Qui
vous gouverne ? Des énarques, certes, mais peu savent que tous ou presque sont membres de deux clubs sulfureux, le « Siècle » et la « French American Foundation ».
Si vous effectuez une simple recherche sur le Web, avec deux mots-clés : (Attali et
PDF), vous vous retrouvez avec plusieurs dizaines de documents traitant de la politique, l’économie ou la géopolitique englobant, les organisations occultes, le mondialisme, le
libéralisme, la finance… Un PDF (non signé) a attiré notre attention. Le titre « Qui Gouverne la
France ? » est plutôt symptomatique de la cacophonie qui règne dans l’Hexagone depuis quelques décennies. Autrement dit, la France n’est
plus un pays souverain, elle obéit à un pouvoir extérieur. Un panier de crabes décide pour le sort de 67 millions d’individus, une poignée d’un millier de personnes pille les
richesses et asservit tout un peuple. Quant à leurs maîtres autoproclamés, ils manœuvrent depuis un moment pour instaurer un gouvernement mondial, présenté comme le résultat d’une
« hyper-démocratie », sous
le contrôle d’une oligarchie financière internationalisée.
Nous reproduisons, ci-dessous, l’intégralité du document :
Qui
Gouverne la France ?
Qui vous gouverne ? Des énarques, certes, mais peu savent que tous ou presque sont membres de deux clubs sulfureux, le « Siècle » et
la « French
American Foundation », deux clubs parmi les plus discrets mais les plus influents de France. Le Siècle est une
filiale du club de Bilderberg, La French American
Foundation est de son côté une filiale du
Council on Foreign Relations, dont le programme 2008-2013 est connu sous le nom de « Nouvel Ordre
Mondial ».
Le
Siècle
Le club Le Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges
Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30% des membres sont actuellement connus comme étant francs-maçons. Il espérait rester anonyme, son existence a été révélée pour la
première fois en 1977 par un article de l’Humanité. La liste de ses membres a été publiée contre sa volonté en 2011.
L’adhésion coûte 150€/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800 membres, appelés « invités » ce qui leur permet de mentir effrontément en niant
leur appartenance au club comme membres à part entière puisqu’ils y sont seulement « invités ». Seulement pour devenir « invité », il faut faire acte de candidature et
être recruté par cooptation au sein du conseil d’administration, sur proposition d’un membre (invité) plus l’un des quinze administrateurs.
Le Siècle se réunit une fois par mois, dix fois par an, le dernier mercredi du mois, pour un souper au Crillon place de la Concorde, dans les luxueux salons
de l’Automobile Club.
En
2011, un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril entre les deux tours de la présidentielle, c’est là qu’il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à Hollande, ce qui
expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le civil et le peu de vitalité manifesté par l’état-major de l’UMP pour le soutenir à partir de ce jour-là.
Plusieurs des membres du Siècle sont, comme Valls et
Jospin, également membres du club de Bilderberg. Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu’il était nécessaire de pousser Hollande à la
présidence, un Hollande plus
docile aux suggestions du Bilderberg que Sarkozy, trop « électron libre » et trop proche d’Angela Merkel.
Or,
le Bilderberg ne veut pas d’une co-gestion franco-allemande de l’Europe, mais d’une co-gestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il rejoint l’objectif de la French
American Foundation.
Jospin, à la fois membre du Bilderberg et du Siècle, et qui avait déclaré ne plus vouloir faire de politique, fut si présent pendant la campagne
présidentielle car il était là pour surveiller que les instructions du directoire du Bilderberg serait bien respectée par tous.
Le
Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le maximum de ses membres au gouvernement, peu importe qu’ils soient PS ou UMP. C’est la raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre
avait fait « l’ouverture » avec d’autres membres du club comme Attali.
Vous comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bords politiques en voyant la liste des « invités » ci-dessous:
Président depuis janvier 2011 : Nicole
Notat, l’ancienne syndicaliste CFDT ;
Vice-présidents : Olivier
Duhamel, journaliste politologue qui écrit dans Valeurs Actuelles (et le frère d’Alain) et Henry
Loirette, président du musée du Louvre ;
Trésorier : Marc Tessier, ancien président de France Télévision
Secrétaire général : Étienne
Lacour, directeur de la rédaction de la Société Générale de Presse.
Quelques « invités », membres du Siècle, sont issus de la finance et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques) en activité (114 sur 120 en
2009) appartiennent au Club…
Thierry Breton (ancien ministre des Finances) ; Alain Lamassoure (ancien ministre du Budget) ; Pascal Lamy (ancien inspecteur général des
finances, directeur de l’Organisation Mondiale du Commerce) ; Alain Minc (ancien inspecteur général des finances, essayiste, président de SANEF) ; Christian Noyer (ancien
directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque de France) ; Dominique Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg) ; Jean-Claude Trichet (ancien directeur du
Trésor, ancien Gouverneur de la Banque de France, ancien président de la Banque Centrale Européenne) ; Jacques
Attali (conseiller d’État, président de PlaNet Finance) ; Claude Bébéar (ancien président d’AXA, président de l’Institut Montaigne) ; Antoine Bernheim (dirigeant associé de la
banque Lazard) ; Daniel Bouton (ancien directeur du Budget, ancien président de la Société Générale) ; Jean-Yves Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais) ; Michel Pébereau (ancien
président de la BNP Paribas) ; Jean Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais) ; Édouard de Rothschild (banquier et homme d’affaires, Bilderberg) ; Jean-Paul Agon
(directeur général de L’Oréal) ; Delphine Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault) ; Bernard Bigot (patron du CEA) ; Bernard Boulito (Heinz et Asics) ; Stéphane
Courbit ; Serge Dassault ; Étienne Davignon ; Louis Gallois ; Guillaume Pepy ; Antoine Guichard (ancien PDG du Groupe Casino) ; Philippe Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom) ; Louis
Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de la HALDE) (La liste n’est pas limitative, et ne comporte que les plus connus).
