On s’était quitté avec un
précédent livre, Le virus et le président, et nos 2 auteurs ont remis le couvert sur le même sujet de la crise sanitaire dite de la Covid-19. Comme indiqué en couverture, il s’agit d’un
retour sur 2 ans d’infos et d’intox.
Les 40 questions sont organisées par thèmes, virus, masques, tests, vaccin. Les auteurs nous font part de leur voyage dans cette pandémie, leurs rencontres, les
sources, leurs réflexions sur tous ces sujets.
On a donc une forme d’état des lieux, de quoi s’armer moralement, intellectuellement pour la suite si nos dirigeants souhaitent encore poursuivre les
hostilités.
On a par exemple assisté au début de cette pandémie à une utilisation très fallacieuse des statistiques pour noyer la capacité des gens à se représenter la crise
dans le temps. Le travail de ce livre est aussi de montrer que le temps joue pour la vérité car les études indépendantes, citées régulièrement, commencent à sortir et alimentent
progressivement une opposition structurée à la pensée unique sur la crise sanitaire.
La blitzkrieg et la guerre de mouvement des 1ers mois laisse place à une guerre de tranchée plus à notre avantage. Cette impressionnante collecte de faits et de
témoignages nous le démontre. Le rapport de force s’équilibre.
Interview des auteurs
Bonjour Messieurs, quel a
été l’accueil du 1er livre Le virus et le président ? Était-ce un livre pour la dissidence ou a-t-il trouvé sa place auprès d’un lectorat plus large ?
Jean-Loup
Izambert : Le virus et le président, réalisé dans l’enquête et l’écriture avec l’écrivain essayiste Claude Janvier, a pu gagner un lectorat plus large grâce au soutien de nombreux
sites Internet, de blogs et de médias de la presse libre. Commercialisé en décembre 2020, il était vendu à plus de 5 200 exemplaires à la fin du mois de décembre 2021. Depuis il continue à se
vendre et nous devrions approcher les 8 à 10 000 exemplaires à la fin 2022. Le scandale Ivermectine, seule enquête journalistique complète de langue française sur le médicament interdit qui
soigne de la Covid-19, a notamment été médiatisé par la revue Nexus dont le journaliste Philippe Donnaes a rendu compte à ses lecteurs sur huit pages1.
En plus de sites Internet de médias libres comme Kairos (www.kairospresse.be) en Belgique ou le Centre de recherche sur la mondialisation au Canada
(www.mondialisation.ca), des revues professionnelles comme le British Ivermectin Recommendation Development – BIRD – (www.bird-group.org), groupe de scientifiques de plusieurs pays basé en
Angleterre, les publications de la Ligue nationale pour la liberté de vaccination (LNPLV) ou la revue mensuelle suisse Santé Libre ont également relayé la parution de mon enquête et son contenu.
De même, Covid-19 – Le bilan en 40 questions, le
troisième ouvrage de notre trilogie, reçoit un très bon accueil. Nous sommes sollicités par des sites Internet, associations et librairies pour des interventions et conférences-débats. Les trois
ouvrages de cette trilogie sont appréciés par les lecteurs puisqu’ils sont tous cotés entre quatre et cinq étoiles sur les principaux sites de vente par correspondance. Ce sont de bonnes ventes
quand on sait qu’en France la vente moyenne par titre se situe à 4 090 exemplaires toutes catégories confondues avec les ventes les plus importantes réalisées en bandes dessinées, fiction
jeunesse et littérature.
De plus ce résultat est obtenu sans qu’un seul média d’information politique et générale ait relayé ces parutions. Les obstacles à franchir pour l’édition de
quatorze enquêtes d’investigation que j’ai publiées depuis 1998 comme celles réalisées avec mon complice Claude Janvier et mes cinquante années de journalisme sont des atouts précieux pour placer
le livre au cœur du débat social. Nous comptons bien amplifier encore cette dynamique avec les prochains livres auxquels nous travaillons.
Parmi toutes ces
références au fil du livre, les multinationales de la santé semblent être devenues des pieuvres aux capacités de corruptions sans limites. Peut-on imaginer un jour s’en débarrasser
?
Jean-Loup
Izambert : La question posée pour les sociétés transnationales de la santé vaut pour celles d’autres secteurs d’activité comme la finance, l’agro-alimentaire, l’énergie ou la santé
publique. Il s’agit de mettre l’activité de ces sociétés transnationales au service de l’intérêt général – entreprise, salariés, environnement de l’entreprise – et non au seul profit de leurs
gros actionnaires. Par exemple, il est parfaitement anormal que le groupe pharmaceutique Sanofi qui a perçu 1,5 milliard d’euros de fonds publics en dix ans au titre du crédit d’impôt recherche
ait supprimé sur la même période près de la moitié des effectifs de chercheurs qui sont passés de 6 387 en 2010 à 3 905 en 2020. Il est également anormal que, quelques semaines après avoir
distribué quatre milliards d’euros de dividendes aux actionnaires, les dirigeants de ce même groupe du CAC 40 annonce, le 26 juin 2020, une nouvelle suppression de 1 700 emplois en Europe, dont
un millier en France.
Ceux-ci, dont le groupe bénéficie du soutien de la puissance publique, ont même engagé un plan « d’économie » de deux milliards d’euros notamment par
l’arrêt de la recherche sur le diabète et le cardiovasculaire ! C’est le choix du « tout actionnaire » anglo-saxon contre l’entreprise
pérenne au service de l’intérêt général. Face à cette entreprise de liquidation nationale, qui vaut pour de nombreux autres secteurs économiques, que faire ? Comme a pu le dire Hervé Sérieyx,
ancien dirigeant de grands groupes, haut fonctionnaire et auteur de nombreux ouvrages sur l’organisation d’entreprise, « par simple souci d’efficacité économique, il s’agit de passer du «
personnel-instrument » au service de l’organisation à « l’organisation-instrument » au service des personnes »2. Voilà qui pose la question de la propriété sociale des entreprises qui est intimement liée à celles de la formation, des connaissances, de la
culture et de l’engagement de ceux qui en font la richesse. C’est la raison pour laquelle le révolutionnaire russe Lénine appelait les étudiants et travailleurs à « apprendre, encore apprendre toujours apprendre » et qu’il
estimait que « le régime des coopérateurs civilisés
est le régime socialiste. »
L’État n’a pas à régler autoritairement cette question par décret. Par contre, il lui appartient de créer les conditions législatives permettant la gestion
démocratique des entreprises dans un intérêt général. Libre après aux salariés de ces groupes comme Sanofi de demander la nationalisation de l’entreprise en débattant et proposant les principes
de leur restructuration ou pas. Sans cette initiative de base l’activité de l’entreprise continuera dans la logique capitaliste purement financière d’accumulation du capital au seul profit de ses gros propriétaires privés, principalement étrangers, et ses salariés resteront cantonnés au rôle de quémandeurs
épisodiques d’emplois et d’augmentations salariales. Bien évidemment, ces dispositions législatives ne peuvent voir le jour qu’avec des élus du peuple ayant pour priorité la souveraineté
économique du pays au profit de l’intérêt général et non avec des politiciens qui jouent à cache-misère avec le pouvoir en étant surtout préoccupés d’intérêts claniques ou de faire carrière dans
les institutions de l’Union européenne. Il ne s’agit pas de remplacer des énarques de droite par des énarques de gauche et inversement pour perpétuer la même gestion selon les mêmes critères
uniquement financiers avec les mêmes structures hiérarchiques lourdes. Seul un puissant mouvement populaire conscient des mesures à mettre en œuvre – mesures d’urgence, à moyen et long termes –
pour rompre avec le capitalisme permettra de changer l’ordre des choses.
On trouve au fil des
pages beaucoup de références ou entités extra ou supra-nationales qui montent en puissance crises après crises. Est ce une accélération du projet globaliste ou sa désintégration à moyen terme
comme le parasite qui meure d’avoir tué son hôte ?
J-L.I.
: C’est une accélération car l’hégémonie étasunienne et son monde unipolaire, l’U.S. Imperium, est en train de s’écrouler. C’est la raison pour laquelle l’arrogance des dirigeants
impérialistes de Washington et des atlantistes de l’Union européenne se manifeste désormais par une guerre totale contre les peuples qui s’opposent à leur diktat financier, économique et
culturel. Au fil des décennies la concentration du Capital s’est accompagnée du renforcement du rôle de l’État, non comme serviteur du bien commun mais comme protecteur autoritaire de
l’enrichissement et des privilèges des grands propriétaires privés des moyens de financement, de production et d’échange. L’économie du « cœur de système », celle des États-Unis, implose et est
devenue complètement fictive. Leurs dirigeants ne peuvent plus rembourser leur dette totale abyssale qui n’est pas, contrairement à ce qu’écrivent certains journalistes, de 30 000 milliards de
dollars mais se situait à hauteur de 93 100 milliards de dollars au début du mois de novembre 2022 !3
Pour sauver les meubles, à chaque législature le Congrès augmente le plafond de la dette afin de pouvoir au moins payer les fonctionnaires. Mais augmenter le
plafond de la dette ne l’empêche pas de continuer de s’alourdir et faire tourner la « planche à billets verts » favorise la dépréciation
continue du dollar. Dans le même temps la Fédération de Russie dédollarise son économie et de grands pays comme la République populaire de Chine font de même. L’École de Guerre Économique de
Paris constatait à la fin de l’année 2021 que si 90% des transactions l’étaient en dollars en 2015 elles ne l’étaient plus qu’à hauteur de 51% en 2019 puis à 46% début 20204. De grandes économies comme celles de l’Inde, du Brésil, de l’Afrique du Sud, de la République islamique d’Iran et d’autres ont rejoint ce
mouvement d’émancipation financière.
Et, en 2021, selon un rapport du Fonds Monétaire International (FMI), la part du dollar U.S. dans les réserves des banques centrales a chuté de 70% à 59%. C’est son
plus bas niveau depuis 25 ans, au profit d’autres devises tel que l’euro mais surtout du rouble, le renminbi (yuan) et l’or. Actuellement cette tendance se poursuit, le dollar flambe et les
États-Unis sont entrés dans un état de survie artificielle. La situation commencera à devenir intéressante quand leur président devra remplir une brouette de dollars pour s’acheter un big mac.
Bien sûr la désintégration du système ne se fera pas d’elle-même et tout dépend de la volonté des peuples de mettre en chantier un nouveau système d’organisation politique et de gestion de la
société au profit de leurs populations. C’est ce que font, pas à pas, les pays membres de l’Organisation de la coopération de Shanghai avec d’autres organisations.
Les dirigeants
occidentaux ont perdu leur atout maître semble-t-il, cette sidération qui bloquait les capacités de réflexion. Qu’en est-il des gens du quotidien ? Indifférence, colère, acceptation ? Où en
est-on des phases du deuil de la narrative officielle ?
J-L.I.
: Ainsi que nous le rapportons dans notre enquête Covid-19 – Le bilan en 40 questions, nous avons constaté en
allant au devant des gens pendant près de deux années que depuis le début de l’année 2020 la manière de penser a beaucoup évolué. Il y eut dans un premier temps cette surinformation composée de
désinformation et de fausses informations diffusées par de nombreux politiciens, fonctionnaires et la plupart des médias d’information politique et générale. Vers la fin de l’année 2021, malgré
cette pression le discours d’une majorité des personnes rencontrées, de toutes catégories professionnelles et dans différentes régions, a changé. La méfiance vis-à-vis du discours officiel est
manifeste et s’est renforcée au fil des mois. Nous rappelons à ce sujet que selon le rapport annuel 2020 du Reuters Institute Digital News qui analyse les relations
des populations avec leurs différents médias, sur 40 pays, la France se classe à la 39e place ! «La confiance dans l’information en France est parmi les plus
faibles (23 %) en Europe », soit le plus bas niveau de confiance des pays occidentaux ont constaté les enquêteurs.
