J'accuse...et je lance un appel...!

...par les Généraux De Cacqueray, Coustou, Delawarde, Gaubert, Martinez et De Richoufftz - Le 18/06/2021.

Bonjour à tous,


Aujourd'hui 17 juin, à la veille du 18 juin, et de son fameux "Appel" je vous adresse un texte important, daté du 18 Juin, que je vous demande de publier ou de rediffuser à vos réseaux et à vos amis le 18 juin entre 0h00 et 24h00Pas avant, pas après. RESPECTEZ BIEN LES LIMITES FIXEES.

En effet, la période de réserve électorale interdit de publier ce genre de texte ou de le faire circuler via Face Book ou Twitter après Vendredi minuit et il faut respecter la Loi.

Pour ceux qui auraient déjà reçu le texte hier, quelques coquilles ayant été corrigées, je vous demande de prendre en compte la version VF (Version Finale ci-après).


Ce texte traite de la lettre des anciens militaires du 14 avril dernier et des procédures de sanction lancées contre 6 anciens généraux qui ont eu "l'incroyable audace" de défendre, devant les médias, la lettre d'alerte à nos gouvernants face à des politiques et commentateurs qui en diffamaient les signataires. Les journaux s'en font l'écho depuis trois jours sans vraiment savoir de quoi ils parlent et il est donc temps d'opérer à visage découvert. Il est temps que les citoyens de ce pays aient enfin l'information à la source.

Les 6 anciens généraux dressent dans une Tribune un nouveau constat concernant la procédure disciplinaire dont ils sont l'objet et ils lancent un appel aux citoyens de ce pays.

Le titre de la tribune est évocateur: J'ACCUSE (suite à Zola) et Je LANCE UN APPEL (référence à de Gaulle). Les noms des désignés coupables apparaîtront en pleine lumière puisque ce sont les signataires de cette tribune qui vient "en réaction" à la procédure lancée à leur encontre et à l'exploitation médiatique qui en est faite à leur détriment.

Ce sera donc à l'opinion de trancher. Nul doute que les médias mainstream subventionnés vont se déchaîner contre nous, comme ils l'ont fait depuis le début de cette affaire avec la plus grande mauvaise foi. Nous tiendrons fermement nos positions et notre combat ne fait que commencer.

Merci à tous de la diffusion la plus large possible de ce texte que vous pourrez retrouver sur le site Place d'Armes, à partir du 18 juin 06h00 dans sa version originale. Il vous est adressé en Pièces jointes sous deux formats.

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18 juin 2021

 

J’ACCUSE (pour faire suite à Zola)... et je LANCE UN APPEL (référence à De Gaulle) ...

 

Général de Cacqueray, Général Coustou, Général Delawarde, Général Gaubert, Général Martinez, Général de Richoufftz

 

En ce jour anniversaire de l’appel du 18 juin, alors que 6 des 61 généraux, ayant signé une lettre d’alerte à nos gouvernants publiée le 14 Avril dernier, sont convoqués à comparaître devant un

«Conseil supérieur des Forces Armées» pour y être sanctionnés, bien qu’ils aient quitté l’activité

depuis 10 à 20 ans, qu’ils jouissent paisiblement de leur retraite et de leurs petits enfants, et qu’ils se perçoivent comme des citoyens à part entière, j’ai une pensée émue pour deux personnages dont les condamnations par une justice militaire aussi expéditive qu’injuste ont marqué l’histoire de notre pays. Certains les auront peut être déjà reconnus dans cet avant propos, puisqu’il s’agit du capitaine Alfred Dreyfus et du général Charles de Gaulle.

Je conclurai cette tribune en ACCUSANT ...., puis en LANCANT UN APPEL ....

 

Deux brefs rappels historiques :

1 - Le 22 décembre 1894, le capitaine Alfred Dreyfus, innocent du crime de trahison dont on l’accuse, est condamné à la déportation à perpétuité par l’unanimité d’un conseil de guerre

militaire. A partir du 25 novembre 1897, Émile Zola publie une série d’articles dans divers

journaux et détricote le dossier monté à charge contre Dreyfus. C’est le 13 janvier 1898 qu’il publie dans le journal l’Aurore son célèbre article devenu historique: « J’accuse », titre que je reprends aujourd’hui avec beaucoup d’humilité.

 

Le 3 juin 1899 le jugement de 1894 est cassé. Le ministère de la Guerre de l’époque ne se

rendra pas sans combattre. Il poursuit avec hargne son combat contre Dreyfus. Le mensonge et la production de preuves fausses ou fabriquées seront ses armes principales. Il finit par obtenir

une deuxième condamnation de Dreyfus le 9 septembre 1899 par le Conseil de Guerre de Rennes.

Mais le capitaine Dreyfus dont l’innocence ne fait plus aucun doute est gracié dix jours plus tard par le président de la République Émile Loubet. Il sera totalement réhabilité le 12 juillet 1906, 12 ans après sa première condamnation.