On
y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes et éditeurs de presse…
Arlette Chabot ; Jean-Marie Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde) ;
Anne-Marie Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias) ; Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France 2) ;
Teresa Cremisi (présidente des éditions Flammarion) ; Alain Duhamel (politologue, chroniqueur à RTL) ;
Michel Field (journaliste sur Europe 1) ;
Franz-Olivier Giesbert ; Claude Imbert (journaliste au Point) ;
Odile Jacob (éditrice) ; Denis Jeambar (ancien directeur des éditions du Seuil) ; Laurent Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du Nouvel
Observateur) ; Serge July (ancien PDG de Libération) ;
Julien Kouchner (directeur général de l’Agence CAPA) ; Étienne Lacour (secrétaire général du Siècle) ; Maurice Lévy (PDG de Publicis) ; Serge Moati (journaliste
sur France 5) ;
Denis Olivennes (directeur d’Europe 1) ;
Sylvie Pierre-Brossolette ; Bernard Pivot ; Patrick Poivre d’Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1) ;
Alain de Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas) ; David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé, France 2) ;
Alain-Gérard Slama (journaliste au Figaro et
à France Culture)
; Anne Sinclair ; Marc Tessier (ancien président de France Télévisions).
Sans
oublier les personnalités politiques…
Martine Aubry PS, Michel Barnier UMP, Jacques Barrot Centriste-UMP, François Bayrou Modem, Éric Besson PS – UMP, Jeannette Bougrab UMP, Hervé de Charette
Centriste, Jean-Pierre Chevènement PS, Jean-François Copé UMP, Laurent Fabius PS, Luc Ferry UMP, Aurélie Filipetti PS, François Fillon UMP, Élisabeth Guigou PS, Adeline Hazan PS,
Martin Hirsch PS, François Hollande PS, Nicolas Sarkozy UMP, Jean-Paul Huchon PS, Anne-Marie Idrac PS, Lionel Jospin PS et Bilderberg, Alain Juppé UMP, Bernard Kouchner PS, Jack Lang PS,
Noëlle Lenoir ?, Corinne Lepage centriste, Charles Millon droite, Pierre Moscovici PS, Jean-Pierre Raffarin UMP, Manuel Valls PS, Jacques Toubon UMP, Michel Vauzelle PS, Henri Weber PS,
Hubert Védrine PS, Rama Yade UMP, Marisol Touraine PS, Fadela Amara PS, Rachida Dati UMP, …
Et
enfin, la liste ne serait pas complète sans les syndicalistes…
Jean-Christophe Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances, puis receveur général des hypothèques) ; Nicole Notat (présidente de Le
Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo) ; Laurence Parisot (présidente du MEDEF) ; Ernest-Antoine Seillière (ancien président du MEDEF).
Si vous doutez encore qu’il y ait une formidable collusion entre presse, finance, banques, affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez :
Au cœur du pouvoir : enquête sur le club le plus puissant de France Emmanuel
Ratier « Les Nouveaux Chiens
de garde », film sorti en 2012 de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat dans lequel ils dénoncent le Siècle comme un lieu de collusion entre politiques et
journalistes.
Depuis novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sont mis à disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la place de la Concorde et
dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin, préfet de police de Paris, également membre du club afin d’assurer la protection de tous ces joyeux drilles, majoritairement
énarques et Sciences Po, qui soupent ensemble et préparent les mauvais coups qu’ils vous destinent tout en faisant semblant de se battre au petit écran et dans la presse.
L’important
dans une bande de copains, n’est-il pas de se repasser les bons coups et les affaires juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les
cochons de payants.
*
La French
American Foundation (FAF)
La French American
Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council on Foreign
Relations (CFR) américain et, dans sa version française, conjointement par les présidents Ford et Giscard
d’Estaing pour cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français.
Le Council on
Foreign Relations est un think
tank (club de réflexion
ou « laboratoire
d’idées ») non partisan, américain, ayant pour but officiel d’analyser la politique étrangère américaine et la situation politique mondiale.
Le CFR souhaite que ses membres reflètent la diversité de la société américaine et entend développer l’expérience de la génération montante de leaders en
proposant des programmes qui incluent des rencontres et des discussions avec les officiels du gouvernement, des leaders mondiaux et des membres éminents de la communauté des affaires
étrangères.
Le cœur de son think tank est le David Rockefeller
Studies Program, composé d’environ cinquante « adjoints » (pendants des « invités » du Siècle), tant démocrates que républicains. Cette noble assemblée se
méfie des partis politiques, qu’elle range en bloc aux côtés des « factions » de tout acabit et considère comme un grave danger pour la République américaine.
Pensant
que l’architecture de gouvernance mondiale reflétait trop le monde tel qu’il existait en 1945 et n’était plus adapté au monde actuel, le CFR a lancé en 2008 un programme de cinq ans
intitulé « International Institutions and Global Governance, World Order in the 21st Century ». Connu en France sous le nom « Nouvel Ordre Mondial ».
Le
programme du CFR se focalise sur quatre grands défis :
Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme,
Promouvoir la sécurité énergétique,
Gérer l’économie mondiale,
Prévenir et répondre à des conflits violents.
Quand on parle de la French American Foundation, filiale du CFR, évoquer le principe d’un « club cultivant
l’amitié entre les peuples américain et français » comme le prétendent ses statuts est une aimable
plaisanterie.
À la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs et dirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles et idéologiques doivent
agiter les esprits de la FAF.
En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck
Carlucci du groupe Carlyle ; David
Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou
encore Ernest-Antoine
Sellière, ancien président du patronat français et européen et président du groupe de Wendel.
À ce niveau, la philanthropie n’existe pas.
L’objectif
de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant à l’élite politique, économique, militaire et journalistique afin de véritablement quadriller le terrain.
C’est le professeur de science politique et membre du CFR, Ezra
Suleiman, qui fut pendant des années le seul habilité à accepter les recrues françaises de la FAF désignées par le terme de « Young
Leaders ».
