C’est une grande joie pour moi d’accueillir sur mon blog un nouveau texte du Dr Frédéric Badel. Cet auteur nous avait déjà gratifiés de
deux excellents articles sur la manipulation mentale que l’on doit bel et bien observer dans la gestion catastrophique de la crise sanitaire en Occident.
Les lectrices et lecteurs désireux d’en savoir plus ou de creuser cette question pourront bien sûr se tourner vers les travaux de Mme Ariane
Bilheran, docteure en psychopathologie, ou la suite d’entretiens donnés à
Ema Krusi par M. Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, sur le thème de l’ingénierie sociale.
Ici, le Dr Badel pose des questions qui sont hélas reléguées hors de la sphère publique – ce qui est non seulement dommage mais aussi
hautement dommageable.
Avec une conclusion pas chouette à laquelle tous les esprits un peu avertis sont déjà parvenus : nous sommes non seulement maltraités
mais aussi délibérément manipulés par nos gouvernements ~ Jean-Dominique Michel
*
Comment parvient-on à faire porter le masque à toute une population sans qu’aucune preuve ne soit apportée d’une quelconque utilité du port de celui-ci
? Comment en vient-on à proposer le principe d’un passeport vaccinal pour un virus peu létal, mutant, qui tue essentiellement des personnes de plus de 80 ans ?
Et comment se fait-il que ces propositions, solutions ou injonctions déclenchent si peu de réactions auprès des populations concernées ?
Certaines techniques de manipulation de masse permettent d’expliquer l’évolution rapide des contenus de pensée à l’échelle de la population et l’adhésion
d’une grande partie de cette population à un nouveau programme.
La manipulation de masse ne date pas d’hier. Les outils pour la mettre en place se sont modernisés et ont gagné en rapidité. La manipulation va permettre de
disséminer à grande échelle une propagande visant à modifier les repères et les croyances habituels, puis à les remplacer par de nouveaux, sans qu’aucune supercherie ne soit
détectée.
De nos jours, la propagation rapide de la propagande d’État est réalisée via la télévision qui reste l’outil d’information quotidien principal pour une
majorité de Français. Cette véritable « institution » qu’est cet outil de communication et d’information occupe généralement une place centrale dans un salon ou une pièce où sont
pris les repas. La télévision capte les regards et les conversations. Des expériences datant de la fin des années 60 (Thomas Mulholland, Herbert Krugman) montrent qu’après seulement une
minute d’écoute, l’activité cérébrale du spectateur se modifie et passe de fréquences bêta à des fréquences alpha. Ce passage signe l’émoussement de la pensée logique et critique pour une
détente proche de l’hypnose, ce qui peut expliquer bien des endormissements devant la télé. La propagande va donc employer l’activité hypnotique de cet outil omniprésent.
La télé propose actuellement des programmes en continu. Deux éléments sont utilisés :
– La répétition
d’informations identiques auprès de populations en état semi hypnotique permet de mieux ancrer ces informations dans le cerveau. La population recevant les mêmes informations
acquiert un mode de pensée unique qui crée une pression sociale, peer pressure, un mécanisme d’auto-régulation du peuple par lui-même. Une fonction naturelle de l’homme est en effet de se
calquer inconsciemment sur le modèle social ; à l’échelle de l’individu, un nouveau modèle s’installe pour correspondre à la pensée dominante. L’instinct grégaire et l’obéissance à
la règle transforment les citoyens en gardiens de l’ordre établi.
– La généralisation
de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion, la diffusion de programmes de télé-réalité faisant appel à la distraction, permettent de détourner l’attention et d’abêtir le
peuple en l’éloignant des vrais problèmes sociaux.
Les programmes proposent donc une alternance d’informations inquiétantes et de programmes aliénants permettant la détente.
La télé est le média le plus performant pour conditionner les populations. Les journaux, débats d’idées lors de rencontres par exemple sont moins
performants car non hypnotiques. Les lecteurs ou auditeurs gardent un esprit critique, une réflexion, qui permettent plus difficilement d’accéder au subconscient pour y introduire de
nouveaux concepts.
Le matraquage médiatique télévisuel utilise certaines stratégies visant à favoriser la modification des croyances. L’ingénierie sociale s’est développée dès
les années 30 et plus particulièrement après-guerre. Elle a connu une accélération avec l’arrivée de la télévision qui a permis de s’introduire rapidement dans tous les foyers.