 

Cette affaire Dreyfus a montré au monde entier les limites de la Justice militaire française,

mais surtout la duplicité des politiciens et des médias qui l’ont instrumentalisée. Ce qu’il y a eu

de plus choquant reste cette « unanimité » des juges militaires, probablement plus soucieux de leur carrière que de la justice, et leur empressement à condamner par deux fois un innocent, allant jusqu’à innocenter le véritable coupable. C’est aussi l’acharnement des ministres de la guerre successifs à vouloir faire triompher leur point de vue, allant jusqu’à la falsification des pièces du dossier et à leur interprétation tendancieuse. Et c’est enfin l’habileté diabolique des politiciens qui, réalisant qu’ils avaient perdu, ont fait voter une loi d’amnistie dès novembre 1899, loi qui mettait à l’abri des poursuites tous les instigateurs de cette triste affaire.

 

C’est sur la base de cette affaire Dreyfus que Théodore Herzl a fondé le sionisme dont nous

connaissons tous l’importance dans la géopolitique mondiale contemporaine .....

 

2 – Le 4 juillet 1940, deux semaines après son appel du 18 juin, commémoré avec ferveur

aujourd’hui, sept généraux d’un tribunal militaire de Toulouse condamnaient Charles de Gaulle,

alors exilé à Londres, à quatre ans de prison et cent francs d'amende pour avoir appelé des militaires à la désobéissance dans son discours du 18 juin.

 

La peine était "légère" et acquise seulement à la majorité. Peut-être parce que le président

tarnais et juif du tribunal, le général André Boris, commençait déjà à entrer en Résistance ?

 

Parce que le verdict trop clément ne lui convenait pas, l’exécutif vichyste imposa une autre

procédure auprès de la cour martiale de Clermont-Ferrand. Là, le tribunal sera bien plus sévère : Le 2 août 1940, de Gaulle est condamné à mort par contumace pour trahison et privé de ses biens.

 

Cette condamnation sera annulée après la Libération, comme d'ailleurs celle de la cour d'appel de Toulouse qui s'est re-réunie après la guerre pour effacer sa décision de juillet 1940. Entre les deux décisions de la cour d’appel de Toulouse, le procureur général Lespinasse qui avait requis avec zèle au sein de la Section spéciale de Toulouse, avait lui aussi été déclaré coupable, condamné

à mort par contumace par des résistants et exécuté en 1943. Cela n'a probablement pas suffi au

Général De Gaulle, car sa venue place du Capitole à Toulouse pour la Libération en 1944, en tant

que chef du gouvernement provisoire, est restée marquée dans les annales par sa froideur, certains parlant même de mépris.

 

Dans cette nouvelle affaire, la partialité, le caractère expéditif et brutal d’une justice militaire soumise au bon vouloir de l’exécutif du moment est apparu en pleine lumière. En clair la culpabilité est décidée sans débat contradictoire par l’exécutif, le verdict est connu avant même

le procès. Ce sont des procès de type stalinien qui vont nous servir de références pour expliquer ce qui se passe aujourd’hui, au XXIème siècle, dans notre pays.

 

Que se passe-t-il donc aujourd’hui en France ?

 

Le 14 avril dernier, « une lettre ouverte à nos gouvernants » est publiée sur un site internet à

l’initiative d’un ancien capitaine de Gendarmerie. Le texte est ouvert à la signature des anciens

militaires. Plus de 27 000 anciens militaires dont plus de 60 anciens généraux la signent dans les

semaines qui suivent. Le 21 avril, cette lettre est reprise par le journal Valeurs Actuelles qui y

ajoute un titre.

 

Cette lettre est ni plus ni moins qu’un constat de délitement et d’une montée régulière de la

violence dans notre pays; constat déjà dressé par de nombreux hommes politiques de tous bords et, en particulier, par l’ancien ministre de l’intérieur Gérard Collomb qui évoquait clairement un « face à face » à venir entre communautés. Selon un sondage Harris Interactive, 84% des français

adhéreraient aujourd’hui à ce constat. Cette lettre invite nos gouvernants à agir pour éviter que la

situation ne s’aggrave et qu’elle ne débouche sur des troubles de plus en plus sérieux pouvant aller jusqu’à une guerre civile, guerre que personne ne souhaite, évidemment.

 

Par une interprétation plus que tendancieuse du texte, Monsieur Mélenchon et 22 autres

parlementaires voient, dans cette lettre « un appel à l’insurrection » et demande au Procureur de

Paris, Rémi Heitz, de se saisir de cette affaire le 26 avril.

 

Le 4 mai, le Procureur de Paris déboute les plaignants et écrit notamment : « ce texte ne

recèle pas en lui-même de provocations à commettre des infractions pas plus qu’il ne contient

d’appel à la haine, à la discrimination ou à la violence ».

« Le crime de provocation à des rassemblements d’insurgés et le délit de provocation à la

désobéissance des militaires ou des assujettis à toute forme du service national, prévus par le Code

pénal, ne paraissent pas davantage pouvoir trouver à s’appliquer aux développements figurant

dans cette tribune ».

 

« Si l’appréciation d’une éventuelle qualification disciplinaire des propos concernés, au regard du

Code de la défense, relève des autorités compétentes, il doit être constaté qu’aucune suite

judiciaire ou pénale ne peut en l’état être réservée à ceux-ci ».

