été placées par des missiles. La destruction mécanique d’une bombe nucléaire ne déclenche en effet pas d’explosion nucléaire. Afin de minimiser les pertes humaines, les chefs militaires donnèrent eux-mêmes l’ordre de démolition. Une heure fut nécessaire pour mettre en place les bombes dans les loges souterraines, sans doute via des tunnels partant du bâtiment 7, puis pour permettre aux opérateurs de se carapater en refermant les portes blindées. Ainsi, les bombes auraient été déclenchées sur ordre de chefs militaires ignorant le complot, et pas sur ordre des comploteurs».

Mouiller les militaires à leur insu serait très habile ; un trait de génie (de génie du mal !).

Comment estimer la vraisemblance de ce petit roman ?

Quoiqu’il en ait été, au cours de l’après-midi le bâtiment 7 (troisième tour) fut détruit par le même procédé, effaçant des indices sur la technique employée.40

3.2- Choix imposé au Gouvernement

Pendant toute la journée, le président de la République étasunienne, M. G.W. Bush, fut promené en avion41. Complice du petit complot ?42 En activant le plan de «continuité du gouvernement» hors des conditions légales puisque le président était mis à l’écart volontairement, le Vice-président Richard Cheney et le secrétaire d’État à la Défense Donald Rumsfeld usurpèrent le pouvoir. Coup d’État. 

Le soir, devant le Gouvernement et les chefs militaires réunis à Raven Rock – le QG souterrain creusé dans les Appalaches – les organisateurs du grand complot donnèrent le choix aux autres dirigeants : obéir, ou supporter le poids d’une accusation tout prête, les incriminant mais disculpant les organisateurs. Les dirigeants accréditèrent la version qui leur fut dictée.43

Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent.

Les chefs militaires n’eurent d’autre option que d’obéir, eux aussi, aux ordres d’attaquer les pays du Proche-Orient44. À chaque niveau de commandement, une vérité fut inventée pour le niveau inférieur45. Quelques militaires furent promus46. La vulnérabilité du Pentagone, le cafouillage de la défense aérienne, l’apparence d’une incompétence stupéfiante ternissant la réputation de l’armée étasunienne, furent le prix que les organisateurs du complot firent payer au pays pour qu’il paraisse agressé.

Omerta : l’irradiation de Manhattan pendant plusieurs mois était inavouable ; la panique eût emporté l’économie étasunienne.

Quoique spéculative, cette interprétation des évènements est fondée sur des faits avérés. La révélation de nouvelles informations pourrait évidemment conduire à la réviser, et sa critique argumentée permettrait de la préciser.

Conclusion 

Les moyens techniques, les coïncidences, et la biographie des participants aux évènements, montrent que les attentats du 11 septembre 2001 à Manhattan furent organisés par des services secrets des États-Unis et d’un petit État côtier du Proche-Orient, en lien avec une partie de leur gouvernement47. Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent à ceux de ce petit État.

Bien entendu, la plupart des ressortissants de ces États, grand ou petit, n’ont pas pris part à ces crimes. Cela va de soi, mais dans le trouble général mieux vaut le rappeler.48

4. Puissances étatiques et supra-étatiques
4.1- Négociations internationales ; le prix du silence

Les réseaux de détection établis pour surveiller les essais nucléaires mesurent précisément, même à des milliers de km, les effets des explosions souterraines : ondes sismiques et émissions de radionucléides. Les dirigeants des principales puissances du monde, les membres permanents du Conseil de sécurité, ainsi que les dirigeants de l’Allemagne, du Canada, d’Israël, de plusieurs puissances moyennes et de groupes financiers, furent alertés le jour même et reçurent un rapport de leurs services de renseignement dans la semaine49. Les effets détectés par des labos de plusieurs pays, ne furent pas rendus publique. Faute d’avoir la maîtrise des médias mondiaux et la puissance politique suffisante pour contredire la version officielle des évènements, les gouvernements de tous les États feignirent de la croire, et gardèrent leurs preuves en réserve. Après vinrent les négociations : d’un côté les demandes «Cessez de susciter des troubles dans le Caucase»«Ne vous mêlez pas de la situation au Tibet ni au Turkestan oriental», «Laissez-nous nos puits de pétrole en Irak», et de l’autre côté les menaces «Rappelez-vous que nous contrôlons l’information et la finance ; ne risquez pas d’être calomniés, déconnectés du réseau de paiement international ou soumis à des spéculations contre vos titres de dette»..