Sur une population hypnotisée, le but est d’effacer progressivement certains programmes mentaux existants et les remplacer par de nouveaux. Comme sur un
ordinateur.
– La stratégie des
chocs a pour objet d’initier et maintenir un chaos social. Le choc créé par une annonce, une image, un commentaire peut provoquer un état de sidération (se rappeler le
visionnage en boucle d’images du world trade center). Les images d’hôpitaux submergés, de malades évacués par convois spéciaux, les commentaires alarmants spéculant sur le nombre de morts
à venir, les messages sonores, ont favorisé le conditionnement sur un modèle pavlovien. Les chocs successifs ont été distillés de façon aléatoire et assez rapprochée. Les masses, par
conditionnement progressif, ont attendu avec anxiété le choc suivant fourni par les interventions de l’exécutif.
Les chocs successifs ont été accompagnés d’une stratégie visant à faire croire que les sacrifices étaient douloureux mais nécessaires et que tout irait
mieux demain. Cette stratégie a permis d’amplifier la cohésion sociale autour du narratif officiel.
Elle a été accompagnée également d’un outil particulièrement redoutable de manipulation qu’est l’infantilisation. Par exemple, s’autoriser à soi-même un
déplacement à moins d’un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée, à condition de porter un masque est infantilisant, humiliant et très conditionnant ; cela place le
gendarme en chacun de nous et oblige à la transgression en conscience. Les demandes stupides imposées font partie de la charte de coercition de Biderman.
– La stratégie des
petits pas : depuis les premières annonces, insensiblement, les libertés ont été réduites. Une bonne annonce pour la population aujourd’hui réside dans l’absence de privations
nouvelles. Un an après le début de la crise, nous sommes en état d’urgence, sous le coup d’un couvre-feu, avec surveillance des frontières, tests systématiques et sous la menace d’une
vaccination obligatoire. Insensiblement, nos libertés se réduisent, le gouvernement réglant avec habileté le curseur pour minimiser les risques de sortie de l’hypnose.
Les techniques utilisées, une fois la peur instillée pour obtenir le chaos, consistent à fausser volontairement la réflexion en l’orientant de façon
délibérée vers de nouveaux concepts ou un nouveau langage. Dans un temps ultérieur, un sauveur pourra proposer un ordre nouveau pour résoudre la crise.
Le gouvernement au cours de la crise sanitaire a utilisé largement des techniques visant à faire croire que la situation était entièrement nouvelle
:
– Un néo-langage :
a notion de cluster est apparue dès le début de la crise. La population découvrant ce mot lui a attribué la tonalité émotionnelle dramatique du moment et l’a conservée. En résumant,
cluster égale danger. Les clusters se sont multipliés, véhiculant avec eux la peur. Il en a été de même pour le patient zéro, les tests PCR, les plateaux montants, les variants etc. La
présentation pseudo-scientifique, donc crédible, de ces notions a bâti jour après jour un monde effrayant.
– des pseudo
concepts :
« Le monde d’après » : quelques semaines à peine après le début de l’épidémie, la présentation du « monde d’après » a été utilisée
pour donner une coloration dramatique à la virose. Le monde d’après renvoie dans l’inconscient aux grandes catastrophes, qu’elles soient naturelles, atomiques ou virales, dont raffolent
les films catastrophes. Ce concept élimine de fait tout retour possible à l’ordre ancien.
« Il va falloir vivre avec le virus » : le public non averti a pensé que nous n’avions pas, jusqu’à présent, à vivre avec les virus de façon
durable, que ceux-ci disparaissaient après les épidémies, et qu’il ne nous restait donc plus comme espoir que la vaccination pour nous en débarrasser, (puisqu’il n’existe officiellement
en France aucun traitement).
« Objectif zéro covid ». En contradiction avec le concept précédent, il rend impossible toute sortie de crise. La présence côte-à-côte de ces deux
énoncés rend compte du non-sens, très prisé dans la communication gouvernementale. L’objectif étant irréalisable, il prépare le concept suivant.
« La seule sortie de crise possible est la vaccination » : cette affirmation court-circuite des questions de bon sens sur la nécessité d’un
tel traitement, ses conditions d’élaboration etc. Couplée à la menace de pérennisation des restrictions de déplacement auxquelles la vaccination pourrait mettre un terme, beaucoup pensent
à se vacciner, permettant sans le savoir qu’une telle mesure soit mise en place. En effet, sans vaccination massive, le passeport sanitaire ou un équivalent serait impossible. On se situe
clairement ici dans la fabrique du consentement.