Cette méfiance s’est accompagnée d’une volonté de chercher des réponses aux questions posées par la situation et surtout de savoir comment défendre ses droits face
aux mesures gouvernementales, votées la plupart du temps par des minorités de députés. C’est la raison pour laquelle Covid-19 – Le bilan en 40 questions se distingue des
quelques 400 livres parus sur ce sujet. Nous ne nous contentons pas de donner la parole à des chercheurs, des médecins, des analystes, des journalistes d’investigation mais donnons des contacts,
faisons intervenir des avocats, des dirigeants d’associations qui conseillent les lecteurs pour les aider à faire respecter leurs droits. Les actions du mouvement associatif, de médecins comme
ceux de « Touche pas à mon
doc » (www.tpmd.fr), d’avocats mais aussi de citoyens venus d’horizons très divers – bonSens.org, Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et
bienveillante, Ligue nationale pour la liberté de vaccination, Réaction 19, etc. – pour agir sur les mêmes objectifs ont favorisé cette prise de conscience.
Nous rencontrons des situations catastrophiques causées par les mesures gouvernementales mais aussi d’autres, formidables, où les gens se groupent pour s’opposer
avec détermination aux décisions du pouvoir. Par exemple, les salariés et les dirigeants de l’entreprise Paccard, les célèbres fondeurs de cloches de Haute-Savoie, rencontrés lors d’une
conférence-débat dans leur entreprise, ont fait front commun pour refuser les mesures gouvernementales, y compris en s’opposant aux interventions répétées de la gendarmerie. C’est un bel exemple
de solidarité et de résistance. Il y en a ainsi de très nombreux autres à travers tout le pays dont peu de médias informent les lecteurs. De la presse que nous analysons régulièrement, il appert
que le mensuel Initiative Communiste du PRCF (www.initiative-communiste.fr), qui a présenté notre travail, est le seul journal qui rend compte chaque mois de ces luttes sur plusieurs pages. C’est
un média précieux pour ceux qui, comme nous, souhaitent interpeller les gens, porter le débat, susciter la réflexion et appeler à l’action.
Pour revenir à
l’actualité, l’opération spéciale russe semble avoir complètement dérouté ou pris de cours les dirigeants globalistes qui poussaient derrière l’opération Covid-19, le passe sanitaire, la censure.
Comment analysez-vous la situation géopolitique actuelle dans l’optique des mesures sanitaires actuelles et à venir ?
J-L.I.
: L’hyper concentration du capital dans les sociétés capitalistes s’est accompagnée d’une aggravation de la crise, non plus conjoncturelle mais structurelle. C’est-à-dire qu’elle
touche indéfiniment tous les aspects de la société : politique, finance, économie, social, culturel, moral. Pour perdurer l’impérialisme en crise n’a plus que la guerre totale dans tous ses états
: guerres politique, diplomatique, économique, financière, culturelle, médiatique et au final militaire. Telle est la Troisième Guerre mondiale qui est en cours, tantôt insidieusement, tantôt
très brutalement qui a déjà détruit des pays entiers et fait des millions de morts et de personnes déplacées. C’est la fin du monde unipolaire et le conflit ouvert en Ukraine au cœur de l’Europe
par les centres impérialistes politiques et économico-financiers va changer la carte du monde.
Le danger réside dans la volonté hégémonique des impérialistes de Washington qui savent que leur système est en déclin continu. Mentalement et par nécessité de
survie ils refusent cette réalité et s’imaginent encore pouvoir régenter le monde comme ils pillèrent la Banque Nationale d’Haïti en décembre 1914 pour imposer leur dictature à « la perle des Antilles ». Sauf que la Fédération de Russie ou
la République populaire de Chine et leurs alliés à travers le monde ne sont pas de pauvres Haïtiens sans défense. Aussi, pour éviter un affrontement direct avec la Russie qui serait
catastrophique pour l’humanité, ils jettent les peuples les uns contre les autres et s’aventurent dans une guerre pour diviser l’Europe sans voir que Kiev va devenir leur nouveau Kaboul. Aussi
les mesures sanitaires actuelles ou à venir ne sont que prétexte pour contrôler le peuple sans aucune justification scientifique.
On parle moins de la
guerre des vaccins, tout juste des confinements en Chine. Où en est la pandémie de part le monde ?
J-L.I.
: L’épidémie fut grandement exagérée par les politiciens et les médias occidentaux. Elle s’est éteinte naturellement dans la plupart des pays. Je répondrai précisément à votre
question en argumentant sur cinq points :
Où en est la pandémie au
plan mondial ?
Selon les statistiques officielles transmises par les États, de 2020 à octobre 2022, 6,59 millions de personnes seraient décédées de la Covid-19 pour 635 millions
de cas déclarés avec 12,9 milliards de doses de vaccins injectées dans une population d’environ 8 milliards d’habitants.
Que valent ces
chiffres ?
Ils ne veulent pas dire grand-chose en dehors du fait que le nombre de décès dus à la Covid-19 a été grandement exagéré. Le nombre de cas déclarés est produit par
l’utilisation du test RT-PCR. Or, où qu’il soit pratiqué, ce test ne peut pas dire si vous êtes infecté ou pas et encore moins si vous êtes contagieux ou pas ! La plupart des résultats de ces
tests sont faux. Des scientifiques expliquent pourquoi dans Covid-19 – Le bilan en 40 questions.
Y a-t-il eu réellement 6,59
millions de personnes décédées de la covid-19 ?
Concernant le nombre de décès, toutes les personnes déjà malades pour lesquelles il y avait un soupçon d’infection par le SRAS-Cov-2 avec un faux résultat de test RT-PCR ont été automatiquement déclarées décédées « de » la covid-19. Cela a pour conséquence de
produire de fausses statistiques en amplifiant grandement le nombre de morts attribués à la covid-19. Cherchez à qui profite le crime… Il y a une différence entre décéder « de » la covid-19 ou « avec ». En effet, en 2 ans 10 mois d’épidémie, 6,59
millions d’individus très âgés et souvent déjà malades ont été déclarés décédés « de » la Covid-19. Or, les données publiées par différents
pays montrent toutes que 88% des décès déclarés « de
» la covid-19 auraient pu être attribués à une comorbidité et 12 % à la seule Covid-19. Cela veut dire qu’en 2 ans et 10 mois 1 million de décès environ peuvent être attribués de
manière presque certaine à la Covid-19.5
Ce million de décès fait-il
de la Covid-19 une maladie très dangereuse ?
En aucun cas. A titre de comparaison : Près de 10 millions de décès dus aux cancers6, 8,9 millions de décès dus aux maladies cardiaques, 2,6 millions dus aux infections des voies respiratoires basses, 2 millions de nouveaux-nés
décédés suite à des affections néonatales, 1,5 million suite à des maladies diarrhéiques7. Et «
chaque jour 25 000 personnes meurent de faim », rappelle John Holmes, sous-Secrétaire aux affaires humanitaires des Nations Unies8. L’édition 2022 du rapport de l’ONU sur « L’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde
» rapporte que « 828 millions de personnes
souffraient de la faim en 2021 – soit 46 millions de plus qu’un an auparavant et 150 millions de plus qu’en 2019. » Quelle campagne de presse dans les médias occidentaux sur les quelque
2,3 milliards de personnes (29,3% de la population mondiale) qui sont en situation d’insécurité alimentaire modérée ou grave9 ? Et pour dénoncer les responsables des « plus de 13 millions de décès dans le monde chaque année [qui] sont
dus à des causes environnementales évitables »10 ? En réalité le nombre de décès réellement attribués à la Covid-19 est inférieur à celui de la grippe saisonnière en temps normal sur
deux années au niveau mondial : environ 1,2 million de décès en moyenne sur deux années11.
Les vaccins à ARN messager
ont-ils permis de stopper l’épidémie ?
En aucune manière. On constate que les pays d’Europe et d’Amérique du Nord, les plus vaccinés avec les produits à ARNm, sont ceux qui ont le plus de difficultés à
sortir de l’épidémie. Ces produits expérimentaux ont été présentés par les politiciens de Washington, dirigeants de sociétés transnationales pharmaceutiques et de l’Union européenne comme la
solution contre la maladie Covid-19. Ils ont été achetés avec des fonds publics à hauteur de dizaines de milliards d’euros sur la base de contrats quasi-secrets et sans aucun débat parlementaire.
En, réalité ces produits s’avèrent très dangereux. Les chiffres sur les effets secondaires commencent à être rendus publics, documentés, et de plus en plus de voix s’élèvent contre cette
tromperie qui apparaîtra comme le plus grand scandale sanitaire que le monde ait connu. Rien qu’en France, l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM) recense
depuis le début de la campagne d’injections 2 600 effets secondaires graves par semaine dont 25 à 28% sont très graves. Et, il faut savoir, ainsi que l’expliquent des chercheurs
dans Covid-19 – Le bilan en 40 questions, que ce
nombre ne représente que de 1 à 5% du nombre réel de ces effets secondaires ! En Allemagne, la société d’assurance maladie BKK ProVita (BKK) estime que, selon les données des patients, les effets
secondaires de la vaccination sont au moins dix fois plus fréquents que ceux rapportés par l’Institut Paul Ehrlich, l’agence fédérale allemande de la santé qui surveille la sécurité des vaccins
et des biomédicaments : 244 576 cas d’effets secondaires pour la seule année 202112 !
Selon une intervention d’Andreas Schöfbeck, membre du conseil d’administration du BKK, si les chiffres sont extrapolés sur un an pour l’ensemble des 83 millions
d’Allemands, ce sont 2,5 à 3 millions de personnes qui ont reçu en Allemagne un traitement médical pour les effets indésirables secondaires d’un vaccin à ARNm. Avec près de 347 millions de tests positifs non fiables mais déclarés en dix mois de l’année 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait
déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccins en 2021, il appert que la contamination n’a jamais été réduite par ces produits à ARNm. Bien au contraire, on observe qu’elle a été 4 fois plus
importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin ! Le slogan «Tous vaccinés, tous protégés» répété par les politiciens,
responsables d’administrations, dirigeants de sociétés transnationales pharmaceutiques occidentales et des médias était donc mensonger. La grande majorité des contaminations et des décès de
l’année 2022 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord. L’Europe occidentale est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis plus d’un an, sans discontinuer. Cela
prouve que la stratégie du tout vaccinal n’a pas fonctionné. De plus en plus de français qui commencent enfin à comprendre qu’ils ont été trompés et entrent dans un cycle sans fin de vaccinations
sans aucun bénéfice pour leur santé renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème dose de rappel. L’épidémie est donc terminée et les vaccins à ARNm s’avèrent être ni efficaces ni sûrs et en plus
dangereux. Il n’y a que la direction de l’Organisation mondiale de la santé et les dirigeants de l’Union européenne, notamment les français, pour fermer les yeux.
Page 222, Il y a un
passage fort intéressant sur la vaccination et l’armée française. Après les échos autour de l’armée américaine, ça tombe très mal pour les armées de l’OTAN avec les tensions à l’Est. Qu’en est il
de la troupe derrière la censure médiatique ? Est-ce un potentiel cygne noir ?
J-L.I.
