Le 12/03/2017.

Chers amis,
J'ai aujourd'hui 3 points à évoquer :

1 - Mon nouvel essai vient de sortir.

"Quand la Grande Muette prendra le parole"
Général Antoine Martinez - Préface de Ivan Rioufol
Editions Apopsix (www.apopsix.fr)
n° ISBN 978-2-35979-135-8        414 pages   (22,00 €)

C'est un peu ma contribution au débat, notamment de cette campagne des élections présidentielles qui doit nous mobiliser en raison des coups tordus de certains comploteurs qui n'acceptent pas l'alternance qui est souhaitée par une majorité de citoyens après ce quinquennat calamiteux finissant. Le choix du titre et de la couverture doivent provoquer l'intérêt et la curiosité - mais je l'espère l'adhésion au propos et au message qu'il contient. L'évolution dramatique de la situation de la France, et d'ailleurs de l'Europe, par la faute des responsables politiques qui ne veulent pas admettre la stratégie de conquête d'un islam conquérant incompatible avec la démocratie et qui mène le pays vers le chaos, nécessite que la Grande Muette brise à présent le silence pour provoquer un sursaut. En l'achetant, en diffusant l'information auprès de vos contacts, en leur conseillant son acquisition vous pouvez contribuer à la promotion et à la diffusion de cet essai, non pas pour moi, mais pour la bonne cause pour essayer de faire changer les choses, notre pays en a besoin. L'ouvrage est préfacé par Ivan RIOUFOL, journaliste au Figaro et auteur de nombreux ouvrages dont "La guerre civile qui vient". C'est un point important. Je compte donc sur vous et vous en remercie par avance.

Présentation de l'ouvrage

Editions APOPSIX

 

Les événements dramatiques qui se sont déroulés sur notre propre sol depuis quelques années et surtout récemment sont autant de signaux d'alarme totalement ignorés par ceux qui nous gouvernent et qui ont plongé le peuple dans la désespérance et l'exaspération. Cette exaspération alimente une colère qui ne cesse de monter et qui conduit à une radicalisation des esprits.

Alors, si la primauté du politique sur le militaire n'est absolument pas contestée, la Grande Muette, garante de la continuité historique directement liée à la sécurité et à la protection de son peuple, doit à présent, devant le danger imminent qui menace le pays, briser le silence pour rappeler aux responsables politiques leurs obligations à l'égard de la Nation. Cela devient

même un devoir lorsque l’État trahit la Nation, comme c'est le cas depuis plusieurs années, et que l'intérêt supérieur du pays et de son peuple est en cause.

L'essai aboutit à une conclusion : l'évolution dramatique de la situation de la France, et d'ailleurs de l'Europe, par la faute des responsables politiques qui ne veulent pas admettre la stratégie de

conquête de l'islam incompatible avec la démocratie et qui mènent le pays vers le chaos, nécessite que la Grande Muette brise à présent son silence pour provoquer un sursaut.

Pour des raisons de méthode personnelle dans la conception de cet essai, cette conclusion est en fait devenue l'introduction qui finalement pose le problème d'entrée pour expliciter le titre donné à l'ouvrage. Le recueil qui suit vient ainsi alimenter et justifier cette introduction ou cette conclusion.

L'ouvrage est préfacé par Ivan RIOUFOL, journaliste, écrivain, auteur notamment de « La guerre civile qui vient »

 

 

2 - Symposium

Comme vous le savez, un symposium dont le thème était "La désislamisation de l'Europe" s'est tenu le 4 mars à Béziers, au Palais des Congrès. J'y participais au nom des Volontaires Pour la France et je vous communique le lien donnant accès à la vidéo de mon intervention. 

3 - Editorial

Je vous communique en pièce jointe mon éditorial  "Un calcul cynique voué à l'échec ?"

J'ai signé cet éditorial en mon nom propre et non pas en tant que coprésident des Volontaires Pour la France cette fois-ci, car comme vous le savez cette organisation est apolitique et n'a pas de vocation électorale, c'est à dire qu'elle ne roule pour personne. Je n'engage donc avec ce document que moi-même. 

Cela dit, je ne pouvais pas rester silencieux après ces manœuvres complotistes qui ne trompent plus personne et qui aboutiraient à voler l'élection au profit d'imposteurs qui plongeraient notre pays un peu plus dans le chaos. Il faut donc tout faire pour que ces comploteurs soient éliminés dès le premier tour des élections présidentielles. Alors retransmettez ce document à vos réseaux. Une finale LR / FN était annoncée après ce "quinquennat pour rien" qui a plongé les Français dans la souffrance et l'exaspération. Alors faisons en sorte qu'elle ait lieu.

Bien cordialement.

Un calcul cynique voué à l'échec ?