4.2- Conséquences politiques

L’attentat de Manhattan fut prétexte à promulguer des lois restreignant les libertés, à organiser la surveillance de masse et à déclencher des guerres, tout cela dans des délais si brefs qu’ils révèlent des textes déjà rédigés et des agressions déjà planifiées50. Les lois coercitives furent ensuite étendues aux pays vassaux des États-Unis51. Vingt ans après, «l’urgence sanitaire», «la menace sur le climat», «la lutte contre ‘la haine’ et ‘les fausses nouvelles’» servent de prétexte à imposer d’autres contraintes tyranniques. Un totalitarisme s’installe, surveillant sans cesse davantage les citoyens.

Les accords entre puissances ne valent que quelques années. Dès 2003, le refus opposé par les dirigeants de la France à l’agression contre l’Irak52 décida les gouvernants anglo-saxons à spolier les firmes pétrolières française de leurs investissements en Irak, et à soumettre définitivement le rival millénaire. En mars 2003, Condoleezza Rice, alors conseillère du président G.W. Bush pour la sécurité nationale, déclara :

«Il faut ignorer l’Allemagne, pardonner à la Russie et punir la France».

En 2005, un autre coup d’État eut lieu, en France cette fois : l’AVC de Chirac fut l’occasion du retour de Sarközy au gouvernement53 puis de sa promotion à la présidence54. La France a depuis perdu toute indépendance. En résultèrent successivement le traité de Lisbonne, la vente de réserves d’or, la soumission de la France au commandement de l’OTAN, l’envoi de militaires en Irak et en Afghanistan, la participation aux agressions contre la Libye et la Syrie, contraires au Droit international et aux intérêts de la France.

Les présidents de la République française sont désormais des larbins de l’oligarchie mondialiste, choisis et promus par leurs maîtres. La soumission s’est aggravée depuis 2017. Le freluquet qui feint de diriger est un gauleiter en escarpins. Bateleur sans pensée, bonimenteur de foire, acteur récitant son texte, il applique les ordres reçus : vente à la découpe de l’industrie française, ruine de l’agriculture, répression violente des opposants par la police et la magistrature aux ordres, instauration d’un régime tyrannique, complicité dans la covidinguerie, mise en œuvre du pacte migrationniste, achat ruineux de titres de la dette étasunienne, aide active au régime installé en Ukraine par le coup d’État de 2014, et à présent adhésion servile aux sanctions contre la Russie et soutien à l’expansionnisme génocidaire israélien.

4.3- Réseaux oligarchiques

Ces évènements permettent d’apercevoir les desseins et les rivalités des mondialistes et des suprémacistes étasuniens et israéliens. L’empire du mensonge est celui de la finance. Par les participations croisées à leur capital, les firmes supranationales, industrielles et financières, sont intégrées en réseaux mondiaux. La rivalité les contraint à maximiser le profit, quelles qu’en soient les conséquences. Leurs budgets sont comparables, voire supérieurs, à ceux d’un État moyen55. Elles entretiennent des services d’analyse, de programme, de corruption et d’action, mènent leur propre politique56 et dirigent les gouvernements, au point à présent de choisir les candidats présentés aux électeurs et de changer à leur gré le résultat des votes. Les dirigeants les plus puissants se concertent, puis leurs représentants à Davos, au Bilderberg ou au G7, donnent force publicité à des projets prétendument généreux57. Les arrangements sont couverts par une apparence de débat, et dictés aux institutions supranationales comme l’OMS ou l’Union européenne, qui les imposent aux États et ceux-ci aux citoyens.

L’oligarchie mondiale n’est évidemment pas coiffée par une «coupole» centrale dirigée par le capo dei capi omniscient, dont les ordres seraient inexorablement appliqués. Les personnes, les firmes, les États, ont de multiples intérêts pratiques ou idéologiques, parfois convergents, souvent divergents. Dans ces vastes réseaux de complicités et de duplicités, conflits et ententes alternent, et quelquefois de véritables complots se trament, comme lorsque deux banques s’entendent pour pousser une rivale à la faillite, se partager ses dépouilles et déclencher une crise permettant de rafler des actifs financiers ou des biens réels. Tantôt adversaires, tantôt alliés, les rivaux coopèrent pour de grands projets, comme l’illustre l’aggravation délibérée de l’épidémie de Covid58 : quelles que soient l’origine du virus à la mode et sa dangerosité pour les personnes faibles, la pandémie organisée a permis d’endetter les États et de donner aux grandes firmes des milliards créés sans contrepartie par les banques centrales qu’elles dirigent. Cette plandémie sert de prétexte aux dangereux vaxxins et au contrôle social nécessaire à la «Grande Réinitialisation»59. Il est vital de comprendre les stratégies à long terme des puissants qui dirigent le monde à travers les pantins qu’ils ont placés à la direction des institutions supranationales et des États.