 

Mais le 26 avril, en écho à monsieur Mélenchon, après être resté plus de douze jours silencieux, l’exécutif lâche « ses chiens » pour attaquer la lettre des anciens militaires avec la plus grande véhémence et la plus totale mauvaise foi. Il est aidé dans son combat par monsieur Mélenchon, bien sûr, mais aussi par la meute des médias mainstream subventionnés qui lui est dévouée (à quelques exceptions près). Madame Pannier Runacher, Madame Parly et même Monsieur Castex sont parmi les plus virulents. Des mots qui relèvent de la diffamation sont prononcés à l’égard des anciens militaires : Factieux, séditieux, putschistes, même si ces paroles baissent d’un ton après que le procureur de Paris ait rendu sa réponse.

 

Soumis à cette avalanche de critiques diffamatoires, les anciens militaires ne se résolvent pas à subir en silence, comme le souhaiterait l’exécutif. Des plaintes en diffamation sont donc lancées

devant la cour de Justice de la République contre une ministre, d’autres le seront dans les jours qui viennent. 6 des 61 généraux signataires défendent fermement la tribune en intervenant dans les médias mainstream, « en réaction » aux attaques dont celle ci est l’objet. Il s’agit bien sûr d’un

droit de réponse auquel tout citoyen de ce pays a droit lorsqu’il est injustement attaqué ou diffamé.

 

Mais que mijote alors l’exécutif dans le secret des cabinets ministériels ?

 

L’exécutif réalise que ses premières réactions n’ont pas suffi à faire taire les défenseurs de « La lettre à nos gouvernants », bien au contraire. Une deuxième lettre ouverte émanant de

personnels militaires en activité paraît d’ailleurs dans Valeurs actuelles « en réaction » aux

diffamations dont sont l’objet les anciens militaires.

 

Gêné par l’ampleur de cette affaire à un mois des élections régionales, l’exécutif prépare sa riposte avec pour objectif de faire diversion et de passer à autre chose. Il a d’ores et déjà annoncé dans les médias que les personnels en activité ayant signé la première lettre seraient sanctionnés, que les sanctions frapperaient davantage les plus hauts gradés et que la sanction serait la radiation des cadres. Mais la ministre est embarrassée par les « retraités » et le nombre de signataires. Plus de 27 000 anciens militaires ? C’est beaucoup...

 

La ministre des Armées ne peut rien faire sur les retraités qui ont une totale liberté d’expression aux termes de la Constitution. Elle va donc cibler les anciens généraux signataires dans une tentative de « décapitation » du groupe de signataires qualifié de «factieux» au seul motif

qu’il sonnait le tocsin. Mais 61 généraux est un nombre encore trop important pour composer une « charrette ».

 

Alors, la ministre de la défense va en sélectionner 6, jugés les plus ardents parce qu’ils se sont

exprimés dans les médias pour défendre leur lettre ouverte face aux attaques des suppôts de

l’exécutif. On passe alors de la « décapitation » à la « décimation » : Sanction brutale et sauvage

appliquée dans la Rome antique aux unités rebelles.

 

Les six impétrants sont des septuagénaires. Comme des légions de fonctionnaires, cinq

d’entre eux perçoivent une « pension de retraite » du service ad hoc du ministère de l’économie et

des finances depuis des années et ne sont plus « rappelables ». Ils ne sont donc plus « 2S » à part

entière puisqu’un général 2S est rappelable et perçoit une « solde de réserve » du ministère des

Armées. Qu’à cela ne tienne, le ministère des Armées, va faire « comme si ».

 

En clair, pour ce ministère, un militaire devenu général devrait se taire jusqu’à la fin de ses jours, et ne l’ouvrir que pour chanter les louanges de l’exécutif en place, ce que certains courtisans

font d’ailleurs avec un grand talent.

 

Comme dans l’affaire d’Alfred Dreyfus ou la condamnation de Charles de Gaulle, la ministre entre désormais dans l’instrumentalisation des instances disciplinaires militaires en se fondant sur un code de la Défense aujourd’hui complètement obsolète au regard des droits français et européens du 21ème siècle et dont il faut tordre l’esprit du texte pour l’appliquer à des généraux

retraités et plus que septuagénaires. Mais la ministre, comme ses prédécesseurs des affaires Dreyfus ou de Gaulle, est tenace. Elle connaît la justice à laquelle elle a déjà eu affaire lors d’un parcours professionnel qui est loin d’être « exemplaire », si l’on en croit la capture d’écran ci-après de Wikipédia qui l’évoque.

Notons que ce que nous révèle Wikipédia pourrait bien n’être que la partie émergée de l’iceberg.

La ministre est également fille d’une conseillère d’État, ce qui peut s’avérer utile dans un bras

de fer judiciaire qui se conclurait devant le Conseil d’ État. Les conflits d’intérêt sont devenus

monnaies courantes aujourd’hui dans les cercles du pouvoir. Bref la ministre ne reculera devant rien.