Ces procédés ne permettent pas de débattre des vrais sujets de façon sereine et confisquent toute discussion constructive. La sidération des esprits ne
permet plus à chacun de rétablir le sens commun qui aurait permis de demander par exemple : « comment avons-nous fait avec les épidémies précédentes ? » ou
« pourquoi parler si tôt d’un monde d’après ou d’une guerre pour un virus ? », « pourquoi se précipiter sur la recherche d’un vaccin sans savoir si un vaccin est une
solution pour l’épisode actuel ? » « pourquoi de nombreux pays disposent-ils d’un traitement ? ». Les questions de fond qui permettraient de construire une
réflexion structurée et argumentée ont donc soigneusement été éludées.
Néo-langage et pseudo-concepts, renouvelés à l’envi, permettent de maintenir la terreur et de supprimer le sens de l’information. Progressivement, un fait
ou une situation seront nommés par des mots galvaudés détournés de leur signification première.
De ce nouveau langage ont disparu les mots « soigner » et » malades » puisqu’il faut disjoindre le concept d’épidémie de l’idée de
malades à soigner. L’épidémie devient une épidémie de cas positifs à isoler et de contacts à identifier. Le peuple passe d’une peur d’être malade à une peur d’être « positif »,
voire « contact » et accepte docilement les tests et les isolements.
– L’exaltation de
certaines valeurs morales : la solidarité et le sens de l’éthique.
Le port du masque, tout comme la vaccination, deviennent des actes dont on peut être fier car ils sont philanthropes. Ils sont même filmés par les médias
pour être mieux mis en valeur.
Les confinements, les fermetures d’établissements, le déclin de l’économie, les dépressions, les suicides, les retards de prise en charge d’autres
pathologies, sont justifiables car nous protégeons les personnes fragiles. L’hypnose des écrans permet d’éluder la catastrophe sanitaire créée par ces mesures prétendument salvatrices. En
protégeant les plus fragiles, la vie de millions de personnes est estropiée sans que cela ne pose de problème de logique.
Ce chaos social est organisé par une « cellule » (ici conseil de défense, conseil scientifique) proposant de façon non transparente les mesures
liberticides à mettre en place. De façon arbitraire, sans recours à des arguments scientifiques pourtant disponibles, sans tenir compte des nombreuses voix qui s’élèvent pour dénoncer
l’inefficacité et la nocivité de ces mesures, cette cellule n’a pas hésité à faire varier l’intensité des chocs délivrés à toute la population, confinements et couvre-feux alternant, sans
que personne ou presque ne s’interroge plus réellement sur le terme de ces mesures. Cette cellule a usé des non-sens pour déconnecter encore plus la population de tout raisonnement
(combien de débats sur le port du masque debout, assis, les distances de sécurité, et combien de mesures ineptes comme la fermeture des espaces conviviaux en préservant l’accès aux lieux
les plus fréquentés).
Les chocs successifs permettent d’anéantir la capacité de réflexion des masses et de les sidérer, d’effacer tous les repères antérieurs. Sur ce fond de
turbulence, de désorganisation, il est possible de greffer n’importe quel programme visant à résoudre le chaos et à proposer/ organiser/ imposer le retour au calme.
Le programme actuel est un programme de terreur dont le scénario est basé sur la propagation d’un ou plusieurs virus.
La transe hypnotique dans laquelle est plongée une partie du peuple ne permet plus de rectifier l’information par l’observation. Le monde chaotique proposé
à l’écran est entré dans le subconscient de chacun et il est sans cesse renforcé par les mesures visibles au quotidien, telles le port du masque.
Sur la table rase cognitive réalisée en peu de temps par la puissance médiatique et les techniques de manipulation mentale, un nouveau monde apparaît dans
lequel il est nécessaire de se protéger de tout, quitte à dissoudre les libertés fondamentales.
Des comportements qui auraient été jugés aberrants hier règnent en règle sociale établie aujourd’hui. Les meilleurs gardiens de ces nouvelles règles sont
les personnes ayant subi ce lavage de cerveau. Une manipulation réussie laisse croire à la masse manipulée qu’elle a elle-même décidé de son comportement. Elle passe d’un monde à un autre
en traversant une crise déclenchée et résolue par d’autres (stratégie du pyromane).