Les attentats à New-York et Washington datent de plus de vingt ans, mais les agressions en Ukraine et en Palestine leur redonnent de l’actualité. Les commanditaires ultimes sont les néocons, alliés aux mondialistes, qui ont organisé les agressions contre les pays arabes depuis 2003 et 2011, contre la Russie depuis 2014, et à présent perpètrent le génocide à Gaza. Leurs crimes se succèdent sans discontinuer depuis 2001.

L’analyse présentée dans ces deux articles peut choquer des personnes généreuses ; pourtant, dès lors que la conspiration est prouvée, ce ne sont pas les «complotistes» qu’il faut blâmer mais les comploteurs. Malgré leurs conflits, les factions oligarchiques s’unissent dans leur volonté de dominer les peuples. Les attentats sous faux drapeau, les coups d’État, les tensions internationales et les guerres participent à leurs stratégies. Comprendre leurs desseins et leurs méthodes est indispensable pour nous libérer.

Libérons-nous !

*

Sur la base d’un rapport de Carnegie Mellon (1997), une directive du président Clinton, PDD 63 du 22 mai 1998, institua la Presidential Commission on Critical Infrastructure Protection, «Commission présidentielle pour la protection des infrastructures critiques», chargée de recenser les moyens d’assurer le fonctionnement du pays en cas de troubles graves. Cette commission envisagea des attaques de pirates ou «d’États terroristes», et une illustration montrait un avion frappant des tours. Le 911 est le numéro d’appel d’urgence aux E-U.

*

1ère partie – Septembre 2001 aux États-Unis : Quelle fut l’origine des évènements ?

 