 

Capture d’écran d’un extrait de la page Wikipédia dédiée à Madame la ministre des Armées :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Florence_Parly

Controverses[modifier | modifier le code]

Affaire de trucage d’appels d’offres à la SNCF[modifier | modifier le code]

Le , l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné révèle que Florence Parly est visée par une enquête du parquet national financier dans une affaire de trucages d'appels d’offres ayant eu lieu à la SNCF au profit de la société IBM38,39. Celle-ci aurait mis un certain temps à agir afin de corriger la situation délictueuse ; l'hebdomadaire la met également en cause dans son rôle concernant la mise au placard de l’un des cadres de la direction des achats, sanctionné pour avoir refusé ces pratiques. Le , ce même lanceur d’alerte de la SNCF porte plainte contre la ministre pour « harcèlement moral, délit d’extorsion de consentement, complicité de malversation et subornation de témoin »40.

Revenus et parachute doré à la SNCF[modifier | modifier le code]

Le , le magazine hebdomadaire Marianne révèle que Florence Parly a perçu près de 52 000 euros par mois durant le premier semestre 201741. Cette rémunération excède les plafonds prévus pour son poste à la SNCF, et provoque une controverse compte tenu de la situation financière dégradée de l'entreprise publique de transport ferroviaire42,43

Le Marianne révèle que Florence Parly a reçu un parachute doré de 675 800 euros à la suite de son départ d'Air France en 44. Cette indemnité choque une partie de l'opinion publique compte tenu de la situation financière (129 millions d'euros de pertes en 201445) et sociale (plans de départs volontaires46) d'Air France.

Indemnités des membres du Conseil constitutionnel[modifier | modifier le code]

 

En , le laboratoire d'idées « Observatoire de l'éthique publique » révèle que Florence Parly, alors qu'elle vient d'être nommée secrétaire d’État au Budget en 2001, signe un courrier adressé à Yves Guéna, président du Conseil constitutionnel, signifiant à celui-ci la fin d'un avantage fiscal des neuf membres du Conseil47. Ceux-ci ne payaient en effet des impôts que sur la moitié de leurs revenus. En contrepartie, leur indemnité mensuelle brute est augmentée de « 57 % » et passe ainsi de « 7000 à 11 000 euros ». Le laboratoire d'idées relève que « le procédé employé par Florence Parly soulève d’importantes difficultés juridiques » dans la mesure où seule l'Assemblée nationale est compétente pour voter la rémunération des membres du Conseil constitutionnel.

 

 

A ce stade de l’exposé des faits Il est intéressant de noter que tous nos principaux diffamateurs ont été directement impliqués dans des affaires judiciaires troublantes plus ou moins

récemment.

Monsieur Mélenchon, pour sa part, est un grand spécialiste de l’appel à l’insurrection

https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=M%C3%A9lenchon+appelle+

%C3%A0+l%27insurrection . Il l’est donc aussi, de l’inversion accusatoire à notre égard....

 

Quant à Madame Pannier-Runacher, un article documenté de «Politico» interroge :

 

https://www.politico.eu/newsletter/playbook-paris/politico-playbook-paris-la-question-apr-le-plein-de-plaintes-soir-de-conseil/?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1621832778

 

Il est également intéressant de rappeler qu’un président de la République en exercice et donc

Chef des Armées (François Hollande), a pu accorder 61 entretiens à deux journalistes

d’investigation qui en ont fait un livre de 672 pages rendu accessible au public en 2016.

 

Ce livre a pour titre « Un Président ne devrait pas dire ça » et pour sous titre : Les secrets

d’un quinquennat ». Ce chef des Armées françaises a donc dit ce qu’il ne devait pas dire et a

livré au passage quelques secrets militaires, mettant en jeu la vie de ses soldats. Il n’a pas, à ma

connaissance, été inquiété par la Justice ni n’a comparu devant un Conseil Supérieur des Forces

Armées. « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blancs

ou noirs ».

 

A ce simple rappel historique, le lecteur mesurera l’énormité de la mascarade qui se prépare

pour de simples lanceurs d’alertes qui ont su défendre contre des politiques de mauvaise foi,

l’alarme qu’ils avaient sonnée.

 

Rappelons enfin qu’on accuse les généraux signataires et défenseurs de la tribune d’avoir porté atteinte à « l’image des Armées ». Sachant que le verdict sera prononcé par le Chef des Armées (juge disciplinaire) que l’on voit sur les deux « images » qui suivent (il y en a beaucoup

d’autres .....), je laisse les lecteurs «électeurs» et les membres du CSFA juger par eux même qui, du juge disciplinaire (le Président) ou des « déclarés coupables » porte atteinte à « l’Image » des

Armées.

 

 

 

En conclusion :

 

J’ACCUSE Monsieur Mélenchon, Madame Pannier Runacher, Madame Parly de nous avoir diffamé, avec absence de bonne foi et des interprétations tendancieuses, en nous traitant de factieux, de putschistes ou de séditieux et en nous accusant d’avoir lancé un appel à l’insurrection. Ils auront à en répondre devant la Justice civile sachant que Monsieur Rémi Heitz, procureur de Paris, a déjà qualifié ces accusations d’infondées.

 

- J’ACCUSE, Madame Parly, ministre des Armées, d’instrumentaliser, comme ses prédécesseurs des affaires Dreyfus et De Gaulle, une procédure disciplinaire lancée contre des généraux en retraite qui ne sont pas, jusqu’à preuve du contraire, des sous-citoyens réduits au silence jusqu’à la fin de leurs jours.

