ANNÉES 30...

Années 30 ? L’énarque-banquier a tout faux !

 

...par Christian Vanneste - le 03/11/2018.

Homme politique

Ancien député UMP, Président du Rassemblement pour la France, Président de La Droite Libre


Notre précoce génie élyséen, sur le ton docte et réfléchi qu’on lui connaît, joue les « madame Irma » en reprenant un slogan anti-FN éculé.

Sur les déclarations de Manu l’extra-lucide, on ne peut que déplorer une fois encore l’argent public gaspillé à produire des énarques qui parlent avec assurance de choses dont ils ignorent tout. Comme d’habitude, il a plaqué sur la réalité une vision idéologique de l’Histoire, celle qui lui a été enseignée. Ainsi, donc, il y aurait une similitude entre l’Europe des années 1930 et celle d’aujourd’hui, une montée des nationalismes et un risque de guerre. Soit il s’agit de l’expression gravissime d’une ignorance abyssale chez un chef d’État. Soit il s’agit à nouveau d’une marque de mépris à l’égard des auditeurs à qui l’on pourrait faire gober n’importe quoi. Dans la seconde hypothèse, le jeu consisterait à introduire dans la montée des peurs qui menace l’Europe une nouvelle peur : celle de la montée des peurs… Comme le dit Luc Ferry, ignorance ou mensonge, c’est absurde.

Il n’y a aucun rapport entre notre époque et l’entre-deux-guerres. Cette période est marquée, en Europe, par l’éclosion ou le développement de dictatures – en Pologne, en Hongrie, au Portugal, en Espagne, en Grèce -, de régimes autoritaires – en Autriche ou dans les pays baltes – et plus encore d’États totalitaires appuyés sur un parti unique et une idéologie – en URSS, en Italie et, enfin, dans l’Allemagne nazie. Le nazisme a disparu depuis 1945, le communisme est résiduel, le fascisme n’est plus depuis longtemps qu’un repoussoir d’opérette agité par la gauche. Surtout, les conditions qui ont rendu possible le paysage politique de cette époque sont absentes. La Seconde Guerre mondiale est plus éloignée de nous que ne l’était la Première des années 1930. Les antagonismes nationaux et les revendications territoriales sont effacés. Les millions d’anciens combattants dont l’esprit avait été formé par les armées en guerre ne sont plus là, avec le sens de la discipline et l’habitude des combats. Les millions de chômeurs abandonnés sur le bord de la route par la crise de 1929 manquent également : la moyenne européenne est à 8,5 %. Ils sont assistés et, curieusement, c’est dans les pays qui connaissent les taux les plus élevés – l’Espagne ou la Grèce – que le « populisme » dénoncé par les technocrates ne progresse pas alors qu’il a le vent en poupe là où le plein-emploi est atteint. Manifestement, l’énarque-banquier, l’homme qui sait tout, a tout faux ! Il insulte seulement, selon son habitude, ceux qui ne pensent pas comme lui : les dirigeants élus démocratiquement en Hongrie, en Italie, en Autriche, voire au Danemark, qui ne menacent en rien la démocratie, en retournant aux urnes régulièrement. On doit même rappeler qu’en Hongrie, la bête noire du sieur Macron, Viktor Orbán, a pour principal opposant un parti d’extrême droite, le Jobbik !

On a donc le choix pour qualifier le rappel historique de Macron. Soit un contresens, soit une trahison. Car quand un chef d’État détourne l’attention des périls authentiques vers des dangers imaginaires, il expose davantage son peuple à la vraie menace. Le populisme n’est pas un nationalisme mais un conservatisme rationnel qui consiste, pour un peuple, à vouloir vivre en demeurant lui-même. L’immigration, question absente dans les années 1930, est devenue la cause réelle d’une crainte objective. L’occupant de l’Élysée veut l’ignorer alors qu’il vient d’une famille politique dont la culpabilité, dans ce domaine, est lourde. Or, c’est un plus ancien socialiste qui vient de vendre la mèche. Gérard Collomb, fort de son expérience comme ministre de l’Intérieur et des rapports qui lui ont été fournis, avait dévoilé sa pensée à Valeurs actuelles : il y a une relation directe entre la violence urbaine et l’immigration. Le communautarisme peut conduire à la sécession. Il faut donc arrêter l’immigration, et pas seulement l’immigration illégale, car si on ne s’y prend pas assez vite, cela sera irréversible.