: Lorsque nous avons rédigé notre enquête le mouvement en faveur des infirmières et des sapeurs-pompiers qui ont été exclus de leur métier du jour au lendemain, privés de salaire et
de droits, car ils refusaient de se faire injecter un produit expérimental, n’avait pas encore l’ampleur qu’il prend aujourd’hui. De même, pour les médecins poursuivis par leur Conseil de l’ordre
et qui sont suspendus ou radiés car ils ont sauvé des vies avec l’Ivermectine ! Il existe une banque mondiale de données sur l’Ivermectine (www.ivmmeta.com) gratuitement accessible qui indique
qu’au mois d’octobre 2022, 98 études ont été réalisées par 1014 chercheurs à travers le monde sur 134 223 patients. Toutes les conclusions de ces recherches sont concordantes sur la sûreté et
l’efficacité de ce médicament. De plus, une quarantaine d’État ont éradiqué la maladie Covid-19 en ne suivant pas la recommandation de l’OMS publiée dans un rapport falsifié mais en se référant
aux études scientifiques. La situation est identique pour les militaires qui ont été exclus de l’armée pour les mêmes raisons ainsi qu’en témoigne courageusement un officier dont nous rapportons
les explications. Enfin, nous trouvons scandaleux qu’une majorité de partis politiques et de syndicats n’ait pu initier une démarche commune pour la réintégration immédiate de ces citoyens –
médecins, infirmiers, sapeurs-pompiers, militaires, gendarmes, etc. – qui consacrent leur vie à sauver celle des autres 24 heures sur 24 dans des conditions de plus en plus difficiles. Ceux qui
soutiennent les mesures gouvernementales ou se défilent n’en sortiront pas grandis. Les députés communistes ont déposé une proposition de loi le 25 juillet dernier demandant l’abrogation des
dispositions de la loi n° 2021‑1040 du 5 août 2021 relatives à l’obligation vaccinale et la réintégration immédiate des agents du service public suspendus en conservant l’état d’avancement qui
était le leur au moment de leur suspension. Qui en parle ?
Quels sont vos réflexions
plus personnelles sur le sens que l’on peut attribuer à ces 2 dernières années ?
J-L.I. : La
tentative de contrôler le marché des vaccins, de renforcer les mesures de surveillance, de privatiser des secteurs entiers de l’Administration, de ficher et contrôler les citoyens et d’attaquer
la Fédération de Russie par Ukraine interposée ont les mêmes commanditaires : des grands propriétaires privés anglo-saxons de la finance et de l’économie. Ces événements caractérisés par leur
agressivité et leur mépris des peuples traduisent leur fébrilité devant la fin de règne de leur système hégémonique. Celui-ci est en situation d’affrontement avec l’évolution scientifique,
technique, sociale de la société. Alors que le Capital se concentre et que leurs centres de décisions accompagnent inévitablement cette tendance, la société aspire au contraire a des avancées
démocratiques pour gérer ses affaires, s’émanciper, vivre mieux. Les impérialistes s’accrochent à leur hégémonie en déclin comme l’ancienne noblesse à ses privilèges avant la Révolution de 1789
ou la bourgeoisie russe avant celle d’octobre 1917.
Les risques d’un nouveau conflit majeur n’ont jamais été aussi grands depuis la Seconde Guerre mondiale car ceux-ci sont aujourd’hui associés à la dégradation du
fonctionnement des organisations internationales, à la substitution du droit international à de prétendues règles décidées unilatéralement par les dirigeants de Washington, et à l’érosion des
principes de sécurité collective. La période historique de domination sans partage de l’Occident sur les affaires mondiales touche à sa fin et le monde unipolaire appartient déjà au passé. Mais,
cela ne veut pas dire que ce système va s’écrouler tout seul. Aujourd’hui, la plupart des nations ne sont plus disposées à supporter l’U.S. Imperium. Les forces de la rupture et de la
construction doivent éclairer sur les changements nécessaires et les moyens d’y parvenir. Les chemins empruntés par les peuples pour changer l’ordre des choses sont différents et varient selon
leur culture et leur Histoire. Dans ce contexte, il est remarquable de voir des pays comme la Fédération de Russie, la République de l’Inde, la République islamique d’Iran, le Brésil, la
République populaire de Chine, et bien d’autres, à l’Histoire, à la culture et aux systèmes politiques très différents, travailler ensemble pour réaliser, dans tous les secteurs, des coopérations
mutuellement avantageuses pour le progrès et la paix de leurs peuples. Les avancées politiques, économiques, sociales, culturelles créées par l’Organisation de coopération de Shanghai – OCS –
(www.eng.sectsco.org) sont aussi d’une importance capitale par ce qu’elles nous enseignent et nous suggèrent pour l’action.
Voilà ce que ne supportent pas les dirigeants de l’U.S. Imperium à la vieille mentalité colonialiste dont « l’American way of life » s’enterre dans la crise et la
guerre. Les autres organisations plurinationales qui gravitent autour de l’OCS renforcent cette dynamique initiée à partir de 1996 par la plate-forme informelle dite « Shanghai Cinq ». En moins d’une trentaine d’années que de
chemin parcouru dont témoignent les grands projets positifs réalisés et ceux aujourd’hui en chantier ! Vous avez deux mondes : l’ancien, le bloc occidental, négatif, qui enfonce les peuples dans
la guerre et la récession, où les gens ont de plus en plus de difficultés à se soigner, s’éduquer, travailler, se loger, se chauffer, où la population en voie de précarisation augmente tandis que
des richesses monumentales s’accumulent entre les mains d’une minorité de possédants. A l’opposé le monde de l’OCS, positif, va de succès en succès, pas à pas, dans le respect de la souveraineté
de chaque peuple. Par exemple, la Fédération de Russie poursuit son développement malgré les sanctions occidentales. Elle est devenue le pays le plus autarcique du monde qui produit presque tout
ce dont elle a besoin, possède des ressources qu’elle négocie avec ceux qui la respectent, dispose d’énormes réserves financières, développe son système de santé publique, construit des centaines
de milliers de logements.
De même, la République populaire de Chine qui tout en ayant éradiqué l’extrême pauvreté et la pauvreté – près de 850 millions de personnes lors des sept dernières
décennies – (www.french.china.org.cn), améliore continuellement la situation de toute la population. Le salaire moyen y est en constante augmentation tandis que les impôts et taxes
diminuent13 et les entreprises privées doivent consacrer l’essentiel de leurs ressources à leur développement et à leur environnement. Avec son
partenaire russe, la Chine construit, avec d’autres pays, des ponts entre les peuples pour renforcer la paix et développer des coopérations dans tous les domaines. Avec l’agonie de l’U.S.
Imperium, ce monde positif qui émerge et se renforce est, à mon avis, l’événement essentiel de ces dernières années car il réunit des acteurs de convictions politiques, philosophiques,
religieuses très différentes sur des projets communs tournés vers l’avenir et la paix.
Quels sont vos projets
?
J-L.I.
: Nous allons publier au premier trimestre 2023 une nouvelle enquête sur un drame qui concerne tous les français sous le titre L’abandon français chez IS Edition. Nous montrons à partir du vécu quotidien des gens
comment la pensée unique s’installe dans la société de manière perverse et influe sur notre comportement en nous inculquant les normes anglo-saxonnes. La France est un pays au riche patrimoine
matériel et immatériel qui fit hier son rayonnement mais depuis les années soixante-dix tout part à vau l’eau. Aujourd’hui notre existence même comme Français est menacée. Il nous semble
nécessaire de rappeler pourquoi, par qui et d’appeler à l’action pour reprendre « les atouts France ». Nous travaillons également sur un autre
ouvrage qui traitera de la fin de règne de l’hégémonie étasunienne et du monde nouveau qui émerge avec l’OCS. Claude Janvier, qui anime l’émission Libre parole sur TV ADP (www.tvadp.fr), a
également un autre ouvrage en cours.
De mon côté, j’ai plusieurs autres ouvrages en chantier. L’un d’entre eux mettra en cause les dirigeants de l’OMS avec l’Union européenne, dont des dirigeants
français, dans une vaste affaire qui a eu pour conséquence le mort de milliers de personnes rien qu’en France. Une autre de mes enquêtes révélera dans une succession de chapitres plus ou moins
longs et piquants les dessous de la construction de l’Union européenne, son bilan et le côté très « maison close » de la Commission européenne. Il est
important de rappeler à la veille des élections des députés « européens » de 2024 que ceux-ci ne servent à rien si non
à cautionner la division de l’Europe qui s’étend du détroit de Béring à la mer d’Irlande et à faire du versant ouest européen un protectorat de Washington meurtri par la crise et ses guerres.
Également, mettre en lumière une autre possibilité de construction européenne débarrassée de l’actuelle structure pyramidale centralisée, de ses technocrates « hors sol » et des lobbies anglo-saxons ne
devrait pas manquer de susciter l’intérêt des lecteurs.
Alerte sur notre contrat social, par Hervé Sérieyx, éd. Eyrolles
Dette des Etats-Unis au mois de novembre 2022. La dette US totale ne se limite pas à la dette fédérale. Elle comprend aussi les dettes des ménages, des
entreprises, des 50 États de l’union, des institutions locales et des institutions financières. L’évolution de la dette U.S. est consultable sur le site internet qui lui est dédié :
www.usdebtclock.org.
La dédollarisation des économies, fin de l’ère de puissance des économies ? par Guillaume-Henri Hurel, Ecole de guerre économique (www.ege.fr) 6 septembre
2021
Source : Rapport mensuel de situation Covid planétaire du 29 octobre 2022, 0h00GMT, tableaux et analyses commentés par le général Dominique
Delawarde
Cancer, OMS (www.who.int), 10 février 2022
OMS, Les 10 principales causes de mortalité, 9 décembre 2020
Chaque jour 25 000 personnes meurent de faim, par John Holmes www.un.org
ONU, Rapport L’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde 2022, ONU (www.who.int), 6 juillet 2022
Des milliards de personnes respirent toujours un air pollué : nouvelles données de l’OMS, OMS (www.who.int), 4 avril 2022
Source : Organisation mondiale de la santé
BKK tire la sonnette d’alarme – Les effets secondaires de la vaccination totalement sous-estimés, Nordkurier, 23 février 2022
Conférence de presse de Liu Kun, ministre chinois des Finances, 22 février 2022
Ce vendredi
paraît Le
virus et le Président, un ouvrage édifiant co-écrit par le journaliste Jean-Loup Izambert et l’écrivain polémiste Claude Janvier. Un livre fortement documenté et
sourcé qui met en lumière les véritables raisons qui ont poussé Emmanuel Macron et son gouvernement à prendre des décisions qui mettent pourtant à mal un pays
entier.
La « pandémie » liée au Coronavirus et à la Covid-19, et la gestion hasardeuse qui en a découlé, a fait d’énormes ravages dans la
société française, tant au niveau de la population qu’au niveau du tissu économique, très fortement impacté par les mesures de prévention et de privation de liberté prises
au fil de l’eau par le gouvernement français dirigé par Emmanuel Macron.
Le
virus et le Président, co-écrit par le journaliste Jean-Loup
Izambert et l’écrivain polémiste Claude
Janvier (voir notre présentation dans cet
article), s’attelle donc à démontrer en quoi les dirigeants de l’Union dite « Européenne » et les dirigeants français sont responsables de la crise sanitaire, et
comment ils utilisent celle-ci pour camoufler la crise économique et financière dont ils sont également responsables.
Dans un style direct soutenant une argumentation étayée de nombreux faits et témoignages, les auteurs décrivent comment, avec ou sans la
maladie Covid-19, les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie – les « écrasés » – se servent de l’État pour s’enrichir de manière éhontée au détriment
de l’intérêt général. Et comment le pouvoir politique impose aux Français de nouvelles mesures d’austérité afin de leur faire payer la dette, mais aussi leurs crises
économiques et financières résultant de leur politique. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise et les enjeux d’aujourd’hui.
L’ouvrage est préfacé par le docteur Pascal
Trotta, ancien Interne des Hôpitaux de Paris, lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin spécialiste radiologue et fondateur de l’Institut de Médecine
naturelle de Saint-Sébastien.
*
Résumé
Début 2020, le virus de la Covid-19 se propage rapidement dans tous les pays du monde. Mais pas partout de la même façon…
Il semble exister une exception « Française d’Origine Contrôlée par l’Union Européenne », dont l’acronyme laisse entrevoir la façon dont
le gouvernement traite cette « pandémie ».