Un coup d'Etat institutionnel fomenté par des officines liées au pouvoir collaborant avec des médias serviles devait conduire à un hold-up démocratique empêchant la droite avec ses deux grandes composantes LR (droite et centre) et FN de se qualifier pour le second tour de l'élection présidentielle. En effet, la gauche était promise à une cuisante défaite à l'image d'un président même plus en mesure, « empêché » même de se présenter à un second mandat, son « quinquennat pour rien » ayant tellement contribué à plonger la France dans la souffrance et la désespérance. C'est ainsi que nombreux étaient les experts qui lui prédisaient une déroute et même son élimination dès le premier tour de l'élection, le second devant opposer – tous l'annonçaient – deux candidats de la droite.

Mais voilà, pour certains ne pouvant supporter et encore moins accepter cet affront intolérable, il fallait, malgré l'échec patent de ce quinquennat, empêcher l'alternance par tous les moyens. Le résultat, tout le monde le connaît : c'est, pour ces deux candidats de droite et en particulier pour celui de la droite et du centre, la jetée en pâture aux chiens des tribunaux médiatiques alimentée, entre autres, par le gouvernement des juges, ces mêmes magistrats qui ont été traités de lâches par le président de la République dans ses confidences publiées dans un récent ouvrage. Il fallait entacher la réputation et la probité de ces deux finalistes annoncés et finalement jeter sur eux le discrédit, l'opprobre, les salir et les décrédibiliser aux yeux des électeurs, saboter leur campagne électorale et si possible conduire le candidat LR à renoncer à sa candidature. Car, en fait, ils osent

dans leur campagne évoquer le problème de l'immigration et le danger de l'islam dit radical. Alors, certains de la présence de la candidate du FN au second tour qui selon eux sera battue quel que soit son adversaire, ces comploteurs ont considéré qu'il fallait à tout prix empêcher l'accession de la droite classique à la finale alors même que son candidat disposait, en principe, d'un boulevard pour gagner l'élection présidentielle.

 

Mais, il se pourrait fort bien que cette tentative de coup d'Etat institutionnel échoue lamentablement et que l'arroseur se retrouve finalement arrosé.

Il se pourrait fort bien, en effet, que ces comploteurs, ennemis de la démocratie, aveuglés par leur suffisance, leur arrogance, leur mépris du peuple, leur refus de se plier à la triste réalité produite par l'échec de ce quinquennat finissant, se soient piégés eux-même et soient très bientôt

désavoués par la justice pourtant instrumentalisée jusque-là mais qui ne pourra pas s'affranchir du droit. Car tous ces conspirateurs, ces factieux, ces intrigants n'avaient pas imaginé un seul instant la force de résistance face à l'attaque de la meute et le degré d'obstination du candidat LR à aller jusqu'au bout. Ils comptaient sur son abandon et ils se sont trompés. Ils ont simplement oublié qu'un animal blessé peut se montrer très dangereux car il redouble d'énergie pour sa survie et le fait de ne pas l'avoir tué, c'est à dire éliminé de la course au titre, pourrait leur être fatal.

 

Car sur la forme, après plusieurs semaines de tentatives diverses d'éviction de la compétition finalement infructueuses, chacun a pu constater que dans cette pièce de théâtre non pas de boulevard mais de caniveau, le tempo et les procédés utilisés ne trompent plus grand monde. Sur le tempo, pourquoi ne pas avoir déclenché cette opération puante avant la primaire de droite et du centre, voire pendant cette primaire alors que le dossier était prêt ? La réponse est claire : parce que c'était trop tôt dans le plan de déstabilisation élaboré. En revanche, la stratégie choisie de le faire trois mois seulement avant l'élection présidentielle devait, en principe, en raison notamment

du feuilletonnage des révélations toujours plus infamantes, déstabiliser le candidat LR en pleine campagne, fragiliser et décrédibiliser sa défense, et finalement, sous la pression, l'amener à renoncer. De plus, ce dernier avait déclaré qu'une mise en examen le conduirait à se retirer. Il offrait ainsi au Parquet National Financier (PNF) l'opportunité d'annoncer le 16 février qu'il n'envisageait pas en l'état de classement sans suite. Et ce dernier choisissait le 24 février d'ouvrir une information judiciaire et transmettait le dossier à trois juges d'instruction désignés alors qu'il aurait pu renvoyer le candidat LR devant le tribunal correctionnel. Mais cela permettait ainsi de faire durer le plaisir et surtout de s'approcher de l'échéance électorale en maintenant la pression. Enfin, cette pratique répugnante visant à empêcher la victoire annoncée de la droite permet de penser que deux autres « dossiers » ont probablement été préparés dans l'éventualité d'une victoire à la primaire de l'un des deux autres ténors de cette droite. Ce qui signifie que de toutes

façons, ces derniers auraient eu droit au même déchaînement puisque l'objectif visé est

d'empêcher la droite d'être présente au second tour de l'élection présidentielle.