Le monde d’après se met en place comme annoncé. Le virus en a été le prétexte, la manipulation des masses le moyen. Aujourd’hui, et sans contrôle ou
presque, les gens portent le masque y compris dans les zones où il n’est pas obligatoire, ils se reprennent entre eux pour non-respect de la règle, il est normal que les enfants portent
des masques à l’école, que les plus vieux soient isolés en Ehpad, le passeport vaccinal ne choque plus que la moitié de la population et est considéré comme une sortie de crise possible,
voire souhaitée.
En résumé, nous avons connu une épidémie saisonnière dont le traitement politique et médiatique a permis de réduire nos droits fondamentaux, de bousculer
tous les repères antérieurs et d’instaurer de nouvelles normes, en décalage complet avec la réalité.
La puissance de feu de la dyade politico-médiatique a fabriqué le consentement.
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Note : la charte de coercition de Biderman définit 8 critères de torture. Les techniques sont employées par les parents ou conjoints maltraitants, les
sectes, et à grande échelle tous les régimes totalitaires ; elles permettent de créer l’asservissement et de briser toute résistance.
Une comparaison avec les mesures prises pour la crise est instructive.
– Isolement (privation
du soutien social qui donnerait la capacité de résister),
– Monopolisation de
la perception (effets recherchés, fixer l’attention sur une situation difficile, éliminer les informations en compétition),
– Épuisement
induit,
– Menaces (pour
induire l’impuissance et augmenter la soumission),
– Indulgences
occasionnelles (empêche l’accoutumance aux privations, stratégie des chocs).
– Démonstration de
toute puissance,
– Dégradation,
– Demandes stupides
imposées (pour développer la soumission).
Concernant
l’utilisation répétée et généralisée du mot « complotiste »
Celui-ci ne fait qu’apporter la preuve indirecte que ledit « complotiste » énonce des propos qui sont, sinon justes, tout du moins dignes d’intérêt.
En effet, le terme « complotiste » a une visée double :
Celui de discréditer en amont les opinions divergentes.
Mais aussi et surtout :
Décharger autrui de l’obligation morale de lecture et de réflexion pour construire sa propre opinion.
Et donc faire passer le message :
« Je t’annonce que les propos suivants ne sont que délires et que tu n’as pas à les lire ».
Mais pire encore :
« Tu ne devrais pas les lire, car tu pourrais être manipulé et induit en erreur. Tu es donc dédouané du devoir de t’informer avant de juger pour construire
ta propre opinion ».
Ceci constitue une preuve que l’intention manipulatrice vient, non pas du prétendu « complotiste », mais de celui qui utilise le terme pour discréditer
toute hypothèse alternative.
Cela peut se résumer autrement en disant que si les propos dudit « complotiste » n’étaient que « délire », il suffirait de le laisser s’exprimer librement
et toute personne censée en prendrait conscience et ce serait terminé, le soufflet retomberait.
Une autre « justification » de l’usage reviendrait de fait à affirmer que le peuple est trop stupide pour comprendre, qu’il faut donc le mettre sous tutelle
et le protéger malgré lui. Il faut donc l’empêcher de réfléchir, ce qu’il ne sait pas faire, par nature, et donc l’empêcher de construire sa propre opinion qui ne pourrait qu’être
erronée. Nous déduisons qu’il faut évidemment lui retirer toute prérogative et il serait logique en premier lieu de lui supprimer le droit de vote. Ce qu’a fait en gros la 5ème
République…
Donc tout journaliste qui traite autrui de « complotiste » est en train de dire indirectement que les propos dudit complotiste sont pour partie vrais (et
donc subversifs) ou d’affirmer que la démocratie ne saurait exister pour un peuple incapable d’avoir les « bonnes » pensées et de faire les « bons » choix.
La vérité
serait statistique ou issue des autorités de pouvoir ou reconnues
La théorie voudrait que « plus c’est répété, plus c’est vrai ». Un mensonge dit par une personne seule est un mensonge, mais s’il est répété par des
milliers de personnes il devient une Vérité. Cela est concomitant avec une autre croyance qui dirait que plus l’information est issue d’une autorité reconnue et plus elle est au-dessus de
tout soupçon.