« Depuis son lancement
(en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité ».
Côté américain, nous pouvons relever le président Bill
Clinton ; Hillary
Clinton ministre des Affaires étrangères d’Obama et l’ex-patron de l’OTAN en Europe, le général Wesley
Clark. Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes comme Christine Ockrent,
JeanMarie Colombani (Le Monde), Emmanuel Chain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux élus socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, etc. ;
et de l’UMP, Alain Juppé, Valérie Pécresse, Jacques Toubon, Éric Raoult, etc. et aussi Nicolas Dupont-Aignan.
L’énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme.
Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous vivons dans le régime du parti
unique.
En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y a une autre politique possible.
En fait, les dirigeants énarques de l’UMP et du PS mènent le pays vers la même direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, à direction
unique.
Pourquoi pas, si cela se traduisait par une gouvernance vraiment efficace et l’amélioration des conditions de vie de la population dans la liberté,
notamment celle de penser ?
L’ennui, c’est que ce n’est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur des mondes ou 1984 de Orwell.
Le cas de Nicolas
Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, il défend avec passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme. En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF,
depuis 2001, le prouve. Si Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French American Foundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement des gages prouvant sa bonne foi. On ne
trompe pas facilement les élites mondialistes de la FAF. Ce politicien est
utile au système parce qu’il est un dérivatif.
Dans le cas de Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement en faveur de la cause nationale, défendue par le FN, pour ensuite arrondir les angles et
empêcher que les « patriotes » puissent diffuser de véritables informations sur les origines du mondialisme. « Quand on ne peut pas
arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite.
C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie de l’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French American Foundation compte tenu des conditions de sélection
pour y adhérer. Quand on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un
ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, il a ensuite
échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?
C’est le cas de
François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir,
la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes
entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé » ~ Pierre Hilliard, Revue-républicaine.fr
Sur
les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement. François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996, Marisol
Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ».
Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public,
sponsorisée entre autres, et ce n’est pas par hasard, par la banque
franco-américaine Lazard dont le directeur est le très socialiste Mathieu
Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.
En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre le programme phare mis en place par la FAF, la French American
Fondation.
La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. À noter qu’entre 1997 et 2001, c’est John
Negroponte qui présida la FAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges
Bush, le premier directeur coordonnant tous
les services secrets américains (Direction of National Intelligence), et dirigeant l’US States
Intelligence Community qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA.
Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’en enorgueillit à juste titre le site américain de la FAF : « La French American
Foundation est fière de compter cinq Young Leader dans le cabinet du président François Hollande, lui-même Young Leader en 1996 », tandis que son site français n’en dit pas un
mot. C’est beau la discrétion, la transparence et la morale républicaine !
« Pourquoi est-ce que
les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour les cheeseburgers dont on n’a rien à faire
? ».
Qu’ils demandent donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs pour
des cornichons !
Qu’ils la demandent en particulier aux Young Leaders des médias, aujourd’hui actionnaires ou directeurs des principales rédactions, ces copains de promo de
certains de nos nouveaux ministres pour certains d’entre eux : de Laurent
Mouchard-Joffrin (Nouvel
Observateur) à Denis Olivennes (Europe
1, Paris
Match et JDD), en passant
par Matthieu Pigasse (Banque Lazard et Inrockuptibles), Louis
Dreyfus et Erik
Izraelewicz (Le Monde) … Et
la liste des hommes de médias Young Leaders est longue, comme on peut la lire plus intégralement dans l’enquête « Ils ont acheté la
presse ». (Benjamin Dormann, cité par Atlantico).
À New York, la venue de François Hollande et de sa nouvelle équipe était attendue sereinement. Vu de la FAF, « Welcome à la Hollande team » ; on
reste en terrain connu, tout est sous contrôle, on est même fier d’avoir autant de ses poulains dans la place, nous l’avons vu.
Depuis le discours présidentiel du 12 juillet 2021, beaucoup de nos concitoyens ont le sentiment de ne plus vivre dans un régime politique de liberté. On
entend parler de dictature et certains font même référence, de manière pas toujours appropriée à la période de la Seconde Guerre mondiale. Il faut donner raison au bon sens populaire :
nous ne sommes plus en démocratie. Mais comment désigner la nouvelle forme politique dans laquelle nous vivons ? Dictature, tyrannie, totalitarisme : peut-on employer de tels mots ? Oui,
à condition de bien comprendre quels sont les leviers du pouvoir moderne : mondialisme, capitalisme de surveillance, nudge, fascisme gris, passons en revue les différentes facettes d’une
confiscation des libertés qui n’est pas que française.
Quoi ? Nous serions en dictature ? Mon cher, vous êtes ridicule. Vous voyez bien que vous avez toute liberté pour traiter Emmanuel Macron de dictateur. Vous
n’y êtes pas. ça c’est la version gentille. La version méchante de la bien-pensance, c’est ce qu’on trouve actuellement dans le journal Libération, la réduction des manifestants contre le passe sanitaire à un ramassis d’antisémites et de gens d’extrême droite.
Précisément, direz-vous, la reductio ad Hitlerum permanente depuis des décennies, l’amalgame entre nation et nazisme, le recours systématique aux termes
populisme, complotisme, fachosphère etc… sont insupportables. Pourquoi tomber dans l’excès opposé, consistant à traiter Macron de dictateur ?
En réalité, nous devons sortir des stéréotypes. Au pays de Etienne de La Boétie (1530-1563,portrait ci-contre), l’auteur du magnifique « Discours de la
servitude volontaire », et de Raymond Aron (1905-1983), courageux pourfendeur des totalitarismes à une époque où il était à la mode d’aimer l’URSS, on devrait savoir que la tyrannie avance
souvent masquée.