 

Quant au fond, il est intéressant de noter que, malgré ses sous-entendus, le PNF n'a pas été en mesure de renvoyer le candidat LR devant le tribunal correctionnel, témoignant ainsi de son incapacité à démontrer la réalité des infractions reprochées. Cela aurait donc dû l'amener logiquement à classer l'affaire sans suite mais c'était alors permettre au candidat LR, disculpé, de relancer sa campagne électorale. Or, l'objectif de cette opération nauséabonde est précisément d'empêcher, par tous les moyens, le candidat de la droite d'accéder au second tour de l'élection présidentielle et lui permettre d'être en mesure de la gagner. Il est, en outre, non moins intéressant d'examiner les termes qualifiant l'ouverture de cette information judiciaire : « détournement de fonds publics, abus de biens sociaux et recel, trafic d'influence et manquement aux obligations de

déclaration à la Haute Autorité sur la transparence de la vie publique », dans laquelle il n'est d'ailleurs aucunement question d'emploi fictif. Il est cependant important de souligner (cf.rapport P. Auberger, ancien Rapporteur général du budget A.N.) qu'il ne peut pas y avoir « détournement de fonds publics » dans cette affaire car les fonds destinés à rémunérer les assistants parlementaires sont des fonds budgétaires votés par l'Assemblée nationale qu'elle utilise selon ses propres règles et dont elle assure elle-même le contrôle. Et c'est elle qui paie les crédits sur les indications du député qui choisit librement ses assistants parlementaires. Ces fonds ne sont donc pas détenus par le parlementaire lui-même. Par ailleurs, et c'est un principe constitutionnel, l'institution judiciaire ne peut absolument pas contrôler l'emploi de ces fonds qui revient au seul

Bureau de l'Assemblée nationale du fait de la séparation des pouvoirs. S'agissant du « trafic d’influence et manquement aux obligations de déclaration », le Médiateur de l’Assemblée Nationale, chargé par le Bureau de l’Assemblée des problèmes de déontologie, a reconnu après examen poussé du dossier qu’il n’y avait aucun manquement au regard de la législation sur les conflits d’intérêt. Comment, dans ces conditions, les juges d’instruction pourraient-ils déclarer le contraire ? Quant à l' « abus de biens sociaux et recel » concernant l'affaire de la Revue des Deux Mondes touchant l'épouse du candidat LR il est difficile de le retenir dans la mesure ou la revue est la propriété d'une personne physique qui peut en toute liberté salarier qui elle souhaite et

quand elle le souhaite. Cette accusation ne tient donc pas.

 

Après le refus de classer l'affaire sans suite, le PNF a non seulement démontré son impossibilité de prouver la réalité des infractions reprochées et donc son impuissance à renvoyer le candidat LR devant le tribunal correctionnel, mais du coup son instrumentalisation insupportable dans cette affaire en ouvrant une information judiciaire.

Mais c'était sans compter sur la résistance et l'obstination du candidat de la droite à ne pas renoncer et à aller jusqu'au bout. La stratégie élaborée par les comploteurs qui comptaient sur son renoncement n'avait manifestement pas envisagé cette hypothèse.

En agissant de la sorte, le PNF a donc pris une énorme responsabilité en ouvrant une information judiciaire et en transmettant le dossier aux juges car, ce faisant, il a piégé la Justice qui pourrait ne pas pouvoir prononcer une mise en examen compte tenu de l'état du dossier.

Et les citoyens attendent de la Justice qu'elle soit impartiale et qu'elle applique le droit. Ils ne comprendraient pas, en effet, que le droit soit bafoué et que l'élection présidentielle leur soit volée. Le calcul cynique des comploteurs pourrait donc se retourner contre eux, le candidat de la droite, disculpé, réussissant à relancer sa campagne et à se qualifier pour le second tour de l'élection présidentielle. L'alternance fortement souhaitée est donc possible.

 

Alors, faisons en sorte d'éliminer les comploteurs. Aux urnes, citoyens !

 

Général (2s) Antoine MARTINEZ

 

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Commentaires: 3
  • #1

    CARVAJAL (mercredi, 15 mars 2017 16:30)

    1456, Belgrade San juan de Capistran , Carvajal

  • #2

    Mr. BERTHE (mercredi, 15 mars 2017 18:34)

    Bonjour,
    je suis toujours etonne quand je recois ce courrier, la verite, la sagesse. Que faut-il faire pour que les Francais comprennent que la France est en danger, pour moi a soixante dix huit ans tres conscient du danger de l'immigration qui nous menace. Le pouvoir politique est une bande d'affairiste, le pouvoir de l'argent mais jamais penser aux Francais de sang.
    Daniel BERTHE

  • #3

    claude.leroy2@bbox.fr (vendredi, 17 mars 2017 06:16)

    Mais qui sont donc ces comploteurs ? Quelle structure pourrait monter un plan d'action sur 2 mois, c'est à dire :
    - monter un plan progressif de communication
    - engager la justice dans un processus judiciaire
    - rechercher les motifs coupables
    - conduire une manipulation très élaborée
    - démonter le programme
    Il faudrait donc 1 atelier composé de magistrats, fonctionnaires, journalistes, politiques et financiers, toutes ces personnes étant d'un haut niveau car ayant accès aux bases de données et aux organes de direction.
    Qui est structuré de la sorte et travaille en atelier ? Une secte un peu secrète ou tout au moins refermée sur elle-même, probablement de gauche et anticléricale : il n'y en aurait qu'une, à mon avis.