  1. Une recherche par mots-clés permet de vérifier facilement, sur des sites internet officiels ou sur des sites de journalisme d’investigation, les faits cités ici ; exemples : Éric Laurent, « La face cachée du 11 septembre », Plon, 2004 ;
    Laurent Guyénot – https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate.
    Des articles signés Michel Straugof, publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone, exposent en détails la biographie de personnalités actives dans cette affaire, en particulier au ministère de la Défense étasunien.
  2. Selon l’usage, des contre-assurances avaient été conclues auprès d’autres assureurs, qui payèrent les pertes. Un autre dirigeant de Kroll Incorporated, Jerome Hauer, apparut sur CBS News quelques minutes après la chute des deux tours et déclara qu’elles s’étaient effondrées parce qu’elles avaient été frappées par des avions et que les incendies résultant avaient affaibli leur structure. Dès ce moment, il s’inquiéta aussi stabilité structurelle du bâtiment 7. Par ailleurs, Jerome Hauer est un sioniste notoire.
  3. Larry Silverstein se disait ami de Benjamin Netanyahou, Yitzhak Rabin, Ariel Sharon, Ehud Barak. Ehud Barak ancien premier ministre israélien se trouvait au moment même dans un studio de la BBC, à Londres, et déclara qu’il était temps de lancer une guerre contre la terreur. Il précisa qu’il connaissait le coupable «Oussama ben Laden» et savait où il se cachait – «en Afghanistan».
  4. Le désamiantage aurait coûté environ un milliard de dollar, et la mise aux normes de sécurité et de télécommunications, 800 millions. Le coût de l’investissement fait par Silverstein et ses associés, dont Frank Lowy (bail emphytéotique et quelques travaux) varie selon les sources de 14 millions de dollars (c’est peu !) à 3,6 milliards (c’est beaucoup !). Le plan de démolition des tours fut bien entendu transmis aux nouveaux propriétaires.
  5. Bernard Kerick, le chef de la police de New York avait reçu entre 2001 et 2003 des dons du magnat de l’immobilier Steven C. Witkoff, et le 26 août 2001, il rencontra en Israël le milliardaire Eitan Werthemeir qui lui accorda un prêt sans intérêt de 250 000 dollars. En 2007, il fut inculpé de fraude fiscale et de fausses déclarations.
  6. Des images montrent leur camionnette décorée de l’image d’un avion frappant une tour… réalité ou montage ?
  7. Chertoff interrompit une enquête sur l’attentat, menée l’agent du FBI Michael Dick qui s’intéressait à la société israélienne ZIM shipping, que son PDG Shaul Cohen-Mintz avait fait quitter des bureaux de 10 000 m² dans la tour Nord, une semaine avant le 11 septembre, en rompant son bail et renonçant à un dépôt de garantie de 50 000 dollars. Chertoff rédigea la version finale du Patriot Act, voté quelques jours après le 11 septembre 2001. Il mena aussi la procédure contre Zacarias Moussaoui, dont les avocats demandèrent l’accès à des documents classés confidentiels et le témoignage de prisonniers détenus à Guantánamo, prétendument membres d’Al-Qaïda. Les procureurs rejetèrent ces demandes, arguant de menaces possibles contre la sécurité nationale, prétexte fréquent depuis 2001. Face à ce refus, la juge Leonie Brinkema interdit aux procureurs de requérir la peine de mort. Moussaoui fut condamné à la prison à perpétuité pour terrorisme, malgré sa folie évidente et quoique l’accusation ait reconnu qu’il n’avait pas participé aux attentats du 11 septembre 2001. La mère de Chertoff, Livia Eisen, était l’un des premiers agents du Mossad. Comme chef de la division criminelle du ministère de la justice, Chertoff avait pour mission de recueillir des preuves et de poursuivre le crime, mais il supervisa l’envoi de l’acier des décombres en Chine et en Inde, et donc la destruction de preuves.
  8. Les professionnels de la sécurité voulaient un site moins exposé que le WTC, mais l’équipe municipale de Rudolph Giuliani imposa ce choix, très critiqué. L’aménagement, de ce centre de surveillance, pour un coût de 13 millions de dollars, avait été dirigé par Jerome Hauer, l’un des dirigeants de Kroll Incorporated, lorsqu’il était directeur du bureau de gestion des urgences (OEM) du maire Giuliani de 1996 à 2000.
  9. Pourtant un exercice sur la chute d’un avion sur le Pentagone avait d’abord été écarté comme trop peu réaliste.
  10. Avant de devenir sous-secrétaire d’État à la Défense, Dov Zakheim avait été, de 1987 à 2001, vice-président de System Planning Corporation, société créatrice d’un dispositif de guidage d’avions gros porteurs, et d’un logiciel permettant de faire apparaître des leurres sur des radars durant des exercices.
  11. Cf. les articles signés Michel Straugof publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone. Le PNAC fut fondé par William Kristol et Robert Kagan, époux de Victoria Nuland qui organisa le coup d’État de 2014 à Kiev. Kagan est à l’origine d’une lettre ouverte du PNAC, adressée au président Clinton le 26 janvier 1998, pour demander une guerre contre l’Irak, déjà sous prétexte que ce pays aurait possédé des armes de destruction massive. En 2000, le document du PNAC Rebuilding America’s Defenses «Reconstruire les défenses de l’Amérique» présenta les armes biologiques ethniques comme un outil politiquement utile pour les États-Unis.
  12. Le Council on foreign relations est surtout composé de suprémacistes étasuniens, et le Project for a New American Century rassemble surtout des sionistes étasuniens. Jeb Bush en est membre.
  13. Comme les détournements étaient fictifs, il ne fallait pas que des pilotes constatassent l’inexistence des avions.
  14. Vérifiait-il que tout se passait comme prévu ?
  15. Pour un coût de 258 millions de dollars.
  16. Une partie des débris fut transportée sur le champ d’épandage de Fresh Kills, près de New-York, devenu le cimetière des victimes non identifiées des attentats, et transformé depuis en parc de promenade.
  17. Secrétaire d’État à la Défense pendant les mandats de Bush père, Cheney fit employer, pendant la guerre du Golfe de 1991, des mercenaires de KBR, filiale du groupe pétrolier Halliburton, dont il devint vice-président en 1995. Son revenu déclaré en 2005 était modestement de 8,8 millions de dollars. Actionnaires de sociétés de mercenaires, Richard Cheney et Donald Rumsfeld s’enrichirent énormément par les guerres qu’ils organisèrent.
  18. AFP, 22 novembre 2001, International Herald Tribune, 21 mai 2002.
  19. En 1997, Zbigniew Brzezinski avait écrit que le maintien de l’hégémonie des États-Unis nécessitait de contrôler les vastes réserves de pétrole et de gaz de l’Asie centrale. Or, après l’échec des négociations entre les Taliban et les firmes pétrolières des É-U, le commandant Ahmed Shah Massoud fut assassiné, l’avant-veille des attentats, au moyen d’une caméra piégée, par de faux journalistes tunisiens qui moururent avec lui. Les connaisseurs de l’Afghanistan affirment qu’il était le seul chef capable de fédérer et diriger une résistance armée, et de bouter l’envahisseur hors du pays. Une interprétation cohérente des faits devrait expliquer la coïncidence de sa mort avec les attentats et l’invasion de l’Afghanistan par les troupes des États-Unis et de leurs alliés. Les soupçons se portent sur l’ISI pakistanaise, liée à la CIA. Il n’y a pas que le pétrole et le gaz qui rapportent : la production d’extrait de pavot fut de 2300 tonnes en 1995, puis réduite par les Taliban à 200 en 2000, et remonta à 8400 tonnes en 2007.
  20. Le président nommé de l’Afghanistan occupé fut Hamid Karzaï, ancien cadre de l’Unocal, dont les frères gérèrent la production et la commercialisation de la cocaïne, avec l’aide de la CIA.
  21. Marc Chesney et Loriano Mancini, professeurs à l’université de Zurich, concluent : «la probabilité qu’il y ait eu délits d’initiés est forte pour American Airlines, United Airlines, Merrill Lynch, Bank of America, Citigroup et JP Morgan. Ce n’est pas une preuve juridique mais le résultat de méthodes statistiques». Délits d’initiés entre le 6 et le 10 septembre : https://www.dailymotion.com/video/x5a2zu
    William Bergman, «Curious Coincidences of 2001 : Following the 9/11 Money Trail», Sanders Research Associates, 4/01/06.
    Jacques Follorou, «Une spéculation massive à la veille du drame inquiète les autorités». Le Monde, 19 septembre 2001.