La
relation ambiguë des Français à la liberté
Alexis de Tocqueville (1805-1859) faisait remarquer la difficulté des Français à dégager une idée claire et, surtout, une pratique de la liberté. Pour lui, la quête de liberté
est en permanence entravée, en France par le souci non moins ancré d’égalité (au moins formelle). Et pour rester dans une réflexion libérale, on remarquera que l’État a souvent utilisé,
depuis la Révolution, l’aspiration à l’égalité pour étendre son domaine d’intervention dans les affaires privées, aux dépens de la liberté civique.
On incrimine la longue tradition monarchique française. Mais force est de constater que les rois de France disaient « mes peuples » quand ils
parlaient des Français et qu’ils ont encouragé depuis le Moyen-Age les libertés communales. Dans L’Ancien régime et la Révolution, Tocqueville souligne le contraste entre les innombrables limites au pouvoir des rois et la centralisation accélérée qui a commencé avec
la Révolution.
On reproche aussi à Charles de Gaulle d’avoir forgé une « monarchie républicaine ». Pourtant, c’est le système politique républicain, revigoré
après mai 1968, qui l’empêcha de faire la
grande réforme de la régionalisation et de la décentralisation. Après le départ du général, ce même système républicain s’est empressé de rogner progressivement les pouvoirs réels du
président : cohabitations, passage au quinquennat, recours très rares au référendum. Nicolas Sarkozy, François Hollande, Emmanuel Macron, chacun à leur manière, ont beaucoup gesticulé,
avec de moins en moins d’efficacité à chaque nouveau président; en revanche, la période 2007-2021 est marquée par une poussée de centralisation sans précédent.
Et ce qui différencie Emmanuel Macron de ses prédécesseurs, c’est qu’il semble maîtriser les mécanismes à l’œuvre.
De quoi
le macronisme est-il le nom ?
On se rappelle comment, après l’explosion de Beyrouth, le 4 août 2020, Emmanuel
Macron s’est rendu au Liban et a mis en demeure les élites politiques du pays de ramener l’ordre et la prospérité. D’ultimatum en conférence internationale sur sur le financement
du pays, qu’a
obtenu le président français ? La situation dramatique d’un pays ravagé par la corruption d’une partie des élites, les rivalités entre les grandes puissances et l’inflation
a-t-elle changé ? Jugé à l’aune de tous ces chefs d’État français qui l’ont précédé pour entretenir des relations historiques entre les deux pays, Emmanuel Macron a lamentablement échoué.
Mais tel n’était pas l’objet de son déploiement d’activisme. Nicolas Sarkozy se jugeait encore comptable envers le peuple français ; François Hollande avait encore un peu de mauvaise
conscience sociale. Emmanuel Macron lui n’a plus de lien affectif avec la France, son histoire, ses institutions, son peuple. La France n’est qu’un tremplin, une scène à partir de
laquelle le président français entend se faire sa place dans la nouvelle aristocratie internationale qui se constitue progressivement, depuis 1945, au travers de la gouvernance mondiale
en construction. Évidemment, il lui faut être réélu ; mais il semble mieux parti que ses deux prédécesseurs, paradoxalement, car il a décidé de jouer à fond du levier de la gouvernance
mondiale – à travers l’Union européenne et l’ordre sanitaire international.
Emmanuel Macron est le plus terrifiant des chefs d’État qui ait jamais gouverné la France parce qu’il est le
premier qui n’éprouve rien pour son propre pays. Il évite de retourner en Amiens qui l’a vu grandir ; il a
supprimé l’ENA, qui a fait sa formation et sa carrière ; il ne jure que par la « souveraineté
européenne » et décrit ses compatriotes comme des « Gaulois
réfractaires », « des
gens qui ne sont rien » etc… Et, depuis le début de la crise sanitaire, il ne se préoccupe pas de soigner les Français mais d’accélérer, grâce à des politiques sanitaires
aussi rationnelles sur le papier qu’inefficaces en réalité, l’insertion de la France dans un gouvernement mondial ; ou plutôt son intégration au noyau des décideurs qui, il en est
convaincu, administreront le monde de demain avec
quelques principes simples : vaccination obligatoire, pass numérique polyvalent, crédit social pour sélectionner les membres de l’élite, suppression des frontières pour détruire
les nations par l’immigration, normes environnementales draconiennes, monnaie purement numérique gérée par une seule banque centrale etc…
Ce qui nous menace, ce n’est pas une dictature exercée sur les Français par un Français à la fois patriote et anti-démocrate ! Ce n’est pas un nouveau
bonapartisme ni même un boulangisme ou un populisme autoritaire façon latino-américaine. C’est la destruction de la République et une liquidation de la nation au profit d’une immense
construction impériale éventuellement constituée de quelques sous-ensembles mais administrée à coups de téraoctets, le plus souvent à des milliers de kilomètres des administrés.
Emmanuel Macron a saisi l’occasion de la crise sanitaire pour acquérir les leviers qui lui permettront de neutraliser la question de sa réélection. Elle
sera acquise par défaut, parce que les adversaires politiques croient que jouent encore les règles de la République. Et parce qu’ils sont incapables d’analyser ce qui se passe.
Le
fascisme gris
J’appelle « fascisme gris » le système de pouvoir qui se met en place dans les pays occidentaux et dont Emmanuel Macron entend être le premier
bénéficiaire en France :
• Comme le fascisme historique, le système qui se met en place est fondé sur l’alliance entre les grandes entreprises, les grandes fortunes, la haute
fonction publique, les élites culturelles, politiques, militaires, les grands médias, pour confisquer le pouvoir à leur profit. Joël
Kotkin a raison de souligner ce qui le différencie du néo-maoïsme de Xi Jingping. En Chine, l’État est aux commandes, en Occident ce sont de très grandes entreprises qui donnent
le la.
• Fondé sur le potentiel de contrôle maximal des outils numériques, il repose sur ce que Shoshana
Zuboff appelle capitalisme de surveillance.