Dans les couloirs de l’Élysée et de Matignon, les dirigeants de groupes terroristes ont ainsi cédé la place au virus. Nostalgie de son
ancien boulot à la Rothschild & Compagnie, dans lequel Emmanuel Macron s’efforçait, selon son propos, de « séduire un peu comme une prostituée » ? Toujours est-il
que le président s’entiche de ce nouveau tueur qui paralyse pourtant l’économie de son pays.
Mais que cache ce racolage médiatique ?
Dans Le
virus et le Président, co-écrit par le journaliste d’investigation Jean-Loup Izambert et l’écrivain-polémiste Claude Janvier, plongez dans une enquête sur l’une
des plus grandes tromperies contemporaines organisées par un pouvoir politique, main dans la main avec les dirigeants de l’Union « Européenne » et les grands
propriétaires privés de la finance et de l’économie. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise ainsi que les enjeux d’aujourd’hui et de
demain.
——————–
Le
virus et le Présidentparaît aux formats papier comme numériques (formats ePub, Mobi/Kindle et PDF), dans tous les réseaux de librairies via nos
distributeurs Hachette Livre (livre imprimé) et Immateriel (eBooks).
Après Trump grâce à l’Europe et 56, Jean-Loup Izambert revient avec un complice cette fois-ci pour un livre sur l’actualité brûlante, le coronavirus qui aura réussit l’exploit de faire se terrer le monde
entier enfin surtout sa composante otanesque, étrangement ultra-sensible à cet ennemi invisible.
Il s’associe cette fois avec Claude Janvier, écrivain-polémiste pour faire un bilan de cette année extraordinaire, au sens littéral. Si le titre du livre donne
l’impression qu’il ne va s’agir que de virus dans un contexte français, au fil des pages, les deux auteurs vont très largement déborder pour placer notre histoire de virus dans une perspective
beaucoup plus large et riche d’enseignements.
Dans une 1ère partie sur la gestion française de la crise, les auteurs questionnent le déroulé de l’opération Macronavirus avec ses ratés de communication, ses
retournements de vestes masques,
l’inéluctabilité des choix politiques, sans que rien, ni personne ne puisse freiner la machine, ni à l’assemblé nationale, ni chez les magistrats et encore moins dans la presse, l’ancien 4ème
pouvoir qui n’aura de cesse de devancer les désir de l’oligarchie dans un scénario qui semble écrit d’avance.
La seconde partie du livre s’éloigne du virus pour tenter de cerner les causes du désastre. On peut y lire une analyse très documentée de la déconstruction
systématique du modèle social construit par nos aînés au sortir de la 2nd Guerre Mondiale, en parallèle des fuites de notre système d’imposition qui est pourtant paraît-il le meilleur du monde.
Au moment où les français découvrent effarés les manques de lits, de personnels, de matériels de base, nos deux enquêteurs alignent les forfaitures d’une caste qui s’enrichit sur les cadavres
laissés derrière lui par ce virus qui a bon dos pour justifier médiatiquement l’injustifiable. De part le choix des mots, des sources, ils proposent une analyse quasi marxiste de la situation, où
les « écrasés », les plus
riches, les présidents exécutifs du CAC 40 notamment, pleurent des larmes de crocodiles alors qu’ils organisent l’évasion fiscale de leurs avoirs avec des complicités jusqu’aux plus hauts sommets
de l’État, loin des possibles fourches de ce peuple qu’ils craignent et qui lui en subit toutes les conséquences directes, licenciements, indignités de traitement de nos seniors, mais aussi
indirectes avec l’arme des lâches, l’endettement des futurs générations qui à peine sur pieds sont déjà sommés de rembourser la dette.
Enfin, surtout dans un dernier chapitre plus géopolitique, les auteurs prennent de la hauteur dans une analyse qui se rapproche largement des thèmes abordés sur
notre blog. Comme aux États-Unis autour des récentes élections, il semble que les Guerres Hybrides qui ont permis à l’Empire de contrôler le monde, reviennent hanter les « démocraties » occidentales
pour cette fois ci supplanter les simulacres politiques en place depuis plusieurs décennies et mettre aux pas des peuples qui votent de plus en plus avec leurs pieds. Les auteurs posent même la
question du financement de l’effort militaire de l’Otan. Est-ce que cette opération coronavirus n’est pas l’occasion de détourner l’argent de la Santé vers une armée au service de l’oligarchie ?
Où pire, est-ce qu’elle n’a pas été organisée pour cela ?
Interview des auteurs
Bonjour Messieurs,
pourquoi cette collaboration ? Vous vous connaissiez déjà ?
Jean-Loup Izambert : Oui, Claude et moi
étions déjà en train de travailler sur deux autres ouvrages, l’un sur la colonisation des esprits par les sociétés transnationales U.S., l’autre sur l’état de la France au bout d’un demi siècle
de pouvoir atlantiste. Par ailleurs, je menais de mon côté une enquête sur des laboratoires travaillant pour l’armée US sur des armes biologiques offensives et une autre sur les dessous de
l’Union dite « européenne ». L’apparition
soudaine de la pandémie ayant pour origine le virus SRAS-CoV-2 nous a tout naturellement conduits à suspendre nos travaux en cours pour nous intéresser à cette situation nouvelle. Nous avions
déjà analysé plusieurs données comme le rôle de l’Union « européenne » dans la
déréglementation de l’économie ou la destruction du système de santé publique. Nos recherches nous permettaient d’avoir un éclairage plus complet sur le contexte des crises sanitaire et
économique et financière que la simple comptabilité médiatique du nombre de personnes infectées ou de morts.
Vous dédiez ce livre à
ceux qui ne se sont pas vendus à Big Pharma. Où en est-on de l’emprise de la corruption en France. Il ne s’agit encore que d’un mince verni de technocrates idéologisés ou tout est vermoulu
?
Claude
Janvier : Nous évoquons le cas de ce que l’on désigne par Big Pharma car dans le cas d’une pandémie ce sont surtout les sociétés transnationales de la pharmacie qui sont concernées.
En réalité, au-travers de Big Pharma c’est tout un système qui est en cause. C’est celui d’une oligarchie financière omniprésente dans les coulisses du pouvoir et qui se sert de l’État pour
satisfaire ses objectifs d’appropriation de « nouveaux territoires
économiques » par tous moyens, de la corruption de décideurs à la guerre. Nous consacrons plusieurs chapitres à cette question pour expliquer comment des « assassins
financiers » préparent le lit des sociétés transnationales et comment l’Union « européenne » leur sert de
relais pour opérer la déréglementation financière, économique et sociale dont ces sociétés transnationales ont besoin. Un exemple pour illustrer les dégâts de cette politique : dans le
secteur de la Santé, au nom de « la liberté des entreprises »,
entre 2011 et 2018, la Commission européenne a recommandé à 63 reprises aux États membres de privatiser des pans entiers du secteur de la santé publique et de réduire de plusieurs milliards
d’euros les dépenses publiques en matière de santé.
Résultat de cette politique : aujourd’hui 7 Français sur 10 reportent des soins ou renoncent à se soigner soit par faute de moyens financiers, soit en raison de
délais d’attente trop longs ou encore de pouvoir accéder à un spécialiste. On peut effectivement dire que tout est vermoulu par le fait que dès ses origines l’organisation des « États-Unis d’Europe » a été conçue
pour favoriser l’hégémonie des États-Unis. Ce diktat de Washington pour imposer son système politique et économique se réalise de diverses manières. Mais c’est surtout l’intense activité des
lobbies anglo-saxons dans les centres de pouvoir de l’Union « européenne » et des États qui permet
à ces sociétés de prendre des positions hégémoniques. Le cas des vaccins contre la Covid-19 en est un exemple dramatique. Ces sociétés savent que leurs vaccins pourraient présenter d’éventuels
dangers. Elles n’ont pu encore identifier ceux-ci car, comme le rappelle le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), il faut plusieurs années d’observation pour avoir la preuve de
l’efficacité du vaccin sur le terrain et bien connaître ses effets secondaires. Preuve en est qu’elles se gardent bien aujourd’hui d’en garantir l’efficacité complète comme la sûreté. Mais, comme
elles veulent vendre massivement et rapidement ceux-ci pour réaliser des milliards de profits en profitant du climat de peur dans l’opinion publique, elles cherchent a être déresponsabilisées des
effets secondaires qu’ils pourraient provoquer. Pour échapper à toute éventuelle poursuite judiciaire, elles ont traité avec la Commission européenne afin de dégager leur responsabilité des
conséquences de ces possibles effets secondaires. Ce seront les États de l’Union « européenne » qui prendront en charge
à leur place les indemnisations financières de personnes qui seraient atteintes par ces effets secondaires susceptibles de causer, comme cela a été mis en évidence avec d’autres médicaments, de
graves préjudices physiques et même la mort dans certains cas.
Il ne faut pas s’étonner de cette compromission entre des dirigeants de sociétés transnationales et ceux de l’Union « européenne » puisque Bruxelles est
aujourd’hui, après Washington, la seconde place au monde par le nombre de lobbies qui campent près de ses organes de décision. D’ailleurs, pourquoi faire tant de tapage sur ces vaccins
potentiellement dangereux en l’état quand des traitements comme l’Hydroxychloroquine, l’Azithromycine ou l’Ivermectine, vulgarisée notamment par le docteur Gérard Maudrux et efficace en action
prophylactique comme thérapeutique, existent ?… Le ministre de la Santé, l’administration de ce ministère et le Conseil de l’ordre des médecins ont tout fait pour mettre à l’écart ces traitements
efficaces et les professionnels de santé comme les médecins généralistes et les spécialistes qui les ont utilisés avec succès ! Là est le scandale d’État !
Pourquoi focaliser le
titre sur le président français, n’est-ce pas réduire le problème à une personnalité qui ne semble pas forcément être plus qu’un acteur parmi d’autres ?
J-L.I. : Le président Macron est le
premier représentant de l’État français qui conduit sa politique avec son Premier ministre et son gouvernement. Il est présent au sein du premier cercle du pouvoir politique français depuis
l’année 2012. Il y a exercé différentes responsabilités comme Secrétaire général adjoint du cabinet du président Hollande, puis comme ministre de l’Économie du gouvernement Valls et a été à
l’initiative de différentes lois avec d’autres ministres pour privatiser des pans entiers de l’économie. Par ailleurs, il est un partisan de l’Union « européenne » et un atlantiste qui
engage la France dans les aventures militaires de Washington. Il continue aujourd’hui la politique atlantiste menée par ses prédécesseurs et est à ce double titre l’un des principaux responsables
de la crise sanitaire qui s’ajoute à la crise économique et financière dans laquelle il a également une part de responsabilité.
Il est donc l’acteur essentiel de la politique que connaît la France en amont et au moment de la pandémie même s’il n’est pas le seul responsable, loin de là, des
désastres provoqués par ses deux Premiers ministres, leurs ministres de la Santé et de l’Économie et de nombreux hauts fonctionnaires à la tête de diverses administrations. Cela étant dit, il a
été élu en mai 2017 par une minorité de Français mais une majorité de votants. En conséquence ceux qui ont appelé à voter pour lui et voté pour lui sont mal placés pour le critiquer aujourd’hui
d’autant que chacun pouvait alors juger de son action dans ses précédentes responsabilités. Il n’est bien sûr pas le seul en cause comme nous le montrons dans Le virus et le président.
D’ailleurs dans votre
préambule, vous ciblez des responsables à Bruxelles et à Paris ? Et Londres, Berlin, Washington ?