 

Le lecteur doit comprendre que, dans cette affaire, Madame Parly est à la fois partie, procureur-disciplinaire et quasi-juge disciplinaire.

 

Elle est partie parce qu’ elle est l’une de nos principales diffamatrices contre laquelle les

comparants ont défendu la lettre d’alerte.

 

Elle est procureur disciplinaire parce que c’est elle qui a décidé de la culpabilité de 6 généraux sans débat contradictoire. C’est elle qui a signé la lettre d’envoi devant un Conseil Supérieur des Forces Armées (CSFA) dont elle a, elle même, désigné le rapporteur et sélectionné les membres parmi des officiers généraux qui lui doivent leur carrière et leur promotion future.

 

Elle est quasi-juge disciplinaire parce que c’est elle qui proposera la sanction au Président

      de la République.

 

Le lecteur notera que le CSFA ne juge pas de la culpabilité mais donne simplement un

« avis » sur le niveau de sanction et que la ministre peut aller au-delà de l’avis du conseil, avec

l’arbitraire le plus total. C’est ce qui est prévu par le code de la défense que j’ai qualifié d’obsolète.

 

Le lecteur notera aussi que la sanction a déjà été publiée dans les médias avant toute comparution et qu’il s’agit d’une radiation des cadres. Cette radiation correspond, en fait, à une mise en retraite, ce qui est déjà notre position depuis l’âge de 67 ans.

 

Le lecteur doit donc comprendre que cette mascarade relève de la gesticulation et de la

communication politicienne du plus bas étage.

 

Devant cette absence de bonne foi et cette duplicité, J’APPELLE les électeurs à voter et à faire voter leurs proches massivement pour éviter que l’abstention ne profite aux plus malfaisants et/ou incompétents des candidats et/ou des partis politiques.

 

L’abstention dans un scrutin est, aujourd’hui, suicidaire pour notre pays et pour son avenir. Il faut participer, non seulement par devoir citoyen, mais pour que notre pays puisse enfin changer de logiciel et espérer sortir de l’état de délitement dans lequel il se trouve.

 

Votez pour qui vous voulez, mais ne votez pas blanc, car votre suffrage ne sera, hélas, pas

compté comme suffrage exprimé.

 

Sanctionnez par vos votes ceux qui sanctionnent et qui utilisent la diffamation, le mensonge, et

l’instrumentalisation des outils de pouvoir pour continuer d’exister et de nuire à notre pays.

 

Sanctionnez sans faiblesse, en votant pour d’autres, les malfaisants, les incompétents et ceux

qui les soutiendraient ou s’allieraient avec, dans des magouilles d’entre deux-tours.

 

Sanctionnez aussi les médias qui nous manipulent au quotidien. Les candidats qui ont leurs

faveurs et qu’ils tentent de promouvoir ne sont souvent pas les meilleurs.

 

Le vote démocratique est désormais le seul moyen de sortir rapidement et pacifiquement de

la spirale du déclin et du déclassement de notre pays, le seul moyen pour qu’il retrouve un

minimum d’ordre, d’indépendance, de souveraineté et de prospérité.

 

Je lance donc un appel à l’insurrection par le vote. Insurrection républicaine qui rythme la

vie politique et démocratique de notre pays depuis fort longtemps et qui revêt une importance

particulière, pour ne pas dire vitale, aujourd’hui.

 

Le redressement du pays ne se fera pas par l’illusion, la déconstruction de notre histoire, la

fusion dans une Europe molle, la dangereuse soumission aux USA et à l’OTAN actée le 14 juin au

28ème sommet de l’OTAN, le surendettement sans limite et l’« ardoise » que nous laisserons à nos petits enfants. Il se fera dans un sursaut et un effort collectif que j’appelle de mes vœux.

 

Bonnes élections régionales et locales à tous.

 

En ce vendredi 18 juin 2021.

 

Général de Cacqueray, Général Coustou, Général Delawarde, Général Gaubert, Général Martinez,

 Général de Richoufftz

 

Note complémentaire : Le gouvernement vient de faire voter en première lecture à l'Assemblée

nationale une modification de la loi qui régit les conseils de discipline pour les avocats. Cette

modification législative indique que le conseil de discipline pour avocat est une " Juridiction ",

comprendre une véritable juridiction, qui chacun le comprend doit conduire des procès

équitables.

 

Les 6 généraux qui font l'objet d'une procédure disciplinaire ont adressé à Monsieur le Premier ministre un recours en abrogation de plusieurs articles du Code de la défense qui régissent

la justice disciplinaire pour les militaires et une demande visant à réformer entièrement la justice

disciplinaire militaire dont personne ne conteste la nécessité et ce pour permettre des procès

disciplinaire équitable.

 

Nous ne sommes plus au temps de l'affaire DREYFUS, ni sous le régime de Vichy, le gouvernement ne peut pas " en même temps " poser le principe que la justice disciplinaire pour les avocats est rendue en première instance par de véritable juridiction et refuser de refondre entièrement la justice disciplinaire pour les militaires, comme le demande à juste titre les 6 généraux qui ont adressé au Premier Ministre un recours visant à obtenir l'annulation de plusieurs articles du Code de la défense qui prévoit en l'état une " justice disciplinaire d'exception " pour les militaires et pour ne pas dire une justice de type " Section spéciale ".