De fait, quand par exemple l’OMS, l’Agence européenne du Médicament ou l’INSERM diffusent le même conte, cette uniformité de discours en fait une Vérité
incontournable. Or le devoir de tout journaliste ou de tout scientifique est de douter de la vérité et enquêter sans a priori.
Un autre point qu’il ne faut pas négliger est le conformisme et le besoin d’appartenance. Si l’OMS le dit et que j’ai la croyance que c’est une entité
respectable, alors j’aurai naturellement tendance à penser qu’ils émettent une Vérité. Commencer à penser ou dire le contraire me placerait en porte-à-faux et dans une position
inconfortable sans compter le risque de dénigrement ou d’excommunication…
Nous assistons de fait au décès de la science.
Et pourtant, la seule démarche scientifique face à un chercheur qui affirmerait que la Terre est plate serait d’écouter ses arguments et de lui demander
d’apporter les éléments de preuve qui lui permettent d’avancer cette théorie.
Si d’aventure son hypothèse était totalement ridicule, il ne serait pas difficile d’exposer les contre-arguments et l’auteur de la théorie de la Terre plate
serait discrédité.
À propos des institutions au-delà de tout soupçon.
Prenons
l’exemple de l’OMS
Quiconque s’est un peu penché sur le sujet sait que l’OMS pose problème.
La fondation Bill et Melinda Gates est un des plus grands contributeurs, plus que la plupart des états membres. Fondation elle-même soutenue et financée
par l’industrie pharmaceutique et le Gavi qui est un lobby mondial pour la vaccination.
Les laboratoires pharmaceutiques sont représentés dans les instances décisionnelles.
Le sous-financement de l’OMS la rend directement dépendante des lobbies. Il serait donc déraisonnable, voire irresponsable, de s’appuyer sur son seul nom
pour en déduire la véracité scientifique et objective de ses discours.
L’Union
européenne
Ici encore le lobbying dans l’Union est un secret de polichinelle. Les milliards des lobbyistes coulent à flots et nous assistons à un jeu de chaises
musicales entre les postes dans l’industrie et les postes au sein de la commission. Nous avons eu la preuve de l’absence totale d’indépendance pour l’autorisation de mise sur le marché
des thérapies dites « vaccinales ». Thérapies qui ont pu bénéficier d’une autorisation temporaire parce qu’il n’existe, officiellement, aucun traitement contre le Covid. Qui dit «
traitement » dit donc adieu aux « vaccins » ou en tous les cas, retarde leur arrivée de plusieurs années du fait de l’interdiction de court-circuiter toutes les sécurités. Ne nous
étonnons donc pas de l’absence de traitement proclamée dès le début de l’épidémie et de l’annonce que « seuls les vaccins nous permettront d’éradiquer le fléau ».
Comment ne pas se questionner aussi dès lors que les autorisations de mise sur le marché des dits produits ont été accordées sur les seules données des
industries pharmaceutiques.
L’industrie
pharmaceutique
Les scandales se succèdent d’année en année et les milliards de dollars d’amendes aussi bien pour falsification de données, mensonges, publicité mensongère
et corruption massive de politiques ou de médecins.
Dès lors que cette industrie pèse sur l’OMS et est en capacité de faire autoriser ses produits expérimentaux sur simple présentation de ses données, comment
ne pas s’interroger ?
Les
scientifiques et la recherche (INSERM, Pasteur,…)
La survie financière et la possibilité pour des scientifiques de faire des recherches sont rendues quasi impossibles sans un partenariat public/privé du
fait du désengagement progressif de la force publique. Seules les études qui peuvent avoir une rentabilité commerciale sont menées.
Existe-t-il encore une science ? Combien d’études sont publiées sans que les auteurs aient reçu une rémunération directe ou indirecte de l’industrie
pharmaceutique ? Qui pourrait ainsi croire que le financeur ou le « mécène » n’est pas celui qui insuffle la ligne directrice et donc la Vérité ?
Bref ! tout ceci pour affirmer ou rappeler qu’il faudrait être fou ou corrompu pour s’appuyer sur le seul nom d’une institution pour en déduire la véracité
de ses propos.
Le
dénigrement par le consensus, le doute et le dévoiement du principe de précaution
La dictature sanitaire utilise à la fois le consensus et le doute pour mettre à mort la science.