 

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/annees-30-lenarque-banquier-a-tout-faux/?mc_cid=24eff9f3d4&mc_eid=c2875309d7

  



Puisque Macron veut parler des années 30, allons-y, et tant pis pour lui !

...par "Jean d'Acre" - le 03/11/2018.


 

J’ai bien aimé la comparaison faite par Macron entre la situation européenne actuelle, en proie à la lèpre nationaliste, et sa situation dans les années trente.

Je n’ai pas aimé la comparaison pour elle-même mais pour l’erreur fondamentale qu’elle contient et qui permet de ridiculiser le locataire de l’Élysée.

Évoquer la lèpre nationaliste revient à assimiler Marine Le Pen et Marion Maréchal, dictateurs en jupons, à Hitler et Mussolini.

Or, je ne vois pas ces dames actuellement parader au pas de l’oie, en uniforme, bras tendu avec brassard et croix gammée.

Je n’ai pas vu non plus de meeting du Rassemblement national dans un grand stade avec marche aux flambeaux, prestation de serment et forces de l’ordre couteau à la hanche et brodequins aux pieds.

Les rédacteurs des discours du locataire de l’Élysée font des comparaisons intenables entre les deux époques en tentant de stigmatiser les actuels opposants nationalistes de France.

Ils sont en plein contresens historique en affirmant que la volonté hégémonique et expansionniste des dictatures des années trente, en Europe, Allemagne et Italie, en Asie, le Japon, seraient à l’œuvre dans les partis nationalistes de 2018, car c’est tout le contraire qui nourrit les mouvements nationaux du XXIe siècle.

Dans les années trente, il s’agissait de passer les frontières pour voler les richesses du voisin.

En 2018, il s’agit de fermer les frontières pour que les peuples d’Europe ne se fassent pas voler leurs richesses au sens large : richesse en avoirs mais aussi richesse culturelle, richesse intellectuelle, richesse en liberté d’être, richesse en tranquillité et en bien-vivre ensemble entre gens de bonne compagnie, richesse de lire, travailler, écrire, étudier et sortir le soir sans se faire tirer dessus ni se faire égorger par les musulmans et les mafias macronienne et merkellienne.

Le plus drôle, c’est que l’individu de l’Élysée, dont on nous dit pourtant qu’il aurait fait « les grandes écoles », ne semble même pas être capable de saisir le tissu d’âneries qu’on lui fait lire devant les micros et sur les plateaux TV.

Les conseillers de l’Élysée se seraient montrés beaucoup plus judicieux à établir un parallèle entre les dirigeants des démocraties européennes des années trente et les actuels putatifs démocrates détenteurs du pouvoir en France.

Dans ce dernier lot, je mets toute la classe politique LREM et ses obligés pour des postes à pognon de dingue du Modem, les mous du coude Républicains comme Juppé, Bertrand, Raffarin, Pécresse, les sans-parti de la bonne pensée, etc., les socialistes et hamonistes et même jusqu’à certains Insoumis qui, nonobstant leur appellation, se révèlent on ne peut plus soumis.

Pourtant les points de similitude ne manquent pas entre les démocrates et démocraties actuels et les dictatures et les démocrates de l’époque.

En 1933, en Allemagne, les juifs et les magasins juifs étaient attaqués sans relâche par les SA de Röhm.

En 2018, en France, les juifs et les magasins  juifs font l’objet d’un génocide à bas bruit de la part  des troupes musulmanes de Macron.

En 1933, en Allemagne, le bureau de la propagande autorisée interdisait toute voix divergeant de la ligne éditoriale officielle.

En 2018, en France, Macron a désormais interdit de dire les vérités qui dérangent, notamment sur les musulmans qui ont déclaré la guerre au pays.

En 1933, en Allemagne, des bandes de nazis occupaient les rues, traquant et bastonnant tous ceux qui ne leur revenaient pas.

En 2018, en France, les bandes musulmanes et les bandes tout court de Macron traquent et bastonnent impitoyablement les Français qui ne leur reviennent pas, les dépouillant de tout ce qu’ils ont de valeur sur eux.

En 1933, en Allemagne, les homosexuels étaient pourchassés, traqués, bastonnés en pleine rue par les tenants du pouvoir.