     

    Le 10 septembre, le baril de pétrole augmenta de 13%, et des options de vente furent prises sur plusieurs sociétés :

    – 4516 sur American Airlines, 11 fois plus que le volume moyen annuel, contre seulement 748 options d’achat.

    – 4744 options à la vente d’actions de United Airlines entre le 6 et le 7 septembre 2001, contre 396 à l’achat.

    – 1209 options de vente contre 13 les jours précédents sur Marsh & McLennan occupant des bureaux dans huit étages de la tour Nord (du 93ème au 100ème), prétendument frappés par le vol 11 d’American Airlines.

    – 2157, 100 fois plus d’options de vente qu’à l’ordinaire, sur Morgan Stanley, présente dans 22 étages du WTC. Sept années plus tard, cette banque fut l’une des organisatrices et bénéficiaires de la crise de 2008.

    – 5615, 60 fois plus qu’à l’ordinaire, 12 215 en peu de jours, sur Merrill Lynch présente dans un bâtiment voisin.

    – Les options de vente sur l’assureur Citigroup furent 45 fois plus nombreuses que d’ordinaire du 6 au 10.

    Mais les actions des firmes d’armement s’envolèrent ! Très mollement menée, l’enquête sur ces délits d’initiés ne permit pas de connaître l’origine des informations reçues par les spéculateurs. Deux ans plus tard, le 19 septembre 2003, le FBI annonça la clôture de l’enquête, affirmant qu’absolument nulle preuve n’existait de spéculation liée à une connaissance éventuelle des attentats.