D’un
côté, le consensus :
Le discours est à ce point biaisé que lors d’un débat entre une personne qui adhère à la doxa et un scientifique qui doute, le message passé par le
Ministère de la Vérité sera par exemple : « Il y a un consensus sur l’efficacité du port du masque » alors même que la seule existence de celui qui critique constitue une preuve de
l’absence de consensus.
La Vérité imposée par les autorités sanitaires et leurs complices médiatiques est qu’il y a « consensus » parmi les scientifiques qui ont accès aux médias
nationaux et puis c’est tout ! Tous les autres sont donc naturellement qualifiés de « complotistes » et il est de fait inutile, voire dangereux, de les intégrer comme pensée divergente.
Ainsi le « consensus » n’est pas brisé étant donné que seules les opinions conformes sont crédibles.
De
l’autre côté, le doute :
Toute affirmation qui n’irait pas dans le sens de la Vérité imposée sera dénaturée par une introduction perverse du doute.
Cette méthode est d’autant plus perverse que le doute est LA démarche de base de la science. Prenons l’exemple de l’Ivermectine. De nombreuses études issues
de scientifiques indépendants au-delà de tout soupçon arrivent à la conclusion que le produit est efficace pour lutter contre le Covid et qu’il faut donc l’intégrer dans l’arsenal des
mesures possibles.
(Je vous rappelle que s’il était efficace les « vaccins » n’auraient pas pu bénéficier d’une AMM)
Que font celles et ceux qui voient les « vaccins » comme étant des sauveurs ou plutôt une manne financière ? Ils inondent la presse scientifique « d’études
» qui concluent que le médicament est inefficace ou dangereux. Il y a donc un doute que l’on peut naïvement croire légitime qui s’installe… Au point que si les études (bidons) deviennent
majoritaires, le doute disparaît et la « preuve » que le produit est finalement inefficace et dangereux s’impose. Mais est-ce un doute raisonnable et honnête ou un doute biaisé induit par
des chercheurs qui auraient des conflits d’intérêts ou même carrément véreux ?
Abordons
maintenant le dévoiement du principe de précaution
Le « Primum non nocere » [d’abord, ne pas nuire] est parti aux oubliettes.
Si celui-ci était de mise alors nous n’aurions connu :
Ni confinement.
Ni masques obligatoires.
Ni commerces ou loisirs fermés.
Ni maltraitances envers les enfants.
Ni Remdesivir. Etc.
Ni « vaccins ».
Il y aurait eu une évaluation préalable de chaque mesure et certainement pas un déploiement à l’échelle de nombreux pays… Une partie de la population aurait
été confinée, mais pas l’autre et nous aurions pu évaluer l’efficacité de la mesure et éventuellement prendre la décision de l’étendre ou pas. De même que pour les masques, les
traitements et les « vaccins »…
Il y aurait eu aussi débat sur le fait de savoir si « la fin justifie les moyens » et si au nom d’une efficacité nous pouvons nous asseoir sur les droits de
l’homme !
Mais ici l’industrie pharmaceutique a décidé unilatéralement l’inverse !
Le principe de précaution a été dévoyé en arguant que nous étions face à la peste noire.
« Les masques ne servent peut-être à rien, ils sont peut-être dangereux, mais par précaution il faut les porter ! »
« Les vaccins sont expérimentaux, ils sont peut-être dangereux, nous ne connaissons pas les effets à long terme, mais par précaution il faut les injecter,
même à une population qui ne craint strictement rien du virus ! »
En revanche, un traitement avec des molécules quasi gratuites qui existent depuis plus de 50 ans, dont les effets à court et long terme n’ont aucun doute
doivent, elles, être découragées et interdites au nom du principe de précaution ! Imaginez que l’on puisse sauver gratuitement des vies, quelle horreur !
Deux poids, deux mesures !
La
manipulation par détournement des chiffres
Prenons par exemple l’âge médian des décès de 85 ans et considérons que cette donnée gouvernementale est réelle quand bien même des décès autres, par
exemple de cancer, sont attribués au Covid. Il est possible de dire que cette donnée constitue une preuve que le Covid ne peut entraîner une hécatombe chez les jeunes… sinon l’âge médian
serait bien inférieur !
Mais il est aussi possible d’utiliser cette donnée pour faire peur et ainsi dire que le Covid tue aussi des personnes jeunes ! Si cette affirmation
largement usitée dans les médias demeure exacte, elle en devient pour le moins une manipulation de la réalité. Santé publique France indique que seuls 2% des décès concernent des
personnes de moins de 65 ans et sans pathologies graves connues. Cela représenterait moins de 2 000 décès !