C.J. : Il y a des différences entre
États au sein de l’Union « européenne ». Par exemple, tous
les États n’appliquent pas de la même manière les recommandations de l’Union demandant de privatiser les structures de soins et de réduire de manière drastique les dépenses de santé publique. Par
exemple, alors que nous avions un système de santé publique envié à travers le monde dans les années 60, aujourd’hui la Suède, la Finlande, le Danemark, l’Islande ou l’Autriche ont des systèmes
de santé publique plus performants. Nous évoquons dans Le virus et le président plusieurs de
ces aspects quand nous traitons de la situation du système de santé publique français et du rôle joué par l’Union « européenne » dans la
gestion de la crise sanitaire dans le chapitre Mort programmée sur ordonnances. Nous avons
choisi de traiter d’abord de ce qui se passe en France, comment et pourquoi la crise sanitaire s’est développée et quels rôles ont joué les dirigeants politiques à Paris et à Bruxelles puisque la
France est encore membre de l’Union « européenne ».
Par ailleurs, ce virus, dont l’origine n’est pas encore établie de manière certaine, est nouveau. Il faudra donc du temps, sans doute plusieurs années, pour que les
scientifiques tirent des conclusions précises sur ses caractéristiques, les moyens de le combattre préventivement et curativement, etc. Depuis le début de l’année 2020 nous assistons dans les
médias français à une déferlante d’informations souvent non vérifiées et fausses, pour la plupart issues du gouvernement ou d’administrations, comme nous le montrons en reprenant l’historique de
la pandémie. Un exemple parmi tant d’autres : Le Conseil scientifique, qui conseille le gouvernement en matière sanitaire, est dirigé par le Pr Delfraissy. Ce dernier déclarait à la presse le 26
octobre 2020 et je cite « …il y a
100 000 cas par jour du coronavirus. On compte les cas diagnostiqués, les non diagnostiqués et les asymptomatiques. »
Je vous laisse juge de l’énormité de ce genre de déclaration, sans qu’elle soit remise en cause par les médias mainstream. La déferlante de nouvelles alarmantes
relevant plus d’une propagande honteuse que de faits réels ont conduit le général Dominique Delawarde, ancien chef du bureau Situation-Renseignement-Guerre
Électronique de l’État-major
Interarmées de Planification opérationnelle, à qualifier ce bourrage de crâne d’ « hystérisation de l’opinion publique ».
Permettre au lecteur d’appréhender la réalité nous obligeait à limiter notre enquête au cas français qui est déjà l’un des plus complexes par la désinformation dont cette pandémie est
l’objet.
Votre préfacier, le Dr
Trotta, parle d’une oligarchie qui cherche par tous les moyens à s’enrichir sur le dos des peuples. Est-ce vraiment une simple question d’argent pour une oligarchie qui tient les plus grandes
banques commerciales et surtout la planche à billet via les banques centrales occidentales ?
J-L.I. : L’oligarchie financière
capitaliste est une classe apatride avant tout intéressée par son enrichissement. Cette course au profit maximum immédiat la conduit naturellement à tout mettre en œuvre afin de protéger ses
privilèges et de préserver son système de pillage des peuples et de surexploitation. Or, celle-ci est aujourd’hui mise en cause jusqu’au cœur de plusieurs de ses principaux centres de décision.
Par exemple, les Bourses de valeur peuvent plonger du jour au lendemain. Ainsi que nous le rappelons en faisant référence au travail de recherche mené par Jean-François Gayraud, haut
fonctionnaire de la Police nationale spécialisé dans la criminalité économique et financière, et publié sous le titre de Le nouveau capitalisme criminel, les
transactions financières se déroulent désormais dans des conditions telles que des entreprises comme Google peuvent voir leur capitalisation boursière chuter de 22 milliards de dollars en trois
heures ! Mary Shapiro, la présidente de la SEC, reconnaissait elle-même, en octobre 2012, combien des marchés fragmentés et interconnectés sont particulièrement vulnérables. La chute d’une
plate-forme peut ainsi se propager en « cascade » et contaminer d’autres
places boursières.
Mais le « jeu de la cascade » est
plus dangereux que celui des « dominos » car la vitesse
des transactions « implique que
des problèmes d’infrastructure, même petits, peuvent causer des dégâts majeurs ». Pour parvenir à ses fins l’oligarchie financière a besoin de contrôler l’État, la monnaie et la guerre. Sans
la guerre, une guerre aujourd’hui totale et multiforme, le Capital ne pourrait jamais se reconstituer. Les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie ont besoin de l’État pour
assurer la survie de leur système comme hier la noblesse avant la Révolution de 1789. Voyez comment les dirigeants de l’État protègent la classe des oligarques en mettant ses caisses à leur
disposition. Ces milliards d’euros de fonds publics annuels leur permettent de se redéployer en se concentrant. C’est aussi le cas lorsqu’ils font financer le chômage qu’ils créent par
l’État ; c’est encore le cas lorsqu’ils font financer par l’État les guerres qu’ils doivent mener pour s’accaparer de « nouveaux territoires
économiques ».
A moins d’être complètement aveugle ou d’une mauvaise foi grotesque, personne ne peut nier le constat que nous faisons : En France comme en Europe de l’ouest et sur
certains pays d’Europe centrale et du sud, la guerre menée par l’oligarchie contre les peuples se caractérise par un état d’urgence financier – allongement de la durée du travail, blocage des
salaires et des retraites, réduction de la législation du Travail, recours à une immigration massive, etc. – qui réduit les droits du travail et les droits de la sécurité sociale (santé,
éducation, logement, etc.). Après que l’état d’urgence antiterroriste ait suspendu les droits « démocratiques », l’état d’urgence
sanitaire achève d’enlever au peuple français le peu de libertés qu’il lui restait. Ce système devenu dictatorial, toujours sous couvert de libéralisme et d’assurer la sécurité des Français, ne
peut perdurer que pour deux raisons : la peur répandue et entretenue dans le peuple à coups de mensonges d’État fortement médiatisés pour qu’ils se tienne tranquille et l’absence d’organisation
politique capable de rassembler une majorité consciente des mesures à mettre en œuvre pour rompre avec ce système.
De part les sources et
les termes choisis, le livre a un souffle que je qualifierai presque de marxiste ? Ce livre a été écrit dans l’élan de cette « crise » sanitaire
ou était-il déjà en gestation sous cette forme, cette crise n’étant que la dernière en date d’une situation déjà profondément enracinée et le prétexte pour vous pour cette critique de fond
?
C.J. : Il n’est nul besoin d’être
marxiste pour constater les faits que nous rapportons en cherchant à les expliquer et en montrant ce qui se cache derrière certains d’entre eux. Nous avions déjà procédé à l’analyse des
conséquences de la crise économique et financière pour l’un des autres ouvrages auquel nous travaillons. Cette crise sanitaire ne résulte pas de la virulence du virus SRAS-CoV-2 mais de la
situation catastrophique du système de santé publique. Elle vient se greffer sur la crise économique et financière en ajoutant du malheur au malheur. Comme nous le montrons dans le chapitre
intitulé Camouflage, le
pouvoir politique utilise la crise sanitaire dont il est responsable pour lui faire porter la responsabilité de la crise économique et financière dont il est également responsable par sa
politique. Bien avant que n’apparaisse le SRAS-CoV-2, les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie profitaient de plus de 200 milliards de dollars annuels de fonds publics et
d’exonérations fiscales et sociales de toutes sortes pour moderniser l’outil de travail – qu’ils délocalisent -, préserver l’emploi, – qu’ils assassinent -, fermant des entreprises rentables
comme nous en donnons l’exemple.
Par contre, dans une opacité de gestion totale les dirigeants de ces sociétés transnationales n’oublient surtout pas d’exporter une grande partie de leurs bénéfices
et de leurs fortunes dans des places off-shore. Ils reçoivent aujourd’hui de
nouveaux milliards de fonds publics pour procéder à des suppressions d’emplois massives déjà programmées, pour nombre d’entre eux, avant la crise sanitaire. Les analyses et prospectives des
analystes de Janus Henderson
Investors (JHI), groupe anglais basé à Londres, spécialisé dans la gestion d’actifs mondiaux, dont nous publions des extraits d’un rapport très peu médiatisé, indiquaient au mois
d’avril 2020 que la crise sanitaire n’aura que peu de conséquences sur les dividendes que toucheront à la fin de 2020 et 2021 les actionnaires des sociétés cotées en Bourse. Ils soulignent
qu’ « un certain nombre de
sociétés ont suspendu le paiement de leurs dividendes alors qu’elles avaient des bilans solides et suffisamment de liquidités pour les payer. » Ce n’est donc pas qu’ils ne peuvent pas
payer les dividendes aux actionnaires mais qu’ils doivent faire profil bas pour obtenir encore plus de prêts garantis par l’État ou encore plus de programmes de rémunération des salariés !
Ce n’est pas la Covid-19 qui est responsable du fait que la France soit devenue l’un des pays les moins industrialisés d’Europe. Le secteur industriel ne
représentait déjà plus que 11% de son activité économique bien avant la pandémie du SRAS-CoV-2. Comme vous le dites justement, la crise économique et financière était déjà « profondément enracinée ». C’est aussi
pourquoi quand le président Macron déclare qu’il veut « reconstruire une économie forte et souveraine
» après avoir contribué durant des années à la détruire et à la rendre dépendante nous disons que c’est un peu comme si une dinde voulait fêter Noël. Ou alors il doit faire procéder à
la nationalisation de la société Alstom pour lui redonner sa splendeur déchue après qu’il l’ait abandonnée à la société US General Electric…
Il y a un aspect de
notre situation en ce début de 21ème siècle qui m’intéresse beaucoup et que je n’ai vu qu’à peine effleuré dans votre texte, la démographie. La population solvable vieillit et arrête globalement
de consommer. C’est une situation de stress énorme pour les mécanismes sous-jacent comme le refinancement du système bancaire. Cette crise sanitaire n’est-elle pas aussi la résultante d’une crise
plus profonde ?
J-L.I. : C’est une question qui mérite
d’être soulevée car elle met en évidence une autre tromperie de certains politiciens français. La population solvable vieillit mais n’arrête pas de consommer. Elle consomme moins certains
produits mais consomme différemment, se porte vers d’autres biens et services, du moins pour ceux peuvent encore consommer. Pour rappel, l’’étude de juin 2020 de la Direction de la recherche, des
études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) indiquait qu’ « en tenant compte des prélèvements
sociaux, la pension moyenne s’élève à 1 382 € ». 1,14 million des retraités vivaient en-dessous du seuil de pauvreté tandis que 568 000 bénéficiaient d’une allocation de minimum
vieillesse. Cet argument du vieillissement de la population est déjà utilisé par les politiciens bourgeois qui veulent rallonger la durée du travail et réduire le code du Travail en une peau de
chagrin. Ils « oublient » juste de dire
que si le nombre de retraités augmente le nombre d’actifs en croissance est resté stable jusqu’en 2010 et devrait le rester jusqu’en 2050. Ils « oublient » également de
dire, comme le rappelle l’Insee, que depuis 1960 la productivité a au moins été multipliée par 5, ce qui signifie qu’un actif de 2010 produisait 5 fois plus de richesses qu’un actif de
1960.
Et, ils « oublient » encore de dire
que, selon le 8ème rapport du Conseil d’Orientation des
Retraites (COR), dans les 40 prochaines années la productivité devrait encore doubler. Ils comptent sur l’ignorance de la population des réalités économiques et sociales pour lui
imposer de nouvelles mesures antisociales. Ils dissimulent encore que ces vingt dernières années la richesse de la France a doublé et devrait encore doubler d’ici à 2050. Mais, surtout, ils se
gardent bien de dire que ces 30 dernières années 10% de la richesse produite, soit 200 milliards d’euros, a été transférée de la rémunération du travail vers les profits, soit huit fois le
déficit de la Caisse d’assurance
vieillesse ! Du reste, si, d’une manière générale la population vieillit dans les pays d’Europe, les grandes banques ne s’en portent pas plus mal et adaptent leurs offres tant en
direction de leur clientèle d’affaires que des particuliers. Le montant des dividendes que s’octroient les actionnaires des grandes sociétés économiques et financières n’est pas vraiment stressé
par le vieillissement de la population.