En 2018, en France, il en va de même. Les musulmans protégés du pouvoir en place n’hésitent plus, tous les jours, à manifester violemment leur homophobie et lesbophobie par des tabassages en règle pour déviationnisme coranique. Sans que la justice, complice, n’y fasse rien, qui laisse tout ce petit monde bien en liberté pour mieux terroriser la France comme en Algérie dans les années 90.

Autant prévenir dès aujourd’hui tous les membres des associations qui sont révoltées par ces agissements : en pays musulman, les homosexuels sont jetés des toits et les femmes libérées sont lapidées.

Ils échappent encore au pire à ce jour en France, mais avec Macron en 2022, ils devraient savoir maintenant leur avenir, il leur faudra choisir dans les urnes entre un destin final avec LREM et ses affidés et un destin normal avec Marine et Marion, peut-être même dès 2019 pour un coup d’arrêt européen au totalitarisme musulman et dès 2020 pour un arrêt local de l’avancée de la peste brune dans leur commune.

En 1933, en Allemagne, il était vain pour tout juif ou opposant qui s’était fait molester et voler en pleine rue au vu et au su de tous, police comprise, de porter plainte et d’espérer réparation de la part des tribunaux et la condamnation des auteurs des razzias et exactions.

En 2018, en France, il en va de même, voyous, truands, assassins qui vous volent, tabassent, violent sont à nouveau libres dans la rue le soir même, prêts à recommencer.

Les plaintes, quand elles sont seulement prises en compte, n’aboutissent jamais, les réparations ne sont jamais recouvrées et les juges manifestent plus d’indulgence pour les auteurs des agressions que pour les victimes.

De 1933 à 1938, les politiciens de France et de Grande-Bretagne ont constamment baissé leur pantalon devant Hitler et Mussolini alors qu’une guerre préventive évitait toute la suite et n’aurait jamais obligé d’appeler au secours les Américains.

En 2018, Macron et Merkel baissent constamment pavillon, pour rester poli, devant les bandes d’allogènes qui s’arment dans les banlieues, qui cassent et brûlent les lieux de culture et d’épanouissement, comme les écoles, les gymnases, les médiathèques.

Avant, très bientôt, d’être obligés d’appeler au secours les armées libres de Pologne et de Hongrie qui, seules, demain, seront capables d’éradiquer la peste brune musulmane et mafieuse qui gangrène l’Europe et son économie.

En 1938, c’est Daladier et Chamberlain qui livrent la Tchécoslovaquie à Hitler.

En 2018, c’est Macron et Merkel qui livrent le Royaume françois et le Saint-Empire germanique aux troupes ennemies sarrasines.

Ainsi, ceux qui rédigent les pensées et discours de l’hôte de l’Élysée, que ce dernier va réciter sans sembler les comprendre devant les journalistes, ont fait un mauvais parallèle et ne sont pas capables  d’appréhender le sens de l’Histoire et de la réalité en marche, bouffis de l’idéologie qui les aveugle.

Les nationalistes européens de 2018 n’ont d’autre but que de protéger l’Occident d’une guerre contre les allogènes et les Sarrazins qui se comportent vindicativement comme les régimes hitlérien et mussolinien de 1933.

Les soi-disant démocrates au pouvoir en Europe actuellement, Juncker, Merkel, Macron et les autres ont exactement la même attitude que leurs prédécesseurs des années trente : reculer devant la montée des périls jusqu’à livrer des pays comme la Tchécoslovaquie au fascisme allemand, croyant, comme le dira Churchill, éviter la guerre dans le déshonneur pour finir par avoir et la guerre et le déshonneur.

Or, Macron, Merkel, Juncker et leur bande, c’est exactement cela, la guerre et le déshonneur, qui laissent l’infiltration de notre Europe par les 5es colonnes de l’ennemi, allant même jusqu’à les soutenir et les armer contre les vrais défenseurs des démocraties de pays qui veulent rester libres : les nationalistes.

Jean d’Acre

 

Source : https://ripostelaique.com/puisque-macron-veut-parler-des-annees-30-allons-y-et-tant-pis-pour-lui.html

Commentaires: 1
  • #1

    patrick tiso (mercredi, 21 novembre 2018 19:02)

    La seule similitude qu'il peut avoir est l'année 1929 avec 2019, les Rothschild ont commencés à vendre leurs fiducies, la revue l'Economist qui leur appartient montre une couverture complètement noire, je laisse l'interprétation libre.