Mais ici encore la manipulation est possible en disant « et si c’était vous ou vos enfants ? » oubliant par exemple de préciser qu’il y a plus de risque de
décéder en s’étouffant ou frappé par la foudre pour une personne en bonne santé que de décéder du Covid.
C’est de même nature que d’énoncer tous les jours le nombre de décès du Covid sans les mettre en perspective par rapport au nombre total de morts
journaliers, de décès par maladie, de suicides…
Je pourrais aussi citer les réanimations dont le taux de réanimation qui est fourni est un faux, car il divise le nombre total de personnes en soin critique
(19 000 lits) par le nombre de lits de réanimation (5 400 lits). Ou ignorer le fait que ces fameuses saturations sont systémiques et qu’elles n’ont strictement rien à voir avec le Covid.
Et d’autant plus que les chefs de service DOIVENT remplir leur lit de réanimation afin de conserver des budgets ou réclamer de nouveaux lits.
En
conclusion
Se faire traiter de « complotiste » est aujourd’hui une récompense. Il n’est ni plus ni moins que la confirmation que vous êtes une
personne qui se pose des questions qu’il ne faut surtout pas écouter.
S’il faut tout faire pour que le « peuple des inutiles » écoute le moins possible les « complotistes », c’est la preuve que le pouvoir est terrorisé par le
réveil du peuple. La censure grandissante et les calomnies prouvent que la dictature est de plus en plus inquiète de voir le peuple découvrir qu’on lui ment, comme jamais, depuis plus
d’un an.
L’épidémie de Covid n’est pas plus grave que les épidémies d’infections respiratoires aiguës des années précédentes et elle l’est d’autant moins dans les
pays qui n’ont pas INTERDIT les traitements. Le masque porté dans une population générale n’a jamais limité une épidémie alors que ses contre-indications pour la santé physique, psychique
et sociétale sont bien réelles. Il n’est là que pour terroriser, tester la capacité d’un peuple à tout gober par la peur et rendre visible une épidémie dont nous ignorerions
l’existence sans les médias et les mesures dictatoriales.
« Tiens, elle a été un peu rude la grippe cette année ! »
Les confinements d’une population générale sont totalement inefficaces et contre-productifs comme nous le savons depuis des siècles.
La lutte contre un virus ne se résume pas à prendre du paracétamol ! On n’enferme pas les gens, on ne les prive pas de contacts, sauf si on veut les
détruire physiquement ou psychiquement.
Et manipuler le peuple pour lui faire croire qu’un vaccin pourrait être efficace contre un virus qui ne fait que muter…
« Vaccin » qui favorise en toute logique les mutations en bloquant principalement la souche d’origine.
« Vaccins » qui ont pu être commercialisés en échappant aux mesures de sécurité face à « l’urgence ».
« Vaccins » que l’on ose nommer ainsi alors même qu’ils n’empêchent ni de tomber malade, ni les contaminations.
Le pire est que :
L’on ose parler de vaccination solidaire alors que la preuve n’est toujours pas là pour dire qu’ils protègent autrui
L’on ose parler de rapport bénéfice/risque favorable pour une population en bonne santé pour laquelle le risque de décès est statistiquement NUL
L’on ose aujourd’hui parler de vacciner des enfants alors que 0 enfant en bonne santé est décédé de cette gentille grippe, gentille, car à la différence
de la vraie grippe qui tue chaque année en France des dizaines d’enfants, le gentil Covid les a totalement épargnés.
Et des personnes qui se prétendent « journalistes » n’ont pour seul argument que de traiter de complotiste toute personne qui réfléchit, qui regarde les
chiffres, analyse ce qu’il se passe dans d’autres pays et lit des études scientifiques indépendantes !
Mais profitez donc de la controverse, écoutez celles et ceux qui ne sont pas hypnotisés ou corrompus et nourrissez-vous de leur savoir !
Vous, « journalistes », n’avez-vous plus aucune conscience ni courage ? Aucune déontologie ? Aucune soif d’enquêter ? Aucune soif de réfléchir et faire
réfléchir ? Aucune soif de vérité ?
Comment vivez-vous le fait de n’être que des photocopieurs branchés sur l’AFP ? Méprisable !