• Ce néo-fascisme est fondé comme le nazisme sur une ambition prométhéenne de contrôle de la démographie – transposé à l’échelle mondiale. Ses
penseurs analysent les défis environnementaux selon les termes d’une version à pleine modernisée de « l’espace vital ». La
planète doit être aménagée pour une minorité de « seigneurs » ayant accès aux technologies du transhumanisme pour
acquérir l’immortalité tandis que le reste de la population doit être soumis au contrôle des naissances et à des logiques mortifères de décroissance. Si l’on pense que j’exagère, j’ai
entendu de mes propres oreilles Jeffrey
Sachs expliquer dans un cadre universitaire que la terre se porterait mieux avec 250 ou 300 millions d’humains seulement.
• Plus proche, cette fois, du modèle mussolinien que de la référence hitlérienne, ce néofascisme met en scène des guerres
« théâtrales » – qu’il a d’ailleurs autant de mal à gagner que l’Italie des années 1930, comme le montre le fiasco afghan.
• Ce néofascisme est allé au bout de la mutation entamée après 1945 : de nationaliste, il est devenu internationaliste, de raciste il est devenu
antiraciste. Ses milices se disent « antifa »
mais dès qu’on les laisse faire elles emploient une violence de rue stratégiquement pensée au service du pouvoir, et qui débouche immanquablement sur un désir d’ordre dans les populations
– selon une mécanique dont Mussolini l’ancien homme d’extrême gauche, avait expérimenté le succès.
• Ce néo-fascisme est gris comme le « pouvoir
gris » dont il a tiré à l’origine sa puissance électorale. Il s’est imposé dans des populations vieillissantes, en flattant le désir de stabilité de la rente et de monnaie forte,
aux dépens de l’investissement, de l’éducation et des jeunes générations.
• Ce néo-fascisme est gris parce qu’il veille à rester indéfinissable, en termes de régimes politiques, nie son essence dictatoriale et conserve autant que
possible, les apparences de la démocratie.
• Ce néofascisme possède « cinquante
nuances de gris » car il s’installe au bout de la révolution sexuelle soixante-huitarde. Et il prospère au sein d’élites fascinées par le sado-masochisme. Christian Grey est le
symbole archétypique de l’élite mondialiste et le contrat qui le lie à la jeune Anastasia Steele – un contrat sans cesse remis en cause et reformulé par le renforcement de la pulsion
dominatrice de Grey – est le symbole parfait de la manière dont les élites mondialistes conçoivent le gouvernement des peuples. Le passe sanitaire en est une transposition au domaine de
la santé.
Le grand problème des débats sur le basculement de régime que nous vivons, c’est qu’on n’a pas en tête la modernité du fascisme – comparé au communisme –
largement fondé sur la coopération volontaire des administrés aux politiques de coercition et la sélection d’une élite complice dont on flatte les pulsions individualistes au service de
la cause. Tout ce que nous a appris la réflexion sur le totalitarisme, depuis presque un siècle, c’est que ce dernier est d’autant plus efficace qu’il est indirect et se vêt des atours de
la liberté.
Dire non
au NUDGE de plus en plus violent qui nous opprime
Le système de domination dont nous parlons est puissant. Sans que cela ait été fait consciemment, les mondialistes britanniques ont pris leur revanche sur
ce qui avait été leur première vraie défaite – le Brexit – en enfermant la Grande-Bretagne de Boris Johnson dans l’ordre sanitaire de la lutte contre le COVID 19. De manière tout à fait
consciente, cette fois – et avouée – le fascisme gris américain s’est mobilisé pour annuler la réélection quasi-acquise de Donald Trump. Joe Biden incarne d’ailleurs la version la plus
sénile de ce néofascisme.
On pourrait multiplier les exemples pour montrer comment on assiste à une généralisation de la
technique du nudge, cette incitation indirecte et contraignante empruntée à l’économie comportementale. L’instauration du passe sanitaire obligatoire pour certains lieux et certaines
catégories telle qu’Emmanuel Macron l’a mise en place lors de son discours du 12 juillet, relève de cette technique. Évidemment le processus est condamné à se durcir et déraper comme le
montre le cas australien où le gouvernement devient de plus en plus enfermiste en poursuivant l’objectif illusoire du « zéro Covid ».
Qu’est-ce qui pourra bien faire obstacle à la dynamique de destruction de la démocratie mise en place par une élite occidentale qui s’est révoltée contre
les peuples et qui fait sécession ? Il y a bien entendu des limites à la réussite de ce système, internationalement parlant. La rivalité avec la Chine néo-maoïste est de plus en plus
flagrante, jusqu’au sein des grandes instances internationales. Quelques nations resteront libres – on voit la résistance des peuples d’Europe centrale à l’ordre européen ; la
Russie, l’Inde et, sans doute le Japon refuseront de se plier aux injonctions qui leur sont faites.
Mais ce système est ainsi fait qu’il ne peut en fait qu’imploser de l’intérieur – s’il doit être détruit. Internationalement parlant, il peut très bien
vivre, en effet, de connivence avec l’islamisme, dans une sorte de « guerre froide » avec la Chine et les quelques grandes nations libres, en organisant de temps en temps des
interventions militaires à moitié « théâtrales » et à moitié mues par des intérêts économiques. En revanche, il peut être sérieusement remis en cause de l’intérieur
:
• Il est très frappant, d’une part, de voir comment l’opposition au passe sanitaire devient un mouvement international, présent dans de nombreux pays. Et le
danger pour le fascisme gris est la mobilisation de membres de l’élite au côté des peuples révoltés. Le Brexit a constitué un précédent. Une étude récente du MIT faisait ressortir combien le discours des anti-dictature sanitaire s’appuie sur une information fondée et scientifiquement étayée. Les
manifestations du samedi en France sont la première occasion depuis longtemps où l’on voit les classes sociales se mélanger à nouveau.
• La force des opposants, dans chaque pays, vient de ce que le mouvement national et la liberté sont en train de se réconcilier alors que depuis cinquante
ans on les opposait ou on les forçait à vivre séparément.