Ainsi que nous le décrivons en nous appuyant notamment sur les analyses de la Janus Henderson Investors, en dix années,
de 2009 à 2019, « les
investisseurs sur le revenu ont, en 2019, perçu 694 milliards de dollars US de dividendes de plus qu’il y a dix ans. Les sociétés ont également, à travers le monde, versé à leurs actionnaires le
montant impressionnant de 11 400 milliards de dollars US au cours des dix dernières années.» Qu’en est-il pour les sociétés françaises ? Parmi les pays du continent
européen, « la France est le
principal payeur de dividendes en Europe et, grâce aux importants dividendes extraordinaires de Natixis et d’Engie, a été le seul pays à afficher des paiements record en 2019. » La
situation des Français s’est-elle améliorée pour autant durant la même décennie ?
Non, loin de là bien au contraire ! Sur la même période le chômage, la précarité, les difficultés pour la majorité des Français et même la pauvreté et la très
grande pauvreté n’ont cessé d’augmenter. S’il y a du stress ce n’est donc pas dans les mécanismes du système bancaire mais bien dans le monde du travail qui connaît une dégradation continue de sa
situation. Comme vous avez pu le lire, nous rapportons différentes études, enquêtes et témoignages sur cet aspect de l’aggravation de la crise économique et financière. Ce n’est pas le
vieillissement de la population qui est responsable du fait que la France soit aujourd’hui l’un des pays d’Europe occidentale où l’on se suicide le plus, y compris parmi les professionnels de la
santé : 25 suicides par jour soit en moyenne un peu plus d’un par heure, la deuxième cause de décès chez les 15-44 ans et la deuxième cause également chez les agriculteurs après le cancer. La
crise sanitaire n’est qu’une résultante, parmi d’autres comme le saccage du travail ou l’aggravation de la précarité, de la crise économique et financière qui détruit le système de santé
publique.
Du coup Macron a
peut-être raison d’en appeler à la Guerre, non pas la Guerre contre le virus mais au passage à une économie de Guerre, administrée, calibrée, habillée par ce Grand Reset,
ce green-washing pour
garder le contrôle des narratives et le pouvoir ?
C.J. : Les grands propriétaires privés
de la finance et de l’économie n’ont pas besoin d’un quelconque « grand reset » pour poursuivre la
privatisation de la Terre et de l’humain, des terres agricoles au ventre des femmes afin de transformer le monde en un vaste marché. La guerre sous toutes ses formes – endettement de pays,
sanctions diplomatiques, financières, économiques contre ceux qui s’opposent à leur hégémonie, sabotage de projets économiques entre les peuples pour imposer leurs entreprises, corruption de
dirigeants, subversions et coups d’État contre les dirigeants qui veulent préserver la souveraineté de leur pays, guerre militaire totale – est à l’œuvre avec l’appui de l’État. Vous remarquerez
du reste que les députés français sont particulièrement aphones sur ces questions essentielles ! Macron n’est qu’un représentant de l’oligarchie financière qui a bordé son accession au pouvoir
pour défendre ses intérêts. Ses principales décisions – guerres contre des peuples, privatisations, réduction du code du Travail, désindustrialisation, suppressions d’emplois, réduction de
l’espace public (santé, éducation, logement, recherche, etc.) au profit d’intérêts privés égoïstes, augmentation des taxes, diminution de l’imposition des sociétés transnationales – sont, sous
couvert de libéralisme, guidées par les demandes du grand patronat.
Voyez comment il a fait bombarder la République arabe syrienne en avril 2018 à la demande de Washington ! Voyez comment il continue, à la suite de ses
prédécesseurs, de détruire les systèmes de santé publique, de l’éducation nationale, de laisser liquider des entreprises rentables et performantes comme Alstom ou Arjowiggins. Peu importe que le
président Macron conserve le pouvoir. L’essentiel pour l’oligarchie financière est qu’il créé les conditions afin qu’elle puisse s’approprier de « nouveaux territoires économiques ».
Ceux-ci peuvent être des entreprises, à l’exemple d’Alstom, des marchés, à l’exemple des vaccins contre la Covid-19 autorisé sur la marché alors que la mise au point et l’évaluation de ces
produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de leur efficacité ou de leur dangerosité n’a été publié à ce jour, des pays, à l’exemple de l’Irak, de la Libye, de la Yougoslavie, de
l’Ukraine ou d’autres pour s’en approprier les richesses. Nous décrivons comment dans plusieurs chapitres dont ceux sur Le tableau de chasse des assassins financiers et Les « écrasés ». Nous ne pouvions que nous
arrêter sur ceux que nous appelons les « écrasés », ces messieurs du CAC 40 qui se
plaignent du trop de charges depuis la nuit des temps et qui sont surtout la plus grosse charge dans le budget de l’État comme dans celui des entreprises qu’ils dirigent.
En toute fin de livre,
vous parlez de « souveraineté
retrouvée » ? Le système disperse avec habileté, les forces populaires, souveraines par définition. Comment définissez vous la souveraineté ? Et qu’allons nous retrouver ?
J-L.I. : La souveraineté
c’est « le pouvoir du peuple
par le peuple pour le peuple ». L’expérience montre que pour y parvenir il faut que les consciences citoyennes s’informent, s’éduquent, se mobilisent et aient l’audace de l’action, de
l’utopie et, si nécessaire, de l’indiscipline pour préserver l’espoir. Sans proposition de changements radicaux, sans mobilisations populaires sur des objectifs de rupture avec le capitalisme,
les Français sont condamnés à la dépendance – voyez l’affaire Alstom ou de la destruction du système de santé publique par l’Union « européenne » – et à
pousser des coups de gueule épisodiques sans lendemains : Bonnets rouges (octobre 2013), Nuit debout (mars 2016), marins-pêcheurs en colère (mai 2008, mars 2014, juin 2016, octobre 2017,
novembre 2018), « Mobilisation
des policiers en colère » (octobre 2016), agriculteurs en colère (très souvent, mais surtout en septembre 2015 et en novembre 2018), mouvement des Gilets jaunes (depuis octobre 2018),
Avocats en colère (dès janvier 2020), « Blouses blanches, colère noire
» (mouvement qui se développe depuis plusieurs années et gagne en ampleur en 2020)… Et après quoi ? Rien !
Pourquoi ? Car il manque un parti révolutionnaire, en prise avec le peuple, capable d’ouvrir le débat dans tout le pays, de collecter et de synthétiser les mesures
urgentes et à moyen et long terme à mettre en œuvre sans lesquelles il ne peut y avoir de changement réel, de mobiliser massivement sur ces propositions. La situation actuelle pose deux questions
essentielles : le passage à une nouvelle démocratie avancée et le contrôle de la grande finance et des secteurs clés de l’économie par le politique afin de remettre ceux-ci au service de
l’intérêt général. Il ne s’agit pas, bien sûr, de remplacer des énarques de gauche par des énarques de droite pour connaître la même gestion catastrophique, sur le seule base des critères de
rentabilité financière, au service des mêmes intérêts de la même grande bourgeoisie affairiste. La question posée est celle de la rupture avec le système.
Ouvrons les livres de compte des sociétés transnationales et vous allez voir que contrairement aux discours des pleureuses politiciennes du pouvoir sur le thème
des « caisses de l’État qui sont
plus que vides » il y a de l’argent dans le pays pour bâtir une France nouvelle. Il y a même beaucoup d’argent, des milliards d’euros, à récupérer chez ceux qui s’empressent
d’exporter une grosse partie des bénéfices des grandes entreprises qu’ils dirigent et des fortunes qu’ils accumulent dans des structures offshore où, comme nous le rappelons, « le secret des transactions est la
règle ». Ces milliards d’euros, produit du travail des Français, ne retournent pour l’essentiel ni dans l’investissement en France ni dans les caisses de l’État pour le développement et
l’amélioration des conditions de vie des citoyens. Sans souveraineté populaire, sans France libérée du carcan de l’Union « européenne » et du danger de l’OTAN,
aucune de ces ruptures ne peut être engagée.
Dans cet élan
marxiste, vous concluez bien évidemment sur l’idée de révolution. Sans vous demander de nous dire les augures, comment voyez-vous cette année 2021 qui s’ouvre et votre avis sur le moyen terme
?
C.J. : Est-il vraiment nécessaire
d’être marxiste pour vouloir que les choses changent en France et ailleurs dans le monde ? Je ne le pense pas. Par ailleurs, s’il est un domaine où nous nous gardons bien de faire des
prévisions c’est celui de la politique. L’année 2021 sera ce que les Français en feront. Toutefois, ça semble mal parti, car le Pr Delfraissy qui dirige le Conseil scientifique a annoncé le 18
décembre 2020 à la presse que 2021 ressemblera à 2020…Un autre problème de taille est, pour la France, le taux énorme d’abstentions lors de chaque élection nationale. La raison en est moins que
les Français se désintéressent de la politique que le fait qu’ils ne se retrouvent pas dans les propositions d’aucun parti politique et qu’ils ne veulent plus être trompés. Du Parti communiste au
Rassemblement national en passant par « les partis de la plaine et du
marais », aucun parti ne propose la nécessaire restructuration du secteur bancaire, la gestion démocratique des grandes entreprises, la possibilité pour les citoyens de contrôler le
travail des élus et des fonctionnaires dirigeants d’administrations, la refonte des grandes écoles comme l’ENA ou l’Ecole Nationale de la Magistrature, une réforme administrative complète mettant
un terme à la bureaucratie et aux réseaux de clientélisme des anciens des grandes écoles comme l’avait proposé en 1982 le ministre communiste Anicet Le Pors auquel nous donnons la parole,
etc.
Autre exemple, celui de la promotion d’une politique de paix tous azimuts. Les députés communistes ont déposé une proposition de résolution à l’Assemblée nationale
pour que notre pays sorte de l’OTAN et des guerres de Washington. Mais quels autres élus la soutiennent ? C’est pourquoi nous disons que l’on ne peut affronter les réalités d’aujourd’hui et
les défis de demain avec les vieilles mentalités conservatrices, les idées reçues et les institutions d’hier. Par exemple, que l’on ne vienne pas nous dire qu’une majorité de Français n’est pas
favorable à quitter cette Union « européenne ». Mais, pour
franchir le pas, sans doute manque-t-il une vision claire et plus précise de ce que pourrait être une Europe de la coopération et de la paix du détroit de Béring à la mer d’Irlande ? Nous sommes
sans doute le continent le plus riche culturellement, historiquement, géographiquement, économiquement, politiquement et cette Union nous rabaisse à l’état de terrain vague sinistré qui devrait
être voué à servir les intérêts de l’U.S. Imperium !
Cela vaut également pour les rapports du politique avec l’économique comme, de manière générale, pour la question de la démocratie. A l’ère des nouvelles
technologies de l’information et de la communication, la vie démocratique ne peut plus se résumer, sous peine de disparaître, à poser un bulletin de vote dans une urne tous les 5 ou 6 ans. C’est
la supériorité du mandat impératif sur le mandat représentatif qui oblige l’élu à rendre compte de son activité devant ses électeurs et à pouvoir, si nécessaire, en être démis s’il ne tient pas
les engagements pour lesquels ils lui ont confié leur voix. Le mandat impératif est beaucoup moins confortable que le représentatif et l’on comprend pourquoi, depuis 1791 les Constitutions
françaises, à l’exception de celle de 1793 jamais appliquée, ont interdit ce dispositif de contrôle populaire et de révocabilité des élus. Comme on dit, « la soupe est bonne » avec le système
représentatif. Il maintient le peuple à l’écart du pouvoir et institue, de fait, la domination d’une élite – les « représentants de la nation » – qui
s’arroge seule sans en rendre compte au peuple et sans avoir à s’expliquer de ses choix le privilège de décider de tout pour lui, y compris de la guerre pour des intérêts privés totalement
étrangers aux siens !