  22. Salim Ben Laden, frère ainé d’Oussama, était associé à George W. Bush à Houston (Texas) dans la société pétrolière Harken. Les familles Ben Laden et Bush ont fondé le fonds de gestion de portefeuille Carlyle. Selon Éric Laurent, dès son accession au pouvoir, l’administration Bush fit cesser les enquêtes du FBI sur M. Oussama Ben Laden, Al-Qaida et la participation de la famille royale séoudienne au financement du terrorisme.
  23. Six avions d’affaire et un gros porteur décollèrent le 13 septembre, emmenant 40 Séoudiens dont 24 personnes de la famille Ben Laden dans un Learjet mis à leur disposition par la firme d’armement Raytheon (N-Y Times).
  24. Le 30 avril 2001 la base aérienne de Tinker, en Oklahoma, signala la possibilité d’espionnage par des étudiants israéliens se disant artistes peintres. Suspicious activities Involving Israeli Art Students at DEA facilities juin 2001. Une trentaine d’»étudiants en art» habitaient près du domicile de pirates de l’air présumés.
  25. Kean fut actionnaire et directeur du groupe pétrolier Amerada Hess, ayant une société commune avec Delta Oil, firme pétrolière séoudienne.
  26. En novembre 1998, le magazine Foreign Affairs publia l’article « Catastrophic Terrorism : Tackling the New Danger », cosigné par Zelikow, membre du PNAC, annonçant : «Comme Pearl Harbor, [un attentat grave] diviserait notre avenir en un avant et un après. Les États-Unis pourraient réagir par des mesures draconiennes réduisant les libertés civiles, autorisant une plus grande surveillance des citoyens, la détention de suspects et le recours à la force meurtrière. De nouvelles violences pourraient suivre les attaques terroristes à venir ou les contre-attaques américaines. Les Américains jugeraient tardivement que leurs dirigeants ont fait preuve de négligence en ne s’attaquant pas au terrorisme de manière plus urgente». En septembre 2002, à l’université de Virginie, Zelikow déclara que l’Irak n’exerçait pas de «véritable menace» contre les États-Unis, mais que la «menace non déclarée» était la «menace contre Israël ; rhétoriquement, le gouvernement américain ne veut pas trop insister sur cette menace, parce qu’elle n’est pas très populaire». Membre du groupe de travail du président Bush sur la sécurité nationale à l’ère de l’information, Zelikow rédigea le document The National Security Strategy of The United States of America «La stratégie de sécurité nationale des États-Unis d’Amérique», prônant la doctrine de la guerre préventive. Six mois plus tard, les États-Unis agressèrent l’Irak en violant la résolution 1441 de l’ONU. En 2003, il fut directeur exécutif du Rapport de la Commission du 11 septembre. Constatant ses appartenances partisanes, les familles des victimes du 11 Septembre demandèrent en vain sa démission. La thèse de doctorat de Zelikow portait sur «La création et l’entretien du mythe public»…
  27. Rove présida les réunions d’un comité créé en août 2002 à la Maison-Blanche, chargé d’élaborer une stratégie «pour diffuser l’affirmation de la Maison-Blanche que Saddam Hussein était une menace pour les États-Unis».
  28. Selon le New-York Times, les enregistrements des échanges entre le sol et les chasseurs, furent «égarés ou effacés». Même sort, quelques semaines après, pour les échanges entre le contrôle aérien et les avions détournés.
  29. https://fr.sott.net/Shanksville-en-Pennsylvanie-le-site-d-un-crash-d-avion-sans-avion
  30. À 13 h10, American Airlines (AA) publia les listes des passagers et des membres d’équipage. Celle du vol 77 mentionnait 64 personnes. Le FBI interdit ensuite à AA, à l’aéroport de Dulles et même à la FAA de publier des informations. Une liste officielle recensa 56 personnes mais pas les cinq pirates, et le rapport de la commission en mentionne 58, «terroristes» compris. Éric Laurent La face cachée du 11 septembre, Plon, 2004. Comme après toute catastrophe aérienne, des journalistes cherchèrent des familles éplorées dans les aéroports de destination, mais la plupart furent bredouilles, excepté pour l’avion tombé en Pennsylvanie.
    Dean T. Hartwell, «Planes without Passengers : the Faked Hijackings of 9/11». Le gouvernement fédéral offrit 1,7 million de dollars aux familles des victimes en échange de l’abandon de toute poursuite ; pourquoi, si des terroristes étaient les auteurs du crime ?
  31. Les services secrets tiennent prêtes en permanence des listes de quelques dizaines de personnes imaginaires. Les biographies des fausses personnalités sont détaillées, précisant enfance, famille, études, diplômes, stages, emplois et domiciles successifs, liaisons, amis et violons d’Ingres. Combien de Smith, Ford, Ferguson et Fernandez dans les États très peuplés des côtes Est et Ouest des É-U ? Truquer une liste de passagers est plus facile que modifier les lois de la Physique, plus facile que faire voler à 900 km/h, au niveau de la mer, un avion dont les ailes s’arracheraient s’il volait à plus de 400 km/h, plus facile que viser à cette vitesse une cible de 60 m de large, plus facile surtout que créer des millions de joules, exploit à la portée du seul Divin Créateur.
  32. http://archives.cnn.com/2001/US/09/16/inv.binladen.denial
    www.globalresearch.ca/interview-with-osama-bin-laden-denies-his-involvement-in-9-11

     

    Pendant l’été 2001, Oussama Ben Laden était hospitalisé sous le nom de Hassan al Talal, à l’hôpital étasunien de Dubaï (NY Times, 1/11/2001). Le 12 juillet, il reçut la visite de l’agent de la CIA, Larry Mitchell ; la discussion aurait été houleuse (Le Figaro, 31 octobre 2001). Cet agent quitta Dubaï peu après, le 15 juillet.