• Le numérique peut être utilisé de manière décentralisée et pour l’autonomisation de l’individu afin de répondre à son instrumentalisation tyrannique par
les États et les entreprises. Le risque que court le fascisme gris, c’est qu’il y ait suffisamment de geeks et de hackers renouant avec l’esprit libertaire d’origine de la révolution
informatique et qui décident d’attaquer les systèmes informatiques mis en place par la caste au pouvoir.
• On observe actuellement, pour s’opposer au pass sanitaire, non seulement la mobilisation dans la rue de plusieurs centaines de milliers de personne chaque
semaine mais aussi un réveil de la société civile, des réseaux d’entraide. Le nombre de chaînes Telegram ou Signal qui se sont fondées pour échanger les bonnes pratiques et les
informations est impressionnant.
• Enfin, n’oublions pas le facteur humain ! Non seulement les infrastructures numériques de l’élite sont à la merci de cyberattaques bien pensées mais, n’en
déplaise au Monsieur Homais de l’intelligence artificielle (le docteur Laurent
Alexandre) l’avenir n’appartient pas à une minorité suffisante d’hyper-diplômés mais à ceux qui sauront passer sous le radar de la surveillance numérique, organiser des réseaux
a-technologiques ou quand ils utilisent une technologie moderne les accompagner d’esprit de finesse, d’imprévu et du sang froid que donnent la mémoire et l’expérience humaine.
• Le système qui s’est mis en place a le défaut des structures impériales: ceux qui commandent sont de plus en plus loin de ceux qu’ils veulent administrer.
Ils perdent le contact avec le terrain. Et à la différence des structures impériales classiques, le fascisme gris dispose certes de forces de l’ordre mais les armées nationales lui
échappent encore en grande partie – comme l’a montré l’épisode des tribunes de militaires français au printemps.
• Il y a, enfin, un défi éducatif à relever. La caste au pouvoir sort d’institutions éducatives où l’on pense de manière de plus en plus stéréotypée depuis
trente ans. Il s’agira de créer de nouvelles institutions et de faire émerger une nouvelle élite.
Dans tous les cas, les raisons d’espérer et les failles du système qui se mettent en place sont nombreuses.
...proposé par le Gal. Dominique Delawarde - Le 12/09/2021.
Les présidents ou chefs d’état occidentaux gouvernent-ils réellement leur pays ?
Subissent-ils des pressions, des influences de la part de groupes ou de lobbies transnationaux dont la puissance financière dépasse, de loin, celle des États et qui, en occident, tiennent entre leurs mains l’avenir des hommes politiques et l’économie des pays qu’ils dirigent ?
C’est une question que beaucoup de citoyens ne se posent jamais (ils s’en fichent et votent sous le coup de l’émotion du moment), mais c’est une question que d’autres citoyens, plus curieux, plus lucides, plus inquiets pour l’avenir de leurs enfants, plus éduqués peut être, se posent avec insistance.
Il convient donc d’y répondre le plus simplement du monde en se mettant à la portée des moins instruits de nos compatriotes, en se fondant sur des faits incontestables et facilement vérifiables par tous, sur des sources inattaquables, pour que chacun comprenne comment fonctionne le «système» et pourquoi un petit nombre d’acteurs, parfaitement identifiés, peuvent affaiblir un pays, contrôler son économie, faire plier des gouvernements, faire élire ou abattre un président, décider de la paix ou de la guerre en fonction de
leurs intérêts, imposer leurs lois
et leurs règles tout en sauvant les apparences, s’emparer du contrôle des médias mainstream les plus
influents, manipuler les opinions publiques, contrôler une partie importante et suffisante des appareils
exécutif, législatif et judiciaire....etc, ...etc ....
Le documentaire ci après, de sources néerlandaises et anglosaxonnes mais présenté en français, entre dans les coulisses du grand « théâtre » occidental, de manière très pédagogique et très factuelle, et décrit la situation telle qu’elle est aujourd’hui.
Il fait apparaître, progressivement, les institutions qui contrôlent, en fait, l’économie occidentale, et qui détiennent l’essentiel de la puissance financière. Il fait apparaître clairement les liens inextricables qui unissent ces institutions entre elles.
Tous les géopoliticiens dignes de ce nom devraient garder aujourd’hui, en arrière plan de leurs réflexions et de leurs analyses, ces éléments fondateurs de «la mondialisation heureuse» que l’on nous promet et que certains « dominants » voudraient bien voir aboutir à leur plus grand profit. (Great Reset)
Branchez votre ordinateur sur votre téléviseur, installez vous dans votre fauteuil et vous comprendrez mieux la marche du monde après 45 minutes de documentaire.
Les plus curieux pourront, si l’idée leur en vient, creuser les biographies des individus qui ont fondé et/ou qui dirigent aujourd’hui les dix institutions dominantes. Ils découvriront alors QUI contrôle vraiment le monde occidental et, accessoirement,
notre pays.
...proposées par le Gal. Dominique Delawarde - Le 29/09/2021.
Bonjour à tous,
Trois courtes vidéos qui montrent, une fois de plus, la duplicité de ceux qui nous gouvernent.
1 - Dans un extrait d'interview de 2 minutes sur une chaîne inattaquable, du 26 Septembre 2021, Arnaud Montebourg aborde le problème du dépeçage de la France et
affirme très clairement: " dans cette affaire, Macron n'est pas complice, il est auteur".
2 - Dans le cadre de l'émission bien connue "C dans l'air", sur RTL matin, Olivier Marleix, président de la commission d'enquête sur l'affaire Alstom fait
apparaître la duplicité de l'exécutif et le rôle trouble joué par Monsieur Macron dans la catastrophe Alstom. L'émission démontre, au passage, l'importance d'Alstom dans la sécurité énergétique
nationale .... Cette vidéo date un peu, mais reste pourtant d'une actualité brülante.