Vous ne serez pas surpris qu’aucun parti politique français ne propose, là aussi, de rupture avec ce système. Marx disait que parvenu en fin de cycle un système
politique, quel qu’il soit, secrète sa propre caricature. N’est-il pas dramatiquement sinistre de voir des français, parmi lesquels des dirigeants d’organisation syndicales, soutenir ou applaudir
en mai 2017 l’élection d’un président qui leur annonçait vouloir supprimer 120 000 emplois en cinq ans dans la fonction publique alors que le pays manque déjà de médecins, d’infirmières, de
spécialistes, de chercheurs, de structures de soins, d’instituteurs, de professeurs, de juges, de fonctionnaires pour le bien de l’intérêt général ?! Déjà, entre 1993 et 2018, 103 000 lits
d’hôpitaux ont été supprimés par les dirigeants qui se sont succédés au pouvoir et ont appliqué à la France les recommandations de l’Union « européenne ». Dans plusieurs enquêtes
menées et publiées à la fin de l’année 2020, le mensuel Bastamag.net (www.bastamag.net) recensait plus de 4 000 lits hospitaliers qui ont été fermés en 2018 puis à nouveau 3 400 en 2019.
Ces fermetures s’ajoutaient aux 69 000 places d’hospitalisation à temps complet qui ont été supprimées entre 2003 et 2017. Aujourd’hui, en pleine crise sanitaire,
le président Macron, son Premier ministre et son gouvernement continuent de défaire le service public de santé. A l’heure où nous parlons, en janvier 2021, en pleine crise sanitaire, depuis le
mois de mars 2020 le pouvoir continue de supprimer des milliers de places d’hospitalisation à temps complet alors que l’hôpital, qui manque déjà cruellement de moyens humains et matériels, en
aurait besoin de nouvelles pour soigner les malades ! CHU de Besançon, hôpital psychiatrique du Rouvray, près de Rouen, hôpital psychiatrique du Vinatier, CHU de Nancy, CHU de Nantes, Strasbourg,
Marseille, Limoges, Nice, Caen, Orsay, Reims, etc. Sans doute est-ce cette catastrophe déjà bien avancée que ce président bonimenteur désignait, lors de la dernière campagne des élections
européennes, sous la formule trompeuse de « l’Union européenne qui nous protège
» ?!… Les joyeux fossoyeurs de la République qui applaudissaient le candidat Macron en mai 2017 vont-ils lui faire un rappel afin qu’il puisse rejouer sa partition pour un massacre
?…
Merci messieurs
Covid-19 – Le vaccin inachevé
...par Jean-Loup Izambert et Claude Janvier - Le 13/01/2021.
Impossible d’ignorer que Pfizer et Moderna ont créé en moins d’une année un vaccin ARN messager décrit et salué par quasiment l’ensemble du corps médical,
les politiciens, et la presse mainstream comme révolutionnaire et efficace contre le Coronavirus. Une vraie prouesse ! Et une vaste fumisterie qui cache les objectifs réels de ces
producteurs de « vaccin miracle ». Avec la complicité du gouvernement français.
Tout est bon pour inciter les citoyens à se faire injecter le précieux liquide. Du chef de l’État, en passant par les ministres, les parlementaires, les
médias et une certaine caste de médecins, la propagande bat son plein. Comme si cela ne suffisait pas, un collectif d’artistes s’est formé afin de marteler le message tout en louant les
vertus de ce vaccin1.
Du reste que connaissent-ils ces artistes du processus de la mise au point d’un vaccin ? Rien ! Strictement rien ! Leur démarche est guidée par le bla-bla des lobbyistes des laboratoires
et des toubibs médiatiques comme Karine Lacombe, récemment promue pour recevoir la Légion d’honneur en récompense de … Et bien, bonne question, on ne sait pas. Certainement pour son
nombre d’interviews record. Elle va bientôt figurer en pôle position dans le Guinness. Pendant ce temps-là, d’autres docteurs et infirmières travaillant en milieu hospitalier nuits et
jours, ne bénéficieront pas de la même reconnaissance officielle. Pour ces derniers le pouvoir réserve matraques, gazages, arrestations et amendes s’ils viennent à protester contre sa
politique de liquidation du système de santé publique.
Quant aux artistes engagés pour la vaccination, on retrouve entre autre Berléand2 qui
avait dévoilé son mépris pour le peuple et les Gilets jaunes, et le décevant Grand Corps Malade. En effet, avec sa chanson « Pas essentiel », on s’attendait à plus de réflexion3.
Ce qui est dommage, c’est que tout ce beau monde est fermement persuadé que, grâce à cette vaccination, la vie va reprendre comme avant. Retour à la normale, jouée en partition uniquement
pour pipeau et violon !
Cette légion d’honneur, distribuée à tout-va comme des confettis à des enfants, ne signifie plus grand chose à part récompenser certains malfaisants.
Jacques Servier, feu le grand patron des laboratoires du même nom, s’était vu remettre la décoration prestigieuse en plein scandale du Médiator. Rappelons que pendant trente ans, de 1976
à 2009, ce produit dangereux à été prescrit à plus de 5 millions de patients. Jugement final en 2021. Un record de « rapidité » dû à l’état de délabrement avancé du système judiciaire
français que mettent en évidence depuis plusieurs années les enquêtes de la Commission européenne pour l’efficacité de la justice (CEPEJ). Entre 220 et 300 décès à court terme et entre
1300 et 1800 à long terme4.
Ce qui n’a pas empêché Nicolas Sarkozy, alors chef de l’État à l’époque, de remettre à Servier, le 7 juillet 2009, la plaque et le cordon de grand-croix – la plus haute distinction – de
la Légion d’honneur5,
alors que la célèbre pneumologue Irène Frachon, dans son livre – Médiator 150 mg, combien de morts ? – publié deux ans plus tôt dénonçait les méfaits du médicament « miracle ».
Mais revenons à ce vaccin miraculeux fabriqué en moins d’un an. Les chercheurs ont bossé nuit et jour. Quand il y a des bénéfices à faire, pas
d’hésitation…
Effets
indésirables graves : la question est loin d’être résolue
Le professeur Raoult que l’on ne présente pas déclare le 8 janvier 2021 que ce vaccin n’est pas la baguette magique qui va arrêter l’épidémie. Extrait de
l’article « … Je pense que la plupart d’entre eux (les vaccins) ne présentent pas de risques à court terme. À moyen-long terme, personne ne peut le savoir sur des formes nouvelles (…) on
a évalué les effets secondaires qui ne sont ni plus ni moins que ceux des autres vaccins : il ne s’est pas passé de choses extraordinaires. À moyen-long terme, personne ne peut le savoir
sur des formes nouvelles (…) on a évalué les effets secondaires qui ne sont ni plus ni moins que ceux des autres vaccins : Je ne le crois pas non plus ».6
Côté Pfizer, le vaccin Covid-19 assurerait une efficacité globale de 80,2% après la première injection, atteignant 94,1% 14 jours après la seconde
injection7. Côté Vidal, la bible des médecins, au 10 décembre 2020, dans son article « Vaccin Pfizer/Biontech contre la Covid-19 : Enfin des données à analyser !
» : « un taux de protection de 52,4% dès la première injection » mais surtout : « Les questions relatives à l’efficacité qui demeurent en suspens », « Des effets indésirables
post-injection plus sévères chez les moins de 56 ans », « Les questions relatives à la toxicité qui demeurent en suspens »… Puis plus loin : « La possibilité d’effets indésirables graves,
rares ou décalés dans le temps »8 ;
« La toxicité chez les moins de 16 ans, les femmes enceintes et allaitantes et les personnes immunodéprimées ». Le Vidal souligne en conclusion : « la question d’une éventuelle toxicité à
long terme se pose toujours, ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir. » En cas d’effets indésirables graves possibles, qui ne semblent nullement
gêner ceux qui vaccinent avec ces vaccins inachevés, rendez-vous à l’hôpital s’il reste des lits hospitaliers ou au…cimetière.
Le prix
de l’incompétence
Comment ignorer que le développement et la mise au point d’un vaccin prend en moyenne une dizaine d’années en respectant le principe de précaution qui
permet de s’assurer qu’il soit sans danger pour l’homme avant sa mise sur le marché ? « Des prototypes de candidats-vaccins sont mis au point en laboratoire à partir de germes, puis on
lance la production pharmaceutique et on réalise les premiers tests sur des animaux. Il faut ensuite obtenir des autorisations réglementaires pour mener des essais cliniques, plus vastes
sur l’Homme »9.
Admettons quand même que ce vaccin soit efficace à 94,1%. Si tel était le cas, et s’il protégeait réellement les vaccinés, pourquoi obliger ceux qui n’ont pas envie d’être vacciné à
l’être ? Pourquoi vouloir établir un « passeport de santé/vaccination » qui serait exigible avant de prendre un avion, de monter dans un train, ou d’aller au spectacle ? La vérité semble
ailleurs…
Nos braves artistes partant en guerre pour que tout le monde se fasse vacciner, feraient bien de revoir leurs copies. Car, s’ils s’imaginent que les salles
de spectacles, les théâtres, les cinémas, et les restaurants (pour manger un petit bout en fin de soirée), vont réouvrir très vite, ils se fourrent le doigt dans l’œil jusqu’au
coude.
Comment voulez-vous que le Conseil scientifique donne son feu vert à la liberté, vu que Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique du
pouvoir, a déclaré le 18 décembre 2020 que 2021 ressemblera à 202010.
Tout comme il avait déjà déclaré en 2009 qu’il allait falloir vacciner deux fois les Français contre le virus de la grippe H1N1, alors présentée comme une terrible « pandémie ».
Terrible au point qu’elle disparut en une année presque aussi vite qu’elle avait surgi … Coût pour l’État de ces prévisions aussi alarmistes qu’infondées et fumeuses : plus de 500
millions d’euros pour la seule opération vaccin dont des millions de doses seront annulées après dédommagements financiers de ses producteurs et 15 millions d’autres détruites !
Banco.
Comme le reconnut lui-même le professeur Delfraissy une fois que l’orage fût passé, il « n’était pas un spécialiste des virus de la grippe », pas plus qu’il
ne l’est d’ailleurs aujourd’hui de ce coronavirus. Voilà qui « rassure » et laisse déjà entrevoir que la nouvelle ardoise laissée par ce régime et leurs conseillers – des milliards
d’euros avec un nouveau surendettement du pays – pourrait bien tomber plus vite que prévu comme des tuiles sur la place publique.
Un vaccin est normalement sensé vous immuniser contre une maladie. Si vous êtes vacciné contre le tétanos, vous êtes protégé à 100%. Extrait du Vidal : « La
vaccination contre le tétanos est efficace à 100% et cette maladie a quasiment disparu dans les pays, dont la France, où une politique vaccinale complète est appliquée et réalisée. De
2005 à 2017, 112 cas de tétanos ont été déclarés en France – soit moins de 10 par an. » Si le vaccin contre la Covid-19 ne peut être efficace à 100% en 2021, aucun de ses fabricants ne
peut garantir sa sûreté. Ceux-ci ne s’étendent pas sur ses possibles effets secondaires. Comme on les comprend.
Si le
vaccin vous rend malades, on y est pour rien…
Une réunion du comité consultatif de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis intitulée Vaccins et produits biologiques connexes qui s’est tenue
le 22 octobre 2020 n’a-t-elle pas listé 22 conséquences négatives possibles, y compris la mort, avec ces vaccins alors en cours d’élaboration11 ?
Cette liste, projet de travail sur les événements indésirables très graves pouvant survenir, n’incluait pas tous les effets négatifs mineurs et non étudiés sur la santé qui résulteront de
ces injections pour une raison simple : ceux-ci ne peuvent apparaître qu’au bout de plusieurs années.