 

Sur le même sujet : "Exclusif : Très vigoureuse riposte des six généraux que le régime veut punir"

 


Le soit disant "dérapage" du Gal. D. Delawarde en direct dans "Morandini Live" sur CNews

Le 18/06/2021

..Jean-Marc Morandini "obligé" de le couper...! On ne peut pas laisser dire ça sur l'antenne...!"

 

 De qui se moque-t-on ? 

Qu'a bien pu dire le Gal. Delawarde ?  

Réponse : RIEN !

 

Comme vous pouvez le constater sur cette vidéo, le Gal. Delawarde n'a pas eu le loisir de finir sa phrase et encore moins préciser sa pensée... qu'il était déjà coupé...!

 

- En outre, vous noterez certainement que la question posée n'a aucun rapport avec , le sujet de l'émission : "J'accuse"

 

- Enfin, vous noterez avec quelle insistance, voire quelle hargne elle a été posée...

 

On se croirait revenu au "bon vieux temps" de l'Inquisition et des procès "staliniens" !

 

Tout cela laisse un goût étrange de machination, de piège conçu et armé en amont de cette interview avec pour seul but : Trouver un prétexte pour occulter une tribune démasquant les basses manoeuvres du "pouvoir"...et la connivence des médias...

 

A chacun d'apprécier et de se faire sa propre opinion.

 

JMR

 

NB : Il faut préciser que cette coupure n'a pas eu lieu après-coup, au montage de la vidéo mais en direct, à l'instant précis où le Gal. Delawarde prononçait le mot "communauté.." ! Surement une simple coïncidence ?

 


Morandini, Posternak, Coquerel, Licra : Les collabos contre les généraux !

...par  J. Sobieski et D. Moulins - Le 19/06/2021.

LES DELATEURS POSTERNAK, MORANDINI, COQUEREL ET LA LICRA CONTRE LES GENERAUX

Le général Delawarde ciblé par les collabos ! À noter le piège qui lui est tendu par le nommé Claude Posternak, suite à la fraude des élections américaines. On lui pose une question qui n’a rien  voir avec la tribune des généraux, et sur un mode très inquisitoire. Et comme Delawarde ne veut pas paraître se dégonfler, il tombe dans le piège. Et bien sûr, tous les collabos qui veulent discréditer les généraux sautent sur l’occasion pour le poursuivre et le dénoncer : Coquerel, Licra, etc. https://francais.rt.com/france/87951-licra-annonce-saisir-justice-apres-propos-juges-antisemites-general-delawarde-morandini-cnews

https://www.fdesouche.com/2021/06/18/eric-coquerel-de-lfi-denonce-des-propos-antisemites-du-general-delawarde-la-licra-se-saisit-des-faits/

Le pire est que, même si des Juifs possèdent des journaux, la majorité des journaleux juifs sont de gauche, et pro-Palestiniens, contre Israël. On n’entend pas beaucoup les prétendus antiracistes dénoncer leurs copains palestiniens, qui appellent juste au meurtre des Juifs et à la destruction de l’État d’Israël, ce qui est un peu plus grave que les propos, sans doute maladroits, du général Delawarde.

http://www.jpost.com/middle-east/eu-study-finds-incitement-in-palestinian-textbooks-remains-unpublished-670505

Mais il est clair que l’objectif des collabos, au service du régime de Macron et de ceux qui veulent détruire la France, est d’utiliser cet épisode pour discréditer l’ensemble des militaires qui ont alerté les Français sur le délitement de leur pays. On les voit venir de loin avec leurs gros sabots !.....

Lire la suite de l'article à l'adresse suivante : https://ripostelaique.com/morandini-posternak-coquerel-licra-les-collabos-contre-les-generaux.html

 


Pourquoi Morandini a-t-il empêché le général Delawarde de parler ?

...par Patrick Verro - Le 19/06/2021.

Pourquoi le général Delawarde a-t-il été brutalement censuré, en direct, lors de l’émission « Morandini Live » ?

LES FAITS :
REPLAY – MORANDINI LIVE DU 18/06/2021

https://www.cnews.fr/emission/2021-06-18/morandini-live-du-18062021-1095317

À partir de la 57e minute
Question du journaliste Claude Posternak au général Delawarde.

Il faut savoir que ce Claude Posternak, en tant que communiquant, fut un très proche d’Emmanuel Macron ; il est donc légitime de se demander s’il n’était pas là en service commandé !
« Les élections avaient-elle été truquées aux États-Unis, comme vous l’avez écrit dans une tribune ? lors d’une interview dans « La Tribune diplomatique internationale ».
Votre réponse va éclairer qui vous êtes puisque vous vous déclarez apolitique ; je vais donc éclairer les Français sur la nature de l’émetteur que vous êtes…
On vous a posé la question : L’hypothèse d’une fraude importante à quelques États clés le jour du scrutin aux E-U est-elle crédible ? ».

Réponse du général :
« Mon intime conviction me dit que oui, car il y a à mes yeux trop d’indices concordants pour permettre à la meute médiatique occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire ».