3 - Dans sa dernière vidéo postée hier, Raoult revient sur le harcèlement "institutionnel" permanent dont il a été l'objet depuis 18 mois .... Il revient également
sur la baisse progressive de la létalité des variants Covid et explique les principales raisons de cette baisse.
En dépit des apparences, ces vidéos vont toutes les trois dans le même sens en faisant apparaître des méthodes mafieuses utilisées par un
exécutif que les électeurs français, manipulés par une meute médiatique instrumentalisée, ont porté au pouvoir en 2017.
Bonne ré-information
DD
A qui obéit Macron ?
...par Marc Le Stahler - Le 31/10/2021.
En un quinquennat, Macron a prouvé son incompétence. Sur 401 promesses faites en 2017, il n’en a tenu que
68, selon Davet et l’Homme, qui ont dressé son maigre bilan dans Le Traitre et le Néant. Comment construire pour 2022 un programme qu’il n’a pas su inventer en 2017 ?
Facile, répond Eric Verhaegue dans Le Courrier des Stratèges : appeler à l’aide un papy expérimenté, comme
l’a fait le trop jeune Emmanuel Macron propulsé au pouvoir par un autre vieux
pépé Jacques Attali qui, s’il suivait ses propres préceptes, aurait d’ailleurs dû être euthanasié depuis longtemps.
Jacques Attali reproche à Macron son ingratitude ? Klaus Schwab (83 ans bien sonnés), un
autre papy, a pris le relais. Le parallèle entre le programme mondialiste de l’un et les entreprises du président est vraiment troublant.
« Les ressemblances sont si frappantes qu’on se demande même si la France n’est pas le champ
d’expérimentation de la doctrine mondialiste » (Claude Verhaegue).
CROIRE AU GREAT RESET EST LA MARQUE DES COMPLOTISTES
Selon la presse subventionnée, le Great Reset est la marque des complotistes. Pourtant, le Great Reset est un projet
public, signé de Klaus Schwab, qui a donné lieu à une grande promotion publique en 2020, à l’occasion du Forum de Davos. : « Il est urgent que
les acteurs mondiaux coopèrent pour gérer simultanément les conséquences directes de la crise COVID-19. Pour améliorer l’état du monde, le Forum économique mondial lance l’initiative de la Grande
Réinitialisation » (K. Schwab, The Great Reset).
Depuis, la presse subventionnée a été priée de se taire pour ne pas contrarier le plan Schwab en cours d’exécution en France par Emmanuel
Macron.
L’erreur serait de croire que ce plan ne prend en compte que l’économie et la finance. À Davos, Schwab n’invite pas que les politiciens
dociles comme Macron, ou les pontes de la finance comme Bill Gates ou Christine Lagarde ; il a compris que l’écologie, en réclamant des changements de comportement dans la société et une
décroissance économique qui affaiblira les vieux, les faibles, les inutiles et les idiots d’Attali peut l’aider. En 2019, il a invité Greta Thunberg au Forum de Davos.
Mais comme Schwab, lui, n’est pas idiot, il s’est bien gardé de se faire photographier Greta, mentalement handicapée, image-type de ceux
qu’Attali liste comme devant être éliminés dès que possible. Il a laissé le Prince Charles, Trump et Christine Lagarde se faire complaisamment photographier avec elle. (taper GretaT., Davos,
images)
« Le Great Reset est indissociable de cette conviction selon laquelle la pandémie de
coronavirus doit servir à autre chose qu’à protéger la santé. En particulier, elle est l’occasion d’imposer des changements, des réformes, des décisions, dans le domaine
écologique » (KS p.118).
EN 2009, LES GUIGNOLS DE L’INFO L’AVAIENT PRESSENTI
Dans ses discours, E.Macron fait souvent référence aux « Lumières ». Tout le monde croit qu’il s’agit des Lumières du XVIIIème siècle. Et
bien non ! Il se prend pour un “leader éclairé”, une « lumière de la société », selon Schwab, qui exploite la situation pour faire autre chose que de la politique de santé
publique, en suivant scrupuleusement le plan KS, de Klaus Schwab.
Et Macron-la-Lumière ne vous parlera pas de cette émission, Les Guignols de l’Info, dans laquelle, en 2009, Sylvester
Stallone, président d’une multinationale de la pharmacie, explique à Patrick Poivre d’Arvor comment on s’enrichit avec une épidémie et des faux vaccins gérés avec un Business Plan.
LREM nous présente comme une grande et géniale preuve du grand soin que son président prend des Français : l’invention du passeport
sanitaire et du QR code qui, sachez-le, font une peur bleue au coronavirus, au point que ses protéines spike se hérissent,
rouges de terreur, et pressent le Covid de fuir le plus loin possible. De plus, ça permet de stigmatiser au fer les méchants non vaccinés et de donner des bonbons aux vaccinés. Encore une idée de
Schwab, développée dans son livre.
« Le traçage (contact tracing) et le
suivi (contact tracking) des contacts sont donc des éléments essentiels de notre réponse de santé publique à la COVID-19. Les deux termes sont souvent
utilisés de manière interchangeable, mais ont des significations légèrement différentes. Une application de suivi permet d’obtenir des informations en temps
réel en déterminant, par exemple, la position actuelle d’une personne grâce à des géodonnées via des coordonnées GPS ou la localisation d’une cellule radio. En revanche, le traçage de
contacts consiste à obtenir des informations a posteriori, comme l’identification de contacts physiques entre des personnes utilisant le Bluetooth » (KS p.131).
Il n’y a pas encore de suivi en temps réel parce que la loi l’interdit. Il semble que ce soit dans le projet présidentiel une fois sa
réélection acquise, il serait associé à la reconnaissance faciale, comme en Chine communiste, le rêve de Macron. Président à vie comme Xi Jinping, les opposants dans des camps où ces réfractaires
au progrès qu’est le totalitarisme sanitaire, mourraient à petit feu, sous les coups des gardiens ou pourquoi pas dépecés à vif, comme en Chine, pour vendre leurs organes (voir Dafoh.org). En
attendant, il faut multiplier les doses de produits expérimentaux inefficaces, mais rentables, appelés faussement « vaccins », c’est son business plan à lui.