Voilà qui explique pourquoi les dirigeants de ces transnationales de la pharmacie ont été jusqu’à solliciter très fortement la Commission « européenne »
afin qu’elle les décharge de leurs responsabilités sur les effets secondaires. Extrait de l’article LCI du 22 septembre 2020 : « Le 27 août, la Commission européenne a confirmé être
en discussion avec les laboratoires » sur ce sujet. Ces clauses sont ainsi en discussion afin de « compenser les risques élevés pris par les laboratoires ». Risques élevés ? Risques de
pertes de profits faramineux par la vente de vaccins qui ne peuvent qu’être inachevés dans leur conception au moment de leur mise sur le marché ? Non, risques financiers pour des effets
secondaires liés à « une éventuelle toxicité à long terme (qui) se pose toujours » en début d’année 2021 « ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir.
» Et c’est justement pourquoi « les contrats d’achat anticipé prévoient que les états membres de l’UE indemnisent les fabricants pour les responsabilités encourues dans certaines
conditions ».12
Cerise sur le gâteau, ces vaccins ne garantiraient qu’une immunité de quelques mois, variable selon les fabricants. Ensuite rebelote pour une injection et
jackpot pour Pfizer, Moderna et les autres.
On imagine mal que des producteurs de vaccins assurés de l’efficacité et de la sûreté de leurs produits aillent quémander l’aide d’un État qu’ils ne cessent
de stipendier au nom de la « libéralisation des entreprises » et auquel ils reprochent un prétendu « interventionnisme » pour qu’il prenne à sa charge les déboires qui pourraient survenir
après l’injection de leur « vaccin révolutionnaire »…
Aussi, nul besoin d’être un grand devin pour deviner que le délire confinatoire avec port du masque et couvre feu va continuer alors que le mardi 12 mars
2020, l’inénarrable Directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, déclarait que « 98% des gens guérissent » de la Covid-19. Et attention, en matière de coronavirus le haut fonctionnaire
Jérôme sait de quoi il parle : c’est lui qui annonça le 3 février 2020 « qu’il n’y a pas d’épidémie en France, même pas de chaîne de transmission dans notre pays et aucune circulation du
virus sur le territoire. » Le jour même la France comptait ses six premiers cas confirmés porteurs du virus SRAS-CoV-2, 57 le 29 du même mois et 191 avec le premier décès le 3 mars
!
Notre
enquête
Se soigner ? Du repos chez soi, et pour aider, du zinc, de la vitamine D, de la vitamine C, de l’aspirine ou du Doliprane13,14.
Mais alors que devient l’Hydroxychloroquine, interdite par la « sinistre » de la Santé Buzyn aux médecins généralistes bien que ceux-ci parviennent à soigner des malades à l’hôpital s’ils
sont traités dès les premiers symptômes ?
Difficile de s’y retrouver dans les affirmations les plus contradictoires qui agitent la communauté scientifique auxquelles s’ajoutent les fausses nouvelles
diffusées par le Premier ministre et certaines administrations. Rien d’étonnant pourtant puisque ce coronavirus est nouveau pour les chercheurs, du moins pour ceux qui ne travaillent pas
à la mise au point d’armes biologiques offensives dans l’un de ces laboratoires de l’armée des États-Unis échappant à tout contrôle international. Mais ceci est une autre histoire, celle
de guerres biologiques et chimiques qui ne commencent ni en République populaire de Chine, ni en France…
Nous sommes journalistes et non scientifiques et notre rôle est de rapporter avec rigueur à la population les informations et les idées qui circulent dans
la société. Nous n’avons pas la prétention d’affirmer ce qu’il faut faire ou ne pas faire au plan médical ainsi que s’y ridiculisent des éditocrates parisiens et autres médecins
imaginaires autoproclamés qui se répandent dans des médias dont les transnationales de Big Pharma sont l’un des principaux annonceurs. En revanche, nous avons la détermination
inébranlable de dénoncer les fausses informations, d’où qu’elles viennent, en nous appuyant sur des sources fiables – Insee, CNRS, Inserm, etc. –, en vérifiant et croisant leurs données
et en analysant les faits avec le nécessaire recul.
La pratique rigoureuse de l’enquête journalistique implique de suivre la « règle des trois principes » : bannir toute idée reçue, ne faire confiance à
personne, vérifier les informations par recoupements. C’est pourquoi nous pouvons affirmer que ce gouvernement ment à l’opinion publique lorsqu’il prend prétexte d’une prétendue virulence
du virus pour imposer de nouvelles mesures qui détruisent le contrat social français. Parvenu à ce stade de mensonge d’État, ce gouvernement n’a plus d’autre choix que d’entretenir la
peur pour endiguer la révolte qui menace et permettre aux sociétés transnationales de la pharmacie d’écouler leurs millions de doses de vaccins autant inutiles qu’inachevés.
Vous doutez ?
Fausses
informations gouvernementales
Un nouvel exemple de l’esbroufe gouvernementale appert en début d’année 2021 : le nombre de personnes contaminées par la Covid-19 annoncé en décembre
2020 par le gouvernement, son ministre de la santé et son administration, et relayé par la plupart des médias, est de 1068 cas confirmés par semaine par million d’habitants. Cette
statistique est diffusée par la plateforme ouverte des données publiques françaises (www.data.gouv.fr, https://LaFibre.info/Covid19, Comparatif du nombre de cas Covid-19 par semaine entre
pays rapporté par million d’habitants, mise à jour du 06 décembre 2020 à 17h.)
Or, si l’on examine de près les chiffres du réseau Sentinelles de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) composé de 1200
cabinets médicaux sur tout le territoire, ce rapport s’avère bien différent : 14 cas pour 100 000 personnes soit environ 140 cas pour un million d’habitants. Huit fois moins ! Rappelons
que le taux de Sentinelles correspond aux vrais malades symptomatiques rencontrés dans les cabinets médicaux et testés. Ainsi que l’indique le réseau Sentinelles dans son bulletin sur la
situation observée pour la semaine 53 – du 28 décembre 2020 au 03 janvier 2021 –, « à partir des données cliniques et virologiques concernant les cas d’IRA (NdA : Infections respiratoires
aiguës) vus en consultation de médecine générale, il est possible d’estimer la part de ces cas dus au COVID-19. » En semaine 53 à cheval entre décembre 2020 et janvier 2021, « aucun
prélèvement n’a été testé positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) parmi les prélèvements analysés. Ceci permet d’estimer que le taux d’incidence des cas d’IRA (Infection Respiratoire Aigue) dus
au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale serait inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants, représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin
généraliste. » Précision de l’Inserm : « Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes. » Quel média vous a rapporté ces faits et cette « stabilité par rapport aux
semaines précédentes » ?… Le seuil épidémique étant de 150 à 200 cas pour 100 000 personnes, il est permis d’affirmer que le virus est en voie de disparition.
Aussi, la troisième vague, le reconfinement, le couvre-feu et autres mesures annoncées par le gouvernement à grand renfort de médias semblent n’avoir qu’une
raison d’être : entretenir la peur pour écouler le stock de millions de doses de vaccins ! Olivier Veran, ministre des Solidarités et de la Santé, ne tient visiblement pas à
jouer « Bachelot 2 le retour » sur les traces de la « sinistre » de la Santé du gouvernement Fillon. Rappelez-vous : en 2010 celle-ci, suivant à la lettre les
conseils du même Jean-François Delfraissy et de son équipe pour contrer la grippe H1N1, s’était retrouvée avec des dizaines de millions de doses de vaccins inutiles…
Les
« profiteurs pandémiques »
Ceux qui depuis le début de l’année 2020 n’arrêtent pas de diffuser des annonces gouvernementales et d’administrations sans les vérifier puisque émises par
des sources officielles – donc a priori crédibles – se retrouvent, devant les arguments que nous présentons aux lecteurs, seuls et démunis avec le sentiment d’avoir été trompés par le
pouvoir et ses représentants pour les plus honnêtes et professionnels d’entre eux. Si, si, il en existe encore… Si des erreurs peuvent survenir dans la création et la diffusion
d’informations, celles-ci répétées dans le temps sur un même sujet façonnent ce qui s’appelle un mensonge d’État.
Ceux qui
en font les frais ?
Les professionnels de la santé et, d’une manière générale, les salariés des entreprises, les transporteurs, commerçants, artisans, hôteliers-restaurateurs,
patrons de boîtes nuits, autocaristes, TPE et PME-PMI, les professions du spectacle et de l’événementiel, les salles de sports…Bref, tous les entrepreneurs et indépendants, qui grâce à
leur travail et à leur dur labeur font vivre leurs familles et donnent de la convivialité à notre nation sont en train de disparaître.
En revanche, comme nous le montrons dans «Le virus et le président», les « profiteurs pandémiques » se portent plutôt très bien. Parmi eux, les sociétés
transnationales du CAC 40 – dont celles de la pharmacie – qui, tout en réalisant les plus importants chiffres d’affaires reçoivent, bon an mal an, plus de 200 milliards d’euros de
subventions publiques et d’exonérations fiscales de l’État et de l’Union dite « Européenne » et continuent de coter à la hausse en Bourse tout en tuant des milliers et des milliers
d’emplois en France. C’est un peu aussi pourquoi nous disons que lorsque le président Macron qui a consacré son temps, depuis qu’il s’est assis en 2012 près de l’ancien président François
Hollande, a privatiser l’économie, créer du chômage, réduire encore le système de santé publique, endetter le pays, déclare vouloir « reconstruire une économie forte et souveraine » c’est
un peu comme si une dinde fêtait Noël.
Le livre
qui dérange
« Le virus et le président » n’oublie pas ces fauteurs de crise tant sanitaire qu’économique et financière. Vous y lirez comment les privilégiés du système
se gavent des richesses de notre beau pays avec le concours de parlementaires qui, pour la plupart, ne sont plus que des sortes de greffiers de la Commission « européenne » qui confinent
le budget de la Santé publique dans l’une des dernières places du budget de l’Etat. Pendant que la France du travail et de la création perd sa santé jusqu’à l’agonie sur l’une des toutes
premières marches du podium du taux de suicide d’Europe occidentale, des profiteurs sans scrupules la pillent en flux tenu 24 heures sur 24. La fable du « vaccin miracle » inachevé contre
la Covid-19 ne raconte pas une autre histoire que celle des manigances de ces accapareurs à la recherche de profit maximum immédiat quelles qu’en soient les conséquences pour le
peuple.
Ce vol noir de corbeaux sur le pays qu’ils enchaînent à coups d’ordonnances de l’Union « Européenne » et de lois liberticides et anti-sociales est le
tableau « idyllique » annoncé par Klaus Schwab, le fondateur de Davos et de son Forum économique mondial, ainsi qu’il l’explique dans son livre, « Covid-19 : la grande réinitialisation ».
C’est écrit noir sur blanc et ce n’est pas complotiste. C’est une réalité qui est en train de s’étendre, comme une gangrène malfaisante à toute la planète15.
Aussi, le temps de la perdition, de la désespérance et du silence est révolu.
Place à la réflexion, au débat et à l’action !
Notre livre « Le virus et le président », (IS Edition, www.is-edition.com), qui vient de sortir souhaite y contribuer, peut vous
éclairer, vous permettre de comprendre comment et pourquoi le pouvoir vous trompe, favoriser le débat, inciter à rechercher et à écrire les propositions qui permettront de changer de cap.
Enquêtes minutieuses, faits, chiffres, zestes d’humour…16
Le vaccin inachevé ? Comme pour ses promoteurs et propagandistes, au vu de ce qui précède, vous aurez deviné notre position.
FDA U.S., Food & Drug Administration, Steve Anderson, VRBPAC, meeting October 22, 2020. Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee (VRBPAC), October 22,
2020. Meeting Announcement. La FDA révèle une longue liste de problèmes de santé graves pouvant résulter de la vaccination contre le covid-19, y compris la mort, par Lance D.Jolmage,
Natural News, mercredi 09 décembre 2020