    RFI – Attentats – Ben Laden et la CIA: les détails de la rencontre

    Les Taliban demandèrent des preuves de la culpabilité de Ben Laden, mais ne les obtinrent pas et refusèrent donc de l’extrader. (Washington Post, 29 octobre 2001).

  33. Au cours des années suivantes, la silhouette de Ben Laden grossit, maigrit, et même rapetissa !
  34. Le Times publia le 29 novembre 2001 une coupe des grottes fortifiées de Tora-Bora en Afghanistan, paraissant sortie d’une BD de Black et Mortimer : air conditionné, aire pour hélicos, portes blindées, issues de secours.
  35. Le 8 août 2011, un hélicoptère vétuste s’écrasa au centre de l’Afghanistan. À bord, plusieurs membres du commando censé avoir abattu Oussama Ben Laden. De belles funérailles consolèrent fort leurs familles. Ainsi, il n’y eut jamais de preuves et il n’y a désormais plus de témoins. Assassinat ? Une autre interprétation est possible : à expédition inexistante, commando imaginaire. Si, comme tout l’indique, l’élimination de M. Ben Laden fut une pure fable, il a suffi d’attendre un accident – il s’en produit fatalement au cours d’une guerre – pour révéler que les morts étaient les membres de la courageuse équipe qui avait soulagé le monde de l’ennemi public n°1. Héros dont l’identité avait jusqu’alors été tue, dans l’intérêt national et pour ne pas embarrasser leur modestie.
  36. Laurent Guyénot – https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate
  37. Peut-être même les organisateurs du grand complot ont-ils inspiré, incité et aidé les organisateurs du petit.
  38. C’est la thèse de Khalezov (cf. article précédent).
  39. Des explosifs chimiques furent aussi placés, peut-être aux emplacements prévus, selon le plan de démolition.
  40. Le bâtiment 7 était le centre de contrôle de tout l’ensemble immobilier, communiquant avec d’autres bâtiments par des passages en sous-sol. Les explosions sous les Tours Jumelles ne pouvaient manquer d’y laisser des traces.
  41. Que le président et les principaux ministres soient emmenés en lieu sûr par des gardes du corps est normal, mais ce qui ne l’est pas, c’est que le président soit promené toute la journée à bord de l’avion présidentiel, et ainsi déchu en fait de son pouvoir. Le 10 septembre, G.W. Bush alla en Floride et y passa la nuit, protégé par des batteries anti-aériennes ; le 11 au matin, il lisait un conte pour enfants à des écoliers. Dans la journée, l’avion présidentiel alla de Floride à une base militaire en Louisiane, passant au-dessus du Golfe du Mexique, lieu idéal pour un accident. G.W. Bush ne fut vraisemblablement emmené à Raven Rock qu’après qu’il eut cédé. Sur quoi ? Sur le programme d’agression au Proche-Orient ?
  42. Pour rappel, George Walker Bush fut élu président de la République des États-Unis d’Amérique par la grâce du trucage des élections en Floride par son frère John Ellis Bush, gouverneur de cet État.
  43. Au mois d’avril 2004, George W. Bush se présenta devant la commission d’enquête mais exigea de témoigner sans prêter serment et sans que l’audition ne soit ni publique, ni filmée, ni enregistrée. Il exigea aussi d’être accompagné du vice-président Richard Cheney, disant : «Cela nous donnera l’occasion de répondre aux membres de la commission». Bref, il fut chaperonné.
  44. Donald Rumsfeld, son adjoint Paul Wolfowitz, et Richard Perle nommé en juillet 2001 président de la commission de la politique de défense, réclamaient depuis des années une nouvelle guerre contre l’Irak, et demandèrent dès le 11 septembre que l’armée la préparât. Quand une agression est décidée, les militaires de bon sens sont écartés ; règle universelle s’appliquant à toute époque et dans tout pays.
  45. Lorsqu’une firme automobile prépare un nouveau modèle, maintes personnes participent au projet, mais les firmes concurrentes n’apprennent que des bribes de renseignements. Les exécutants d’opérations clandestines ne connaissent ni l’identité ni les motifs des commanditaires, et observent le secret. Convaincre un service technique de garder ses observations sous le coude et de fournir un rapport de complaisance est le B-A BA du pouvoir. Enfin, le chantage à la vie de la famille est classique : un accident est si vite arrivé !
  46. Dont le général Eberhart, commandant la région aérienne. Ces militaires avaient confirmé sous serment la V.O.