FRANCE, AOÛT 2020, UN PLAN DE RELANCE SCHWABIEN
Au mois d’août 2020, le Premier Ministre et le Ministre des Finances ont présenté un plan de relance intégrant (si l’Europe reste d’accord)
des financements européens. Il est supposé « construire la France de demain ». En fait, il ne fait que traduire en chiffres la page 118 de The Great Reset :
« Les gouvernements dirigés par des dirigeants éclairés (les lumières de Macron) associeront leurs plans de relance à des engagements
écologiques. Ils offriront, par exemple, des conditions financières plus généreuses aux entreprises ayant des modèles économiques à faibles émissions de carbone ».
« Afin de relancer rapidement l’économie et d’obtenir des résultats en matière de décarbonation, de reconquête
industrielle, de renforcement des compétences et des qualifications sur l’ensemble du territoire, un plan exceptionnel de 100 milliards d’euros est déployé par le Gouvernement autour de trois
volets : la transition écologique, la compétitivité et la cohésion. Ce plan est soutenu financièrement à hauteur de 40 % par l’Union
européenne ».
Ces éléments sont à mettre en rapport avec les propositions multiples du Great Reset sur ce sujet, toujours en relation
avec l’idée du “leader éclairé” de la page 118.
Macron clone de Schwab. Bien des Français croient
que la docilité à la vaccination permettra le retour à la normale économique et aux libertés. La presse, toujours aux ordres de l’Élysée, le leur confirme en leur disant que s’il y a du retard,
c’est de la faute aux non-vaccinés, sans comprendre une évidence pourtant flagrante.
S’il s’agissait de vrais vaccins, on pourrait rêver, mais ce ne sont pas des vaccins, ce ne sont que des tests génétiques expérimentaux à partir d’OGM créés en laboratoires, comme dit sur tous les documents et brevets qui les concernent, hors
les documents de la propagande d’État et la presse, les seuls à parler de « vaccins ».
Plusieurs mois après le début de la pandémie, il semble que même un semblant de retour au statu quo pour la plupart des
entreprises de services soit inconcevable tant que la COVID-19 reste une menace pour notre santé. Cela suggère à son tour qu’un retour complet à la « normale » ne peut être envisagé avant qu’un
vaccin soit disponible. (KS, p.41).
QUAND SERA DISPONIBLE CE VRAI VACCIN ?
Quand le plan de la mondialisation de Karl Schwab sera arrivé à son terme : une terre, un peuple métissé de terriens décérébrés et
soumis et un seul gouvernement.
Mais pour en arriver là, il faudra encore « provoquer des changements qui auraient semblé inconcevables avant que
la pandémie ne frappe, tels que de nouvelles formes de politique monétaire comme l’« helicopter money », le réexamen/réétalonnage de certaines de nos priorités
sociales et une recherche accrue du bien commun comme objectif politique, la notion d’équité acquérant un pouvoir politique, des mesures radicales en matière de bien-être et de fiscalité, et des
réalignements géopolitiques drastiques.
L’« helicopter money » consiste à arroser différents secteurs de la population avec de l’argent fictif, puisqu’issu de « la
planche à billets » des banques centrales. C’est ce que fait actuellement Macron en vue de sa réélection.
Mais les économistes modernes oublient l’avertissement de J.M. Keynes : ces trucages économiques peuvent être utiles en période de crise,
mais en abuser produit de l’inflation qui annule à moyen terme leurs effets. Et il faut revenir vite à des budgets nationaux équilibrés, dit Keynes On en est loin avec les amateurs que nous avons
au gouvernement !
Dans les jours qui viennent, Vincent Bolloré, Patrick Drahi, Arnaud Lagardère et Xavier Niel seront entendus au Sénat, dans le cadre d’une
commission d’enquête. Non, non, non. Il ne s’agira pas de les cuisiner sur l’évasion fiscale, comme certains esprits taquins pourraient le suggérer.
Ils seront entendus au sujet d’un thème tout aussi important : La concentration de plus en plus étouffante des médias français aux mains d’une minorité de
milliardaires puissants, qui entretiennent des liaisons dangereuses avec les pouvoirs politiques. Au point de se mettre en tête de faire et défaire les présidentiables, voire de « fabriquer » nos
présidents.
« Quand je veux enterrer une
affaire, je crée une commission », disait jadis Clémenceau. Cet adage se confirmera-t-il ? En tout cas, il y a urgence à agir. On en est encore plus convaincus que jamais quand on a lu
ce livre « L’Élysée (et les oligarques)
contre l’info » de notre confrère et camarade Jean-Baptiste Rivoire, ancienne figure du journalisme d’investigation à Canal Plus et
fondateur de Off Investigation, un
site d’information spécialisé dans l’enquête, la vraie, celle qui dérange les puissants.
Merci à Gaviva qui nous a signalé ce vieux Tweet de Schwab, datant de 2017, où il évoquait avec cynisme et un sentiment d’impunité incroyable les « young
leaders » comme Trudeau et Macron :
–Schwab : Et je dois dire, quand je mentionne nos noms, comme Mme Merkel, même Vladimir Poutine et ainsi de suite, tous ont été
de jeunes leaders mondiaux du Forum économique (((de Soros ????? ))). Mais ce dont nous sommes très fiers maintenant, c’est qu’avec la jeune génération comme le premier ministre Trudeau, le
président de l’Argentine, etc., nous pénétrons les gouvernements, hier, j’étais à une réception pour le Premier ministre Trudeau et je savais
que la moitié de son cabinet et même, plus de la moitié, était de véritables leaders du Forum économique mondial.
– Interlocuteur : C’est vrai pour l’Argentine aussi
– Schwab : C’est ainsi aussi en Argentine et maintenant en France avec un président qui est un jeune leader
mondial