(À titre personnel, pour avoir visionné des dizaines de vidéos et lu beaucoup de témoignages concernant la question d’une fraude massive électorale aux USA, je ne peux que me poser la même interrogation que celle du général sur ce sujet – En revanche, ce qu’il ne dit pas, c’est que tous ces éléments d’informations ont très peu été repris en France par la presse dite « mainstream » !).

Interrogation du journaliste :
« Qui contrôle la meute médiatique ? »
(Question orientée qui s’éloigne du sujet de l’émission…)

Réponse du général :
« Vous le savez bien ! Qui contrôle la meute médiatique dans le monde et la France ? »

Le journaliste :
« Oui qui »?

Le général :
« Qui contrôle le Washington Post, le New York Times ; chez nous BFM TV, et tous les journaux qui viennent se grouper autour ? »
(À mon humble avis, le général, par le contenu même de sa nouvelle interrogation, a relancé la polémique et s’est donc laissé entraîner sur un sujet connexe, où il n’aurait pas dû aller…)

Le journaliste :
« Oui, Oui, qui sont ces gens, qui ? »,
(Il faut remarquer, à ce stade des échanges, le regard, figé dans la méchanceté du journaliste ; lequel finit par hurler avec son regard-revolver, de nouveau avec insistance).

« Qui ? »

Le général :
« Qui ? C’est la communauté que vous connaissez bien… »

(À la prononciation de ce terme de « communauté » Morandini intervient immédiatement : « non, on va en rester là – On ne peut pas laisser dire cela sur l’antenne. On coupe, on enlève le général… » ).

Surpris par cette censure violente, pratiquée en direct, j’ai cherché à comprendre ce qui s’était passé.

LE RÉSULAT DE MES RECHERCHES :
(Je tiens à préciser au préalable, et par précaution par les temps troubles qui courent, que mes parents ont aidé, au cours des années 40-45, bien des « Israélites » – comme on disait à l’époque – que moi-même j’ai travaillé pour Lionel Stoléru et Edmond de Rothshild, et que je considère que les Juifs ont suffisamment souffert pour qu’on les laisse enfin tranquilles ; et que je suis donc par conséquent nullement un antisémite.)

Qu’ai-je découvert ?
Que le « New York Times » et le « Washington Post » avaient cessé d’être distribués à la Maison Blanche du temps de Donald Trump ; sur Fox News, le Président américain s’en était pris, comme il l’avait fait très régulièrement, au New York Times. “Nous ne le voulons plus à la Maison Blanche. Nous allons probablement mettre fin (à l’abonnement) ainsi qu’à celui du Washington Post”, avait-il lancé ; “Ils sont fake”, avait ajouté le locataire de la Maison Blanche.
(De là à envisager que le général pouvait être un « trumpiste », donc un complotiste contre « l’État profond », il n’y avait pas loin !)

Que le « New York Times » est détenu par la NYT (NEW YORK TIMES COMPANY), dont le président et éditeur est Arthur O Sulzberger Jr, qui est issu d’une famille juive et la vice-présidente exécutive et chef de l’exploitation est juive aussi, et s’assumant comme telle…

Qu’en août 2013, Jeff Bezos, fondateur d’Amazon.com avait achète le « Washington Post » (alors propriétaire du groupe Graham Holdings), et qu’il en était toujours le détenteur… (À noter que : la ministre des Affaires de Diaspora israëlienne, Omer Yankelevitch, avait demandé à Jeff Bezos de supprimer d’Amazon les livres antisémites ; à ma connaissance il est impossible de savoir si celui-ci a accédé à cette demande).

Qu’en matière de fortunes acquises, les 4 premières places ont été raflées par Jeff Bezos, Bille Gates, Warren Buffet et Mark Zuckerberg pour respectivement 160, 97, 88 et 61 milliards de $.
Que le propriétaire de BFM TV n’est autre qu’Alain Weill, l’un des Juifs les plus riches de France et membre de la haute maçonnerie britannique ; que son nouveau patron, Marc-Olivier Fogiel, est un proche de Macron, qui lui avait proposé de travailler ensemble. Quant à savoir : qui est derrière BFM TV ? Voilà ce qu’on trouve sur internet :

https://www.youtube.com/watch?v=fUNI1OsLd5o&t=5s

D’ailleurs cette interprétation tendancieuse des propos du général Delawarde, faite de pleins de présupposés, n’a pas tardé à produire ses fruits puisque l’on apprend ce matin :
Que le parquet de Paris a ouvert une enquête sur le général, accusé d’avoir proféré des propos antisémites !
Le CRIF demande à l’Armée des sanctions contre le général et que la Licra va saisir la justice !
(Pour ma part je n’y vois que procès d’intention pour faire taire le général et impressionner ceux qui entendraient prendre sa défense ; « Qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage » avait écrit ce bon Jean de La Fontaine, car enfin le seul mot « tendancieux » prononcé par le général est celui de communauté, lequel correspondant, ainsi que je viens de le démontrer, à une réalité incontestable…).

MON INTERPRÉTATION
En réalité ce qui pourrait être le plus visé, c’est cette crainte de la dénonciation ostensible des projets des mondialistes milliardaires -financiers, propriétaires de médias « mainstream » et grands manipulateurs de Big Data – tels que ceux décrits et dénoncés dans de nombreux articles et commentaires de Riposte Laïque.