  47. Les magnats du pétrole d’Arabie séoudite trempaient vraisemblablement dans le complot contre l’Afghanistan, sans participer à celui contre les tours de Manhattan. Mais c’était si facile de les accuser pour égarer les enquêteurs ! M. Donald Trump s’efforça pendant quatre années de mettre fin aux guerres commencées par ses prédécesseurs. Le but du plan de paix partial proposé pour le Proche-Orient était peut-être de délier les États-Unis du chantage subi depuis 2001. En 2020, il fut éliminé par un trucage de l’élection présidentielle, si évident que les conséquences sont graves. Complot au grand jour. Deuxième coup d’État. Dans le gouvernement de J. Biden, les titulaires d’une vingtaine des principaux postes sont des sionistes avoués. Qui décide à présent de la politique ?
  48. Hélas ! On voit que de tout temps / Les petits ont pâti des sottises des grands. Jean de La Fontaine. «Les deux Taureaux et une Grenouille», Livre second, Fable IV.
  49. Des laboratoires surveillent à tout moment la composition de l’atmosphère et, quoique quelques-uns ne dépendent pas directement d’un gouvernement, leur renommée, leur financement, l’emploi de leurs techniciens et la carrière de leurs chercheurs dépendent des études commandées par les pouvoirs établis. Le soutien d’un État eût été nécessaire pour qu’ils publiassent leurs observations.
  50. Dès le 19 septembre 2001, le projet d’Anti-Terrorism Act comptait 345 pages. Les rédacteurs n’ont pas chômé ! En France, une la loi sur la sécurité quotidienne fut adoptée le 15 novembre 2001 sous le gouvernement Jospin
  51. http://lidiotduvillage.org/2020/06/05/le-genie-du-complotisme
  52. En 2000, le président Clinton apposa la signature des États-Unis au traité sur la Cour pénale internationale, CPI. En mai 2002, avant l’agression contre l’Irak, le président G.W. Bush notifia aux Nations unies que les États-Unis se déliaient de cet engagement, et Rumsfeld publia dans un communiqué les motifs de cette décision : éviter que des militaires étasuniens puissent être traduits devant la Cour. Depuis cette dénonciation du traité par les États-Unis, la Grande-Bretagne, partie au traité, s’efforce d’employer la CPI dans l’intérêt des pays anglo-saxons.
  53. Sarközy est un agent étasunien recruté à quinze ans par Wisner Jr, et s’en est à peine caché. Son fils fut élève-officier d’une école militaire… mais pas de Saint-Cyr : de West Point ! Son père Pal Sarközy, Hongrois naturalisé Français, déclara à des journalistes : «Si mon fils avait été président des États-Unis, j’aurais été vraiment fier».
  54. En 2007, toute la presse promut Ségolène Royal comme la brêle qui se ferait battre. Ce battage publicitaire pour la perdante désignée préfigura l’encensement en 2017 du gagnant choisi par l’oligarchie mondialiste.
  55. BlackRock gère la plus grande masse mondiale d’actifs financiers, presque 9000 milliards de dollars. Par comparaison, le budget de la France (flux) est d’environ 700 milliards d’euros.
  56. Le Danemark a récemment nommé un ambassadeur auprès d’une firme supranationale.
  57. Les GAFAMs sont les ministères de la Vérité.
  58. En France, l’examen des statistiques de mortalité conduit à diviser par au moins cinq le nombre avancé par les dirigeants de «100 000 morts» dus au Covid. Plus qu’une épidémie de grippe, le Covid fut une épidémie de refus de soin, de tests non valides et d’injections de produits mortels. Ces faits furent dénoncés par maintes personnes, dont Luc Montagnier, Laurent Toubiana, Pascal Sacré, Nicole Delépine, Christian Perronne, Martine Wonner, Alexandra Henrion-Caude, Reiner Fuellmich, Pierre Chaillot, et d’autres valeureux résistants. Les vaxxins sont plus dangereux que la maladie. Parmi de nombreuses références : https://www.youtube.com/watch?v=MLMGnfeu ;
    https://odysee.com/@MartineWonner:b/actu-de-la-semaine-et-invitee-christine-cotton ; 
    https://www.francesoir.fr/belgique-masques-et-confusion-entre-tests-positifs-dits-cas
  59. L’apôtre du Great Reset, l’inénarrable Klaus Schwab dans son costume de franc-maçon interplanétaire, illustre jusqu’à la caricature l’hubris des dirigeants décidés à imposer leur volonté aux peuples. L’étonnant livre qu’il a publié avec Thierry Malleret, COVID-19 : La Grande Réinitialisation, sonne comme un aveu.
    https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values

 

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