En effet ces personnalités semblent bien avoir constitué entre elles cette communauté de convergences d’idéologie et d’intérêts, à laquelle le général Delawarde aurait pu faire allusion, et qui comprend à la fois des Juifs, des francs-maçons, des agnostiques et des athées (si on y ajoute Georges Soros)… et dont Emmanuel Macron semble être « le petit télégraphiste de New-York ».

Pour avoir assisté en direct aux manipulations possibles des résultats des sondages, par internet, et avoir pris connaissance des doutes fondés sur les trucages massifs, désormais possibles, des résultats électoraux grâce au logiciel Dominion, je crains vraiment que nous soit imposé ce système pervers (comme la pseudo-vaccination anti-covid) à la prochaine élection présidentielle française grâce à l’introduction du vote par correspondance ; d’où cette tentative d’éliminer par précaution toute tentative d’alerteur sur ce sujet !

Quoi qu’il arrive nous devrions exiger que, lors de cette prochaine élection, soient placés des observateurs représentatifs de la diversité des opinions et indépendants dans les opérations de collationnement et d’additionnement qui se passent à l’intérieur ou sous le contrôle du ministère de l’Intérieur, car on ne sait jamais…

Patrick Verro

Sur le même sujet, lire aussi : "De la meute médiatique" par Strategika 51.


Antisémitisme : Embuscade du LREM Posternak contre un général

...le 21/06/2021

Le général Dominique Delawarde est signataire de la tribune des généraux, comme 60 autres de ses collègues, et 27.000 autres anciens militaires. Il fera partie des six “meneurs” livrés en pâture à un tribunal militaire d’exception, pour être intervenu sur les plateaux télévisés. Il a rédigé une virulente riposte à cette mascarade de justice.

Exclusif : très vigoureuse riposte des six généraux que le régime veut punir

Mais invité sur un plateau de télévision, il est tombé dans une véritable embuscade, qui n’avait qu’un seul but : le faire passer pour un antisémite, et discréditer à travers sa personne l’ensemble des généraux.

Dans le rôle du commissaire politique, un obscur LREM qu’on dit communiquant, nommé Posternak, qui s’est fait un faciès à la Trotski. On ne lui souhaite pas la même fin, même si…

Un vrai coup de pute, remarquablement monté par la clique de Macron, avec la complicité de Morandini.

Éric Coquerel (LFI) dénonce des propos antisémites du général Delawarde, la Licra se saisit des faits

« On va pas partir là-dessus, on va arrêter là mon général, je suis désolé », a alors immédiatement déclaré l’animateur de l’émission, Jean-Marc Morandini. « On ne peut pas laisser dire ça sur l’antenne, je suis désolé, on coupe, on enlève le général », a-t-il répété.

Sur Twitter, la LICRA – qui a annoncé saisir la justice –, l’association SOS Racisme ou encore l’Union des étudiants juifs de France ont dénoncé ces propos. Il montre « son visage, raciste et antisémite », a estimé l’UEJF.

Le bal est lancé !

 

Source : Riposte laïque


Ma réponse à André BERCOFF

JMR - Le 21/06/2021.

A L'ATTENTION PERSONNELLE DE MONSIEUR André BERCOFF.
( aux bons soins de Mme C. Choudiakova, son assistante - choudiakova@sudradio.fr)
Monsieur,
 
C'est un admirateur surpris et très déçu qui s'adresse à vous aujourd'hui, en découvrant le "tweet" ci-dessous :

Le bal est lancé !

Lors de son ITW, le Gal. Delawarde n'a jamais prononcé le mot "juif". Il n'a jamais "ressassé" de propos antisémites et vous le savez pertinemment.  
Il est évident que Morandini et Posternak ont conçu et armé ce piège bien en amont de l'ITW...piège dont le seul but est de discréditer les généraux, tuer dans l'œuf leur réplique aux accusations fallacieuses d'une certaine caste médiatico-politique...et, cerise sur le gâteau lui coller sur le front l'étiquette infamante "antisémite". 
Alors, aujourd'hui, je comprends mieux  la portée du message que mon ami vous a envoyé le 19/06 . Il n'est pas antisémite et vous le démontre.
Je constate donc avec beaucoup de tristesse que vous aussi, vous hurlez avec les loups, VOUS, que je croyais au-dessus de la mêlée...indépendant de la "meute médiatique".
Vous vous associez à une calomnie gratuite, sans fondement comme toutes les calomnies...
Et pour défendre QUI ? Je vous le demande !
Ferez-vous amande honorable ?
Ce serait une belle preuve de "COURAGE" que de dire la VÉRITÉ comme vous le faisiez jusqu’à aujourd'hui, affronter, vous aussi la "meute médiatique" pour un juste cause.
Pour terminer, vos émissions avaient une place privilégiée sur mon site. Dorénavant, j'y regarderai à deux fois avant de diffuser vos prestations.
Profonde déception !
Salutations d'un "BAS DU FRONT"  
 
 
REGNIER Jean-Michel 
<<Le courge du temps de paix est souvent plus rare que le courage du temps de guerre...!>> G. D
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